Chapitre 11 :: Opération Together (1grisou)

Publiée: 22-03-09 - Mise à jour: 22-03-09

Commentaires: Salut à tous et à toutes. Voici ma petite participation, j’espère qu’elle vous plaira. Je suis très stressée de passer après tous ces auteurs. Soyez indulgent car il à été très dur à majer car il doit être gai et drôle. Alors j’espère ne pas trop avoir de massue et avoir répondu à vos attentes. Je passe le relais à qui ? ? Je ne sais pas mais bonne chance à la suivante. Bonne lecture. Kiss Grisou

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Après le touchant spectacle que leur avaient offert les deux nettoyeurs, la bête et la bête s’étaient installés dans la chambre de Kaori. Le vieux médecin avait rejoint son lit. Et, s’était bien vite endormit. Sa folle nuit de saut d’obstacle y était pour beaucoup. Mais, il ne regrettait rien. Il avait tout de même réussit à subtiliser un superbe ensemble rose à la nettoyeuse. Et cela remplaçait haut la main le magazine qu’il venait de lui rendre. Mais le plus important était qu’il partait au pays des rêves bercé par l’odeur de Kaori dont les draps étaient encore imprégnés.  

Esméralda avait elle aussi suivit son maître de la semaine. Elle s’était posée non sans appréhension, sur le lustre. Sa mise à mort et sa résurrection miraculeuse, l’avait également vidé de toutes ses forces. Mais, tous ces mauvais souvenirs étaient loin très loin maintenant.  

Le silence régnait en maître dans l’appartement. Seul, le grincement de la porte d’entrée brisa l’harmonie. Une jeune femme entra doucement dans l’appartement. Elle tenta un pas mais, elle s’arrêta sur le seuil de la porte pour contempler le carnage. Le salon était sans dessus dessous, un vrai champ de bataille. Des meubles étaient renversés, des objets étaient cassés, de la fiente d’oiseau recouvrait le tout.  

- De la fiente d’oiseau ?, s’étonna-t-elle. Mais que s’est-il donc passé ici ?  

Elle fit quelques pas dans le salon en évitant soigneusement les débris au sol.  

- Mais où sont-ils ?  

La réponse arriva bien vite lorsque son regard se posa sur le sofa. Kaori et Ryo y étaient toujours. Tous deux dormaient du sommeil du juste. Ryo avait bougé dans son sommeil et, sa tête avait trouvé refuge près du ventre de sa partenaire tout comme sa main qui avait glissé sous la chemise que portait la jeune femme. Kaori n’avait quant à elle pas bougé d’un pouce. Sa main était toujours dans la chevelure de l’homme. Ils semblaient si paisibles et, leurs sourires qui illuminaient leurs visages démontraient cet état de bien être.  

Saeko se rapprocha d’eux. Les regarda tendrement. C’était si rare de voir l’équipe City Hunter calme et sereine qu’elle voulut en profiter. Elle remarqua alors le magazine posé sur le bas ventre de Ryo. Elle se rapprocha un peu plus près pour voir de quel magazine il s’agissait. Un corbeau passa derrière elle lorsqu’elle découvrit le titre « Lapines en chaleur ».  

- J’aurai du m’en douter. Lâcha-t-elle. Tiens s’est bizarre ça ! Il bouge tout seul !  

Le radar Mokorrien du nettoyeur s’était automatiquement déclenché lorsque le regard de l’inspectrice s’était posé sur lui. Plus exactement lorsque le regard de l’inspectrice s’était dirigé dans sa direction. En plus, elle avait laissé celui-ci quelques secondes pour pouvoir lire le titre de la revue. Malheureusement pour elle, se fut incontestablement les secondes de trop.  

- Inspectrice de mon cœur dans mes bras !, hurla le nettoyeur.  

Et joignant le geste à la parole, il se retrouva vite dans les bras de Saeko. L’enlaçant tel un singe avec ses bras et ses jambes. Sa tête reposant sur un nouvel oreiller que sa bave dégoulinant recouvrit en partie.  

- Haaaaaaaaaaa ! Beaucoup plus confortable. Haaaaaa ! Oui ! Oui ! Oui ! Beaucoup plus…  

Mais l’aura menaçante qu’il ressentit l’empêcha de finir sa phrase.  

- Kao-chérie ? ! Déjà réveillée ?  

- Et comment puis que tu t’es servi de moi comme trampoline !, répondit la jeune femme massue à la main.  

Une autre aura meurtrière s’éleva également en direction du nettoyeur. Saeko qui jusqu’à présent n’avait rien dit, commençait à perdre patience. Son superbe chemisier était fichu, sans parler de son soutien gorge. Tous deux bons à jeter. Non cela en était trop. Dès qu’elle serait libre elle en ferait qu’une bouchée. Et Ryo qui ne voulait plus la lâcher de peur de se prendre la raclé de sa vie. Kaori avait toujours sa massue et attendait tant bien que mal que son partenaire daigne descendre de son perchoir.  

- Kaori tu risques de blesser quelqu’un avec ça tu sais !, fit Ryo en désignant du doigt la future cause de son mal de tête.  

- Oui je sais ! Mais ne t’en fais pas. Lorsque j’en aurai fini avec toi tu ne sentira plus rien. TU SERAS MORT SAAAAEBAAAAA.  

- NE M’APPELLE PAS COMME CELA !, lui hurla-t-il en commençant à se détacher.  

- ET POURQUOI JE TE PRIE. HEIN !?  

- CAR J’AIME PAS VENANT DE TOI. SEULS MES ENNEMIS LE FONT !  

Kaori avait réussit à le faire descendre entièrement de son perchoir. Il était à présent debout, face à elle. Leurs visages n’étaient qu’à quelques centimètres l’un de l’autre. En faisant cela, Ryo espérait amadouer sa partenaire. La déstabiliser grâce à sa proximité , et en lui faisant son regard de braise, la finir, l’anéantir.  

Mais, il en était tout à fait autrement du côté de Kaori. Son regard brillait d’une lueur de victoire. Le léger sourire sur ses lèvres accentua sa prouesse. Elle l’avait amené là où elle voulait. Hors du corps de l’inspectrice !  

Ryo dégluti au changement de comportement de sa partenaire. Elle l’avait berné. Kaori avait osé le berner. SON ange avait touché sa corde sensible pour le piéger. Elle avait osé agir comme lui. L’élève dépassait le maître. Et tout cela pour le… Punir. Il fit un pas en arrière. Peine perdue. Il se retrouva plus vite qu’il le crut sous une massue.  

Saeko n’avait pas bougé. Elle était trempée. Elle avait froid. Mais le plus gênant était qu’elle n’avait pas réagit lorsque Ryo lui avait sauté dessus. Et le résultat était là, elle était gluante. L’auteur était sous la massue. Mais, cela ne la soulagea pas pour autant. Sa colère était toujours là. La massue n’y avait rien changé. Alors, lorsque Ryo se dégagea, elle le chopa par caleçon, lui fit une prise de karaté. Et finit par un coup bien porté, entre les jambes. Et là, au moment où elle sentit que l’omelette était faite. Sa rage se synchronisa sur le cri de douleur du nettoyeur et, retomba au même rythme des lamentations de celui-ci. Jusqu'à disparaître lorsque la douleur ne lui permit plus de faire sortir le moindre son.  

Ryo en avait les larmes aux yeux et vociférait des « personnes m’aiment », « mon mokkori », « Haaaaaaaaaaaaaaaaa ». Enfin bref, il souffrait le martyre. Son mokkori doublait de volume et, sa ceinture de chasteté devenait vraiment, vraiment trop étroite. Les bandes allaient lâcher s’il continuait à enfler. Mais d’un autre côté, Doc ne pouvait plus rivaliser maintenant. Cependant, le plus urgent était de libérer la bête de sa prison de bandage pour lui faire prendre l’air.  

Alors le nettoyeur monta les marches d’escalier. Se cramponnant aux barrières, rampant si nécessaire. Le tout, sous le regard malicieux de Saeko et, mi-horrifié mi-satisfaite de Kaori. Il passa devant Esméralda et le vieux médecin qui le regard amusé.  

- Si tu peux plus assurer, je prendrais ta place au près de Kaori ce soir., lui dit Doc avec son air de pervers.  

- Oh toi ! Si tu la touches… Aie… Ouille… Ouille… Aie…, répondit le nettoyeur avant de rejoindre la salle de bain.  

- Tu vois Esméralda. Première phase « Together ». Le faire enrager !  

- Carambaaaa ! Enraaaaaaager !  

Kaori qui n’avait pas quitté son partenaire des yeux aperçut le vieux médecin et Esméralda dans le couloir qui retournaient dans la chambre.  

- Hep ! Vous deux !, cria la nettoyeuse.  

- Qui ? Nous ?, demanda Doc en se retournant effrayé de perdre son précieux qu’il cacha rapidement avec ses mains.  

- Oui le vieux débris et le piaf !  

- Comment ça vieux débris ? Tu veux revoir la bête., demanda-t-il. Ryo ne pourra pas de nouveau te satisfaire ce soir alors tu peux compter sur moi ma douce vu que s’est demandé si gentiment.  

Kaori se figea en entendant le vieil homme. Elle comprit de suite l’allusion de sa position avec Ryo et se remémora également la chose fripé du Doc.  

- Beuuuuuuuuuurk !, lâcha-t-elle pour ce dernier souvenir.  

- Ha oui ? Beurk ? Mais il fallait le dire tout de suite que tu voulais effacer ce mauvais souvenir de ta mémoire. J’arrive.  

Et tel un missile de décrépitude, Doc était dans les airs. La bouche en cœur et les bras ouverts. Prêt à enlacer sa miss mokkori. Prêt à la tenir dans ses bras, la parcourir de baisers tendres et expérimentés. Prêt à lui faire oublier son mauvais coup de partenaire. Son mokkori power s’était déjà levé fièrement à l’idée de faire un peu d’exercice. Oui, lui aussi était prêt ! Prêt à montrer toute sa splendeur, sa grandeur. Prêt à… Se manger la massue que Kaori avait dégainé.  

- Je préférerai sans la massue Meredith., articula le vieillard en tombant au sol.  

A se souvenir, elle rougit violemment. Et Saeko qui la regardait d’un air ravi mais curieux. Non, il fallait qu’elle fasse diversion. Elle ne devait rien dire de sa tentative involontaire d’assassinat contre Esméralda. Et encore moins son corps à corps avec Ryo. Oui, il fallait vite trouver une échappatoire comme le ferait Ryo avec elle.  

- Appelez-moi Ripley maintenant.  

- Ripley ? D’Alien ? Demanda le vieillard.  

- Celle qui tue les montres comme VOUS SALE PERVERS.  

- Moi je veux Meredith elle est plus haaaaaaaa., dit-il en bavant.  

- Je vous donne le choix entre Meredith et la vasectomie. Ripley la tueuse d’aliens ou…. , répondit Kaori avec un regard de satisfaction.  

- Ou…?, demanda le médecin déjà apeuré par les deux premiers choix et attendant la troisième sentence possible.  

- Vous me rangez tout le bordel que l’autre pervers et le piaf ont foutu.  

Le vieillard trop heureux d’une telle troisième option, partit en courant chercher balai et sacs poubelles. Et s’attela à la tâche immédiatement sous le regard fier de Kaori et étonné de Saeko qui ne n’avait pas entièrement compris la conversation.  

Pendant que Doc rangeait le salon, Kaori conduisit l’inspectrice à l’étage pour qu’elle puisse changer de haut. Elle lui passa un chemisier propre et sec. Une fois changée, Saeko et la nettoyeuse descendirent à la cuisine. Kaori prépara le café et Saeko posa la question qui lui brûlait les lèvres.  

- Dis-moi Kaori.  

- Oui.  

- La vasectomie je connais et je comprends la raison avec les deux pervers. De même pour Ripley. Par contre…  

Ça y est, elle en venait au moment gênant.  

- Par contre j’hésite sur l’interprétation de la phrase de Doc. Tu sais celle où il te propose de prendre la place de Ryo ce soir. Mais qu’un autre côté cela expliquerait ta tenue.  

Kaori rougit à cette dernière remarque. Elle avait oublié qu’elle portait toujours un caleçon et une chemise de Ryo. Et maintenant, il fallait qu’elle trouve quelque chose à dire pour que l’inspectrice ne s’imagine pas des choses entre elle et son partenaire. Mais sa seule réponse fut.  

- Je reviens, je vais me changer !  

Puis elle partit en courant à l’étage se changer.  

- Moi je peux vous expliquer., dit une voix sur le côté. J’ai tout vu hi hi hi hi hi.  

- Ah oui ?  

- Oui, ils étaient tous les deux dans le salon au début à faire leurs cochonneries. Ensuite ils sont allés dans leur chambre. Kaori criait comme une bête. Moi je voulais dormir alors, je suis allé dans la chambre de Ryo pour leur dire de faire moins de bruit. Et quand je suis arrivé, la porte était ouverte. Et là. Je les ai vu. En sueur. Ryo sur Kaori. C’est pour cela qu’elle m’en veut. Je les ai surpris en pleine action.  

- Ah bon !? Moi qui pensais que c’était pour la pile de sous-vêtement qu’il y avait dans le salon et pour les pièges à refaire à l’étage...  

Le vieux médecin en tomba. Il en avait oublié sa montagne de réconfort pour cette nuit perdue et le baiser échangé avec son disciple. Son mensonge était trop gros.  

- Donc je suppose que la réponse est non pour un hébergement., dit-il avec un regard remplit de tristesse.  

- Vous devinez bien., lui répondit Saeko qui se dirigeait vers la sortie. Dites à Ryo que je viendrais le voir au Cat’s.  

Le vieillard avait loupé son coup. La nuit d’amour avec l’inspectrice ne sera pas pour ce soir. Il recommença son ménage. Ramassant les débris en tout genre qui traînaient au sol. Son regard fut attiré par une photo. Une photo qu’il avait regardé plusieurs fois. Celle de la couverture du magazine « Lapines en chaleur ». Il regarda en direction des escaliers. Personne. Il pouvait donc faire une petite pause bien méritée. Doc délaissa son sac poubelle contre la revue et, s’installa sur le sofa la bouche en cœur.  

A l’étage, Kaori était dans sa chambre. Elle avait récupéré ses sous-vêtements et, pouvait maintenant s’habiller. Elle opta pour un panta-court noir et un top rouge. Le nettoyeur était toujours dans la salle de bain. Il avait prit une douche froide. En temps ordinaire, elle servait à faire descendre sa fière mokkorienne. Mais, pour une fois, elle lui servait à calmer la douleur et, à faire reprendre une forme normale à son mokkori. Saeko ne l’avait pas loupé. Les œufs étaient cassés et avaient chauffés. Ils étaient aussi rouge que le nounours à Miki. Maintenant, il avait la totalité de son mokkori en arrêt maladie.  

Il ne lui restait qu’à passer de la pommade et à refaire le bandage. Pour les bandes, il n’y avait pas de problème, il y en avait dans la salle de bain dans la pharmacie. Mais la pommade était restée dans la chambre. Il s’y rendit en marchant. Enfin presque. Il avait une démarche de cow-boy. Mais un cow-boy sans monture ou invisible la monture. Son mokkori avait tellement gonflé qu’il ne pouvait plus fermer les cuisses.  

- Maudite Saeko ! Tu me le paieras. Haaaaa ! M’allonger, il faut que je m’allonge.  

Il pénétra dans sa chambre et découvrit Kaori. Ils étaient nez à nez. Instinctivement il se redressa pour lui faire face. Elle était venue lui rendre ses affaires.  

- Dommage !, pensa-t-il.  

C’est vrai qu’elle était belle avec des vêtements d’homme. Mais il aimait la voir aussi dans des tenues simples comme celle qu’elle portait aujourd’hui. Ses formes étaient visibles. « Ne pas y penser. Ne pas y penser. » Répétait inlassablement Ryo.  

Kaori avait le regard brillant. Il était torse nu. Et au vu de sa serviette nouée autour de la taille, elle en déduisit qu’il venait de prendre sa douche. Son regard se posa sur ce torse musclé qu’elle avait pu sentir contre elle. A ce souffle chaud sur sa peau. A ce contact puissant et grisant à la fois. A ce souvenir, tout son corps frissonna. Ce qui n’échappa pas au nettoyeur. Son mini lui se réveillait de nouveau, lui arrachant une grimace.  

- Ryo tu vas bien ?  

- Oui. Pourquoi ?  

- Tu as… Mal ?  

- Mais non voyons. J’en ai vu d’autre. Haaaa..., se mit t-il à rire bêtement.  

- Bon alors je descends préparer à manger.  

Mais le nettoyeur ne bougea pas d’un pouce. Il resta devant la porte. Lui interdisant ainsi toute sortie. Elle s’approcha lentement espérant qu’il ferait un pas de côté. Mais il ne fit rien. Il resta immobile. Elle voulu le contourner. Elle le frôla. Un simple contact aérien. Epaule contre épaule. Soie contre muscle.  

Leurs regards se croisèrent,leurs corps firent le reste en pivotant. Ils étaient maintenant face à face. Le nettoyeur la saisie par les hanches et baissa légèrement la tête dans sa direction. Leurs bouches n’étaient qu'à quelques centimètres l’une de l’autre. Leurs cœurs battaient à l’unisson.  

« Il va le faire » Pensa Kaori qui fermait les yeux au rythme où son partenaire approchait. Ses yeux étaient à présent clos. Il ne manquait que le contact tendre et chaleur de ses lèvres sur les siennes. Le temps semblait suspendu. Rien ne pouvait troubler cet instant temps attendu et désiré.  

La jeune femme sentit une des mains du nettoyeur monter le long de son corps. Lui effleurer le dos pour venir se poser sur son épaule.  

- Kaori je… Commença Ryo  

- Oui.  

- Je t’ai menti. Je te mens depuis le début.  

« Ça y est, il va enfin me le dire » Pensa la jeune femme.  

- Tu ne peux pas savoir à quel point j’ai mal…  

Kaori n’en pouvait plus de cette attente. Il était si proche de tout lui avouer. De tout lui dire de ces sentiments pour elle. De lui ouvrir son cœur.  

- Tu ne veux pas me faire un massage s’il te plais. Finit-il en pleurant.  

Mais la réaction de son ange, ne fut pas celle espérée. Une massue de 10 000 tonnes s’abattit sur lui. Le laissant KO et avec un mokkori encore plus mal en point.  

- Tiens sale pervers. J’espère que le massage t’a plus ! lui cria Kaori qui se dirigea vers la porte.  

Elle voulut l’ouvrit mais elle n’y arriva pas. Des bruits de pas s’éloignaient doucement. Doc descendait tranquillement les escaliers et rejoint Esméralda dans le salon.  

- Opération « Together » lancée !, lui dit-il.  

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