Chapitre 1 :: un appel dans la nuit ....

Publiée: 16-06-08 - Mise à jour: 16-06-08

Commentaires: euh oui c'est encore moi...bé viens Yuna...entre..sois pas timide!! voilà nous avons décidé ma béta et moi de vous mijoter une fic qui est alternative (KYAHHH!!!) , bé je voulais franchir une nouvelle horizon et comme j'avais une idée en tête bé voilà ze l'ai écrite... z'espère que cette histoire vous plaira (et je sais que les récits comme ceci dénature l'œuvre original de l'auteur...) mais bon je me lance (soyez indulgents avec nous svp)... je tiens à te remercier Yuna car tu fais vraiment un formidable travail et ton soutien me donne du courage pour écrire encore et encore, ze te nem aux abricots.... big Kiss .... un grand remerciements d'avance à toutes celles qui liront cette fic et des bisous vous attendent dans la corbeille près de mon coeur, servez vous à volonté c'est gratuit!!! allez bonne lecture !!!

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CHAPITRE 1  

Des coups de feu résonnent dans une ruelle sombre, dans un quartier situé, pas très loin de Shinjuku, une femme tombe au sol suite à une balle qui la touchée. En voyant qu’il a réussi son coup, l’assaillant prend la fuite.  

Kaori gît dans son sang, la douleur de la balle dans son abdomen lui fait perdre peu à peu conscience. Légèrement ses yeux se ferment, quand soudain, elle entendit une voix douce. C’est la voix d’une femme qui essayait de la rassurer en lui disant qu’elle n’allait pas mourir, et surtout qu’elle avait prévenu les secours qui ne devraient pas tarder.  

Au bout d’une dizaine de minutes, les sirènes de l’ambulance parvinrent aux oreilles de Miki qui essayait tant bien que mal de tenir éveiller la victime qui sombrait peu à peu dans le coma voir sans doute dans la mort.  

La jeune infirmière d’une trentaine d’année avait déjà réanimé Kaori à plusieurs reprises, depuis qu’elle était près d’elle. Miki maudissait ses collègues d’être trop lent dans des moments pareils.  

Soudain, une main tapa son épaule qui la fit sursauter légèrement. Elle se tourna vers l’auteur de ce geste et reconnu son collègue ambulancier mais aussi ami Umibozu.  

- Il faut faire vite cette femme perd beaucoup de sang. J’ai réussi à stopper l’hémorragie avec mes mains !!! Mais il me faut autre chose, car ça saigne toujours. Expliqua Miki à son collègue. Va me chercher des compresses, s’il te plait et vite. Demanda Miki sur un ton d’urgence.  

- D’accord. Répondit Umibozu  

Le géant parti à la voiture et prit la trousse de secours. Il revient près de Miki, suivi de Sangoku un ambulancier qui poussa le brancard près de la victime.  

Miki fit un pansement assez épais à l’aide des compresses pour arrêter le sang qui ne cessait pas de couler. Puis les trois collègues mirent Kaori sur le brancard et la monta dans la voiture.  

Pendant le trajet qui les menaient à la clinique, Miki en profita pour appeler le meilleur chirurgien de l’établissement, mais qui était aussi son meilleur ami. La jeune femme composa le numéro, et au bout de deux tonalités, une voix masculine se fit entendre.  

A l’autre bout du fil, un homme était paisiblement dans les bras de Morphée, quand il entendit son téléphone. C’est avec beaucoup de mal, qu’il atteignit le combiné, car il venait de passer une dure journée et cet appel en pleine nuit n’allait pas lui donner de bonne nouvelle. Il décrocha difficilement l’appareil et émit un :  

- Saeba, j’écoute !!! se présenta l’homme au bout du fil  

- Ryo, c’est Miki !!! se présenta également la jeune femme.  

- Salut toi !!! Dit donc, ce n’est pas une heure pour réveiller le chirurgien que je suis. Salua Ryo avec un ton ironique  

- Je suis désolée, mais j’ai une urgence !! Il faut que, tu te rendes à la clinique immédiatement. Demanda Miki en s’excusant  

- Mais, tu n’es pas sérieuse !!! Y a déjà du personnel sur place, qui peut s’occuper des opérations. Essaya d’expliquer Ryo  

- Oui je sais !!! Ecoutes, je ne t’aurai pas appelé, si ce n’était pas un cas critique. Et, tu es le meilleur dans ce domaine. Se justifia Miki en insistant bien sur le meilleur, car elle savait comment il fonctionnait pour le faire accepter.  

- Toi, tu aimes bien me prendre par les sentiments !!! Ok, j’arrive !! Laisse-moi enfiler une tenue correcte et je serai là dans moins de dix minutes. Répondit Ryo sur un ton taquin.  

- D’accord !!! Mais, fais vite, s’il te plait. Car c’est très urgent !!! rétorqua Miki en redevenant très sérieuse.  

Ryo raccrocha, il regarda à sa droite le corps endormi de sa compagne. Celle-ci ne semblait pas avoir été dérangée par cet appel, enfin, c’est ce que cru Ryo, car, elle remua légèrement et ouvrit les yeux. Elle vit son amant en train de se lever et attraper son pantalon à ras le sol, ainsi que sa chemise.  

La jeune femme ne comprenait pas l’agitation soudaine de son partenaire et lui dit :  

- Mon amour !! Mais qu’es-ce que tu fais ? demanda la jeune femme à son amant d’une voix encore ensommeillé.  

- Ben ça ne se voit pas, je m’habille. Répondit ce dernier.  

- Pour aller où ? osa demander son amante  

- Je vais à la clinique, y à une urgence !!! répondit Ryo  

- Une urgence ? Mais, Mick et les autres peuvent s’en charger ? demanda la jeune femme qui ne comprenait pas pourquoi une telle agitation.  

- Je sais bien ma chérie !!!! Mais, Miki m’a appelé et préfère que ça soit moi qui m’en occupe. Lui expliqua Ryo sans la regarder.  

- Et depuis, quand Miki te donne des ordres ? Ce n’est pas à Kazué de te prévenir en cas d’extrême urgence ? Elle n’est qu’une infirmière à ce que je sache, et, elle n’a pas à décider de ton emploi du temps. Osa répondre la compagne de Ryo sur ton rempli de mépris.  

- Écoute-moi bien, demoiselle !!! Miki est mon amie avant tout, et si elle pense que je dois être en salle d’opération, c’est que cela doit être important. Expliqua Ryo sur un ton qui ne tôlerai aucune objection Sur ce, je te laisse, on se voit demain dans la soirée. Lui dit Ryo en la regardant dans les yeux.  

- Tu ne comptes pas rentrer à la maison dans la matinée ? osa demander sa compagne avec une petite voix.  

- Tout dépendra de la surcharge de travail et puis n’oublie pas ma douce, que je suis le chirurgien en chef. Répondit Ryo avec un léger sourire.  

- Embrasse moi au moins avant de partir !! demanda sa belle avec un large sourire et un regard qui en disait long sur ses intentions.  

- Petite coquine !!! La nuit ne t’a pas suffit, tu veux déjà une autre prolongation à ce que je vois. Répondit Ryo sur un ton taquin et un large sourire sur les lèvres.  

- Si cela ne tenait qu’à moi… osa répondre cette dernière avec une petite voix.  

- Je sais…répondit Ryo qui se rapprocha encore plus de sa compagne.  

Ryo fondit sur les lèvres de son amante, l’embrassant avec beaucoup d’ardeur. Il se détacha d’elle, lui fit un clin d’œil. Il se dirigea vers la porte de la chambre, l’ouvrit et la claqua.  

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