Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Author: kirari

Status: To be continued

Series: City Hunter

 

Total: 3 chapters

Published: 26-11-06

Last update: 28-01-07

 

Comments: 12 reviews

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GeneralHumour

 

Summary: Lorsque Ryo doit se confronter à ses vrais origines, on est à coup sur vraiment très surpris.

 

Disclaimer: Les personnages de "La marque du passé" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: La marque du passé

 

Chapter 1 :: Une nouvelle vie

Published: 26-11-06 - Last update: 28-12-06

Comments: Voici une nouvelle fic. J’avais envie de faire une fic assez joyeuse où Ryo changerait un peu de vie. Elle ne sera pas trop longue et j’espère qu’elle vous plaira. Bonne lecture.

 


Chapter: 1 2 3


 

Dans une grande maison, au coin du salon, un petit garçon pleure. Lentement, une très belle jeune femme se rapproche de lui.  

« - Ryo ! Pourquoi pleures-tu ?  

- J’ai cassé mon jouet Maman !  

- Ce n’est pas grave, je t’en achèterai un autre.  

- Non c’était papa qui me l’avait offert. Il va être fâcher !  

- Mais non voyons, je suis sure qu’il ne sera pas du tout fâcher. »  

 

Voyant que son fils n’était pas convaincu, La jeune femme prit le petit enfant dans les bras et le câlinait. Presque instantanément Ryo s’arrêta de pleurer. Mais lorsqu’il vit son père arrivé, il recommença de plus bel. L’Homme, toujours surpris de voir son petit garçon pleuré dans les bras de sa mère, demanda le pourquoi de ces larmes. Après quelques brèves explications, il finit par sourire et prit son fils dans ses bras.  

« Tu sais Ryo, un grand garçon comme toi ne devrait plus pleurer pour un simple jouet cassé.  

-Mais tu es fâché.  

- Biensur que non mon chéri. Et soit en sur, je ne serai jamais fâché contre toi. Allez, va mettre tes chaussures, il est temps d’y aller ! »  

 

Montant dans leur voiture, la jeune famille se dirige vers l’aéroport. Dans le hall d’embarquement, le petit Ryo s’amuse pendant que ses parents discutent.  

« Oh Torio! Est-ce bien sérieux de l’emmener avec nous ? Il est encore si petit.  

- Ne t’inquiète pas Fumie. C’est déjà un grand garçon même s’il n’a que 5 ans. Et puis, qu’est ce qu’il ferait ici tout seul dans cette grande maison sans toi.  

- Sa nounou s’en occuperait bien, j’en suis sûre. Nous avons les moyens de lui en trouver une bonne. Pourquoi veux-tu qu’il nous suive ? C’est trop dangereux.  

- Il ne lui arrivera rien.  

- J’espère que tu as raison. Ryo, vient, on y va ! »  

 

Se retournant, le petit garçon courut vers sa mère et prit sa main. De la deuxième, il prit celle de son père et s’avança gaiement dans l’avion.  

 

Quelques heures plus tard, le petit avion dans lequel se trouvait la famille est pris dans des turbulences violentes. Alors que Ryo dort, sa mère le prend dans ses bras, le serrant très fort contre lui, si fort que l’enfant se réveilla. Lorsqu’elle se rendit compte, elle lui sourit.  

« Ryo, chéri, reste bien proche de moi d’accord !  

-Maman, tu pleures ? »  

 

Le petit garçon resta bien coller contre sa mère et sentait ses larmes couler sur lui. Il sentit une grande secousse, sa mère se courber sur lui, puis plus rien. Puis il réouvrit les yeux. Tout fumait autour de lui.  

« Maman, pourquoi y a de la fumée ? »  

 

Mais la jeune femme ne lui répondit pas. Il pensa qu’elle dormait, alors il se dégagea de son étreinte et partit à la recherche de son père. Mais il le trouva également inconscient baignant dans une marre de sang. Désespérément, il retourna vers sa mère pour tenter de la réveiller. Mais plus le temps passait, plus il perdait courage. Et petit à petit, des larmes apparurent sur son visage.  

« Maman ! Je t’en prie, réveille-toi. Maman ! »  

 

*********************************************  

Ryo se réveilla en sursaut. Une fois de plus, il venait de faire un cauchemar. Tentant de recouvrir son calme, il regarda autour de lui et découvrit à ses côtés sa chère compagne endormie. Alors, se recouchant, il l’étreignit fortement au point de la réveiller.  

« Ryo ?  

- Oh ! Excuse-moi. Je t’ai réveillé ? »  

 

La jeune femme se retourna et regarda Ryo dans les yeux. Elle était habituée désormais. Cela faisait presque deux semaines que chaque nuit il la réveillait en l’étreignant ainsi.  

« Tu as encore fais un cauchemar ? »  

 

Aucune réponse ne se fit entendre. Mais Kaori savait bien qu’elle avait touché juste. Alors elle se rapprocha de lui, comme elle le faisait chaque fois depuis deux semaines et l’embrassa tendrement.  

« Ce n’est rien, rendort toi ! »  

 

Ryo retrouva son calme après ce baiser. Comme toujours, et cela durait maintenant depuis 12 ans, seule la jeune femme savait le calmer. Et tandis qu’ils se rendormaient tous deux paisiblement, Il remerciait, une fois de plus, le ciel de lui avoir offert un ange pareil.  

Ryo se rendormit donc, enlacé, entourant sa femme de ses bras puissants. Mais son sommeil fut vite troublé par une petite voix dans son dos.  

« Papa ! Papa ! »  

 

Ryo légèrement endormi, se retourna et jeta un regard étonné derrière lui.  

« Rumi ! Qu’est ce qui ne va pas ?  

- J’arrive plus à dormir ! »  

 

Ryo regarda d’un air attendri le petit bout de chou pas plus haut que trois pommes qui était arrêté avec son petit lapin en peluche dans les bras. Il finit par sourire et par la prendre.  

« Tu veux dormir ici ?  

- Oh oui !  

- Et bien c’est d’accord ! »  

 

Ryo embrassa tendrement sa fille de 4 ans avant de la poser au milieu du lit, entre Kaori et lui. Alors, il les enlaça toutes les deux, comme pour les empêcher de s’échapper.  

 

 

Le lendemain matin, des coups affligés à la porte d’entrée ne manquèrent pas d’attirer l’attention de notre couple de Nettoyeur. Mais alors que Kaori allait se lever, Ryo la stoppa.  

« Reste ici. Veille à ce que Rumi ne se réveille pas. »  

 

Prenant son arme au passage, Ryo descendit dans le salon. Ouvrant la porte, il fut surprit de voir que l’origine de ce vacarme matinale était les coups de deux gros garde du corps. Avant même qu’il ne puisse dire un mot, il s’écartèrent et laissèrent passer une jeune femme très bien faîte.  

« Ah ! Tout de même! Je désespérais ! »  

 

Sans explication, la jeune femme rentra dans l’appartement suivie de ses gardes du corps. Ryo resta de glace.  

« Est-ce que je pourrai savoir qui vous êtes ?  

- Vous devriez vous asseoir, je risque d’être longue. »  

 

Ryo sans broncher s’exécuta.  

« Bien ! Je m’appelle Shizue. Shizue SAEBA.  

- Et donc ? Qu’est ce que cela doit m’apporter ? Je ne vois pas en quoi le faite que vous vous appeliez Shizue SAEBA vous donne le droit de venir me déranger à 7h00 du matin.  

- Oh! Mais j’ai tout les droit. Maintenant que je t’ai retrouvé, je ne te lâcherai plus.  

- Mais… Comment osez vous me tutoyer ? Il me semble que l’on ne se connaît pas assez pour cela. Et je ne crois pas avoir l’honneur de vous compter parmis mes nombreuses conquêtes.  

- Calme-toi Ryo. Si je te dis cela, c’est parce que toi et moi sommes de la même famille. Tu es mon petit frère. »  

 

Le cri qui s’échappa de Ryo fit vibrer tout l’immeuble et ne manqua pas de faire accourir Kaori tenant dans ses bras sa petite fille encore légèrement somnolente.  

« Ryo ! Que se passe t-il, tu va bien ? »  

 

En entrant dans le salon, Kaori regarda à tour de rôle Ryo et la jeune femme qui se tenait devant elle. Elle ne savait pas pourquoi mais elle leur trouvait un air de ressemblance. Lorsqu’elle regarda Ryo et le vit scotché à son fauteuil, le regard fixe et sans expression, elle s’interrogea. C’est alors que la jeune femme, tout sourire aux lèvres, s’avança devant elle.  

« Bonjour ! Vous devez être son associée, Kaori Makimura ? »  

 

Kaori était surprise d’entendre cela. Cela faisait presque 5 ans maintenant que plus personne ne l’avait désigné comme l’associée de Ryo.  

« Pas exactement. Mais oui, je suis bien Kaori Makimura.  

- Enchanté de vous rencontrer. Je suis Shizue Saeba, la sœur de Ryo.  

- Sa sœur ? »  

 

Kaori jeta un regard interrogateur sur Ryo et lorsqu’elle croisa son regard, elle comprit que lui aussi était totalement dépassé par la situation.  

 

 


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