Chapitre 5 :: Un problème peut en cacher un autre...(2/2)

Publiée: 09-07-06 - Mise à jour: 09-07-06

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- Mais, il y a qui à l'intérieur?  

- Le co-pilote, le pilote et Himiko, une hôtesse comme nous...  

- Et le bonhomme qui a réussi à détourné l'avion tout seul...soupira Ryô.  

- Oh mon Dieu! Peut-être qu'ils sont morts et que le bonhomme comme vous dites va faire un attentat suicide!! Oh mon Dieu! Prions! dit la bonne soeur en sortant son chapelet.  

Kaori venait de réaliser qu'il y avait aussi cette possibilité.  

- Ma soeur, je ne crois pas que ce que vous dites rassure les passagers, je dirai même que c'est l'effet inverse... Dit une des hôtesses.  

L'homme à la moustache affinée approuva les dires de cette dernière.  

- Kaori...  

- Hum...Dit-elle en revenant vers son mari.  

Elle était en train de consoler la femme enceinte.  

- Je crois que le type qui faisait des scoubidous est notre cher "détourneur de"... voilà.  

- Hein? Quel type qui faisait des soubidous?...  

Ryô venait de réaliser la bourde. Mais il continua quand même:  

- L'homme que je trouvais louche; il n'est plus à ça place! C'est lui qui est à l'origine de ce détournement! Et merde! Dire que je m'en doutais depuis le début! Et mes vacances mokkori s'éloignent de plus en plus! Soupirait enfin Ryô.  

Kaori commença elle aussi à en avoir marre. Il n'a donc rien dans sa tête à part mokkori?...  

- Il est peu probable qu'il fasse un attentat suicide à Kotlas; il l'a dit lui-même qu'on allait atterrir, aussi, j'y suis déjà allée plus jeune et il n'y a rien là-bas, donc je peux vous assurer que ce n'est pas pour ça qu'il détourne cet avion...Dit calmement Franklin.  

Annonce qui rassura tout le monde.  

- Allez! Allez! Fait le moustachu, en attendant, je vous propose de regarder un film! Qu'en dites-vous?  

On entendait les passagers qui étaient partants pour un film. Kaori et Ryô tombèrent de leur siège en voyant de telles réactions. " Ces gens sont bizarre chéri..."  

- Oh non! Fait Ryô qui avait levé la voix afin que tout le monde l'entende.  

Il s'était levé et se retrouvait au dessus de tous.  

- Ryô chou, ce n'est pas bien de poser tes chaussures sur le siège...  

- Vous ne vous rendez pas compte! Même si le garçon avait raison, certains d'entre nous pourrons peut-être mourir ici! Et peut-être tous!...  

- Ouais! Firent certains. Il a raison.  

- ...Ou même PIRE! On risque de se retrouver à Kotlas plutôt qu'à Hawaii!  

(NdA: J'aime bien le "PIRE" lol!)  

- Ouais! C'est vrai ça!  

- T'as raison!  

- C'est pas faux!  

- Et on ne pourra pas faire mokkori pendant deux semaines!!  

- Ouais, il n'a pas tord! Fit une petite voix.  

Tout le monde le regardait avec des yeux tous ronds. Une rangée de libellules passa dans l'avion.  

Kaori piqua un fard et se leva:  

- Ce qu'il veut dire, reprit-elle rouge cramoisie, c'est qu'on ne va pas rester là sans rien faire sous prétexte que la porte de la cabine est fermée! A nous tous, nous pourrons défoncer cette porte!  

En parlant, Kaori avait de nouveau son pied sur le crâne de son mari qui commença à pleurnicher.  

Tout le monde se regardait. ils décidèrent alors de se concerter.  

- Ohé!... Fait Kaori qui se sentait plutôt seule à ce moment.  

En revenant à leur place, tous approuvaient ce qu'elle avait dit.  

Soudain, un passager aux très longs cheveux noirs se leva. Il devait avoir la même carrure qu'Umibozu, et était habillé avec chemise hawaïenne, barmuda et tongues. tout le monde s'était tut en le voyant se lever. Ils étaient tous impressionés devant une telle carrure.  

Doucement, il s'avança vers Kaori, et à chaque pas, les personnes présentes pouvaient sentir le sol trembler...  

- C'est quoi ces tremblements? Demanda l'homme aux hublots.  

- Allez savoir! Rétorqua Himiko en limant ses ongles...  

En s'arrêtant devant Kaori, cette dernière avait levé les yeux et tremblait comme un auteur de fic.  

"Qu'est-ce que j'ai dit pourqu'il me regarde comme ça?...Je n'ai plus mes massues au cas où il me voudrait du mal..."  

Ryô lui, avait toujours mal au crâne.  

L'homme lui adressa un grand sourire à la Umibozu.  

- Où se trouve cette porte que je m'en charge? Dit-il avec une voix féminine.  

Tous les autres passagers étaient tombés à la renverse.  

" C'est Umibozu au féminin!" Se disait City Hunter.  

Après s'être relevée, une hôtesse lui demanda de la suivre. Kaori et Ryô décidèrent alors de l'accompagner.  

***************  

- Combien de temps encore avant qu'on arrive à Kotlas?  

- Et bien, dit le pilote, j'y suis jamais allé, alors...  

L'homme aux hublots et Himiko tombèrent par terre.  

- Comment ça?!  

- Alors en fait tu ne sais pas où c'est? Avait hurlé l'hôtesse plus énervée que jamais.  

- Mais...mais...le pilote commença à avoir les larmes aux yeux et sanglota doucement.  

- Oh non Sergueï! Tu arrêtes maintenant!  

- Ok. Dit-il en essuyant ses larmes aussi vite qu'elles étaient apparues. Ce qu'il faut c'est que je puisse contacter une tour de contrôle à proximité dès qu'on survolera le territoire russe.  

- Combien de temps encore?  

- Une heure.  

- Bien. Dit l'homme aux hublots en s'asseyant sur un siège, tout en gardant son arme en main.  

L'hôtesse l'observa.  

- Comment vous vous appelez?  

- Barnabé.  

- Barnabé...vous êtes français?  

- Mi français, mi Slovaque. Je suis resté vivre au Japon pendant 2 ans.  

***********************************  

Arrivés devant la cabine, l'hôtesse s'écarta pour laisser passer "Umibozu version hawaïenne" quand ils entendirent des pleurs.  

"J'hallucine..." Pensa Kaori en posant sa main sur son front.  

- Oh non, je suis sure que c'est parce que Himiko a décidé de rompre avec Sergueï... Fait l'hôtesse qui les avaient accompagnés.  

- Quoi? Fit Ryô d'un air dubitatif.  

- Le pilote avait une relation avec Himiko, l'hôtesse qui se trouve à l'intérieur.  

- Oui, même que dernièrement Himiko s'était plainte qu'il n'était pas satisfaisant si vous voyez ce que je veux dire... Ajouta une autre hôtesse qui s'était incrusté dans la conversation.  

- Et puis, elle le trouvait aussi un peu trop soumis à son goût...  

- C'est vrai qu'avec Himiko, Sergueï se faisait facilement dominer...  

- Hé! Ho! Merci pour cette émission spéciale comérage mais bon, il faudrait peut-être qu'on pense à défoncer cette porte non?Intervint Kaori au milieu de toutes ces hôtesses.  

Ryô posa sa main sur son épaule.  

- Ryô...  

- Attends, tu as oublié quelque chose, et si l'homme aux scoubidous avait une arme et qu'il tue le pilote au moment où en entre en force?...Qu'est-ce qu'on devient?  

- Oh mince alors! Je n'avais pas du tout pensé à ça! En gros on ne sait rien de lui si ce n'est qu'il veut qu'on aille en Russie! Comment on va le mater?  

- Il faut trouver un moyen de les faire sortir de la pièce, et j'ai déjà une idée...  

**************************  

Dans la cabine, L'homme aux hublots( ou aux scoubidous) faisait les cents pas. Himiko l'observait en silence.  

- Barnabé...  

- Quoi?  

- Qu'est-ce qui vous motive? Pourquoi Kotlas et pour quel objectif?  

Alors qu'il allait formuler sa réponse, il sentit comme une drôle d'odeur...  

- Oh oh... Fait Himiko en reniflant.  

- Quoi? Quoi? Qu'est-ce qui se passe encore?  

- Ca sent le brûler...et pas qu'un peu...on dirait que...  

L'hôtesse se leva et regarda la porte. Il y avait de la fumée et il commençait à faire très chaud. Trop chaud...  

- Oh non! Manquait plus que ça! Un incendie!! S'écria Sergueï.  

- Sergueï! Calme-toi voyons!  

- Oui, s'il vous plaît, ne pleurez pas (pas encore une fois)!! Supplia Barnabé, je vous conseille de vous levez, vous passez devant moi et on va voir tous les trois ce qui se passe...  

- Mais Sergueï doit rester ici, non? Demanda l'hôtesse non sans cacher son inquiétude.  

- Pas la peine, répliqua ce dernier d'un air assuré, je peux mettre le pilotage automatique en attendant. Je ne sais pas pour combien de temps il est opérationnel, mais ça devrait aller.  

- Parfait! Sourit l'homme aux hublots.  

(NdB: Euh, maintenant que les lecteurs connaissent mon nom, si vous pouviez l'employer à la place de l'homme aux hublots", s'il vous plaît...  

NdA: Je verrai, je verrai...)  

Sergueï se leva et rejoignit Himiko devant la porte. Il y avait de plus en plus de fumée. Le pilote ouvrit la porte avec sa clef et laissa d'abord passer Himiko.  

Ils étaient sortis de la cabine, suivis à quelque mètres par Barnabé.  

- Arh! Je me demande comment ça se fait qu'on ait rien entendu...dit Himiko en toussant.  

- C'est -à-dire?  

- Bah, en cas d'incendie, il y aurait du avoir de l'agitation non? Demanda Himiko.  

- Tu sais, il n'y a que 20 passagers en première classe et 5 hôtesses en te comptant, aussi, ils savent tous maintenant que l'avion est détourné, donc, même s'il y a un incendie pas loin, ils s'en chargeraient tous seuls... après c'est mon avis...  

Soudain, au milieu de toute la fumée, des mains chopèrent Sergueï et Himiko. Barnabé qui ne les voyait plus se demanda où ils étaient passés.  

- Mais où sont-ils passés?  

Il s'avança un peu, toujours son arme pointée en avant et se demanda si ce n'était pas un coup du pilote et l'hôtesse.  

- Je me demande si ce n'est pas un coup du pilote et l'hôtesse...  

Puis, il sentit une présence dans son dos, mais il était trop tard.  

- Je sens une présence dans mon dos! Ah!...c'est trop tard...  

Barnabé s'effondra sur le sol. Il venait de recevoir un coup dans le dos de "Umibozu au féminin"...  

*****************************  

En ouvrant progressivement les yeux, il se rendit compte qu'il n'y avait plus de fumée. De nouveau conscient, il vit en face de lui la personne qui l'avait frappé.  

Celle-ci arborait un grand sourire qui dévoilait toutes ses dents.  

Barnabé eut un tel choc qu'il retomba dans les pommes.  

- Tiens, qu'est-ce qu'il lui arrive? Demanda-t-elle en se tournant vers son conjoint. Ce dernier haussa les épaules.  

Ryô et Kaori avaient des gans de cuisines aux mains et avaient mis un masque.  

- Bon, on en fait quoi de ça? Demanda Kaori en désignant la grosse corbeille qui prenait feu. Il y avait pleins de cigarettes, papiers et cartons en tout genre qui contiuaient à brûler.  

- On attend juste que ça s'arrête...n'empêche, quel gâchis... soupirait notre cher nettoyeur en regardant son paquet de cigarettes vide.  

Kaori enleva les gans et le masque. Elle passa alors sa main dans ses cheveux.  

- Oh non, moi ça ne me gêne pas plus que ça, ces cochonneries te pourrissaient la santé! Dit-elle en utilisant l'éventail qu'elle avait utilisé pour la fumée.  

Ryô sourit en la regardant. Sa femme s'aérait avec l'éventail. Elle transpirait à cause de la chaleur qu'avait provoqué ce petit feu maison. Il la trouvait plus que séduisante quand elle s'aérait.  

Discrètement, il s'avança vers elle et posa ses mains sur ses hanches, ce qui la fit sursauter.  

- Ryô...  

- Alors? On s'inquiète sur ma santé maintenant? Dit-il d'une voix suave.  

Alors que Kaori, le teint rosit, essayait de formuler une réponse, son mari avait déjà prit possession de sa bouche.  

- Ryô! dit-elle enfin en reprenant son souffle. Elle avait le teint rosé à cause de ce baiser à la fois tendre et torride, elle qui avait déjà bien chaud.  

"C'est normal que je m'inquiète un peu, non?"  

- Oui, Sugar, je comprends, mais ce n'est pas la peine de t'inquiéter autant, car je suis l'éternel jeune Etalon de Shinjuku! Hé hé! dit-il sur un podium.  

Kaori sentait la colère refaire surface.  

- Tu ne peux vraiment pas être sérieux une minute!? Hurla-t-elle en lui faisant une prise de catch dont elle a le secret.  

Sergueï était assis, observait l'extérieur. Il était perdu dans ses pensées. Himiko avait rejoint ses collègues mais aussi amies.  

Alors qu'elles avaient une vive conversation, Himiko n'arrivait cependant pas à détacher ses yeux de lui.  

- Bon, on se le fait ce film? Fait le grand moustachu en se levant de son siège.  

Les autres passagers approuvèrent, excepté Franklin et sa petite soeur qui ne faisait que les observer tour à tour, quand Ryô revint au trot.  

- Hé! Ho! vous n'avez rien compris vous autres? Il faut donc que je refasse mon discours?  

- Oui! Refaites-le! Lança la nonne.  

- Mais sans le passage où vous parlez de "mokkori"...Ajouta le moustachu.  

Un libellule tomba sur le crâne de la pauvre Kaori.  

- Ok, alors... Il s'éclaircit la voix. Oh non! Vous ne vous rendez pas c...  

Soudain, il reçut une chaussure dans la joue droite.  

- Pas la peine chéri! Ne te fatigue pas de la sorte! Sinon c'est ta santé qui en pâtira!!! Avait lancée sa femme, avec, bien sur, son pied sur lui.  

( NdA: Je vois que c'est devenu ta nouvelle spécialité! ^^  

NdK: Que veux-tu, on fait avec ce qu'on a! J'essaierai de diversifier un peu les instruments de torture! ha ha ha! (petit rire diabolique) )  

Ryô redevint comme par magie sérieux, et Kaori le préférait comme ça (Ouais, nous aussi...):  

- Si nous avons payé ces billets( même si ce n'est pas le cas pour moi), c'est pour aller à Hawaii! Pas à Kola!  

- Ouais!!  

- Kotlas! corrigea Franklin.  

- C'est pareil! Lança Ryô.  

- Justement non, si vous parlez de la péninsule de Kola, situé au-delà du cercle polaire, entre la Mer Blanche au Sud et l'Océan Arctique au Nord, ce n'est pas pareil que la ville de Kotlas, aussi, il y a la noix de kola, graîne riche en caféïne et en théobromine qui poussent principalement dans les pays tropic...  

Ryô se trouvaît alors dans un coin en train de bouder.  

- J'en ai marre, on arrête pas de me couper la parole...ouin...  

Kaori était assise à côté de lui et essaya de le consoler telle une mère avec son petit garçon.  

A cette pensée, elle ne put s'empêcher de rire.  

Ryô la contemplait. "Pourquoi tu ris?"  

Kaori en avait les larmes aux yeux tellement elle riait.  

- A chaque fois que la situation est inconfortable ou tendue, tu t'arranges toujours pour faire le pitre! J't'adore, t'es génial! Elle l'avait tendrement embrassé.  

Aussi simples puissent être ces mots, Ryô était très touché. il n'avait jamais eu besoin de s'expliquer, il était comme ça en effet. Or, Kaori l'a toujours su, et elle l'a toujours aimé ainsi.  

Ryô se releva, de meilleure humeur, et reprit son fameux discours:  

- Je disais... nous voulons allez à Hawaii non?  

-Ouais!! firent tous les passagers.  

- Donc, il n'y a pas de raison! Il faut qu'on reprenne le trajet qui était prévu dès le départ!  

Tout le monde l'applaudit. Ryô tira sa révérence quand il décida de porter son attention sur un homme qui bougeait dans tous les sens devant trois femmes et trois hommes habillés de la même façon.  

En redescendant de son siège, il se dirigea vers lui.  

- Hé! Vous! Il vous arrive quoi depuis aujourd'hui? J'avais remarqué que vous bougiez beaucoup depuis l'aéroport...  

L'interlocuteur ne dit pas un mot, et se contenta de bouger ses bras.  

- Vous êtes muet? Demanda le nettoyeur.  

L'homme fit signe que non. Il reprit des mouvements et Ryô était en pleine réflexion.  

- Vous avez un TMS*? Demanda la nonne.  

- Euh, non, vous dansez? Proposa une adolescente.  

L'homme fit signe que non. Il refit les mêmes mouvements que les précédents. Ryô ne voyait toujours pas.  

- Vous avez quelque chose qui vous démange? Demanda un vieillard.  

- Je sais! Dit la femme enceinte, vous êtes mime!  

L'homme acquieça. Le mime, la nonne, l'adolescente, Ryô et le vieillard l'aupplaudirent.  

-RYYÔ! Fait une voix qui lui est très familière.  

- Oui mon amour? Chante-t-il en volant jusqu'à son siège.  

- Tu as oublié de quoi tu parlais tout à l'heure ou quoi? Au sujet de la destination!  

- Aaah! non, je pense qu'on devrait aller à Hawaii, pour ça, le pilote doit de nouveau dévier l'avion.  

Tous les regards se rivèrent sur Sergueï qui était toujours perdu dans ses pensées.  

- Alors Sergueï!? T'attends quoi pour reprendre les commandes de l'avion? Avait dit Himiko pour le faire revenir sur terre. Tu as dit toi-même que le polotage automatique ne peut pas marcher indéfiniment, donc il faut que tu reprennes les commandes et qu'on atterrisse à Honolulu comme il était convenu, tu ne sais pas comment contacter quelqu'un pour pouvoir atterrir à Kotlas, ce n'est pas grave puisque Barnabé a été mis K.O., qu'il n'y a même pas d'aéroport là-bas, et que les passagers n'ont pas prit l'avion pour ça!  

- Hum...  

himiko tomba de haut.  

- QUOI?! C'est tout ce que tu trouves à dire dans un moment pareil?! Non mais t'es vraiment pas croyable! Avait-elle finalement hurlé.  

- Himiko...tu m'excuseras mais... je suis trop déprimé pour reprendre les commandes... avait-il déclaré dans un soupir.  

Tous les passagers sans exceptions étaient tombés par terre tandis que toute une bande de libellules et de corbeaux étaient au dessus de leur tête...  

*TMS= Trouble MusculoSquelettique.  

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