Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prose

 

Auteur: yunalescaminnie

Beta-reader(s): Kitty80

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 1 chapitre

Publiée: 10-06-08

Mise à jour: 10-06-08

 

Commentaires: 14 reviews

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RomanceSongfic

 

Résumé: Ryo et Kaori sont en couple depuis 1 an... Et Ryo a pris une décision qui va changer toute sa vie... Si vous voulez savoir cette décision, je vous invite à venir la découvrir... (lol)

 

Disclaimer: Les personnages de "Quand tu m'aimes" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Astuces & Conseils

Que veut dire HFC?

 

C'est le nom du site. HFC = Hojo Fan City.

 

 

   Fanfiction :: Quand tu m'aimes

 

Chapitre 1 :: Quand tu m'aimes

Publiée: 10-06-08 - Mise à jour: 10-06-08

Commentaires: Coucou, Me revoilou avec une nouvelle songfic ;). Je remercie Grifter, Saoria, Kaori62, Ma Stella, ma p'tite puce RKever et ma Béta d'enfer Kitty80 pour vos reviews concernant ma toute première fic. vos coms m'ont fait extrêmement plaisir et m'ont poussé à continuer. Un p'tit message à ma patronne que j'adore et qui m'a promis de tenir toto en laisse (mdr) et que je nommerai Kitty80... Bon je vous laisse découvrir cette p'tite fic qui j'espère vous plaira. A bientôt, Gros Bisou... Yuna ;)

 


Chapitre: 1


 

Dans un immeuble de brique rouge, situé à Shinjuku au Japon, un couple se prépare à fêter leur premier anniversaire de vie commune en tant que couple à part entière.  

 

L’homme a décidé de faire une surprise à sa compagne en lui offrant une soirée des plus romantiques, avec en premier lieu un diner aux chandelles dans un excellent restaurant français, suivi d’une ballade le long du port et ils termineront cette nuit idyllique dans un pub où le cadre est des plus beaux et des plus magnifiques.  

 

Cette soirée a pour l’homme aussi pour but d’annoncer à sa compagne une décision qu’il vient de prendre et qui sera un tournant dans leur vie et cela à jamais.  

 

Cet homme se nomme Ryô SAEBA, c’est le tueur numéro un de tout le Japon et on le surnommait également « Etalon de Shinjuku ».  

 

Je dis bien « surnommer », car depuis qu’il a avoué ses sentiments à sa compagne, il a cessé de courir de femme en femme et de passer ses nuits dans ses cabarets, à part quand il a décidé de la mettre en colère et qu’il veut revoir sa très vieille amie la Massue, car son ange comme il aime l’appeler est des plus jalouses dés qu’elle voit une femme approcher de lui, quoique lui aussi n’est pas en reste non plus car il serait prêt à tuer tous les hommes qui aborderaient sa femme, car oui, notre ancien étalon est d’une possessivité écrasante et surtout fou de jalousie.  

 

Cet ange qui a réussi à le changer n’est autre que la sœur de son meilleur ami décédé il y a bientôt 10 ans. Elle est devenue après la mort de son frère, sa partenaire, son nom c’est Kaori MAKIMURA.  

 

Et dire que pendant prêt de 8 ans, il a muselé son amour pour elle, car il ne voulait pas que cet être qui avait une telle innocence et une pureté de cœur sans égale entre dans son monde de ténèbres, mais hélas ou heureusement pour lui son cœur a eu le dernier mot sur ce combat que se livraient son cœur et sa raison.  

Et depuis ce jour, il est le plus heureux des hommes, que le ciel est bien voulu lui laisser vivre ce doux délice d’être aimé par cet ange.  

 

Rien qu’à la pensée de son Ange, un sourire radieux apparait sur le visage de Ryô, car depuis, que Kaori est dans sa vie, tout à changer chez lui. Il est passé de tueur sans âme, à un homme qui a appris à écouter et à ressentir ce que lui dictait son cœur, et tout cela grâce à elle.  

 

• Kaori, mon amour ! Tu es mon oxygène dans cette vie de noirceur ! pensa-t-il  

 

Il est actuellement entrain de patienter dans le salon pendant qu’elle termine de s’habiller, pour la soirée romantique qu’il a préparé rien que pour elle.  

 

Tandis qu’il attendait sa belle, Ryô entendit une chanson qui passait sur les ondes et se mit à l’écouter attentivement, il pu percevoir tout l’amour que le chanteur essayait de faire ressentir à travers les paroles, cette chanson résumait très bien ce que lui éprouvait pour son ange.  

 

Fébrilement je t’attends,  

Je suis en manque de toi,  

Je me languis de ton parfum,  

 

C’est vrai que depuis, que je t’ai enfin avoué mon amour Kaori, chaque minute écoulée loin de tes bras me rends fou, je ne peux plus me passer de toi.  

 

Sentir ta bouche effrontée,  

Épousée tous mes rêves,  

Dans un délicieux va et vient.  

 

Depuis que j’ai gouté tes lèvres fruitées, je me suis senti poussé des ailes, car mon rêve de pouvoir t’embrasser s’était enfin réalisé. Notre premier baiser a été le plus grisant, car tu y répondais avec tout l’amour que tu avais pour moi.  

 

Retenir nos élans pour que la nuit n’en finisse pas,  

Tout oublier, (tout oublier),  

Sous mes doigts impatiens trouver ta voie sacrée  

 

Et après ce premier baiser, le second a été l’abandon, je me suis mis à te caresser sensuellement.  

Tu y répondais avec tant d’ardeur, que c’est vrai, je ne voulais pas que cette soirée se finisse et surtout je souhaitais oublier mon monde. Non, notre monde, puisque tu avais choisis à cet instant de te lier à jamais à moi.  

Et ce fut ce soir là que nous avons sellé notre destin en nous unissant corps et âme.  

 

 

Je n’ai qu’un pays celui de ton corps,  

Je n’ai qu’un péché ton triangle d’or,  

Je découvre en toi toutes les audaces – Quand tu m’aimes !!!  

 

C’est vrai mon amour, que tu es faite pour l’amour. Surtout pour mon amour !!!  

Car, tu es si belle, quand tu te sens aimé. Tu me fais percevoir des sensations, que toi, seule peut me faire ressentir. C’est également vrai que dorénavant mon pays, c’est toi et toi seule !!!  

 

Lorsque tu dénoues tes jupons soyeux,  

Moi je m’engloutis au fond des tes yeux,  

Ta gorge étincelante, tes bruits sont secret – Quant tu m’aimes !!!  

 

Et lors de notre première nuit, après que tu m’es enlevé mes vêtements, tu n’as pas voulu que je le fasse pour toi.  

Et là, j’ai eu droit à un effeuillage dans les règles de l’art.  

Je ne pensais pas mon Ange, que tu pouvais être aussi sensuelle et tentatrice, Où était passé ma douce et timide Kaori qui rougit au moindre petit compliment.  

Là, je venais de découvrir une nouvelle partie de toi que je ne connaissais pas et à cet instant mon envie de te faire mienne s’était faite plus puissante.  

Et lorsque que mon regard a croisé le tien si pleins d’amour et de désirs, je me savais perdu d’avance, car je savais que je ne pourrais plus jamais me passer de toi.  

 

Je ne pense plus qu’à me perdre,  

Au plus profond de toi,  

Et ta peau manque à ma peau,  

 

Et aujourd’hui, tu es à moi pour toujours et cela fait déjà un an que l’on vit complètement notre amour.  

Je ne suis jamais rassasié de toi. C’est presqu’à en devenir fou !!! Je t’aime à un point que je ne soupçonnais même pas.  

Et, je n’ai qu’une hâte que cette soirée se termine et que nous puissions de nouveau fusionner comme ce matin car je ne peux plus vivre mes journées sans pouvoir de toucher ou te caresser !!!  

 

J’ai perdu le sommeil et je n’arrive plus à travailler,  

Je n’en peux plus ; (Je n’en peux plus),  

Je paie le prix que paie le vice à la vertu.  

 

C’est vrai que quand tu es avec moi sur le terrain, je ne pense qu’à toi et plus à la protection de notre client. J’ai toujours peur qu’il t’arrive quelque chose. Bien que, je sais qu’aujourd’hui, tu peux de défendre seule, grâce à mes cours et à ceux de nos amis.  

Mais, je ne peux pas m’empêcher de trembler pour toi car, tu es ma raison de vivre mon Ange et je préfère souffrir mille morts que de vivre dorénavant sans toi.  

Et, je sais également que c’est de la folie de penser ça, car j’aurai du me déclarer bien avant, mais que veux-tu mon Ange, je suis un lâche et un grand timide dés qu’il s’agit de toi !!!  

 

Je n’ai qu’un pays celui de ton corps  

Je n’ai qu’un péché ton triangle d’or  

Je découvre en toi toutes les audaces – Quand tu m’aimes !!!  

 

Dorénavant, je n’ai plus rien à t’apprendre sur l’amour charnel, c’est toi aujourd’hui qui m’apprends à aimer et ressentir avec mon cœur plutôt qu’avec ma tête. Tout cela est nouveau pour moi mais toi, seule, sais me comprendre, surtout quand je fais le pitre devant nos amis pour ne pas trop dévoiler la flamme et la passion ardente qui brûle en moi.  

Je le dis encore une fois, c’est toi mon pays !!!  

 

Je souscris à tous ces plaisirs sublimes,  

Mais, soudain tu trouves la caresse ultime,  

Qui arrache en moi, un cri de victoire – Quand tu m’aimes !!!  

 

Mais, c’est également vrai Kaori, que tu apaises mon âme quand mon passé refait surface.  

Et quand on est que tous les deux, tes caresses d’une douceur infinie et la volupté que tu me fais ressentir quand nous faisons l’amour me donnent du baume au cœur et je me sens ainsi revivre.  

 

Et, je t’aime encore plus chaque jour qui passe !!!  

Et ce soir, je m’apprête à te demander de te lier à moi pour l’éternité, je te fais le serment, qu’il n’y aura que toi, et que toi dans ma vie et pour toujours.  

 

Je n’ai qu’un pays celui de ton corps,  

Je n’ai qu’un péché ton triangle d’or,  

Je découvre en toi toutes les audaces – Quand tu m’aimes  

Lorsque tu dénoues tes jupons soyeux,  

Moi je m’engloutis au fond des tes yeux  

Ta gorge étincelante, Tes bruits sont secrets – Quant tu m’aimes  

 

Je souscris à tous ces plaisirs sublimes  

Mais soudain tu trouves la caresse ultime  

Qui arrache en moi, un cri de victoire – Quand tu m’aimes  

 

Ryô écouta la fin de la chanson et ressenti un besoin violent d’avoir sa compagne près de lui et de la faire sienne là maintenant. Il sentait que la soirée allait se passer dans leur appartement, car il ne voulait pas partager sa belle avec d’autre.  

Cette chanson avait réveillé toute la passion qu’il avait pour elle, ainsi que son envie d’elle qui devenait de plus en plus forte.  

 

Tellement pris dans ses pensées et dans les paroles de la chanson qu’il venait d’entendre, il ne perçu pas Kaori arriver dans le salon.  

 

Cette dernière fin prête pour cette soirée avec son homme, était arrivée dans le salon et le contempla avec une flamme dans le regard qui confirmait l’amour qu’elle avait pour lui.  

 

Il était vêtu d’un pantalon noir en tergale, avec une chemise blanche dont deux boutons étaient restés ouvert et qui laissait apparaître le début de son torse puissant et une cravate en soie noire mise au tour de son cou de façon décontracté, le rendit encore plus craquant (NDB : c’est clair que l’imaginer comme ça, ça doit donner des idées pas très claires…mdr).  

Déjà qu’il dégageait un certain charisme, mais là habillé de cette façon, il était encore plus attirant.  

 

Il est irrésistible, habillé comme ça !! Et en plus, il est à moi et à moi seule se dit Kaori  

 

Kaori le détailla encore plus, car il arborait un air sérieux qui le rendait encore plus séduisant et elle se demandait à quoi pouvait penser son homme à cet instant précis, car, quand il avait cet air sérieux, ça ne présageait rien de bon et Kaori sentit une petite angoisse monter dans le creux de son estomac.  

 

Kaori ne se doutait nullement que c’est à elle que pensait Ryô et que ses pensées étaient toutes belles et non noires comme elle pouvait l’imaginer.  

 

Au bout de quelques minutes, Ryô senti son ange, mais surtout son aura qui était soudainement devenu triste.  

 

Son cœur se serra à ce constat et il se demanda pourquoi son ange était mélancolique.  

 

Ryô se retourna pour savoir pourquoi son ange avait cet aura de tristesse, et il eu un choque en la voyant, car ce n’était pas sa Kaori devant lui mais une déesse.  

 

La jeune femme qui avait désormais les cheveux mi-longs pour faire plaisir à son homme, avait coiffé ses cheveux en un joli chignon compliqué et elle portait une robe en satin noire lui arrivant en dessous du genou.  

 

Cette robe lui allait à merveille et épousait ses courbes parfaites comme une seconde peau.  

 

Pourtant cette robe d’une simplicité déconcertante, met ma Kaori plus qu’à son avantage. Pensait Ryô en son for intérieur  

 

De plus Kaori s’était légèrement maquillée ce qui rendait son regard noisette encore plus envoutant qu’à son habitude et sur ses lèvres elle avait mis un petit brillant qui rehaussait la couleur de sa bouche.  

 

Elle était réellement divine.  

 

Ryô sentit son entre-jambe se réveiller encore plus et il n’avait qu’une envie la dévorer là et maintenant, la soirée pouvait bien attendre.  

 

Mais la petite lueur qu’il vit dans le regard de son ange, lui fit rater un battement. Pourquoi cette lueur de tristesse, et ce petit sourire forcé.  

 

Soudain un silence pesant s’installa entre eux.  

 

Ce fut Ryô qui brisa le silence en se dirigeant vers sa belle et capta son regard.  

 

- Que tu es belle mon Amour. Lui dit Ryô sur un ton plein de tendresse  

 

- Merci !!! Mais, tu n’es pas mal non plus répondit Kaori avec un ton peu convaincu  

 

- Je te remercie, mais je préférerai que tu me le montres mon Ange. Répondit Ryô en s’avançant encore plus vers sa belle  

 

- Mais bien… Bien sur !!!! répondit Kaori  

 

- Tu m’as l’air pas très convaincante mon Ange. Quelque chose te tracasse ? lui demanda Ryô inquiet  

 

Kaori se sentit défaillir et des larmes commencèrent à venir au coin de ses jolis yeux. Ryô le vit et s’inquiéta et lui posa la question de ce qui la tourmentait.  

 

- Kaori qu’est ce qui ce passe ? car quand je t’ai dit que nous allions passer une soirée rien que tous les deux, tu étais sur un nuage et heureuse. Et là je te retrouve avec une mine triste. Lui demanda Ryô  

 

- Je… Je… Je…  

 

- Mon amour, mais qu’il y a-t-il ? parle moi Kaori lui demanda Ryô suppliant  

 

- Quand je suis arrivée dans le salon, je t’ai trouvé irrésistible habillé comme cela, mais quand je t’ai vu avec cet air sérieux, je me suis dis que tu avais sans doute préparé cette soirée dans le but de rompre avec moi, car… Kaori ne put finir sa phrase qu’elle fondit en larme  

 

Ryô n’en revenait pas de ce que pouvait penser sa femme.  

 

Alors il la prit dans ses bras et la berça pendant quelques minutes pour la calmer.  

 

Ce qu’il arriva parfaitement et se dit qu’il allait lui faire part de sa décision là et maintenant.  

 

Il se détacha à contre cœur de Kaori et la regarda dans les yeux.  

Mon dieu, qu’elle était belle avec ses yeux rougis mais il se promit que les prochaines larmes qu’elle verserait seraient des larmes de joies.  

 

Kaori ne comprit pas le geste de son compagnon, mais quand elle croisa son regard noir profond, elle fut scotchée par ce qu’elle y lisait.  

 

Elle pouvait y lire de la détermination, de la tendresse, du désir, et surtout de l’amour. Oui, il l’aimait et elle le savait, mais elle ne pouvait s’empêcher d’avoir peur, qu’il veuille l’éloigner de lui.  

 

Ryô capta son regard et se pencha vers ses lèvres pour un baiser tendre et sensuel où leurs langues se mélangeaient dans un ballet qu’elles seules connaissent.  

 

Ce n’est que le manque d’air qui les sépara et Ryô put voir dans les yeux de sa belle la flamme du désir apparaitre et surtout tout l’amour qu’elle lui portait.  

 

Il devait lui faire part de la décision qu’il avait prise pour leur avenir.  

Donc, il rompit ce contact et se détacha à regret d’elle.  

Il se positionna devant elle et pris ses mains dans les siennes et commença à lui parler.  

 

- Kaori, ça fait un an que nous vivons comme un vrai couple et tu as fait de moi l’homme le plus heureux de monde lui dit Ryô sur un ton doux  

 

Mais il fut coupé par Kaori qui avait peur d’entendre la suite. Il la rassura avec un sourire charmeur qui la fit taire.  

 

- Kaori, je t’en prie ne me coupe pas, s’il te plait. Car tu sais très bien que je ne suis pas doué dans les long discours.  

 

- D’accord Ryô, promis je ne t’interromps plus. Répondit Kaori  

 

- Merci mon amour, lui répondit Ryô en lui volant un baiser  

 

Il reprit son petit discours !  

 

- Donc, je disais ! que nous sommes un couple depuis un an et je suis le plus heureux des hommes.  

Mais vois-tu Kaori, depuis quelques temps je me suis posé plusieurs questions sur nous et notre avenir et j’en suis venu à prendre une décision qui me semble la meilleure pour nous deux. Lui expliqua Ryô  

 

- Ryô !! Tu me fais peur. Tu ne veux quand même pas que l’on se sépare. Lui dit Kaori paniqué  

 

- Mais, non Idiote !!! répondit Ryô sur un ton moqueur et en l’embrassant furtivement sur les lèvres. Tu aurais pu éviter de me ressortir cette bêtise que tu m’as dite plutôt. Car mon geste de tout à l’heure, prouve bien, que je ne veux pas me séparer de toi. Tu m’es vitale Kaori, autant que l’air que je respire. Tu es mon oxygène et mon lien entre le monde normal et le milieu sombre et brutal que nous côtoyons tous les jours.  

 

- Mais alors Ryô, quelle est cette décision que tu as prises pour nous deux. Lui demanda Kaori un peu plus rassurée.  

 

- J’y viens mon amour. J’y viens. Lui dit Ryô en captant son regard.  

 

Il se mit à genou et prit un écrin qui se trouvait dans la poche de son pantalon et l’ouvrit devant Kaori.  

 

Dans cet écrin se trouvait une magnifique bague en or jaune serti d’un Diamant qui étincelait devant la lumière. Kaori était stupéfaite par le comportement de Ryô et surtout devant la beauté de cette bague.  

Elle comprit à ce moment là ce qu’il allait lui demander.  

 

- Kaori, mon amour !! Tu ferais de moi l’homme le plus heureux de la terre, si tu consentais à devenir ma femme.  

Alors, Mademoiselle Kaori Makimura, acceptez-vous d’épouser un homme qui est prêt à mourir pour vous et surtout un homme qui est prêt à vous faire l’enfant que vous désirez tant ? Lui demanda Ryô avec un regard rempli d’amour.  

 

Kaori n’en revient pas !! Son Ryô lui demande sa main et en plus il est prêt à lui faire l’enfant qu’elle désire.  

Elle en reste sans voix, mais ses larmes répondent à sa place. Ryô un peu paniqué par le silence de son ange, commença à avoir un peu peur.  

 

Mais une fois la surprise passée, Kaori se jeta dans ses bras et lui répondit :  

 

- Oui !!! Mille fois oui !!! Mon amour, je t’aime tellement ! Tu viens de faire de moi la plus heureuse des femmes. Lui dit Kaori.  

 

Et elle l’embrassa passionnément.  

 

Ryô, à cet instant précis était le plus heureux des hommes, car il avait la femme de sa vie dans ses bras et en plus elle acceptait sa demande.  

 

Il lui passa l’anneau à son doigt et l’embrassa tendrement mais surtout amoureusement.  

 

Mais ce que le nettoyeur ne savait pas, c’est que Kaori aussi avait une nouvelle à lui annoncer.  

Elle l’avait apprise aujourd’hui et voulait lui faire la surprise pendant leur soirée.  

 

Ils se détachèrent à regret et Ryô murmura à l’oreille de sa future femme que leur soirée allait être remise à demain, car pour ce soir il avait d’autres projets dans l’immédiat pour elle.  

Elle lui sourit, mais lui dit qu’il fallait qu’il patiente encore un peu car elle aussi avait quelques choses à lui dire.  

Il lui répondit qu’il était tout ouï. Kaori se jeta à l’eau et commença à parler.  

 

- Ryô, je ne m’attendais pas à ta demande. Mais tu viens de faire de moi une femme comblée, car le faite que tu veuilles m’épouser est un merveilleux cadeau et en plus que tu acceptes de me faire un enfant, c’est un bonus que je ne pouvais rêver.  

 

- Mais qu’es-ce que tu me raconte Kaori, lui demanda Ryô  

 

- Je dis que c’est un bonus !!! Parce que notre enfant, mon amour est déjà en route lui dit Kaori avec le rouge aux joues.  

 

- Tu es entrain de me dire que nous allons avoir un bébé, c’est bien cela ? Lui demanda Ryô pas très sur de lui  

 

- Oui, mon amour ! je suis enceinte de 2 mois et ce qui veux dire que dans 7 mois nous serons les heureux parents d’un mini Toi ou d’un mini Moi répondit Kaori tout sourire, mais son sourire s’effaça quand elle vit que Ryô ne bougeait plus.  

 

Ryô étant dans un état second, il allait se marier et en plus il allait être père.  

 

Le jeune homme ne réagissait pas, son cerveau avait pété un câble et il se demandait s’il n’était pas dans un rêve éveillé. C’est la douce voix de Kaori qui le ramena à la réalité car elle s’inquiétait vu sa réaction.  

 

- Tu le sais depuis combien de temps. Lui demanda Ryô  

 

- Je le sais depuis ce matin et je voulais t’en faire la surprise ce soir pendant notre soirée répondit Kaori  

 

Là ce fut un Ryô fou de joie, qui enlaça sa femme.  

 

Il allait être père, lui l’ange de la mort allait donner la vie. Il ne pouvait rêver mieux.  

 

Il répondit à Kaori  

 

- Mon amour, c’est le plus beau cadeau que tu pouvais me faire et aujourd’hui je suis le plus heureux des hommes. Lui dit Ryô en la regardant avec une joie mal contenue dans son regard sombre.  

 

Il prit sa femme par la taille et la ramena à lui pour lui donner un baiser des plus fougueux pour lui faire comprendre tout l’amour et la reconnaissance qu’elle lui inspirait.  

 

Une fois le baiser rompu, il l’a prit dans ses bras et se dirigea vers leur chambre, car son désir d’elle était à son comble et il voulait la sentir, la caresser, la toucher et se fondre en elle.  

 

Il voulait lui faire l’amour pour lui montrer qu’il était le plus heureux des hommes et surtout pour sceller leur vie future avec leur mariage et la venue de leur futur enfant.  

 

Kaori n’était pas en reste car elle aussi voulait le sentir en elle, lui montrer tout son amour et également seller cette promesse. Dans les bras de son homme, elle se sentait en sécurité et elle en profita pour parsemer son cou de baiser papillon de temps en temps en lui murmurant des mots tendres.  

 

Quand ils arrivèrent devant leur chambre, Ryô déposa son précieux fardeau afin de pouvoir ouvrir la porte. Une fois cette dernière ouverte, il reprit Kaori dans ses bras et passa la porte qu’il referma d’un coup de pied. Quand il fut dans la chambre, il la reposa et reprit ses lèvres d’assaut. Il ne se lassait jamais de l’embrasser.  

 

Il commença tout en continuant de l’embrasser à lui caresser son dos et à remonter ses mains le long de la fermeture de sa robe, jusqu’à arriver au niveau de la glissière de sa fermeture, il entreprit de lui descendre lentement, même très lentement pour éveiller encore plus son désir.  

 

Kaori poussa des petits gémissements de plaisir face aux caresses de son homme.  

Mais elle ne resta pas inactive non plus et entreprit de lui retirer sa chemise en commençant par lui retirer sa cravate nouée négligemment puis de déboutonner sa chemise doucement, en n’oubliant pas de caresser et d’embrasser son torse à chaque fois qu’elle le découvrait de se tissu devenu de trop.  

Ryô gémissait également faces aux assauts de sa femme, dont les caresses étaient d’une douceur intense, ce qui réveilla encore plus son envie d’elle. Il cessa le baiser pour migrer vers son cou gracile et pour remonter vers le lobe de l’oreille qui commença à mordiller et à sucer tout en lui murmurant qu’elle le rendait fou et qu’il l’aimait.  

 

Kaori venait de déboutonner complètement la chemise de son homme et pris l’initiative de lui retirer complètement, car elle voulait avoir accès totalement à ce torse musclé pour pouvoir le toucher, le caresser et l’embrasser à sa guise.  

 

Elle lui retira et le déshabilla encore plus des yeux, qu’est ce qu’elle l’aimait, c’était à en devenir folle.  

 

Mais sa robe la gênait car elle voulait sentir sa peau contre celle de Ryô et elle lui fit comprendre par le regard.  

Celui-ci fut encore plus électrisé par ce regard et se décida à lui ôter complètement cette pièce de tissu qui était de trop dans leurs ébats.  

 

La robe tomba en silence sur le sol de la chambre, mais Ryô ne s’attendait pas à cette vue de son ange en sous vêtements car Kaori pour faire plaisir à son homme, avait fait un effort en mettant des dessous sexy.  

 

Elle portait un ensemble noir tout en dentelle avec des porte-jarretelles.  

 

Ryô était tétanisé de voir son Ange vêtu ainsi rien que pour lui, car en Un an de vie de couple, elle n’avait jamais porté ce genre de tenue. Bien qu’elle avait refait entièrement refait sa garde robe pour lui, tant que ce soit en vêtements ou en sous vêtements. Il savait que sa timidité l’empêchait de porter ce genre de chose.  

 

Et là, ce soir, elle avait un effort pour lui, pour leur anniversaire. Il l’en aimait encore plus.  

 

Kaori le dévisagea, et fier de son effet se colla plus contre lui et lui murmura que c’était son cadeau d’anniversaire pour cette soirée et qu’elle espérait qu’il lui plaise. Ryô déglutit difficilement face à l’audace de son Ange et se reprit vite en reprenant ses lèvres d’assaut pour un baiser fougueux qui les électrisa tous les deux.  

 

Pendant cet échange, ils se rapprochèrent du lit, où ils tombèrent sans cesser leur baiser. C’est le manque d’air qui les sépara, Ryô regarda Kaori dans les yeux, et lui dit :  

 

- Je t’aime mon Amour  

 

- Je t’aime aussi mon Amour répondit Kaori tout en le fixant dans les yeux.  

 

Ils ne cessaient jamais de s’avouer ces trois mots qui en disaient long sur leur amour mutuel, les caresses et les gémissements ne faisaient qu’amplifier leur désir de l’autre, les préliminaires les frustra fiévreusement, qu’ils fusionnèrent.  

Ce n’est qu’une fois lié à son ange que Ryô se sentit de nouveau couplet, tout comme Kaori. Et c’est ainsi qu’ils commencèrent une danse des plus divines qui les emporta dans un monde qu’eux seuls connaissaient, car ils étaient des âmes sœurs.  

 

Les gémissements des deux partenaires étaient à l’unisson face aux mouvements de Ryô et aux caresses de Kaori. Et c’est dans un même cri, qu’ils atteignirent la délivrance et qu’ils crièrent leur nom respectif.  

 

Ryô s’écroula sur Kaori en prenant soin de ne pas l’écraser et l’embrassa sur le bout du nez en lui disant qu’il les aimait tous les deux, elle et l’enfant. Kaori à cet instant, était la femme la plus heureuse du monde et lui répondit qu’elle l’aimait aussi.  

 

Ryô se redressa légèrement et l’embrassa passionnément. Il se mit à côté d’elle et la prit dans ses bras pour la caler contre lui. Il prit le drap et recouvrit leur corps, ils s’endormirent ainsi en sachant que demain, il serait toujours ensemble, et qu’ils prépareront leur mariage et la venue de leur futur enfant.  

 

Kaori s’était endormi, Ryô la contempla et repensa à la fin de la chanson qu’il avait écoutée plutôt :  

 

Je n’ai qu’un pays celui de ton corps,  

Je n’ai qu’un péché ton triangle d’or,  

Je découvre en toi toutes les audaces – Quand tu m’aimes !!!  

 

Lorsque tu dénoues tes jupons soyeux,  

Moi je m’engloutis au fond des tes yeux  

Ta gorge étincelante, Tes bruits sont secrets – Quant tu m’aimes !!!  

 

Je souscris à tous ces plaisirs sublimes  

Mais soudain tu trouves la caresse ultime  

Qui arrache en moi, un cri de victoire – Quand tu m’aimes !!!  

 

Et c’est vrai peu importe les douleurs, tant qu’on a la femme de sa vie dans ses bras.  

 

Et c’est sur un dernier Je t’aime murmurer à sa douce endormi que Ryô rejoignit le pays des songes où ses rêves allaient être peuplé d’anges aux yeux noisettes et aux yeux sombres.  

 

 

 

Titre de la chanson : Quand tu m’aimes d’Herbert Léonard  

 

 


Chapitre: 1


 

 

 

 

 

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