Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prose

 

Auteur: f-kaorina

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 5 chapitres

Publiée: 21-01-07

Mise à jour: 02-07-07

 

Commentaires: 6 reviews

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General

 

Résumé: Et si notre vie n'était rien qu'un scénario déja écrit que l'on nommerait "Déstin", nous ne serions donc pas libre de nos actes ? Livré à une force supérieure, serions nous assimilable à des pions? Dans ce cas, quel rôle peut bien occuper nos personnages adorés de city hunter....

 

Disclaimer: Les personnages de "lavie, un scénario déja monté ?" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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Chapitre 5 :: prise en otage...

Publiée: 02-07-07 - Mise à jour: 02-07-07

Commentaires: salut, ça fait longtemps!!! lol mais ne vous inquietez pas je retourne en force avec un chapitre que j'éspere va vous plaire ... bah là les chose se serrent et l'histoire va prendre une tournure drôle et imprévue, ce qui va laisser place à un peu d'humour dans les chapitres qui viennent, d'ailleurs ça commence dejà dans ce chapitre...

 


Chapitre: 1 2 3 4 5


 

Ken ramassa quelques affaires et pris la route de Tokyo. Peu importe la réaction de Ryo, qu’ils soient amis ou ennemies, ils se devaient de régler cette affaire ensemble.  

 

A vrai dire, Ken avait un cœur aussi pur que l’était son amour envers Kaori, et aussi puissants ces sentiments soient-ils, sa loyauté et son sens de la justice ne lui permettraient pas de profiter d’une situation si délicate pour aboutir à ses fins.  

 

Ceci dit, il décida et sans réfléchir que Ryo devaient absolument être avisé de la situation actuelle de Kaori.  

 

Il sorti de son cartable un bracelet en or, précieusement brodé il le mis autour de son poignet ;  

 

« Maman, j’espère que ce bracelet me portera bonheur comme tu l’a dit …. »  

Il se rememora ainsi des événements passés quand il était encore au lycée…  

 

FLASH BACK  

 

« Ken, vienne aqui mi amore, tengo que hablarte ! » (Ken, viens là mon amour j’ai à te parler)  

 

« pero, mamà tengo que salir, xavier estas esperandomé ! » (Mais maman, je dois sortir, Xavi m’attends !)  

 

« Xavier puede esperarté, tienne qué décirté algo muy importanté ! (Xavier peut t’attendre, j’ai à te dire quelque chose de très important)  

 

« qué té occuré mamà ? Me da miedo con esta tu seriedad!! » (Qu’est ce qui t’arrive maman ? tu me fais peur avec ce ton si sérieux !!)  

 

« Desde que era pequeño, siempre lo había hecho creer que era mis hijos únicos... pero realmente nunca he tenido el valor de decirte la verdad... antes de que case a tu padre, yo había hecho el conocimiento de un hombre maravilloso... yo inmediatamente supe que él era el que quería en la época a mis lados... él era un estilista talentoso y muy famoso, por mi parte yo so'lo era aún una actriz inicial... se interesaba por mi y eso me dio esperanza... resumidamente, él me pedí al matrimonio y a acceptado después de dos de matrimonio di nacimiento a un muy bonito muchacho: Ron, pero... el y su padre se le murieron en condiciones trágicas... »  

 

(Depuis que tu étais petit, je t’avais toujours fait croire que tu étais mon fils unique…Mais en Réalité je n’ai jamais eu le courage de te dire la vérité…avant que je n’épouse ton père, j’avais fait la connaissance d’un homme merveilleux … j’ai tout de suite su qu’il était celui que je voulais à mes côtés…à l’époque il était un styliste talentueux et très célèbre, quant à moi je n’était encore qu’une actrice débutante…il s’intéressait à moi et ça m’a donné de l’espoir…Bref, il m’a demandé au mariage et j’ai tout de suite accepté…après deux de mariage j’ai donné naissance à un très beau garçon : Ron , Mais …lui et son père sont morts dans des conditions tragiques… )  

 

Elle commença à trembler et les larmes envahirent son joli visage, ken se reprit et alla consoler sa mère dans ses bras puissants.  

 

« Calmaté mamà, soy aqui ahora ... ! »  

(Calme toi maman, je suis là maintenant… !)  

 

« Me los gustaba tanto, y sufrí mucho... yo tengo varias veces intentado suicidarme, pero todas mis tentativas habían fallado. Dios me quería siempre en vida, me decía que no tenía el derecho a decidir mi vida como eso, él y' tiene de la persona que necesitan mi para vivir para nacer, tu y tu padre colmaron todo el vacío que Ron y su padre habían dejado... pero te tengo digo eso porque hace dos días yo recibió una llamada de uno de mis informadores que me dicen que mis hijos Ron están todavía en vida y que está ahora en Japón... todo lo que sé él manteniendo soy que tiene la misma pulsera en oro que te ha ofrecido…  

 

 

(Je les aimais tellement, et j’ai beaucoup souffert… j’ai plusieurs fois essayé de me suicider, mais toutes mes tentatives avaient échoués . Dieu me voulait toujours en vie, il me disait que je n’avais pas le droit de décider de ma vie comme ça, il y’a des personne qui ont besoin de moi pour vivre pour naître, et c’est là que ton père et toi comblèrent tout le vide que Ron et son père avaient laissé…Mais je t’ai dis ça parce qu’il y a deux jours j’ai reçu un appel d’un de mes informateurs me disant que mon fils Ron est toujours en vie et qu’il est maintenant au Japon… tout ce que je sais de lui maintenant c’est qu’il a le même bracelet en or que je t’avait offert …)  

 

Fin du flash back  

 

« hmm… ma pauvre petite maman derrière ses aires de « strong women » elle cache bien des plaies et des blessures elle aussi…peut être que je devrais demander à Ryo de m’aider à retrouver mon frère lui qui à des indics partout, ça ne devrait pas lui être difficile…Mais il refusera sûrement … »  

 

 

 

Dans une vielle maison à Kyoto, deux hommes, parfaitement ligotés étaient attachés l’un à l’autre.  

 

« Oh, putain…on s’est encore fait avoir…quelle furie, je le croyais moins brave que ça…et pourquoi tu me colle au cul toi, c’était bien ton idée… » Hurla l’un d’eux exaspéré par la situation  

 

« Oh mais arrête un peu, figure toi qu’on est attachés l’un à l’autre, autrement je ne serais pas là …en plus je t’avais pas forcé à me suivre tu l’a fais de ton plein grés !!! » riposta l’autre  

 

« oué c’est ça !!! Maintenant ferme là… » S’écria le premier à haute voix  

 

« Fermez –la tout les deux, vous me faîtes mal à la tête les crétins !!! » s’écria la femme devant eux, assise sur un fauteuil entrain de lire un magazine.  

 

« Pff… » Gémit le premier.  

 

« Quoi ?? Je n’ai pas bien entendu !!! Qu’est ce que tu marmonne dans ton coin l’enfoiré au crâne rasé ?? » L’interpella la femme d’un ton grave un peu trop sûre d’elle.  

 

« Rien, je disais juste que j’avais faim… » Répondit-il en essayant d’esquiver  

« la furie »  

 

« Alors c’est ça, tu devrais faire un petit régime, un peu de musculation tu ressemblerait un peu moins à un crétin, crétin !!! » ironisa la femme.  

 

« Par contre, moi chui assez beau gosse pour ne pas ressembler à un crétin, n’est ce pas ma poupée…? » Demanda le second crétin faisant mine de passer pour un beau gosse.  

 

« Peut-être, mais avec des trous dans le crâne et tous les courants d’aire que ça peut engendrer je ne crois pas que tu rapporterai mieux, alors si tu ne veux pas que je transforme ton crâne en terrain de golf avec mon magnum vaut mieux que tu te la ferme !! » le stoppa net la tigresse qui les tenait en otages.  

 

« Qu’est ce que tu va faire de nous ??? » demanda le premier.  

 

« Ben, en principe je devrais demander une rançon mais vu que personne ne voudrait avoir de telles brutes comme vous, vous allez devoir payer votre rançon vous-même !!! » répondit la femme d’un ton froid et sûr  

 

« Comment !!!!!!!!!!! » hurlèrent les deux en même temps.  

 

« Enfin !!! Vous vous êtes mis d’accord sur quelque chose il en était temps les abrutis !! »  

 

Ils rougirent puis tournèrent tous les deux la têtes dans des sens opposés.  

 

« Ce n’est pas ça, mais à vrai dire on est fauchés… »  

 

« Ah bon ?? Ça tombe bien, comme ça vous travaillerez pour moi afin de payer votre rançon !! » Répliqua la femme fière de la tournure que prend la situation.  

 

« Hein ?? » s’écrièrent les deux en même temps  

 

« Pour commencer vous aller me préparer à manger…hum des nouilles …oui commencez aujourd’hui avec des nouilles !! » continua-t-elle.  

 

« Mais on ne sait pas faire ça… » Balbutia le second  

 

« Vous allez apprendre, sinon qu’est ce que vous savez faire ?? Vous faire enlever par une femme ?? Et vous vous faîtes passer pour des yakuzas quelle bande de nulles, vous me dégouttez, j’ai vraiment envie de vomir… » Dit-elle en essayant de les provoquer.  

 

« Pourquoi tu nous traite si cruellement, toi t’as eu la vie en rose, t’as toujours eu un partenaire pour te défendre, nous on devait se battre pour manger tu sais, ça n’as jamais était facile pour nous … » s’écria le second d’une voix nouée  

 

« Crétin !!! Il est où mon putain de partenaire maintenant ?? Hein ?? Répond moi !!! Tu ne trouves rien à dire…dans la vie c’est la loi du plus fort…si vous ne devenez pas plus fort on va vous éclabousser !!! Vous devriez remercier dieu que vous soyez tombé entre mes mains, autrement vous seriez déjà mort !! » Rétorqua-t-elle.  

 

« Oui, oui dieu merci !! » s’empressa de répondre le second.  

 

« Tais-toi !! Comment peux tu la remercier !! Viens on va faire les nouilles !! » lui cracha le premier à la figure.  

 

« Dite ma’m’selle City hunter, vous ne savez pas où est ce qu’on pourrait trouver la recette ?? » continua le second.  

Elle leur jeta un bout de papier et tout en souriant elle leur dit : « je ne suis plus city hunter, appelez moi Kao-chan !!! »  

 

« D’accord Kao-chan » acquiesça le gentil yakusas.  

 

« Pff…pour moi vous êtes ‘la tigressa` !! » s’empressa de répondre l’homme au crâne rasé  

 

« Quoi ???? » cria Kao-chan.  

 

« Hum… » Gémit-il en signe de désaccord !  

 

« Bon moi c’est yujiro, et lui c’est…dodoko !! »  

 

« J’attend mes nouilles secouez vous, j’ai pas besoin de connaître vos noms pour manger les nouilles !!! »  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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