Chapitre 1 :: PROLOGUE : UNE REACTION INATTENDUE

Publiée: 15-06-05 - Mise à jour: 16-06-05

Commentaires: Slt tout le monde! Voilà une histoire courte ( 5 chap à tout casser). celà n'a rien à voir avec ma série d'histoire, c'est complètement à part. C'est un délire que j'ai eu avec ma béta, Myriam. Alors voilà, comme on n'a trouvé ça drôle, on a voulu vous le faire partager. J'espère que vous allez rigoler un max.

Chapitre: 1

Comme tous les matins, Ryô daigna ouvrir les yeux vers midi. En clair, comme tous les matins, il ne se levait jamais. Ses yeux étaient encore dans une brume alcoolique à cause d’une soirée à traîner dans les bars avec son compère, Mick.  

Il ronchonna un bon coup après avoir imaginé, une fois de plus, embrasser la douce Saeko. Mais la réalité le tira de ses rêveries quand une furie débarqua dans sa chambre. Ryô se retrouva une fois de plus encastré dans le plancher de sa chambre avec comme coiffe une massue de 1999 tonnes.  

-« Allez ! Debout espèce de fainéant ! Il est plus de midi déjà ! »  

Kaori le secoua par le T-shirt pour s’assurer qu’il était bien réveillé.  

-« ça va, ça va ! Je ne suis pas sourd ! » Rétorqua t-il. « Je suppose qu’on a un nouveau travail pour te sentir obligée de me réveiller comme ça ! »  

La réponse du nettoyeur stoppa net Kaori. Après tout, s’il n’avait pas de boulot, elle n’avait aucune raison de le malmener ainsi. Mais voilà, la réalité était tout autre. Elle ne pouvait pas s’empêcher de lui affliger d’imposantes massues sur la tronche à longueur de journée. Et oui, c’était ça façon à elle de lui montrer qu’elle tenait à lui, aussi étrange que cela pouvait paraître. (N Béta :bah je l’aime bien sa manière de l’aimer, c’est original on voit pas ça tous les jours mdr)  

Kaori s’empressa alors de trouver une parade, et par chance, elle en avait une déjà toute trouvée.  

-« Je te rappelle que tu m’avais promis de m’accompagner pour faire les courses ! »  

-« Ah oui… c’est vrai…. J’avais oublié…. »  

Et oui, comme toujours, ce brave Ryô oubliait toutes ses promesses envers Kaori mais les massues étaient là pour lui faire retrouver la mémoire. (N Béta : C’est fou l’effet d’une massue sur Ryô, efficace rien à dire lol)  

-« Allez ! Dépêche toi ! Je te laisse vingt minutes pour te préparer ! »  

-« Et mon déjeuner ? »  

-« T’avais qu’à te lever à l’heure, ça t’apprendra ! » C’est alors que la jeune femme sortit de la chambre en claquant la porte. Ryô contempla la porte un moment.  

-« Whoua ! Ça c’est de la gonzesse ! De la vraie bombe atomique ! » Lança une petite voix.  

Ryô baissa alors ses yeux en direction de son entrejambe avec interrogation. Avait-il bien entendu ? Son mokori venait bien de lui parler ?  

En y regardant de plus près, il n’y avait aucun doute, son mokori était bel et bien au garde à vous et cela à cause Kaori.  

-« Nan mais ça va pas ?!! » Hurla Ryô en se levant d’un bond en essayant de reprendre le contrôle de son mokori.  

-« Il s’agit de Kaori, je te rappelle !! Tu te rappelles ? Celle qui n’a aucun pouvoir sur toi ! »  

-« ça c’est toi qui le dit ! J’ai toujours trouvé cette fille à mon goût ! C’est toi qui te voile la face mon pauvre vieux !! » Répondit son mokori. (N Béta :Je t’aime mokori enfin qui apprécie Kaori à sa juste valeur mdr)  

-« Comment ça ? Mais… mais pas du tout ! »  

-« Allez, avoue qu’elle te plait à toi aussi ? »  

-« Quoi ? Ce garçon manqué fagoté avec un sac de pomme de terre ? »  

Ce fut à ce moment là que Kaori repassa dans le couloir pour voir si son cher partenaire s’était bel et bien décidé à enfin se lever.  

-« Je peux savoir à qui tu parles ? » Demanda t-elle à Ryô qui attrapa son oreiller pour se cacher derrière, geste qui eut pour effet d’étonner encore un peu plus la jeune femme.  

-« Moi ? Ben à personne… je réfléchissais à voix haute…. »  

-« Toi ? Réfléchir ?.... Je me demande bien à quoi…. »  

-« Non, mais pour qui tu me prends ? Moi aussi j’ai un cerveau, et je m’en sers moi, Madame !! »  

-« Ah oui ? Et qu’est-ce que je dois comprendre ? Que j’en ai pas ?! C’est ça, hein ! »  

Et évidement, la sentence ne se fit pas attendre. C’est ainsi qu’une gigantesque massue vint à s’abattre sur le pauvre nettoyeur qui se retrouva un étage plus bas encastré dans la table de la salle à manger.  

-« Ch’ai même plus le d’oit de me echendre…. » (J’ai même plus le droit de me défendre) murmura un Ryô édenté et plié en huit.  

Chapitre: 1