Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prose

 

Auteur: Shan In XYZ

Beta-reader(s): Nanou

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 4 chapitres

Publiée: 23-08-14

Mise à jour: 13-06-15

 

Commentaires: 9 reviews

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HumourSci-Fi

 

Résumé: Cross-over entre City Hunter et Doctor Who. Quand il se passe des trucs étranges au Japon et que City Hunter rencontre un type bizarre se faisant appeler le Docteur. Toute une aventure en perspective.

 

Disclaimer: Les personnages de "Une Massue, un Magnum et un Tournevis Sonique" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Les personnages de la série Doctor Who sont la propriété de la BBC

 

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   Fanfiction :: Une Massue, un Magnum et un Tournevis Sonique

 

Chapitre 1 :: Chapitre 1

Publiée: 23-08-14 - Mise à jour: 23-08-14

Commentaires: Hello, everybody, Hello. En attendant la suite de mes fics en cours, voilà un petit délire "made in me", un cross-over entre City Hunter et la série Doctor Who, la rencontre entre les personnages me paraissait être intéressante et j'espère que ça vous plaira. Merci à Nanou d'être toujours là pour me suivre dans mes délires et Bonne lecture ;)

 


Chapitre: 1 2 3 4


 

Il existe une légende urbaine à Tokyo : si vous n’avez plus personne vers qui vous tourner, écrivez XYZ sur le tableau de la gare de Shinjuku et City Hunter viendra à votre secours…  

Une rumeur court aussi dans l’univers et cette dernière parle d’un fou dans une boîte bleue qui débarque régulièrement sur Terre car cette planète et ses habitants sont sous sa protection…  

 

Tout avait commencé comme une journée ordinaire dans la vie de Kaori Makimura. Comme tous les matins, elle était passée par la chambre de son partenaire pour tenter de le réveiller mais ce dernier préférait ronfler comme un sonneur en murmurant des mots doux à son oreiller. Comme d’habitude, il l’avait énervée et s’était retrouvé encastré entre le sommier et le matelas. Puis comme tous les jours, elle s’était rendue au panneau d’affichage de la gare de Shinjuku afin de voir s’il y avait des messages pour City Hunter.  

 

Ce jour-là, elle fût étonnée de découvrir un nouveau message, émanant visiblement d’une femme, vu l’écriture. Mais ce qui la surprit le plus c’est qu’il ne soit pas effacé, car quand il s’agissait de jolies femmes, Ryô, son partenaire, avait le chic pour se pointer avant elle afin de draguer.  

 

Elle s’interrogea un instant sur ce qui clochait pour qu’il ne se soit pas dérangé mais comme ils avaient besoin d’argent et elle se rendit au rendez-vous. En repartant, elle manqua de rentrer en collision avec une cabine bleue où il était marqué « police » et se demanda ce que ce truc fichait là. Mais elle ne s’en inquiéta pas plus que ça, il y avait souvent des expositions bizarres dans la gare, alors une de plus ou de moins.  

 

Arrivée au café « Cat’s Eye », où il était convenu qu’elle rencontre la cliente, elle salua Umibozu qui se tenait derrière le comptoir et lui demanda s’il n’avait pas vu son crétin de partenaire. Il lui répondit par la négative tout en ajoutant qu’une jeune femme l’attendait à la table du fond. Elle jeta un coup d’œil vers sa future cliente et fut surprise de voir que c’était une jolie jeune femme.  

 

- T’es sûr qu’il n’est pas dans le coin, prêt à bondir sur sa proie ? insista Kaori.  

- Sûr et certain, quand il vient pour draguer il n’est pas très discret, je le repère très vite, rétorqua Umibozu.  

 

Kaori rejoignit donc la jeune femme qui se présenta. Elle s’appelait Kaiko Hazuki, elle était archéologue et travaillait depuis plusieurs mois sur un nouveau site ; ses découvertes étaient assez surprenantes et avaient attiré l’attention du Ministère qui souhaitait que les fouilles demeurent secrètes pour l’instant.  

 

Kaori l’écoutait tout en s’attendant à ce que son partenaire débarque à tout moment mais tout ce qu’elle aperçut fut un homme brun plutôt maigrichon, les cheveux en pétard portant un costumes 3 pièces marron ainsi qu’un manteau et qui regardait à travers la vitrine ; il attirait de suite l’attention car à cette période de l’année sa tenue n’était pas vraiment de circonstance et en plus il n’était pas dans le quartier des affaires.  

 

Elle arrêta de le regarder et demanda à Kaiko en quoi City Hunter pouvait l’aider. La jeune femme lui expliqua que depuis plusieurs semaines, des phénomènes étranges se déroulaient sur le site. Il y avait eu de nombreux accidents et beaucoup parlaient de malédictions voire même de fantômes.  

 

A ce mot, Kaori eut des frissons, elle avait horreur des fantômes, mais elle n’en fit rien voir à sa cliente. Elle lui précisa seulement que City Hunter n’était pas un chasseur de fantômes.  

 

La jeune fille répondit qu’elle ne croyait en aucun cas aux spectres mais qu’elle connaissait ce genre de situation ; durant sa carrière, elle en avait vu des choses, certaines personnes étaient prêtes à tout pour récupérer un terrain ou le fruit de recherches et c’est pourquoi elle soupçonnait que l’on veuille faire peur à l’équipe du site pour que les fouilles s’arrêtent. En fait, elle souhaitait qu’on l’aide à prouver ses soupçons pour pouvoir continuer son travail sans aucun danger.  

 

Kaori réfléchit un instant : une enquête, donc un travail et de l’argent. Mais la cliente était jolie et toujours pas de Ryô à l’horizon, c’était bizarre. Quand soudain elle eut une révélation.  

 

- Il n’aurait pas osé ?! il s’est dit que s’il y avait des fantômes, je refuserais et il attend tranquillement que je l’envoie balader pour venir à son secours. Alors là, il se met le doigt dans l’œil ! fulmina-t-elle intérieurement  

 

Elle allait lui prouver une bonne fois pour toutes qu’elle était digne d’être la partenaire de City Hunter. Elle allait combattre sa peur et lui faire voir comment elle se débrouillait sans lui.  

 

Après avoir accepté l’affaire, Kaori donna rendez-vous à sa cliente un peu plus tard afin que cette dernière l’emmène sur le site pour y déceler la moindre trace de sabotage. Elle quitta le café en saluant son ami qui lui indiqua qu’il avait aussi repéré le mec bizarre puis fila récupérer quelques affaires pour préparer son expédition.  

 

Pendant le trajet, Kaori se demandait où était passé Ryô. Quand elle est passée à l’appartement, il n’y était pas, elle avait juste entendu un grondement sourd à l’intérieur mais en ouvrant la porte elle n’avait trouvé qu’une pièce vide. C’était étrange et même si elle se disait qu’il la mettait à l’épreuve et qu’il n’était sûrement pas bien loin, ce n’était vraiment pas son genre de laisser passer une occasion de draguer. Elle en était là de ses réflexions quand Kaiko lui indiqua qu’elles étaient presque arrivées. En effet, ce n’était vraiment pas loin de la ville et pourtant on se serait cru dans des terres beaucoup plus reculées.  

 

Le terrain était situé au beau milieu d’une vaste plaine. Le paysage aurait été magnifique s’il n’y avait pas eu tout ce grillage et ces trous dans tous les coins.  

 

Kaiko lui fit visiter le site, elle lui montra les différents lieux de fouille. Dans un coin, ils avaient retrouvé de la vaisselle, dans un autre on pouvait voir ce qui avait été un mur, il devait y avoir eu des bâtiments, puis l’archéologue lui montra l’endroit le plus intéressant selon ses dires. On y avait trouvé des ossements et elle était persuadée qu’il s’agissait d’un lieu de sacrifice. Kaori fit un peu la grimace mais continua sa visite sans broncher jusqu’à ce qu’elle voit une sorte de monticule. Kaiko lui expliqua qu’elle pensait qu’il s’agissait d’une sorte de tombeau et qu’elle avait hâte de pouvoir le visiter car cela aiderait sûrement à comprendre qui vivait ici. Kaori fut étonnée qu’elle n’en ait aucune idée mais l’archéologue finit par avouer que jusqu’à présent tout ce qu’ils avaient trouvé n’avait rien à voir avec les différentes peuplades qui avaient vécu sur ce territoire.  

 

Comme la nuit allait tomber, Kaori proposa de se préparer à une nuit de surveillance pour voir ce qui se passait réellement. Kaiko lui indiqua les tentes pour mettre le matériel de recherches et elles s’installèrent. Après un petit encas frugal, elles décidèrent de surveiller à tour de rôle. Kaori prit le premier tour. Quand elle réveilla Kaiko pour prendre le second tour, elle croisa les doigts pour qu’un fantôme ne la réveille pas mais ce fut plutôt un grand fracas qui s’en chargea.  

 

Kaiko n’était pas là, elle prit sa lampe torche et commença à la chercher, elle ne la voyait pas ; seule la lumière de la lune éclairait le site et pas l’ombre d’une autre lampe torche pourtant l’archéologue avait disparu avec la sienne.  

 

Kaori avança prudemment, elle entendait des martèlements. Elle continua et se rendit compte que cela provenait du tombeau.  

 

-J’espère qu’elle n’a pas décidé d’ouvrir ce truc ! fit Kaori pas rassurée du tout.  

 

Elle se rapprocha et vit une ombre gigantesque qui frappait sur le monticule mais bizarrement le bruit était métallique. Elle braqua sa lampe sur ce qu’elle pensait être une personne quand la chose se retourna. Ce n’était pas un fantôme, mais ce n’était pas un humain non plus : Un corps qui faisait penser à un ours, des yeux rouges effrayants et des dents saillantes prêtes à la manger toute crue !  

 

Kaori ne demanda pas son reste et fila à toute vitesse pour essayer d’échapper à ce monstre sorti tout droit d’un film d’horreur et qui avait l’intention de faire d’elle son casse-croûte. Elle courrait à perdre haleine, sentant la bête se rapprocher dangereusement d’elle quand elle entendit le même bruit qu’à l’appartement mais cette fois elle vit comme un clignotement ; ça venait de l’arrière d’une des tentes, elle se demanda ce que c’était et préféra aller voir que d’attendre son poursuivant.  

 

Elle avait à peine passé le coin de la tente qu’elle se retrouva nez à nez avec la même cabine bleue qu’à la gare. Avant qu’elle n’ait eu le temps de réfléchir, la porte s’ouvrit et l’homme qu’elle avait aperçu au café lui tendit la main.  

 

- Besoin d’aide ? lui demanda l’homme au complet marron.  

- C’est pas de refus, répondit Kaori en le suivant à l’intérieur, mais vu l’engin qui me poursuit, je suis pas sûre que vous ayez choisi la planque idéale !  

- Ne vous inquiétez pas, nous ne restons pas ! fit l’homme en costume.  

- Ah bon, et on va où, vous avez des roulettes sur ce truc ? fit Kaori qui fixait la porte d’entrée.  

- Mieux que ça, dit-il en poussant une manette qui fit vibrer l’intérieur de la cabine. Surprise, Kaori se retourna et découvrit qu’il y avait plus de place qu’elle ne le pensait. Et c’est là qu’elle entendit des gémissements dans un coin et y découvrit Ryô.  

- Mais qu’est-ce qu’il fait là ? Que lui avez-vous fait ? Et qui êtes-vous d’ailleurs ? hurla Kaori  

- C’est un peu compliqué, commençons par le commencement. Je suis le Docteur.  

- Il est malade, dit-elle soudain inquiète.  

- Pas que je sache même s’il me paraît un peu bizarre, fit-il avec une grimace.  

- Alors pourquoi est-il là dans votre… euh c’est quoi ce truc ?  

- Un Tardis, fit le Docteur comme si c’était évident.  

- Un quoi ? fit Kaori d’un air interrogatif.  

- Disons que c’est mon moyen de transport, expliqua le Docteur.  

- Et comment il a atterri ici ? demanda Kaori en indiquant Ryô du doigt.  

- Je vous l’ai dit, c’est compliqué… fit-il évasif.  

- Ça, j’ai compris, je vous écoute, je veux savoir ce qui est arrivé à mon partenaire, dit-elle d’un ton qui exigeait une réponse.  

- Eh bien, j’étais parti pour faire une surprise à des amis quand je me suis rendu compte qu’un Sontarien…  

- Un quoi ? interrogea Kaori.  

- Monsieur Patate, version pas très sympathique, pour faire simple, répondit le Docteur. Il voulait leur faire du mal, donc j’ai programmé le Tardis pour qu’il se positionne juste derrière lui et quand j’ai ouvert la porte avec mon maillet pour le surprendre, je suis tombé sur votre ami, il était devant le tableau d’affichage et relevait quelque chose sur un bout de papier, soudain il s’est retourné vivement en criant « ah non pas la massue !».  

- Vraiment ? fit Kaori en pouffant de rire.  

- Heureux que ça vous amuse, mais imaginez ma tête, je ne comprenais rien et puis il me regarde attentivement et dit « Kaori ? C’est toi ? T’es devenu un mec ? » et il s’est évanoui.  

- QUOI !!!!! Il a dit quoi ? fit-elle avec un ton pas du tout amusé.  

- Je viens de vous le dire, je n’ai toujours rien compris d’ailleurs, fit le Docteur.  

- Il va me le payer, Ryô !!!!!!!!!!! fit-elle en attrapant l’intéressé par le col et en le secouant comme un prunier.  

- Hum, laisse-moi dormir, Kaori, j’ai fait un cauchemar et j’ai encore envie de dormir.  

- Tu te fous de moi, debout espèce d’imbécile, t’es même pas dans ton lit !!!!  

- Hein ? fit Ryô tout en ouvrant les yeux et en découvrant tour à tour Kaori et le Docteur au-dessus de lui. Il fit un bond arrière. C’était pas un rêve ?  

- Non, firent en chœur le Docteur et Kaori.  

- Donc tu n’es pas devenu lui, ouf ! fit-il en rigolant.  

- Je ne vois pas ce qu’il y a de drôle ! fit Kaori d’un air méchant.  

- C’était juste une méprise, il avait une massue et comme tu es la seule personne que je connaisse qui en ait une, alors…  

- Alors la seule chose qui t’es passé par la tête c’est que j’étais devenu un mec, t’es vraiment insupportable !! hurla-t-elle avant de l’encastrer dans le sol d’un coup de massue.  

- Ca sort d’où cet engin ? fit le Docteur en enfilant ses lunettes pour l’étudier, c’est vraiment extraordinaire et vous le maniez avec une telle dextérité. Par contre si votre ami a confondu ce chef d’œuvre avec mon maillet il est évident que nous ne jouons pas dans la même catégorie fit-il en sortant un petit marteau de sa poche avec un grand sourire auquel Kaori ne put s’empêcher de répondre.  

- Trêve de plaisanteries, fit Kaori. Après avoir récupéré Ryô, pourquoi vous m’avez suivi partout ?  

- Je ne savais pas qui était votre ami, j’ai bien cherché dans les bases de données, inconnu au bataillon !  

 

Elle aurait pu lui dire qu’il ne risquait pas de trouver quoique ce soit vu que Ryô n’avait pas d’existence légale mais elle préféra continuer d’écouter le récit de son nouvel ami.  

 

- Soudain le Tardis a ouvert une fenêtre sur vous. Vous vous souvenez quand vous êtes venu à votre tour au panneau ? lui indiqua le docteur.  

- Effectivement, mais après je vous ai vu au café, et vous êtes aussi passé à l’appartement, j’ai entendu le bruit de votre machine.  

- J’essayai de comprendre pourquoi lui, pourquoi vous, il m’arrive d’atterrir dans des endroits imprévus mais j’avoue qu’au Japon c’est rare.  

- Et alors vous avez trouvé une explication ? demanda Kaori.  

- Sur le pourquoi de notre rencontre, toujours pas. Le seul point positif est d’être arrivé au bon moment pour vous sauver d’un extra-terrestre un peu en colère, enfin pour l’instant.  

- C’était ça sur le site, un alien ?  

- En effet, répondit le Docteur.  

- Une idée sur la raison de sa présence ?  

- Aucune, j’ai croisé pas mal de choses au cours de ma longue vie mais jamais comme celle-là. J’ai lancé des analyses, nous aurons bientôt la réponse.  

- Votre grande vie, mais vous êtes qui, Docteur ? Un chasseur d’extraterrestres ?  

- Oh que non ou alors je devrais me chasser moi-même ! dit-il avec un grand sourire.  

- Qu’est-ce que vous voulez dire ?  

- Que c’est un grand malade intervint Ryô tout en essayant de s’extirper du sol.  

- Dit l’homme qui s’est fait écraser par une massue géante et qui en sort sans aucunes cicatrices, rétorqua le Docteur.  

- Question d’habitude, j’y ai droit 15 fois par jour et puis je n’ai pas besoin d’inventer des histoires pour emmener les filles dans les étoiles, moi !  

- Des histoires ? fit le Docteur d’un ton outragé.  

- Si Kaori croit encore aux contes de fées, c’est loin d’être mon cas!  

- Vous voulez bien aller jeter un œil par la porte pour voir si c’est sans danger ? demanda le Docteur à Ryô.  

- Ah, on reconnaît enfin qu’on a besoin du courage de City Hunter !  

- Qui ça ? fit le docteur pendant que Ryô se prenait un corbeau sur la tête.  

- Alors voyons voir, où sont les vilains méchants extraterrestres ? fit Ryô en ouvrant la porte et en se retrouvant pendu dans le vide, accroché à la poignée. Eh, mais c’est quoi cette blague, on est où ?!  

- Regardez en bas, fit le Docteur.  

- Quoi en bas, qu’est-ce qu’il y a en bas ? Non, vous déconnez c’est pas…  

- Si c’est elle, fit le Docteur avec un sourire.  

- Qui ça ? fit Kaori en s’approchant. C’est la Terre !  

- Eh oui, la seule et unique, rétorqua le Docteur.  

- Mais vous êtes qui ?? firent en chœur Ryô et Kaori.  

- Je suis le Docteur, je suis un seigneur du temps, je viens de la planète Gallifrey et j’ai plus de 900 ans. Maintenant arrêtez de faire le guignol et remontez à bord, Monsieur Hunter !!!  

- Trop cool, votre truc, fit Ryô en retournant vers le Docteur, vous l’avez trouvé où, je veux le même, c’est un vrai piège à minettes !  

 

Et c’est à ce moment-là que le Docteur eut une expérience vraiment nouvelle pour lui, il tomba à la renverse en se demandant s’il n’était pas tombé chez des fous furieux.  

 

 


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