Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prose

 

Auteur: thalia

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 49 chapitres

Publiée: 12-01-09

Mise à jour: 07-06-21

 

Commentaires: 110 reviews

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ActionRomance

 

Résumé: Bon me revoilà après une très longue absence sur le site et aussi en écriture alors ne soyez pas trop méchants :) Je me lance sur une fic alternative sur ce que j'aurais voulu qu'il se passe à la fin de la série. Différente de ma 1ère : "Et si on arrêtait le temps" (un peu de pub pour ceux qui ne l'ont pas lu:) je vais essayer de faire dans l'action. Bonne lecture et dites moi ce que vous en pensez :)

 

Disclaimer: Les personnages de "Le retour de City Hunter" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Le retour de City Hunter

 

Chapitre 36 :: Du bout des doigts

Publiée: 06-03-21 - Mise à jour: 06-03-21

Commentaires: enjoy !

 


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Elle courrait vite, si vite qu’elle en avait mal aux pieds. Son cœur battait trop fort, trop vite, trop seul. Elle se refusait de penser au pire et de laisser ses larmes coulaient. Ils n’avaient pas fait tout ça pour finir par un drame, elle ne pouvait pas le concevoir.  

Elle n’avait aucune visibilité mais elle avançait toujours droit devant elle, encore plus vite, le souffle court. Elle jouait sa vie, elle jouait son avenir, leur avenir.  

Les bruits s’interrompaient, la déstabilisant, à chaque fois, pour qu’elle recherche le lieu du combat. Les tirs, derrière elle, lui faisaient froid dans le dos mais elle ne pouvait plus intervenir, elle avait choisi.  

Sa respiration saccadée, lui faisait mal et sa gorge était si sèche qu’elle l’irritait. Mais elle ne pensait plus à elle, elle avait déconnecté son esprit de son propre corps pour n’avoir qu’une pensée.  

Sa fille et son mari, c’était ses seuls objectifs et c’était son ultime but.  

 

 

 

 

Falcon était aux prises avec l’armée colombienne. Une dizaine de soldats au bas mot mais qui contrairement à ce qu’il avait pensé, lui donnaient du fil à retordre.  

Après avoir dit à Kaori de s’éloigner pour rejoindre Mick et Ryô, il les avait entrainés à l’opposé de leur direction, histoire de gagner du temps.  

Mais il avait compris à leur façon d’agir que l’explosion dans le camp avait projeté assez de poussière d’ange pour que certains hommes soient contaminés. Leur réactions étaient, en effet, trop inhabituelles pour des soldats et le mercenaire se rendit compte que ces hommes, eux-mêmes, ne maitrisaient pas plus la situation.  

Le géant n’avait pas peur pour lui, il en avait vu d’autres mais il s’inquiétait pour la « petite » comme il aimait l’appeler affectueusement surtout maintenant qu’il avait senti l’aura si sombre de l’homme qu’elle avait épousé. Il aurait voulu la garder près de lui mais il ne voulait pas risquer qu’elle ne se blesse sans qu’il ne puisse intervenir. Le choix avait été périlleux mais entre la peste et le cholera…  

Le mercenaire grogna en sentant une décharge dans sa jambe et se mit à couvert derrière un arbre. Une flèche s’était logée dans son mollet et il la retira sans cérémonie. Ces soldats seraient-ils plus malins qu’il ne l’aurait imaginé ? Cette réflexion le fit tout de même sourire et il attrapa son fusil d’assaut pour commencer son ménage.  

Quelques hommes tombèrent sans se relever mais d’autres malgré leur blessure, repartaient à l’attaque comme si de rien n’était.  

Falcon comprit qu’il devait changer de stratégie et il reprit sa course vers l’entrée du camp.  

 

 

 

 

 

Mick avait suivi le début de la piste qui s’enfonçait dans la forêt. Au vu de la profondeur des traces, la personne transportait quelque chose ou quelqu’un de lourd. Il pria pour que ça soit sa filleule et rebroussa chemin pour aller chercher Ryô.  

Quand il croisa son ami, il n’eut même pas le temps de lui parler, l’aura dévastatrice de ce dernier ne l’avait pas laissé faire. Il n’avait pût que lui indiquer de la main, la direction qui lui semblait la bonne.  

Déstabilisé, il avait fallu quelques minutes à l’américain pour reprendre le contrôle de lui-même et suivre son acolyte. Poursuite qu’il avait malheureusement dû interrompre en entendant des cris derrière lui.  

Quand il se retourna, trois mercenaires lui faisaient face, un sourire mauvais sur le visage. Mick n’avait pas eu pas de doute, le PCP coulait dans leurs veines.  

Il soupira en pensant à la situation, le voilà, seul, face à trois brutes boostaient à bloc.  

Il jeta un dernier regard en arrière et comprit que Ryô ne lui serait d’aucun secours.  

Il devait être plus malin faute d’être plus fort et il rentra dans la tente qui avait dû abriter de la vie peu de temps avant.  

Regardant autour de lui, il trouva des couteaux et une arme automatique.  

Les premières balles sifflèrent à ses oreilles et il s’extirpa de sa prison en ouvrant le pan arrière avec le couteau.  

Courant vers les fougères en bordure du camp, il commença le jeu du chat et des souris. Entendant les pas qui le pourchassaient, il se mit quand même à sourire. Ses instincts de chasseur refirent surface et il s’appuya contre un arbre pour tirer à l’arme automatique. Le bruit fut assourdissant mais efficace, allongeant le premier mercenaire le plus proche de lui. Satisfait, il reprit sa course dans la jungle.  

 

 

 

 

Les échanges de balles étaient encore plus proches de lui. Il hésita à continuer dans cette direction mais son corps n’avait pas l’air de lui obéir. Il regarda devant lui, la silhouette de la femme était lointaine mais encore visible et il ne la lâcherait pas.  

Marchant d’un pas incertain, il s’appuya contre un tronc pour reprendre son souffle quand il entendit des pas rapides arriver dans sa direction. Le colombien paniqua et quitta son but des yeux pour se cacher dans les hautes fougères. Les voix qui lui parvenaient lui étaient connues et il leva la tête pour voir deux anciens alliés s’approcher.  

 

-Marco ? Qu’est-ce que tu fous ici ? gronda la première voix.  

 

Reprenant un peu d’assurance, le mercenaire se redressa entièrement.  

 

-Je soutiens notre chef ! Elle est partit par-là !  

-J’ai vu le code sur l’arbre plus bas, on suit aussi sa trace… tu ne nous seras pas très utile, reste en arrière !  

-Ok, Tiago, je reste derrière toi et Emilio.  

 

Les deux hommes ricanèrent et continuèrent leur route sans plus se soucier de Marco. Il savait que les autres n’avaient pas très bonne opinion de lui mais finalement dans cette situation, cela l’arrangeait pas mal.  

Il attendit qu’ils fassent plusieurs mètres et il reprit sa quête en les suivant à distance. Il ne comprenait toujours pas pourquoi il ne partait pas dans le sens opposé, loin de toute cette merde, mais quelque chose le poussait à continuer sans comprendre vraiment le sens. Comme si ses jambes avaient plus de raison que sa tête ou comme si on lui soufflait qu’il aurait enfin une utilité dans sa petite vie.  

 

 

 

 

Ranza s’arrêta et sonda les environs. On la suivait, elle en était sûre.  

Elle se posa contre un arbre au tronc assez large pour les dissimuler et elle jeta un regard en arrière rapidement. A cette distance, elle n’arrivait pas à voir ses poursuivant mais leur aura n’avait rien d’effrayant.  

Elle allait s’adressait à la petite fille quand elle se rendit compte qu’à force de pleurs, l’enfant s’était endormie dans ses bras.  

Elle reprit sa route, traversant les fougères et la mousse humide des lieux.  

Elle sentait que l’armée ne la rattraperait pas mais elle préférait prendre encore de l’avance. Surtout qu’elle allait droit vers un lieu de repli.  

Si ses calculs étaient bons, elle n’aurait que deux jours de marche à faire jusqu’au prochain village. Ce qui serait faisable avec l’enfant même sans nourriture. Une cascade se trouvait à mi-chemin et elles pourraient s’y reposer si besoin.  

La mercenaire se demanda un instant ce qu’elle allait faire une fois arriver au village. Reprendre contact avec des mercenaires ou repartir aux Etats-Unis ?  

Cette fois le voyage devrait se faire clandestinement car elle n’aurait pas le soutien de l’allée. Mais elle n’avait pas peur car elle avait connu plus difficile dans sa vie.  

Finalement le changement de vie qu’elle attendait, allait peut-être se concrétiser ainsi. Et elle ne serait pas seule. Son fardeau serait peut-être aussi sa porte de sortie et sa vengeance n’aura pas été veine puisqu’elle causerait tout de même de la souffrance à l’homme qu’elle détestait le plus au monde.  

Bien sûr, elle aurait préférait le tuer de ses mains mais le retrouver sur ces terres, sans alliés, serait du suicide et elle devait se résigner à être plus raisonnable. Finalement, ses plans tombaient à l’eau mais elle n’était pas si perdante que cela. Elle avait une bonne identité en Amérique du Nord qui avait des comptes bien remplis et elle pourrait enfin se poser calmement.  

Elle souleva une mèche brune de la petite fille et sourit de l’ironie de la scène. Elle s’était habituée à elle et avait presque un certain attachement pour la petite japonaise. Celle qui aurait dû être le pion pour finaliser sa vendetta, allait peut-être être ce à quoi elle allait s’accrocher pour vivre.  

 

 

 

 

 

Mètre après mètre, pas après pas, il atteindrait son but.  

S’enfonçant dans la jungle sans se préoccuper de personne, Ryô suivait celle qui lui avait pris son bien le plus précieux.  

Il repéra rapidement les deux mercenaires qui le précédaient mais n’en fit pas cas. Il savait qu’il aurait le dessus même s’ils devaient être sous poussière d’ange. Sa détermination était telle que les obstacles qui se dresseraient devant lui, ne pourraient que plier.  

Son aura, déjà noire et froide, augmenta en intensité en voyant une troisième ombre se détacher à l’horizon.  

Il remercia Falcon d’avoir éloigné Kaori, cela lui permettra d’agir sans retenue et d’être le plus fort.  

Il bifurqua légèrement sur la gauche pour passer inaperçu et sorti la machette pour avancer plus rapidement.  

Sa distance se réduisait et il arriva un peu avant au lieu de rencontre présumé des trois individus. Derrière lui, de multiples tirs se faisaient entendre et il réalisa que sa femme était encore là-bas. Il regarda en arrière puis pesta en évaluant la distance parcourue.  

Son choix s’était porté sur sa fille, il espérait que ses amis joueraient leur rôle auprès de Kaori.  

Ryô reprit sa route, repérant au passage un signe qui lui sembla familier. De la terre fraichement étalée sur le tronc d’un arbre. Il y porta la main et un flash le traversa.  

 

 

-Ryô, aujourd’hui, je vais te donner une astuce.  

 

Le jeune garçon regarda son ainé avec attention, ce qui flatta ce dernier.  

 

-Tu es bien docile, aujourd’hui… Que t’arrive-t-il ?  

-Rien, je suis simplement heureux que ça soit toi qui m’entraine.  

 

Shin regarda intensément l’enfant et lui sourit. Il avait laissé Ryô dans les mains de ses hommes pour qu’il apprenne différentes techniques mais il était vrai qu’il ne l’avait pas entrainé depuis longtemps.  

 

-Bien, alors nous allons en profiter ! Je te disais qu’aujourd’hui, tu vas apprendre des astuces pour survivre dans la jungle.  

-Jacob* n’en a donné déjà pas mal ! rigola Ryô.  

-Bien, alors je n’ai rien à t’enseigner, si tu le prends ainsi. Tu demanderas à Jake* !  

 

Kaibara s’en retourna, laissant Ryô en plan.  

 

-Attends ! Excuse-moi, je veux que tu me montres tes astuces… je vais t’écouter.  

 

Le japonais esquissa un sourire et reprit un visage impassible en se retournant vers son protégé.  

Ils passèrent plus d’une heure ensemble, Kaibara montrant à Ryô pleins de choses à première vue futiles mais qui pouvaient toujours servir malgré tout.  

 

-On va finir par celle-ci, continua Shin. Tu vois cette mousse ? Prend-la.  

 

Le jeune garçon s’exécuta.  

 

-Tu la frottes sur le tronc de cet arbre… plus fort ! Tu dois laisser une empreinte marron avec légèrement du vert de la mousse.  

 

L’homme attrapa à son tour de la mousse et montra à Ryô ce qu’il attendait de lui en faisant une marque au-dessus de la sienne.  

 

-Comme cela !  

-A quoi cela sert-il ?  

-Quand on est séparé des siens, cette marque donne une indication de notre passage. Elle permet aux autres de savoir qu’on est passé par ici.  

-Mais cela se fond dans l’écorce de l’arbre…comment peut-on la voir ? demanda Ryô en étudiant l’environnement.  

 

A bien y regarder, sans avoir fait soi-même la marque, il était difficile d’apercevoir une différence notable sur le tronc.  

 

-L’habitude et le savoir.  

 

Le jeune japonais semblait moqueur dans son regard. Il n’était pas persuadé de l’utilité du truc.  

 

-Si tu le dis !  

-Regarde…insista Shin en s’approchant de sa marque. Vois comme le vert de la mousse détonne avec le reste.  

-Humm…  

-Tu dois apprendre Ryô…le savoir sauve des vies.  

 

 

Les yeux sur la marque qu’il avait devant lui, Ryô reprit pied dans la réalité. Le lien était étroit entre son ennemi d’aujourd’hui et celui d’hier. Kaibara était vraiment le point commun de toute cette histoire. Il avait beau chercher dans ses souvenirs, il ne comprenait pas qui lui en voulait autant.  

Quand il avait quitté l’Amérique centrale pour les Etats-Unis, Ryô avait laissé Shin derrière lui sans regret. Le tuer n’avait été qu’une défense quand ce dernier était venu le retrouver au Japon. Pourquoi son fantôme était-il venu enlever sa fille ? Quel lien y avait-il ?  

Ryô secoua la tête, il n’avait pas le temps de se poser toutes ses questions, il devait avancer et retrouver Ai au plus vite.  

Il accéléra ses pas et se trouva rapidement sur les talons des deux mercenaires.  

N’usant d’aucune stratégie particulière, le nettoyeur passa à l’attaque sans fioritures. Il sauta sur le plus proche pour le couvrir de coups et l’empêcher de réagir.  

Le deuxième mercenaire en profita pour s’éloigner rapidement.  

Ryô continua jusqu’à entendre la mâchoire de son adversaire craquer.  

 

-Je te conseille de renoncer, prononça-t-il froidement avant de partir à la poursuite de l’autre.  

 

Le guérillero ne se releva pas et attendit que le silence s’installe. Puis, il attrapa la fiole qu’il avait dans la poche et la porta à sa bouche.  

 

Le deuxième guérillero, lui, avait déjà pris beaucoup d’avance, ayant pris sa drogue dès l’attaque de son collègue. Il était maintenant pratiquement arrivé à la hauteur de sa chef. Cette dernière le repéra sans peine et l’intercepta avant qu’il ne la dépasse.  

 

-Qui est derrière toi ? L’armée ?  

-Non ! Il n’est pas latino !  

-Comment est-il ? demanda la femme.  

 

L’homme lui fit une description rapide et elle éclata de rire.  

 

-Ainsi, tu m’as retrouvé ! Bien, cela risque d’être drôle.  

 

Ranza réveilla Ai avec son rire et l’enfant se remit à pleurer.  

 

Ryô s’immobilisa.  

Ces pleurs ! Sa fille !  

Il était enfin près d’elle, il l’entendait.  

 

 

 

 

 

Ai était déboussolée. Elle se réveillait et était encore dans les bras de la femme au milieu des arbres. Elle s’agita mais fut immobilisée avec force. Elle allait protester quand ses yeux croisèrent ceux de celle qui la maintenait et elle eut peur de la noirceur qu’elle y vit.  

Puis, elle entendait des voix et remarqua qu’elles n’étaient plus seules mais qu’un homme était là.  

Ranza parlait avec lui, indiquant des directions dans de grands gestes quand un autre homme apparut. Elle reconnut, rapidement, celui qui était venu la consoler sous la tente.  

Sa geôlière parut surprise mais en profita pour la confier à l’homme en question.  

Ai était pétrifier mais elle se laissa faire et elle changea de bras.  

 

 

 

 

 

Marco suivait l’évolution de loin quand il se rendit compte au physique de l’homme qui les suivait que celui-ci devait avoir un lien avec l’enfant.  

Il écouta les ordres que son ancienne chef donnait à Tiago et comprit qu’elle voulait se battre contre l’étranger qui dégageait une aura meurtrière.  

La petite fille risquait de se retrouver en plein milieu de la bataille et cela le décida à sortir de l’ombre pour les rejoindre.  

Il vit la surprise sur le visage de Ranza mais Tiago renforça sa position en lui ordonnant de s’occuper de l’enfant.  

Marco attendit l’aval de la femme et accéléra quand elle lui donna sa prisonnière.  

Il regarda alors autour de lui et repéra un chemin plus escarpé qui les mettrait à l’abri.  

N’attendant aucun autre ordre, il partit avec la petite fille rapidement.  

 

-Ne t’en fais pas, lui dit-il une fois éloignés. Je sais que tu ne me comprends pas mais je ne te veux aucun mal.  

 

Il vit qu’elle le regardait avec curiosité mais elle lui fit un bref sourire. Il sut alors qu’elle était en confiance et cela le rassura sur son choix.  

Ils partirent laissant les ennuis derrière eux.  

 

 

 

 

 

Ai regardait par-dessus l’épaule du sud-américain. Elle s’éloignait de la femme et de l’autre homme rapidement quand ses yeux se posèrent sur une autre silhouette qui se détachait.  

Avant même de comprendre pourquoi son cœur s’emballait, elle eut la vision troublait par les larmes. De nombreux sanglots se débloquèrent de sa gorge et elle cria aussi fort qu’elle le pu.  

 

-PAPA !!!  

 

 

 

 

*Jacob / Jake (diminutif de Jacob) : prénom que j’ai donné au père de Mary, vu qu’il n’en a pas dans le manga 

 


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