Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prose

 

Auteur: kitty80

Beta-reader(s): Yunalescaminnie

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 1 chapitre

Publiée: 15-02-09

Mise à jour: 15-02-09

 

Commentaires: 14 reviews

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General

 

Résumé: L'angoisse s'insinue lentement dans les veines de Kaori...

 

Disclaimer: Les personnages de "AERYSSE" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: AERYSSE

 

Chapitre 1 :: Où es tu?

Publiée: 15-02-09 - Mise à jour: 15-02-09

Commentaires: Bon dimanche les filles, le soleil semble revenir de jour en jour (super!!), je vous poste un ptit récit que j'ai écrit en deux versions, celle-ci c'est la version soft et la version "lemon" je la mettrai sur le site que Yuna a crée, étant donné que beaucoup de membres n'a pas accès à la session N-17 donc pour celles et ceux qui sont intéressés pour rejoindre son forum qui parle de tous les mangas, allez sur son site; voici l'adresse: http://lafoliedesmangas.forumactif.net/forum.htm biensûr une inscription est demandée mais après vous faites ce que vous voulez... alors n'hésitez pas à venir, à poster vos écrits sur CH ou autres ou de lire et donner votre avis... surtout quand ce moment au box office Miss TOKRA nous fait l'honneur de nous écrire de succulents LEMONS (bave!!!) voilà!! j'ai fini ma publicité! bonne lecture et venez nombreuses!! bisous à tous et à ma bêta que je remercie beaucoup pour ses corrections!

 


Chapitre: 1


 

Je suis assise confortablement dans ce fauteuil de velours, mes yeux rivés sur toi, tu n’es pas encore présent, mais je te parle constamment de mes joies et de mes peines. Avec toi, je me sens vivante, même si la peur de te mettre au monde sans ton père me torture chaque jour l’esprit. A chaque fois qu’il franchit cette porte, une angoisse intense me prend, une envie de pleurer et d’hurler me tiraille du fond de mes entrailles.  

 

Et pourtant, je devrais être habituée à cette situation, mais depuis, que tu fais partie de moi, je ne peux accepter de ne plus le revoir. Le besoin de le savoir près de moi m’est vital, sans lui, je ne pourrai pas surmonter l’avenir.  

 

Notre vie à tous les deux n’a jamais été un cadeau du Ciel, à croire que nous sommes nés pour être maudit. Lui a connu la souffrance de perdre ses parents très jeune, élevé par des gens assoiffés de sang et de mort, il n’a jamais connu de répit.  

 

Meilleur ami de ton oncle défunt, il a su prendre soin de moi, m’intégrant partiellement dans son milieu, d’où la peur de me perdre l’empêchait de m’avouer ses sentiments.  

 

Au début, je le jugeais par son manque de respect envers ma personne, me prenant tantôt pour sa bonne et tantôt pour son punching ball. Et un soir, après avoir arpenté tous les cabarets de notre quartier avec ton oncle Mick, totalement saoul, il est entré dans notre maison faisant un vacarme qui m’a mise hors de moi, lui criant que j’en avais assez qu’il se comporte comme un homme en manque d’amour, qui noie son chagrin dans l’alcool et les bras de ses femmes d’un soir.  

 

Complètement ivre, mais un brin lucide, il m’avait répondu que « c’était le cas ». Et là, je suis restée figer par ces paroles. En aimait-il une autre ? Pourquoi ne lui déclarait-il pas ses sentiments ? Tant de questions traversèrent mon esprit tellement la colère me fouettait la tête.  

 

Je me poste en face de lui, l’oblige à me regarder, même ses yeux embués d’alcool, ne peuvent le trahir, et après toutes ces années passées à ses cotés, j’ai toujours su le cerner et à lire dans ses pensées.  

 

Il me fixe un instant, puis baisse sa tête, tel un enfant prit en faute. Je lui demande pourquoi faut-il toujours qu’il rentre dans cet état d’ébriété ? Il détourne la question avec un sourire béat en me disant que ceci ne me regardait pas, qu’il était majeur, et qu’il était en droit de faire ce qu’il voulait. Je lui répondis qu’il avait raison, mais ce qui m’ennuyais et me mettais en rage, c’est pourquoi faut-il qu’il rentre toujours en me réveillant au passage. Il ne répondit rien puis commença à me faire la morale comme à son habitude, détournant la conversion à son avantage en me blessant au passage par ces phrases assassines dont lui seul, c’est les exprimer savamment.  

 

Peu à peu, je me sens lasse et brisée. Habituellement, je l’aurai corrigé, mais ce soir là, c’était différent !! J’avais une envie irrépressible d’être réconforter, la peine et la douleur de le voir se détruire chaque nuit par l’alcool n’ont fait qu’intensifier ce désir. Après un dernier mot cinglant sortit de sa bouche, je lui assénai une gifle monumentale. Il me fixa d’étonnement, puis je lui hurlai ce qui me tue lentement de l’intérieur, ces simples mots qui sont devenus une délivrance « je t’aime ». Je revois son regard posé sur le mien où j’ai pu y lire de la tendresse mêlée à de la tristesse. Je me hissai sur la pointe des pieds et l’embrassai, au début il ne réagit pas, cet acte le laissa sous le choc, puis je sentis ses bras puissants encercler ma taille, sa bouche s’ouvrit et sa langue vint réclamer délicieusement la mienne.  

 

Ses bras quittèrent ma taille et me soulevèrent de terre, il gravit lentement les escaliers et se posta devant la porte de sa chambre, qu’il ouvrit du mieux qu’il put d’une main. Il se dirigea vers son lit où il me déposa délicatement.  

 

Nos bouches jusque là scellées se détachèrent, il me regarda intensément ce qui me fit rougir, il vint se migrer vers mon cou, remonta jusqu’à mon oreille et me souffla son désir de me voir sienne. Il attendit une confirmation de ma part qui ne se fit pas attendre, car je hochai de la tête affirmant ainsi que j’étais prête à être en sa possession.  

 

Son souffle proche de mon cou me fit défaillir. Il glissa sa langue sur mon épaule dénudée pour descendre progressivement vers la naissance de ma poitrine. Une de ses mains souleva ma nuisette explorant le bas de mon ventre, jouant finement avec le tissu de ma culotte en coton.  

 

Il m’intima en tendant sa main de me relever, ce que je fis et il remonta ma fine robe de nuit jusqu’à ma tête. Je me retrouvai à moitié nue, il ne cessa de me fixer et ce regard a le don de me déstabiliser. Il mit à terre ma nuisette et me recoucha sur ce fin tissu bleu qui était son drap.  

 

Puis progressivement nos mains frôlèrent nos corps cherchant à caresser le désir qui nous attire.  

 

Nos gestes deviennent de plus en plus poussés, mes gémissements face aux effleurements buccaux de Ryô me transportèrent dans un horizon qui m’était jusque là inconnue.  

 

Le souffle court, je me mis à le fixer.  

 

Lentement, il approcha sa bouche vers la mienne et m’embrassa.  

 

A cet instant précis, j’ai senti une douleur, la douleur d’être devenue la femme de Ryô.  

 

Oui, cette nuit là, nous avions scellé nos corps jusqu’à ce que les rayons du soleil surgissent à travers les stores de sa chambre.  

 

 

 

Et ce soir, je suis là, angoissée dans ce canapé à l’attendre.  

 

Cette attente insoutenable me broie le cœur de plus en plus, il devait rentrer depuis plus d’une heure selon Mick, mais là toujours rien.  

 

Je n’en peux plus, je me lève et me dirige vers la porte où j’attrape au passage mon sac et ma veste accrochés au porte manteau.  

 

J’approche ma main de la poignée et m’en accapare pour la tourner, au moment où j’ouvre la porte, il est là devant moi, sain et sauf, le regard plein de tendresse en me voyant.  

 

Il posa sa main sur ma joue pour la frôler, une caresse qui me met du baume au cœur.  

 

Puis délicatement ses lèvres se posent sur les miennes.  

 

Un baiser si doux.  

 

Lentement il se détache de ma bouche et nous nous retrouvons front contre front.  

 

Il murmure dans un souffle qu’il est désolé de m’avoir causé de l’anxiété…  

 

Et tout doucement, il glissa le long de mon corps baisant chaque partie au passage.  

 

Il posta son oreille sur mon ventre arrondi et se mit à te parler…  

 

Durant votre conversation, il te souffla ce prénom qui restera gravé en toi :  

 

« Aerysse** ».  

 

 

** (4° prénom de ma fille)  

 

FIN  

 

 


Chapitre: 1


 

 

 

 

 

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