Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prose

 

Auteur: thalia

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 49 chapitres

Publiée: 12-01-09

Mise à jour: 07-06-21

 

Commentaires: 110 reviews

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ActionRomance

 

Résumé: Bon me revoilà après une très longue absence sur le site et aussi en écriture alors ne soyez pas trop méchants :) Je me lance sur une fic alternative sur ce que j'aurais voulu qu'il se passe à la fin de la série. Différente de ma 1ère : "Et si on arrêtait le temps" (un peu de pub pour ceux qui ne l'ont pas lu:) je vais essayer de faire dans l'action. Bonne lecture et dites moi ce que vous en pensez :)

 

Disclaimer: Les personnages de "Le retour de City Hunter" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Astuces & Conseils

Je vais bientôt avoir 18 ans. Est-ce que je peux avoir accès à la section NC-17?

 

Non. C'est simple. D'un point de vue légal, vous n'êtes ...

Pour en lire plus ...

 

 

   Fanfiction :: Le retour de City Hunter

 

Chapitre 2 :: Sous surveillance.

Publiée: 15-01-09 - Mise à jour: 15-01-09

Commentaires: Me revoilà, :) merci pour vous encouragements ça m'a fait trop plaisir et en remerciements voilà le chap 2 ! Bonne lecture ! ps : j'ai eu des remarques sur ma 1ère fic et je tenais simplement à vous dire que je sais que le sujet que j'y aborde est très dur, je connais cette maladie. Mais pour moi l'histoire reste une magnifique histoire d'amour.

 


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Kaori arriva devant la villa à 9h. Le temps de faire le tour du propriétaire et de faire le ménage, elle ne put partir rejoindre son assistante qu’à 13h. Tout en prenant leur repas, les deux femmes réglaient les derniers détails du contrat. Grâce aux relations des Nogami, Kaori était devenu associée d’une agence immobilière de suite après son concours. Ce qui lui permettait d’être assez indépendante et de s’occuper de sa fille. Malheureusement cela impliquait aussi beaucoup plus de responsabilités. La vente de demain était très importante pour l’agence car le chiffre d’affaire était équivalent au total des six dernier mois. En conséquence de cela, Kaori avait un très gros stresse accumulé ces derniers mois. Le cauchemar de ce matin en était une conséquence d’après elle.  

 

Sous une flopée de feuilles, Junko, son assistante, essayait de finir son sandwich. Fixant Kaori qui était absorbée à peaufiner les dernières lignes de l’assurance, elle se racla la gorge pour attirer son attention :  

 

- Je ne pense que tout est en ordre. Et de votre côté ?  

 

-Hum ? Ah oui, je pense aussi que tout est bon. Mais je préfère encore tout reprendre une dernière fois…  

 

-Ah ? ok…  

 

-Cela vous pose un problème ?  

 

-Non…enfin, j’avais prévu de ne pas rentrer trop tard et il est déjà 14h30…  

 

-Vous avez un rendez vous ?  

 

-Oui…  

 

-Bon ok, je vais revoir cela seule, rentrez et ne soyez pas en retard demain matin.  

 

-Vous êtes sûre ?  

 

-Hum… oui oui, je préfère vérifier une dernière fois mais on n’a pas besoin d’être deux.  

 

Kaori lui sourit et Junko se leva, prête à partir.  

 

- Si vous avez besoin de moi…appelez-moi.  

 

-Ok…  

 

 

 

Replongée dans son contrat, Kaori ne releva pas la tête avant 16h. Poussant un soupir de fatigue, elle s’essuya les yeux puis regarda sa montre. Rassemblant le contrat et le reste de son matériel, Kaori se décida à rejoindre sa petite famille au Cat’s Eyes.  

 

Sur la route, elle ressenti une vieille sensation. Elle eut l’impression d’être suivit. Regardant tout autour d’elle, elle ne remarqua rien d’inhabituel. Portant l’impression ne disparut pas jusqu’à son arrivée au café. Ne voulant pas inquiéter Ryô, elle ne lui fit pas part de son malaise.  

 

-Coucou tout le monde !  

 

-Maman !!  

 

Ai se précipita sur sa mère laissant Yui et les jouets en plan.  

 

Yui, 4 ans, petit garçon très calme et discret, regarda sa camarade courir vers sa mère puis rassembla tous les jouets éparpillés.  

 

-Ma chérie ! Alors qu’est ce que tu as fais avec papa ?  

 

-On est allés au parc !  

 

-Oui et ta fille m’a épuisé ! lança Ryô en se levant de son siège pour aller embrasser sa femme. Et toi ? Tu as réglé les derniers détails pour demain ?  

 

-Oui, c’est bon. Maintenant reste le client, j’espère qu’il n’a pas changé d’avis.  

 

-Je suis sûre que tout va bien se passer Kaori, la rassura Miki.  

 

Falcon invita Kaori a rejoindre leur table et lui servit un café.  

 

-Oui, je pense aussi mais je ne serais rassurée que demain après la signature. Après je suis en vacances !  

 

Ryô enlaça sa femme et lui déposa un baiser sur la tête, puis il attrapa Ai pour la mettre sur ses genoux.  

 

-En tout cas Ai et moi seront content d’avoir maman à la maison ! On va se faire chouchouter !  

 

Tout le monde éclata de rire, ce qui fini par détendre Kaori et à lui faire totalement oublier son stresse.  

 

 

 

20h, maison de City Hunter.  

 

 

 

Kaori contemplait sa fille endormi quand Ryô rentra dans la pièce.  

 

-Elle dort déjà ?  

 

-Oui, cette après-midi a dû l’assommer. Elle n’a même pas tenu toute l’histoire.  

 

-Moi aussi elle m’a épuisé, j’aurais besoin d’un câlin pour aller mieux, minauda Ryô, tout en enlaçant par derrière la jeune femme. Déposant des bisous dans son cou, il lui murmura quelques mots au creux de son oreille.  

 

-Ryô ! je dois me lever tôt demain !  

 

-Raison de plus pour y aller maintenant !  

 

-Tu es incorrigible !  

 

Pourtant Kaori se laissa entrainer par Ryô dans leur chambre à coucher, un petit rire sortant de sa bouche.  

 

 

 

2h du matin, sur le toit de l’immeuble.  

 

Ryô était sorti fumer une cigarette sur le toit. Bien qu’il avait arrêté de fumer, il en prenait une de temps en temps pour l’apprécier pleinement. Le ciel étoilé au dessus de sa tête était sans nuages et laissait apparaître la voie lactée. Une nuit magnifique qui avait suivit une soirée magnifique pour l’ancien nettoyeur. Le sourire aux lèvres, il pensait à Kaori endormi dans leur chambre et à leur échange amoureux quelques minutes plus tôt. Il fut interrompu par une impression désagréable d’être observé. Reprenant tout son sérieux, il chercha la source mais sans la trouver. Regagnant l’appartement, il vérifia que tout allait bien dans la chambre de sa fille et parti ensuite se coucher en restant portant sur ses gardes.  

 

Le lendemain matin, Kaori parti tôt, laissant le père et la fille endormis. Malette sous le bras, talons hauts et tailleur turquoise, la jeune maman était fin prête pour sa vente. Aspirant une longue bouffée d’air, elle passa rapidement devant un homme qui l’a regardait, sans le voir, puis elle monta dans sa voiture pour partir en direction de son agence.  

 

Ryô fut réveillé par les pleurs de sa fille. La nuit avait été courte et l’homme avait dû mal à émerger. Tournant rapidement les yeux vers le réveil qui indiquait 9h30, il se leva et enfila un pantalon. Arrivant dans la chambre d’Ai, il la trouva assise sur son lit en pleurs. La demoiselle avait faim et comme elle était réveillée, elle ne comprenait pas que personne ne se soucie d’elle. Ryô se gratta la tête et fit la moue :  

 

-Tu ressembles à ta mère toi ! dit il en souriant.  

 

Ai tendit les bras à son père pour que celui-ci la prenne dans ses bras. Quand celui-ci s’exécuta, les larmes d’Ai s’arrêtèrent instantanément.  

 

-Comédienne !!  

 

Alors qu’il lui préparait son petit déjeuné, les sens de Ryô se mirent en éveil. Une sensation qu’il ne pouvait pas oublier. L’impression d’être épié, observé, comme quand quelqu’un vous fixe avec attention. Attrapant Ai de sa chaise haute, il l’a mis à l’abri dans son parc du salon. Par reflexe, il voulu prendre son arme, mais en approchant la main de son cœur, il ne senti d’un vide. Il ne portait plus d’arme sur lui depuis plus de 2 ans. La sécurité s’étant installée et Kaori insistant pour qu’Ai soit aussi loin d’une arme que possible, Ryô avait fini par céder et laisser son magnum dans le tiroir de la table de nuit. Pestant contre lui, il jeta un œil à travers la vitre mais ne réussi pas à trouver la source d’observation, comme tard dans la nuit.  

 

« Ce n’était donc pas une impression… »murmura-t-il pour lui-même.  

 

Ne voulant pas laisser sa fille seule dans le salon, ni risquer de la blesser en la prenant avec lui, Ryô ne parti pas dans la chambre récupérer son arme. Evaluant la situation rapidement, il se concentra mais plus aucune aura meurtrière ne se manifesta. La sensation d’être surveiller disparu tout à coup et ce fut les pleurs d’Ai qui firent sursauter Ryô.  

 

-J’ai faim !!!! hurlait l’enfant.  

 

Reprenant son souffle, Ryô vérifia une dernière fois par la fenêtre, toujours sans rien apercevoir. Puis il regarda sa fille droit dans les yeux :  

 

-D’accord mademoiselle, vous allez manger.  

 

Mais en son fort intérieur, Ryô se promis de mettre cela à jour. 

 


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