Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prose

 

Auteur: thalia

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 49 chapitres

Publiée: 12-01-09

Mise à jour: 07-06-21

 

Commentaires: 110 reviews

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ActionRomance

 

Résumé: Bon me revoilà après une très longue absence sur le site et aussi en écriture alors ne soyez pas trop méchants :) Je me lance sur une fic alternative sur ce que j'aurais voulu qu'il se passe à la fin de la série. Différente de ma 1ère : "Et si on arrêtait le temps" (un peu de pub pour ceux qui ne l'ont pas lu:) je vais essayer de faire dans l'action. Bonne lecture et dites moi ce que vous en pensez :)

 

Disclaimer: Les personnages de "Le retour de City Hunter" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Le retour de City Hunter

 

Chapitre 34 :: A ta poursuite

Publiée: 20-02-21 - Mise à jour: 21-02-21

Commentaires: merci Angel ^^ ou que tu lises les chapitres ^^

 


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-Grenades !  

 

Ranza grogna et se mit à couvert.  

L’armée colombienne avait fini par les retrouver et elle s’était fait prendre comme une débutante. Elle rageait intérieurement de cette situation. Cet ennemi n’était pas celui qu’elle attendait.  

Plusieurs de ses hommes étaient tombés sous les balles avec l’effet de surprise. Maintenant, ils étaient retranchés sur le haut du camp et faisaient face à l’armée.  

 

-Tirez ! hurla-t-elle en voyant quelques soldats s’avançaient vers eux.  

 

Elle en fit de même et en toucha plusieurs. Puis, elle se déplaça vers la réserve où se trouvait la drogue. Stratégiquement, ils étaient mal placé mais elle avait la marchandise à protéger car elle en était certaine, l’armée était venue pour la leur voler.  

Jetant un œil vers sa tente, elle vit la femme, qui s’occupait de Ai, regarder à l’extérieur, elle lui fit signe de rentrer se cacher. L’enfant était aussi précieuse que la drogue et elle devait la protéger.  

Elle attrapa plusieurs grenades et elle les envoya vers les soldats pour les éloigner.  

Le chaos régnait en maitre à cet instant, mêlant explosions, tirs et cris.  

La mercenaire regarda autour d’elle et comprit que des choix seraient à faire rapidement. Elle retourna dans la tente et prit le plus de munitions possible pour son arme et des grenades et armes de poing légères. Elle soupira mais se résigna à faire disparaitre la drogue. Ranza cria des ordres aux hommes et s’éloigna rapidement en courant, rentrant sous sa tente avec fracas.  

La colombienne présente avec Ai et la petite fille hurlèrent avant de la reconnaitre.  

 

-Pars dans la forêt, enfuis-toi, ordonna la jeune femme à la colombienne en espagnol.  

 

Puis, elle attrapa rapidement la main de l’enfant et la traina dehors.  

En se retournant, elle jeta une grenade dans la réserve alors que des soldats en approchaient. Cette dernière provoqua une explosion en chaine en faisant sauter les autres munitions présentes et propagea un immense nuage de poudre.  

Elle souleva le t-shirt d’Ai et lui plaqua sur la bouche.  

 

-Ne respire pas ! cria-t-elle en japonais.  

 

Puis, elle attrapa la petite fille pour l’emporter plus rapidement dans les bras, fonçant dans l’épaisse forêt.  

 

 

 

 

Kaori tremblait de tous ses membres. Elle regardait la fumée qui résultait d’un effroyable bruit quelques minutes avant.  

Elle agrippa la manche du t-shirt de Mick qui se trouvait devant elle et elle ravala les sanglots qui ne demandaient qu’à sortir. A cet instant, toutes ses pensées allaient vers sa fille et cette explosion n’était pas un bon signe.  

L’américain se retourna et lui sourit pour lui donner du courage mais il voyait bien que son amie était désemparée.  

 

-Poussière d’ange…murmura Ryô, sans plus se préoccuper de sa femme. Mettez un tissu sous le nez ! On va contourner le camp pour éviter le nuage. Par contre, on tire sur tout ce qui se présente devant nous !  

 

Le groupe se déplaça rapidement, arrivant enfin vers les premières tentes à la lisière du camp.  

La japonaise regarda autour d’elle et vit un vrai champ de bataille comme elle avait pu le voir à la télévision. Des corps partout et des blessés hurlant leur douleur. Malgré l’attaque surprise et leur nombre, l’armée avait subi de gros dommages. Les mercenaires étaient bien armés et redoutables.  

Pourtant, les yeux aguerris de son époux, eux, faisaient la différence et les deux camps n’avaient pas été épargnés.  

 

-On se sépare pour retrouver Ai, continua Falcon. Je pars avec Kaori.  

 

Ne lui laissant pas le choix, le géant attrapa la rouquine et l’entraina avec lui plus au nord du camp. Mick et Ryô partirent, eux, vers le lieu de l’explosion.  

 

 

 

 

 

Marco rampait pour éviter les balles. Son cœur battait si fort qu’il n’entendait rien d’autre.  

Il n’était pas un guerrier, il ne l’avait jamais été même s’il avait appris à se servir, un peu, d’armes.  

Il ne voulait pas mourir, pas comme ça et pas ici. Il voulait fuir le plus loin possible, sans se retourner et retrouver les siens sans plus attendre.  

Son regard balaya la zone rapidement et il vit une brèche sur sa droite. Aidé par l’adrénaline, il se leva et partit en courant dans cette direction. Il n’avait jamais couru si vite de toute sa vie et quand il réussit à atteindre la forêt plus dense il put enfin se remettre à respirer normalement. Son esprit tournait à la vitesse du vent et regardant enfin en arrière, il vit de la fumée noire s’élever dans les airs. Il avait bien eu l’impression d’entendre une explosion mais trop occupé à fuir, il ne s’en était pas préoccupé.  

Il se laissa tomber au pied d’un arbre et se mit à rire bêtement. Il était vivant. Vivant et en un seul morceau, jamais il n’y aurait cru.  

De longues minutes se passèrent avant qu’il ne perçoive du mouvement vers sa gauche et il se mit à couvert derrière une fougère épaisse. Essayant de calmer sa respiration et les battements de son cœur, il jeta quand même un œil et finit par apercevoir une silhouette. Il dû plisser les yeux pour reconnaitre Ranza portant la petite fille prisonnière dans ses bras. Il les suivit des yeux jusqu’à leur disparition derrière les arbres.  

Il hésita un bref instant mais partit dans la même direction sans trop savoir pourquoi.  

 

 

 

 

Kaori peinait à suivre le géant. Elle focalisa son esprit sur le danger immédiat et oublia son but ultime pour me pas agir comme une mère mais comme une nettoyeuse.  

Reprenant de l’aplomb, elle accéléra son rythme et se concentra, prenant un visage impassible.  

 

Falcon sourit légèrement en sentant l’aura de sa partenaire de fortune. En l’espace de dix minutes, elle était passée par tous les états et elle arrivait enfin à se stabiliser.  

Il n’avait pas réfléchit quand il l’avait empoigné pour qu’elle parte avec lui mais inconsciemment, il savait que si elle était restée avec Ryô, elle n’aurait pas tenu le choc. Elle avait besoin d’agir professionnellement pour le bien de tous. Surtout que la situation paraissait encore plus critique que prévue.  

Retrouver Ai se compliquait avec l’armée dans les parages et le chaos de l’attaque. Lui-même espérait se tromper mais son pressentiment était fort et il devait préparer son amie au pire.  

Lui indiquant du mouvement devant eux, ils mirent à couverts derrière une tente et observèrent la scène. Une partie des soldats, encore en vie, rebroussaient chemin alors que trois autres filaient dans la direction de Ryô et Mick.  

 

-On coupa par-là, enchaina le mercenaire en y allant sans attendre.  

 

Kaori partit à sa suite et inconsciemment s’imprégna du lieu. Sa petite fille avait vécue ici de longues journées et elle ne pouvait pas en faire abstraction.  

Prise dans ses pensées, elle sentit juste Falcon la tirer vers lui alors qu’une balle percuta l’arbre qui se trouvait derrière elle.  

 

-Concentre-toi ! grogna le géant en reprenant sa marche rapide.  

 

Le cœur de la jeune femme se mit à battre fortement, elle était passée près de la mort cette fois. Elle devait réagir et se reconnecter. Elle fit de nouveau le vide dans son esprit et dégaina son arme pour tirer contre un soldat qui les mettait en joue. L’arme de ce dernier vola et surpris, il ne put contrer le coup de Falcon qui l’assomma.  

 

-Je préfère ça…lui dit-il en se tournant vers Kaori. On continue.  

 

La rouquine acquiesça et le duo avança rapidement en éliminant les obstacles.  

 

 

 

 

 

Mick regarda le dos de Ryô s’éloigner.  

L’aura du nettoyeur était d’une telle noirceur que même lui en avaient des frissons. Impossible de ne pas comprendre son état d’esprit mais l’américain avait peur que ça lui joue des tours.  

Les ennemis tombaient comme des mouches à leur passage. Il n’avait même eu à tirer une seule fois que le japonais les éliminait de sa main. En plus, le rythme de marche était plus que rapide et malgré sa condition physique, il peinait à le suivre.  

Regardant en arrière, il se demanda comme cela se passait pour Kaori. Il avait été étonné que Falcon sépare le couple mais à la non réaction de son acolyte, il comprit le choix du mercenaire. Il était clair pour Ryô que s’il n’avait qu’une mission à accomplir, c’était celle de retrouver sa fille.  

Mick accéléra son pas et le rattrapa au moment d’arriver sur le lieu vraisemblable de l’explosion. Les effluves de l’Angel Dust lui piquèrent le nez et il toussota en fronçant les sourcils. Il se rappela de mauvais souvenirs et se crispa. Il respira par à coup, sentant malgré tout sa tête légèrement lui tourner.  

Entendant une brindille craquée, il lança sans attendre un couteau dans la direction du bruit, épinglant un mercenaire, qui le regardait sans comprendre qui il était. Seul blond comme les blés dans le paysage, l’américain détonnait quelque peu. Profitant de l’effet de surprise, il s’avança vers lui et lui posa quelques questions.  

 

-Où est ta chef ? Et l’enfant ?  

 

Le mercenaire ne répondit rien mais fixa au loin une tente. Mick l’assomma avec le tranchant de sa main et récupéra son arme avant de repartir vers Ryô.  

 

-Ici ! lui cria-t-il en le voyant inspecter les restes en feu.  

 

Les deux rentrèrent sous la tente et ne virent personne. Par contre, un grognement s’éleva dans l’air. Le nettoyeur en s’avançant vers le lit de camp du fond, retrouva, sur les couvertures, le nounours d’Ai. Il le regarda longuement avant de le prendre comme si son contact risquait de le bruler. La voix de Mick le fit légèrement sursauter.  

 

-Elle était là… il y a des affaires d’enfant et… sa voix mourut en apercevant la scène qu’il avait sous les yeux.  

 

L’homme brun tenait un nounours dans ses mains, le regard dans le vide. Les yeux brillaient fortement, comme si les larmes ne demandaient qu’à sortir. Lui, qui jusqu’à présent n’avait plus d’expression sur le visage, abordait un masque de tristesse. La pâleur de son teint faisait ressortir ses cernes d’épuisement et une barre d’inquiétude apparut sur le front sale du nettoyeur.  

Mick resta figé devant ce spectacle si rare. Ryô n’était pas l’homme à se laisser surprendre par ses émotions devant les autres. Mais parallèlement, l’éloignement de sa femme devait y jouer. Lui, qui était le soutient du couple depuis leur atterrissage sur ces terres, se laissait enfin submerger par son désœuvrement. Toucher du doigt son but mais ne pas l’atteindre, devenait frustrant. Ai était là encore peu de temps avant leur arrivée.  

Voulant le laisser prendre ces quelques minutes, l’ancien nettoyeur ressortit de la tente pour suivre la piste de la petite fille.  

 

 

 

 

 

L’esprit de Ryô était tourbillonnant. Passant par toutes les émotions, allant de la colère noire à la tristesse absolue. Le coup de grâce arriva avec la découverte de « nounours ». Il n’arriva pas à contrôler le flux de souvenirs qui l’envahissait.  

 

Le ventre rond de Kaori l’intriguait beaucoup. Les semaines passaient mais la transformation du corps de sa femme était ce qui l’émerveillait le plus. De dos, cette dernière n’avait absolument pas changé. Pas un gramme mal placé en plus. Mais de face, la future mère était si différente.  

Elle entamait son sixième mois et en l’espace de trois petites semaines, sa silhouette avait été métamorphosée. Kaori était passée d’un petit bidon qui pouvait se dissimuler derrière un pull ample à un joli ventre bien rond qu’aucun vêtement ne pouvait cacher.  

Le nettoyeur avait encore du mal à comprendre ce changement radical, se demandant si elle n’avait pas mal alors qu’il passait sa main sur sa peau tendue.  

 

-Tu es sure ? insista-il.  

- Mais oui ! Je n’ai pas mal au ventre Ryô ! Le corps humain est fait ainsi ! J’ai plus mal au dos avec le poids, c’est tout.  

 

La jeune femme s’esclaffa de rire devant la mine dubitative de son mari.  

 

-Mais ta peau semble tellement tirée…attends…  

 

La main de Ryô partit sur l’ensemble du ventre et le caressa doucement.  

Des nombreux frissons parcoururent Kaori et elle arrêta sa main avec la sienne.  

 

-Là, tu provoques une autre tension, lui susurra-t-elle avec un regard plein de passion.  

 

Ryô allait lui répondre quand le couple se regarda surpris.  

 

-Elle vient de bouger là, non ? demanda le brun, perdant l’intérêt de l’échange du moment.  

-Oui…le coup était plutôt fort… c’est la première fois qu’elle se fait sentir autant.  

-Regarde…  

 

L’homme entraina la main de sa femme avec la sienne et sourit amusé.  

 

-J’ai l’impression qu’elle suit nos mains !  

-Oui moi aussi !  

 

Le couple se regarda, à nouveau, amoureusement. Kaori posa sa tête contre l’épaule de son compagnon et ferma les yeux. Plus aucun mot ne fut prononcé et ils restèrent dans leur bulle de sérénité.  

 

 

 

-Suis là !  

 

La voix de Ryô ne trouva pas d’écho. Étonné, il monta directement à l’étage et se dirigea vers leur chambre. La trouvant vide, il alla vers la chambre d’enfant fraichement finie de la veille.  

 

-Suis rentré, dit-il en apercevant Kaori faisant face au lit à barreaux.  

 

Ne la voyant pas réagir, il s’inquiéta et s’avança vers elle. Il l’enlaça par derrière et l’embrassa dans le cou, la faisant sursauter.  

 

-Tu vas bien ?  

 

Le ton de sa voix fit reprendre pied à la jeune femme. Elle lui répondit d’un sourire et lui montra le petit nounours brun qu’elle tenait dans ses mains.  

 

-Oui, désolée…j’étais perdue dans mes pensées.  

-Lointaines, on dirait.  

-Hum, oui en effet.  

-Tu veux en parler ? demanda Ryô tendrement, sentant une certaine tension dans la voix de sa femme.  

 

Kaori se retourna et enlaça maladroitement son homme, son gros ventre de 8 mois de grossesse l’handicapant.  

 

-Cette peluche est un cadeau précieux… C’était resté très vague pendant des années mais en la retrouvant, j’ai eu un flash.  

 

Lui laissant le temps de poursuivre, il l’emmena vers le fauteuil qu’ils avaient prévu pour nourrir la petite la nuit. Il l’installa doucement et s’agenouilla près d’elle.  

 

-Mon père, le père d’Hideyuki, me l’a offerte dans j’étais tout petite. Je pense que je devais avoir 2 ou 3 ans. C’est Hide qui me l’avait dit mais je ne m’en souvenais pas…jusqu’à aujourd’hui. Je suis allée le chercher dans mes cartons, j’avais envie que notre fille l’ait. Et en le récupérant, j’ai eu des images, plus ou moins nettes. Je me revois attraper ce nounours et le serrer très fort contre moi et j’entends des rires…j’ai des sensations…comme des câlins et de la chaleur…  

 

La voix de Kaori se brisa et de faibles sanglots sortirent.  

 

-Foutues hormones ! marmonna-t-elle.  

 

Loin de se moquer d’elle, Ryô la caressa tendrement pour l’apaiser. Ils restèrent, ainsi, l’un près de l’autre, le temps que la future mère reprenne ses esprits.  

 

-Je suis sûr que notre enfant va adorer ce nounours, finit par dire l’homme. C’est un très beau cadeau.  

 

Kaori acquiesça et lui répondit d’un sourire.  

Les futurs parents étaient bien loin de s’imaginer à ce moment-là que leur petit Ai ferait de ce présent, son doudou favori. Ne pouvant s’en passer même quelques minutes.  

 

 

A cette pensée, Ryô reprit conscience dans cette réalité et leva la tête. Sa princesse n’avait plus son doudou et elle devait être dans tous ses états. Une rage sourde et profonde s’insinua en lui et il quitta la tente d’un pas décidé, la peluche dans la main.  

 

 

 

 

 

Elle se mit à pleurer et commença à la taper de ses petits poings. La mercenaire s’arrêta et la posa, sans aucune délicatesse, au sol.  

 

-Vas-tu te taire ! Si tu nous fais repérer, je te tues !  

 

Ai se remit à pleurer de plus belle et se recroquevilla sur elle-même. Ranza fulminait. Elle regarda autour d’elle et étudia les environs. Personne ne les avait suivies et elle avait parcouru déjà une belle distance depuis le camp. Elle concéda quelques minutes à l’enfant pour se reposer à son tour.  

Se concentrant comme elle le faisait dans son jeune temps, elle analysait les lieux rapidement. L’armée n’était pas encore à ses trousses et les tirs étaient plus épars. Puis, elle aperçut au loin quelques mercenaires s’enfuyant. Elle grogna, à nouveau, voyant qu’elle perdait ses alliés. Seule une ombre se détacha. Elle hésita puis, attrapa à nouveau l’enfant pour continuer sa route.  

Son avantage, elle connaissait les lieux pour les avoir étudiés à la perfection, son inconvénient, elle était seule avec peu de munitions. Se penchant pour arracher de la mousse, elle la désintégra contre le tronc d’un arbre. Sans en être informé, cette marque passait inaperçu. Mais pour ceux qui avaient le code, elle serait précieuse s’ils venaient dans cette direction.  

Vérifiant qu’elle avait son ultime arme dans sa poche, elle reprit sa marche rapide dans la jungle colombienne. 

 


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