Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prose

 

Auteurs: saoria , tennad , RKever , Indiana , usakisa , bulma , paty , lyly , TOKRA , bindy5 , Kaoridu86 , Catzen20

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 20 chapitres

Publiée: 02-02-09

Mise à jour: 11-11-09

 

Commentaires: 189 reviews

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Humour

 

Résumé: Dans cette fic, vous trouverez: Des stripteaseurs, un remake de Flashdance, Kaori en infirmière, une chienne bientôt à terme, Ryô impuissant, un perroquet complètement fêlé du ciboulot, des journalistes en attente du scoop du siècle, une revue porno collector à 120480 yens et le tout sur fond de romance! allez voir!

 

Disclaimer: Les personnages de "Une cliente un peu particulière" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Une cliente un peu particulière

 

Chapitre 3 :: chap de Paty: "Caramba! Encore raté!"

Publiée: 07-02-09 - Mise à jour: 07-02-09

Commentaires: Salut à tous! Voici le chap 3 de cette fic écrit par mes soins. Pour celles et ceux qui ne l'ont pas lu, je pense que ça va vous plaire et pour ceux qui le connaissent déjà, et bien relisez-le, ça fait du bien au moral!^^. Moi en tout cas je crois que j'ai inventé une réplique qui va devenir aussi culte que celle de certains films! N'est-ce pas Toto? A rajouter sur l'anthologie de HFC! lol!

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20


 

-NOOOONNNN KAORI ! Fais pas ça ! Pitié !!  

 

Kaori s’apprêtait à tordre en deux son partenaire grâce à une de ses terribles prises de catch quand Ryô lui rappela le plus important.  

 

-Kaori ! N’oublie pas que cet oiseau détient 120480 yens dans ses serres et que notre client ne va pas être du tout content si on perd son oiseau ! Il faut absolument l’attraper ! J’invoque ta sagesse divine et te supplie de mettre un terme à ma souffrance !  

 

-Tais-toi crétin ! D’abord je te tue et après je récupère l’oiseau et ta revue que je revendrai à Mick, l’autre pervers mokkori du Japon pour récupérer mon pognon ! Si je me débrouille bien je lui revends le double de ce qu’il vaut et à moi les sous !! Je pourrais enfin me faire plaisir avec tout cet argent !…. Et en plus je satisfait mon client et touche le salaire ! Elle est pas belle la vie !  

 

-Ouais bah ton argent va tout droit chez l’autre pervers mokkori qui va l’avoir gratos, madame spéculation !!  

 

Kaori tourna la tête en direction de la fenêtre d’un regard inquiet et tétanisé. Si Mick voit son magazine à 120480 yens, non seulement il ne lui rendrait pas mais en plus il serait capable de tuer l’oiseau, animal sacré pour son client, afin d’obtenir le précieux collector ! Car c’était certain qu’un pervers comme Mick connaissait ce fameux magazine en plus !  

 

La nettoyeuse lâcha sa proie et fonça à la fenêtre pour voir si le perroquet avait bien posé ses pattes sur le rebord de la fenêtre du salon de Mick. Visiblement, Mick ne l’avait pas encore calculé. Elle attrapa d’une main la cage et de l’autre le col de la chemise de Ryô qui tentait de reprendre sa respiration avant d’être une nouvelle fois pris d’asphyxie.  

 

-Dépêche-toi de m’aider à l’attraper avant que Mick ne commette l’irréparable !  

 

 

 

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx  

 

 

Pendant ce temps, de l’autre côté de l’immeuble de briques rouges, un beau blond était affalé sur son canapé en train de tourner les pages d’un magazine porno, avec lassitude.  

 

-Ça fait vingt fois que je le parcours, ce fichu magazine. Désolée les filles mais l’attrait de la nouveauté est passé et vous êtes devenues quelconque maintenant… Si seulement j’avais de quoi me payer une nouvelle revue pour égayer mon anatomie qui part en décrépitude !  

 

-« Décrépitude ! »  

 

Mick écarquilla les yeux soudain, croyant entendre des voix. Il chercha partout autour de lui qui se moquait de lui et vit alors le perroquet au bord de la fenêtre.  

 

-« Caput !..Mokkoriiii ! »  

 

L’américain se leva d’un bond, l’air peu satisfait.  

 

-C’est toi qui te fout de moi comme ça ! On n’insulte pas l’arme fatale de Mick Angel, le dindon !  

 

-« Mick Angel ! Décrépitude ! », répéta l’oiseau .  

 

Les poils des bras de Mick commencèrent à s’hérisser de colère lorsque son regard se posa sur l’objet que le volatile tenait fermement entre ses pattes. Non, il ne rêvait pas… C’était lui !!! Il se frotta les mirettes pour vérifier s’il n’hallucinait pas mais du bien se rendre à l’évidence qu’il s’agissait du collector de « Lapines en chaleur », celui qui valait 120480 yens ! Le fameux, le grand, le géniallissime magazine pour pervers professionnel comme lui.  

 

Pris d’une soudaine folie de le faire sien , le regard de Mick changea : il se transforma en véritable prédateur prêt à tout pour obtenir l’objet vital !  

Il s’approcha de lui lentement, sur la pointe des pieds. Il avait ses bras vers l’avant, prêt à s’emparer du perroquet. Son regard se fit plus vif et d’un seul coup il sauta !  

 

Le perroquet s’envola et se posa sur le lustre du salon en criant :  

 

-« Raté ! »  

 

Mick vint finir sa course contre le mur sous la fenêtre, le nez complètement aplati par le choc. Il se releva, l’air agacé tout en se frottant le nez qui avait triplé de volume et était devenu rouge vif.  

 

Il poussa un grognement et lui dit :  

 

-C’est pas un sale piaf qui va me faire affront, foi de Mick Angel ! »  

 

Il s’approcha alors de lui, tentant une nouvelle approche, cette fois-ci plus….douce . Il prit une mine tendre et gentille, limite séducteur et lui déclara en lui montrant son index :  

 

-Bonjour bel oiseau des îles ! Je suis Mick Angel ! Dis-moi , tu as de belles plumes ?!  

 

L’oiseau pencha la tête sur le côté, comme s’il était interloqué par les paroles du nettoyeur.  

 

-Tu voudrais être gentil avec moi et me donner le magazine que tu tiens ?  

 

L’oiseau poussa un « collectoooor ! » pour réponse.  

 

-Oui, c’est ça ! C’est un collector ! T’as tout compris ! Si tu me le donnes, je te donne un gros biscuit bien sec…..pour que tu t’étouffes avec !, finit-il par grommeler entre ses dents.  

 

Mick affichait un grand sourire hypocrite sur son visage et tendit doucement la main vers le précieux trésor.  

 

Le perroquet baissa la tête et en voyant que l’autre bonze tentait de lui voler son fardeau . L’oiseau avança son bec lentement pour sentir un danger potentiel.  

 

-C’est ça ! Tout doux ! Donne-ça à Papa Mick, sale bestiole !  

 

Mick avança encore un peu plus sa main quand « crac !! », le perroquet lui attrapa le doigt avec son bec et le pinça fermement !  

 

-OOOOUUUAAAAIIILLLLLLLLEEEEE !!!!!!!  

 

Mick se mit à sauter dans tous les sens à travers le salon, se tenant la main et retenant ses larmes à cause de la douleur. A présent son nez avait trouvé un complice en la personne de son pouce qui était tout aussi volumineux et rouge !  

 

-Saleté de volaille ! Je vais te ligoter et te cuire à la broche, Woody Wood Pecker !  

 

-« Esméralda ! », lui répondit alors comme un affront de plus le perroquet.  

 

Des flammes se mirent à brûler au fond des prunelles de l’américain qui sentait sa patience s’effriter avec le temps.  

 

-Tu ne vas pas te moquer de moi pendant longtemps sale piaf ! Je vais t’écraser sur les parvis de Notre-Dame tu vas voir !  

 

Il alla fermer la fenêtre puis se dirigea vers la sortie, prenant bien soin d’enfermer l’oiseau dans le salon. Il descendit à la cave et attrapa sa trousse à outils.  

 

-Voyons un peu ce qui pourrait m’être utile là-dedans… Tapette à mouche, pourquoi pas….Piège à souris, mmmh, non !… Filet à papillon, ah ça oui !…. pinces à grillades, oui… je vais le plumer avec !  

 

Après avoir fait défiler tout l’attirail nécessaire à sa partie de chasse, il remonta vers le salon. Il ouvrit la porte, des gouttes de sueur perlant sur son front mais le regard toujours aussi déterminé.  

 

-A nous deux, Woody !  

 

-« Esméralda ! »  

 

-Qu’importe, Quasimodo ! Tu n’auras plus de tête bientôt pour le prononcer !  

 

Mick déballa tout son matériel par terre, sous les yeux innocents de l’oiseau. Et la chasse démarra !!  

 

 

 

Bientôt on entendit des bruits d’objets cassés, d’objets déplacés, des cris de douleur provenant de l’américain puis, au bout de 15 minutes plus rien.  

 

 

 

Mick était plus qu’essoufflé, tandis que l’oiseau avait retrouvé son emplacement initial, à savoir le lustre. Le salon ressemblait véritablement à un champ de bataille. Des filets de canon lance-filets gisaient ça et là un peu partout sur les meubles étant encore en un seul morceau. On aurait dit des toiles d’araignées géantes… Des débris de bois, de verre et de porcelaine étaient éparpillés au sol. Du sang recouvrait le canapé. Il était facile à comprendre que Mick avait du glisser sur les éclats de verre et de porcelaine et s’était écrasé de tout son poids dessus, laissant de petites entailles un peu partout sur lui. La tapisserie avait été déchirée sur toute sa hauteur, laissant présager que l’américain avait du essayer de prendre appui sur le mur pour attraper l’oiseau.  

 

Mais tous ses efforts furent vain. Furieux et épuisé, l’américain n’eut d’autre choix que de sortir le grand jeu face à son terrible ennemi qui le regardait toujours aussi innocemment.  

 

-Tu veux entrer dans la cour des grands , je vois ! Très bien alors je vais sortir mon arme !, lui dit-il haletant.  

 

Il dégaina son revolver et le mit en joue ! il s’apprêta à tirer quand…  

 

-NNOOOOONNNNN !!!!  

 

 

Ryô et Kaori déboulèrent comme un avion dans une aérogare ! Tous les deux très essoufflés, ils se tenaient sur le chambranle de la porte tandis que l’oiseau s’envola à nouveau en criant « Mokko-rii ! ». Une goutte apparut sur la tempe à Ryô, qui sentait son envie de meurtre revenir ardemment en lui !  

 

Mick baissa son bras, les regardant l’air effaré par leur entrée fracassante. Mais son visage ne fut pas aussi surpris que ceux des deux nettoyeurs en voyant le chantier qu’il y avait dans le salon.  

 

-Mick, ne fais surtout pas ça !, lui exhorta vivement Kaori. C’est notre cliente !  

 

Mick leva le doigt vers l’animal, l’air incrédule.  

 

-Qui ça ? Woody Wood Pecker ?  

 

-Elle s’appelle Esmeralda!, lui répondit Kaori alors que le perroquet se reposa sur le lustre en criant une nouvelle fois son nom.  

 

-Ta partenaire se fout de moi, Ryô ?  

 

-Non..hélas !, lui répondit, las, le nettoyeur. Et en plus elle m’a volé mon précieux collector !  

 

-IL EST A TOI !!!!!!! PAS POSSIBLE !!  

 

-Tu crois ça ?, lui répondit l’air contrit Kaori. Je te rappelle que ton ami ne fait pas dans le chaste !  

 

-Je ne te crois pas, Ryô ! Il vaut 120480 yens, argent que tu es loin d’avoir ! Je veux voir écrit ton nom sur le magazine pour affirmer que c’est le tien ! Jusqu’à preuve du contraire, ce magazine est à la portée de tous , y compris de moi !  

 

 

Mick se retourna alors vivement et bondit sur l’oiseau, pensant avoir l’effet de surprise. L’oiseau s’envola et Mick, encore suspendu au lustre vit les vis le tenant au plafond se détacher une à une avant qu’un gros boum surgisse dans le salon et que l’oiseau siffle :  

 

-« Caramba ! Encore raté ! »  

 

Mick se releva, la fièvre au corps et déclara d’un ton vengeur :  

 

-Je vais lui faire la peau !….Il se prend pour Tintin ! Je vais lui faire tinter ses cloches à cet oiseau de malheur !!!  

 

Kaori regarda alors blafarde son partenaire, réalisant les propos de Mick. Celui-ci comprit vite son inquiétude. Elle lui déclara, les dents serrées pour ne pas que le beau blond entende :  

 

-Dis-moi que tu as ton nom dessus, Ryô Saeba !  

 

-Euh…… C’est évident, Kaori chérie !, lui dit-il en répondant entre ses dents également, mais le sourire crispé par son mensonge.  

 

-Si tu m’appelles ainsi, j’en déduis que non !?, lui déclara-t-elle encore dans un murmure . Si on perd les 120480 yens, je te garantie que tu ne reverras plus le jour avant un bon moment ! Est-ce clair ?!!  

 

Ryô n’eut d’autres choix que d’acquiescer, espérant effacer rapidement la terrible punition qui germait dans l’esprit vengeur de sa partenaire.  

 

-Mick, je te propose qu’on se mette à trois pour l’attraper !, lui demanda alors la nettoyeuse. On a la cage pour l’enfermer.  

 

Mick se releva difficilement de sa chute mais accepta.  

 

-…et toi tu inscriras illico presto ton nom sur la revue pendant que j’occupe Mick avec Esméralda dans sa cage. Compris ?!!  

 

Ryô se mit à rire jaune en voyant qu’il ne fallait surtout pas contrarier la petite furie !  

 

Esméralda s’était posée sur le rebord du canapé.  

 

-On a qu’à l’encercler !, proposa Mick, en fin stratège.  

 

Ryô et Kaori se mirent en place autour du canapé les bras en avant.  

 

-A 3, on lui saute dessus !, déclara Ryô, le regard perçant….. 1…..2 ….33333 !!!!  

 

Les trois nettoyeurs firent un seul et même bond vers Esméralda et n’eurent pour seul objectif que de rencontrer la tête de l’autre en face, tandis que l’oiseau chantonnait au-dessus de leur tête :  

 

-« Caramba ! Encore Raté ! »  

 

Les trois compagnons s’assirent au sol, se frottant le front qui affichait une énorme bosse à chacun. La porte du salon s’ouvrit soudain sur Kazue.  

 

-C ‘est moi !! Je suis…..rentrée !  

 

Kazue finit sa phrase de façon étranglée en voyant l’état général du salon. Elle se liquéfia sur place en examinant son appartement adoré.  

 

-C’est quoi ce bordel !, osa-t-elle demander , la colère à moitié étouffée par le bénéfice du doute.  

 

-Euh…Ma chérie…C’est une longue histoire !…, tenta de se justifier l’américain auprès de sa douce, tandis que le perroquet chantait encore « Mokkori Col-lec-tooorrrr ! »  

 

Une libellule passa au-dessus de la tête de la belle brune quand elle vit ce que détenait l’oiseau.  

 

-Ne me dis pas que c’est pour ça QUE TU AS MIS MON SALON A FEU ET A SANG !!!  

 

Mick se couvrait la tête de ses bras, se protégeant de la fureur de sa bien-aimée.  

 

-Kazue ! Je suis désolée ! C’est de notre faute !, tenta d’expliquer Kaori. Ce perroquet… Esméralda….  

 

-« Esméralda ! », cria l’oiseau en se posant sur le dossier d’une chaise  

 

-La ferme, sale piaf !, hurla Ryô plus qu’agacé par sa voix de crécelle.  

 

-….Est notre cliente !, reprit Kaori confuse. Et ce magazine est à Ryô. Elle nous a échappé et on tente en vain de l’attraper !  

 

-Ce n’est quand même pas si difficile d’attraper un oiseau ! Vous êtes nuls ! Pauvre petit perroquet…  

 

Kazue s’approcha alors d’Esméralda, tentant la sympathie avec l’animal. Mais Esméralda ne le vit pas de cet œil et s’envola à nouveau. Elle tournoya deux fois autour d’elle avant qu’un liquide verdâtre ne se pose sur le visage de la belle infirmière. L’animal venait de lui déféquer sur la tête.  

 

 

Un silence de mort habita le salon avant que le perroquet ne dise :  

 

-« Caramba ! Encore raté ! »  

 

Et ne s’échappe par la porte d’entrée laissée ouverte plus tôt par Kazue.  

 

Tous se tournèrent vers Kazue qui avait ses mains fermées le long de son corps, crispé par la colère. Elle gloussa de rage et déclara d’un ton outre-tombe :  

 

-Mick… Sors-moi le matos ! Je vais faire un rôti !  

 

 

 

 

 


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