Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prose

 

Auteur: Eliane

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 12 chapitres

Publiée: 17-08-06

Mise à jour: 27-06-07

 

Commentaires: 43 reviews

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RomanceAction

 

Résumé: J'en fais trop d'un coup? Oui? Non? Enfin, bref, résumé: La situation n'a toujours pas changé entre Ryô et Kaori, jusqu'au jour ou City Hunter accepte une mission qui va chambouller leur vie! (Je sais ce résumé est nul, mais lisez la fic, vous verrez!! )

 

Disclaimer: Les personnages de "Quand Femme veut..." sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Et tous les autres sont à mooaa!!!

 

Astuces & Conseils

Comment changer son pseudo?

 

Je n'autorise pas les gens à changer leur pseudo en ligne, mais je peux le faire si vous me contacter en me donnant votre ancien pseudo et votre mot de passe (question de securité) et ce quelque soit les change ...

Pour en lire plus ...

 

 

   Fanfiction :: Quand Une Femme veut...

 

Chapitre 1 :: Serait-ce la fin?

Publiée: 17-08-06 - Mise à jour: 27-08-06

Commentaires: J'en fait trop non? Mais j'ai plein d'idées en tête, je ne sais plus quoi en faire, ce qui fait que je me retrouve avec 4 fics en cours mais qui arrivent toutes vers la fin (sauf Confessions, paternité, City hunter, ce n'est que le début!) Allez, bonne lecture quand même!

 


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Chapitre 1: serait-ce la fin?  

 

Il devait être treize heures.  

Elles étaient loin. Très loin de chez elles.  

Loin de Shinjuku, de Tokyo, du Japon, loin de leur amour.  

 

Leur coeur battait à tout rompre. Il semblait ne plus pouvoir prendre un rythme normal.  

Combien de temps encore avant la sentence finale?  

 

Elles étaient perdues, seules, atterrées, mais elles espéraient toujours que quelqu'un les sauve. Les délivre.  

Mais en vain. Rien ne venait. Personne n'était là pour les ramener chez elle, les ramener à la vie. A leur vie.  

 

Elles étaient toutes les trois debouts, contre le mur d'une maison en ruine.  

Elles avaient le regard dans le vide.  

Combien de temps encore avant la sentence finale?  

 

La patience est une vertue, mais pour elles, elle était la pire des tortures pschologiques.  

Aucune d'entre elles ne pouvaient bouger. Elles savaient qu'elles ne pourraient aller nulle part. Elles préféraient attendre. Elles tremblaient légèrement.  

Mais elles n'en pouvaient plus.  

Elles étaient maintenant face à la mort.  

 

Le temps était radieux, et une brise légère faisaient danser leurs cheveux. Il y avait de la poussière, beaucoup de poussière, mais cela importait peu pour elles. Elles auraient aimé dire tant de chose, elles auraient voulu respiré une fois de plus, mais aujourd'hui, c'était les mains attachées dans leur dos qu'elles attendaient.  

Elles étaient maintenant face à la mort.  

 

Elles entendaient le vent, des toussotements, puis un vautour roder au dessus de la maison.  

Mais elles s'en fichaient. Elles n'étaient plus tout à fait seules. Mais elles ne pouvaient plus bouger. C'était l'heure de leur éxécution. Elles entendirent des pas puis plus rien. Elles savaient qu'il y avait plusieurs personnes face à elles, et elles n'avaient pas besoin de lever les yeux pour deviner qui c'était.  

Elles étaient maintenant face à la mort.  

 

Le regard dans le vide, elles espéraient encore. Elles voulaient pleurer, se regarder encore une fois. Mais rien. Elles restaient immobiles mais droites.  

 

Puis, elles entendirent les lourds pas d'un homme qu'elles avaient déjà vu.  

La personne était barbue, de grande taille, et avait une forte corpulence. Il portait un uniforme de militaire du pays.  

Il remit sa casquette, prit son cigare et l'alluma. Il marchait un moment et s'arrêta.  

Une, deux boufées. Il retira son cigare.  

 

Il y avait trois autres hommes alignés portant leur fusil. Ils étaient eux aussi vétus d'un uniforme militaire.  

 

- Chargez vos armes!  

Les trois soldats obtempérèrent.  

Ils étaient à cinq mètres des femmes qui se tenaient contre le mur.  

 

Kaori leva les yeux vers ces fusils. Elle voulait pleurer, crier. Mais il était dèjà trop tard. Elle tourna alors sa tête vers sa voisine.  

- Miki... dit-elle d'une voix presque inaudible.  

 

Celle-ci la regarda tendrement, signe qu'elle ne regrettait rien.  

Elles connaissaient les risques de cette mission, et n'avaient reculé devant rien pour la réussir.  

Et elles l'ont réussi.  

Aujourd'hui, elles s'étaient faites attraper et payaient le prix de leur réussite, même si ce n'était pas comme ça qu'elles imaginaient la fin.  

Miki tourna lentement la tête vers la femme qui était à côté d'elle. Celle-ci avait la tête baissée. Elle semblait prononcer une prière.  

 

- Nous sommes...désolées Maeva...  

- Vous avez réussi les filles. Merci... dit Maeva le sourire aux lèvres.  

- Nous avons réussi Maeva. Dit Kaori.  

Elles s'échangèrent toutes les trois un triste sourire.  

 

Les trois femmes regardèrent ces quatre hommes. Elles n'avaient pas peur. Elles n'avaient plus peur.  

Elles ne tremblaient même plus.  

 

L'homme au cigare se redressa.  

- EN JOUT!  

Les soldats obéirent et braquèrent leur fusils sur ces trois femmes qui étaient condamnées.  

 

Kaori inspira. Miki se tenait droite comme un pic. Le visage de Maeva n'avait aucune trace de quelconque émotion.  

 

" Ryô...j'ai bien peur qu'il soit trop tard maintenant... MAis j'espère que tu seras fière de moi...de nous..."  

Par reflexe, les trois femmes avaient fermé les yeux.  

 

- FEU!  

 

On entendit alors trois coups de feu.  

 

Kaori eut alors une drôle de sensation...  

 

 

 

 

 

Chapitre 2: Il y 77 jours... 

 


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