Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prose

 

Auteur: jermenes

Beta-reader(s): Libellule

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 4 chapitres

Publiée: 07-04-05

Mise à jour: 22-12-06

 

Commentaires: 43 reviews

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HumourRomance

 

Résumé: Un nouveau client un peu spécial pour City Hunter.Cette fois-ci, ce n'est pas Kaori qui aura le plus besoin d'utiliser la massue ^_^.

 

Disclaimer: Les personnages de "La victime est si belle, et le crime est si gai (ou gay?)" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: La victime est si belle, et le crime est si gai (ou gay?)

 

Chapitre 4 :: Le retours de Patrick

Publiée: 22-12-06 - Mise à jour: 22-12-06

Commentaires: Bonjour tout le monde !^^ Me voili-voilou (comme le dirais si bien Ned Flanders lol) avec la suite des aventures de Patrick et Ryô, je vais un peu vous décevoir….car et oui leur rencontre n’est pas encore pour ce chapitre mais pour le suivant ! Mais cela ne veut pas dire que ce chapitre est vide lol (enfin je l’espère O_O). Merci infiniment pour tous vos commentaires ! C’est vraiment un cadeau que vous me faites tous ! c’est parfois si difficil de savoir si ce que l’on écrit à un sens ou si les « gags » que l’on décrits sont un petit peu drôle. Meric pour toutes vos remarques et vos encouragement ! ça me donne plein d’énergie pour continuer l’histoire ! Je devais poster ce chapitre bien plus tôt mais j’avais quelques problèmes (pour ne pas dire bcp X_X) pour, ne fut-ce que me connecter sur le site. (et je crois que je n’étais pas la seule dans ce cas, sniff). Enfin, me voilà pour la suite. Et je n’oublie pas de REMERCIER avec un enorme MERCI Libellule pour toutes ses corrections et sa gentillesse ! Gros bisous à toi et à vous tous ! Et Joyeux Noël ! Bonne lecture ! KNOCUS

 


Chapitre: 1 2 3 4


 

Le temps s’était écoulé rapidement. Kaori et Patrick se trouvaient désormais devant la porte de l’appartement de City Hunter.  

 

-Immeuble sobre mais agréable. J’imagine que l’appartement doit être cosy, s’enthousiasma Patrick avec un beau sourire.  

 

-Euh….oui… « Quand Ryô ne s’évertue pas à tout jeter en l’air dans tous les sens », s’inquiétait la jeune femme en introduisant sa clé dans la serrure. « Pourvu qu’il se soit bien tenu…..et qu’il ait mis un slip…. »  

 

Le verrou céda et permit au couple de faire son entrée. Les lieux étaient étrangement calmes, pas un seul bruit n’émanait de la pièce, seul une pile de journaux entassés contrastait avec le reste de l’endroit.  

 

Patrick fut le premier à s’avancer, scrutant avec une attention toute particulière les moindres recoins. Il explorait chaque courbe des meubles, jugeait de l’harmonie des couleurs murales et du papier peint, de la pertinence avec laquelle un bibelot occupait un endroit défini….  

 

-Je sais que je ne suis pas une experte en intérieur, mais j’avoue être assez contente de ce que je suis arrivée à faire avec cet appartement ! Si tu pouvais imaginer à quoi il ressemblait avant mon arrivée, tu en aurais des cauchemars, dit Kaori en rompant le silence de sa voix fluette.  

Elle n’était pas à son aise, redoutant l’œil critique de Patrick sur son lieu de vie. C’est vrai qu’elle aurait largement pu mieux faire mais les 24 heures qui rythmaient une journée ne lui étaient pas suffisantes pour aménager son logement et s’occuper de sa tornade de partenaire.  

« J’aurais moins de travail avec un chien, trois chats, deux bébés et un kangourou », se lamenta-t-elle.  

 

-Ah mais non chou ! Moi j’adooooore ce que tu as fait ! C’est tellement…..comment dire….on trouve une base très virile, très mâle, et puis une touche toute délicate. Remarquable travail ! Qu’on soit un homme ou une femme, on s’y sent bien.  

 

-Oh…..ben ….euh merci Pat ! répondit une Kaori pivoine jusqu’aux oreilles.  

 

-Il n’y a qu’un seul détail qui cloche à mon avis….  

 

-Ah ? Et lequel ? s’enquit-elle.  

 

-Pourquoi tant de revues pornos masculines ??? Il me semblait que tu m’avais dit que ton coéquipier n’acceptait que principalement des affaires impliquant des femmes…  

 

-Euh…..oui, l’interrompit Kaori. Mais ces revues ne sont pas pour les clients, …elles sont toutes à Ryô….osa-t-elle lâcher la tête courbée de honte.  

 

-Hummm et bien dites donc, si la « bête » est proportionnée à son insatiabilité ça risque de promettre ! Huhuhuh.  

 

-« La bête » ??? De quelle « bête » parles-tu Pat ? demanda Kaori qui n’avait pas saisi l’allusion.  

 

-Oh, rien d’important, je discutais avec moi-même, sortit Patrick en se penchant pour saisir une des revues coquines. Il y a certaines choses que je vais dev…  

 

A peine avait-il soulevé le bout du magazine qu’un visage familier fit son apparition. L’augmentation de la luminosité fit s’éveiller l’Américain qui tomba nez à nez avec Pat.  

 

-Bonjour mon petit chou à la crème, fit ce dernier en lui apposant un tendre baiser sur le front.  

 

-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAhhhhhhhhhhhhhhhhh ! !!!! AU SECOURS ! AU VIOL ! AU VIOL ! Hurla-t-il comme une autruche en courant comme un sprinter à travers l’appartement, renversant tout sur son passage.  

 

-Pffff tant de cinéma pour un simple petit bisou, ajouta Patrick en secouant légèrement le haut de la tête.  

 

-MICK ! STOP ! TU VAS TOUT CASSER ! Hurla encore plus fort Kaori en l’agrippant par la veste pour le freiner dans sa course folle.  

 

Ils firent quelques tours tous les deux ainsi accrochés, ne cessant de hurler à tue-tête comme des animaux enragés, jusqu'à ce que Mick se décide enfin à ralentir la cadence et à se calmer. On aurait pu les confondre avec un convoi de chiens de traîneau tellement la scène était burlesque !  

 

-Regarde la pagaille que tu as mise ! rugit Kaori devant la décharge qui s’étalait sous ses yeux.  

 

-Tu n’as qu’à t’en prendre à l’autre fou qui ne peut pas s’empêcher de lécher tout ce qu’il voit !  

 

Patrick releva la réclamation en envoyant un baiser imaginaire au protestataire.  

 

-Regarde, il recommence ! gémit Mick.  

 

-Arrête de faire l’enfant ! Tu ne vas pas mourir pour un petit bisou de rien du tout ! continua Kaori sur un ton de plus en plus excédé. Et puis où est encore passé Ryô ?  

 

-Il est parti faire une course, répondit courageusement l’Américain.  

 

-Ouais, ça ne m’étonne qu’à moitié, il a encore et toujours déserté la maison quand il est censé être là ! Bon, mais tu lui as parlé au moins ? Il est d’accord ?  

 

-Oui, oui tout est arrangé, Ryô accepte de prendre ton client.  

Mais où était-il justement ce fameux client ? Mick balaya la pièce d’un regard mais dut se résoudre à constater qu’il n’y avait plus que lui et Kaori. Où est-il ? demanda-t-il sur un ton un peu inquiet.  

 

-Je suuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiis lààààààààà mon tréééésoooooooor ! Sortant de nulle part, tel un fantôme, l’homme absent se retrouva, comme par enchantement, derrière l’Américain et s’attardait à renifler ce dernier sous toutes les coutures.  

 

-Hummm toi tu es allé aux toilettes mon mignon, fit Patrick l’œil brillant et le nez en alerte.  

 

Mick devint subitement blanc comme un camembert, de grosses gouttes de sueur vinrent lui perler le front puis se déversèrent par gros flux. Un million d’idées les plus folles les unes que les autres lui traversaient l’esprit. « NON !! Il n’a quand même pas pu mettre une caméra pour m'épier le pantalon sur les cuisses !....C’est pas possible, il ne me connaissait pas encore... Ou alors….. » Il se figea brusquement, encore plus pâle qu’auparavant.  

 

-Je….Humglm…Je….c’est…parce que…..je sens le caca ? finit-il par avouer difficilement à l’assemblée.  

 

 

Libellules…..Corbeaux …..Libellules…..Corbeaux…..Libellules….Corbeaux…..Libellules…  

 

 

L’appartement ressemblait maintenant vraiment à une décharge publique : en plus de toutes les affaires renversées, il y avait un nuage de corbeaux et de libellules qui virevoltaient à travers la pièce, ne manquant pas d’asséner à chaque passage de grands coups d’ailes à ses occupants !  

 

Kaori et Patrick étaient à terre, écrasés sous une tonne de plumes noires. Ils finirent par se dégager de leurs prisons.  

 

-MICK ! Tu m’énerves, tu m’énerves…Tiens, voilà pour toi ! cria la jeune femme enragée.  

 

« BANG »  

 

Une massue « spécial crétin du siècle » venait de s’abattre sur le sommet du crâne (et d’ailleurs sur tout ce qui le suit aussi) du malchanceux américain.  

 

-Aife ! Maif fa ffait mal ! C’esft pas de ma fauffe si je fens le cafcaf ! pleunicha-t-il, écrabouillé comme une crêpe bretonne !  

 

-Je constate qu’il est difficile de s’ennuyer avec vous ! interrompit Patrick, tout en époussetant les dernières plumes de son costume.  

 

-Ben, euh... on fait ce qu’on peut, répondit timidement Kaori à nouveau le rouge aux joues, tentant de cacher son énorme massue derrière son dos.  

 

-Bon, j’en ai marre, je retourne chez moi. Ma douce Kasue doit déjà avoir préparé le repas avec ces petites mains…..hummm ces petites mains que j’aime tellement embrasser et….  

 

-Oui, bon ça va ! On ne veut pas savoir ! interjeta Kaori. Tu sais où est la porte, je ne te retiens pas ! ……Pffff je vais encore passer deux heures à ranger tout ce bazar !  

 

La réponse vexa faussement Mick, il fit un demi-tour sur lui tel un chevalier qu’on vient de provoquer en duel et traversa le menton surélevé à outrance la pièce, en direction de la sortie. Mais juste au moment où il allait franchir cette dernière, il se stoppa soudainement sur place et tourna la tête à l’intérieur de l’appartement. Soulevant le bras gauche, il y apposa son nez et le renifla méticuleusement de tout son long, ceci accompli, il réitéra le même manège sur son bras droit.  

 

-Mais je ne sens pas du tout le caca ! dit-il en conclusion de son expérience.  

 

Patrick, à qui la phrase était manifestement destinée, lui répondit dans un premier temps par un large sourire énigmatique.  

 

-Ah mais je n’ai rien dit de tel…..par contre….ce qui me fait penser que tu t’es rendu aux toilettes mon lapinou……..c’est que tu as laissé la cage de ton petit oiseau ouverte ! termina-t-il en fixant ouvertement l’entrejambe de Mick, qui vraiment ne cachait plus grand chose de son anatomie… !  

 

-JE….je …..je ….ADIEU ! Et l’Américain s’éclipsa en une fraction de seconde, rouge de confusion pour la première fois de sa vie de pervers sexuel !  

 

-OUAAHAHAHAHAHAH, c’est trop drôle ! OUAHAHAHAHAH , se tordait Kaori dans des petits tortillement à terre.  

 

 

***************************
 

 

Une heure entière s’était désormais consumée depuis le départ théâtralisé de Mick. Kaori avait rangé entièrement l’appartement, secouru amicalement Patrick qui se faisait une joie de la conseiller sur les différentes possibilités d’aménagement de son intérieur. Elle était stupéfaite de l’aisance de ce dernier pour trouver à chaque fois le petit détail qui change tout. Ainsi, il avait posé ci et là, de petites bougies parfumées ou des fleurs séchées. Le salon était totalement transformé, bien que concrètement, juste une poignée d’objets avait été rajouté, dans l’abstrait il n’était plus du tout le même. La disposition des luminaires posait encore problème selon l’expert, et avec l’accord tacite de la jeune femme, il les disposa suivant son intuition. La pièce était maintenant plus « intime », dégageant une atmosphère d’arrière saison italienne. Tout ceci terminé, Kaori invita Patrick à la suivre à l’étage, pour qu’il puisse enfin découvrir l’endroit où il allait dormir.  

 

À ce même moment un homme entrait dans l’immeuble de City Hunter.  

 

 


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