Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Author: Kaori4ever

Status: Completed

Series: City Hunter

 

Total: 2 chapters

Published: 17-06-08

Last update: 11-08-08

 

Comments: 17 reviews

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GeneralRomance

 

Summary: Ryo, par un concour de circonstance, se retrouve direct en prison ^^ ( fic alternative :) )

 

Disclaimer: Les personnages de "Ryo Saeba, prisonnier d'un jour" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Ryo Saeba, prisonnier d'un jour

 

Chapter 1 :: Ryo en prison ?!!

Published: 17-06-08 - Last update: 17-06-08

Comments: Nda : Coucou ! Voilà, sur un coup de tête aujourd’hui je vous poste ce chapitre ! Je l’ai écris y’a 150 ans, en plusieurs fois, quand l’inspiration me venait .. Mais j’hésitais à le poster. Je trouvais l’idée nulle, mon style d’écriture catastrophique … Rkever, le chapitre dont je t’ai parlé, tu t’en souviens ? Eh bien le voici ! ^^ J’aimerais bien avoir vos avis, j’espère sincèrement que ce « regroupement d’idée » comme j’en ai l’habitude de faire vous satisfera. C’était censé être un one shot, qui est devenu hyper méga long, puis ensuite .. Eh bien , j’ai toujours pas écris la fin ^^ :p Bientôt bientôt. Pour mes autres fics ( les colocataires et Passé inattendu [ écrit avec ma très chère Rkever que j’aiiiimeuhhh ! ] ) ne vous inquiétez pas, la suite arrive ! Dans une semaine : mon brevet. Puis après, je serais libre comme l’air ! Youpi ! ^^ Mille bisous à tout le monde, les reviews laissés sur les fics me font extrêmement plaisir ! Et bonne lecture ! J

 


Chapter: 1 2


 

Prison de Shinjuku  

Tokyo.  

 

- Et merde ! C’est pas vrai !  

 

Un homme était dans sa cellule de prison, contre la grille qui le séparait de sa liberté.  

Il était à bout de force et très en colère contre lui-même.  

Comment avait-il pu se faire prendre aussi facilement ? Lui qui était un des meilleurs dans le milieu, malgré le fait qu’il ne soit encore qu’un nouveau, venait de se faire prendre facilement par un flic de pacotille.  

 

- Comment ai-je pu en arriver là ?  

 

Il s’assit sur ce qui lui servait de lit, se prit la tête entre les mains et réfléchit….  

 

Au fond, il n’avait rien fait de mal, il n’avait tué personne…mais il était quand même contre la loi, il devait se l’avouer.  

 

Ryo, car il s’appelait ainsi, s’était installé il y a peu au Japon, plus précisément Shinjuku, le quartier le plus malfamé de Tokyo…  

 

- C’est cette foutue femme qui m’a coincé !  

 

****************  

 

Ryo était nettoyeur. Son code pour le contacter se résumait aux trois lettres XYZ et un numéro de téléphone. Ainsi il prenait contact avec la personne et décidait s’il acceptait le travail ou non. Il était au mieux garde du corps et au pire tueur à gages. Mais c’était bien rare pour lui d’accepter d‘être tueur à gages, il ne voulait que justice dans ce bas monde.  

 

Le client était une femme. Elle voulait récupérer le papier qui prouvait que sa maison était bien à elle. Son mari étant mort, sa belle mère faisait tout pour la mettre à la porte. Un jour la vieille femme en a trop fait, et elle a voulu remettre les choses dans l’ordre. Manque de peau le papier qui prouvait que la demeure lui appartenait avait disparu. Mais elle en était sûre : c’est elle qui lui a volé le certificat.  

 

Ayano Nahime s’appelait-elle. La faiblesse de Ryo était bien celle d’aimer les femmes. C’est ce qui lui a causé sa perte. Une princesse comme lui indiquait son nom, « Hime »… Il ne pouvait rien lui refusait !  

Il accepta sans se poser plus de question, sans savoir non plus que le piège venait de se refermer sur lui…  

 

****************  

 

Ryo sortit de ses réflexions en entendant la grille s’ouvrir. Quel ne fut pas son étonnement en voyant une jolie jeune femme avec des menottes entrer dans son « dortoir ». Les deux officiers qui la tenaient la poussèrent à l’intérieur après lui avoir enlevé ses menottes, puis refermèrent la serrure.  

Elle se releva non sans mal et s’épousseta. Elle regarda autour d’elle, et c’est à ce moment qu’elle aperçut l’homme déjà présent. Elle n’en parut pas pour autant étonnée, et partit s’asseoir sur l’autre lit présent. Elle soupira longuement, puis s’allongea.  

 

Les mains derrière la tête, elle fermait ses yeux apparemment remplis de fatigue.  

Mais elle sentit deux autres yeux qui l’observaient, et tourna la tête vers ceux-ci.  

 

Ryo avait observé la jeune femme tout le long très sérieusement, se demandant ce qui la menait dans une cellule de prison. Elle n’avait en rien l’air d’une délinquante, au contraire elle paraissait être un ange. Seule sa tenue vestimentaire pouvait faire penser qu’elle se prenait pour un voyou, mais c’était tout le contraire.  

Cheveux bruns aux reflets roux et coupés courts à la garçonne, jeans usé et pull trop large qui cachait sûrement quelque chose de précieux…  

 

« quelque chose de précieux… » Rien que cette pensée faisait baver Ryo. Il regardait fixement l’endroit tant convoité. Sa libido légendaire le traînera vraiment partout, même en prison !  

 

Quand elle tourna la tête, la jeune femme prit peur. Cet homme à l’autre bout de la pièce la matait ! Elle devait empêcher ça ! Elle resserra ses mains sur sa poitrine après avoir prit une de ses chaussures pour la lancer sur l’individu.  

Ryo se retrouva le nez aplati sur son lit.  

 

*********************************  

 

La maison du cambriolage était une grande demeure. Un grand portail à l’entrée, un jardin recouvert de pièges et d’alarmes pour les intrus, que Ryo désactiva aussi facilement que cela paraîtrait impossible pour d’autres.  

Sa cliente l’accompagnait, ils étaient tout les deux habillés en tenue de voleurs. Elle paraissait très adroite au déplacement sans faire de bruits, comme si elle l’avait fait toute sa vie. Ryo le remarqua mais n’y fit pas très attention.  

Quelques gardes par-ci par-là, que Ryo endormit en un simple coup de poing ( nda : lol, si j‘ai sommeil j‘appelle Ryo à la rescousse ! Il m‘endormira avec un bon coup de poing…hum… super pour la tronche au réveil ! ^^ ). Elle connaissait la maison par cœur, et Ryo la suivait dans leur avancée. Ils étaient depuis longtemps entrés dans la demeure, il restait donc à trouver la pièce où le document a été caché.  

 

**********************************  

 

Ryo se massa le nez. C’est qu’une chaussure ça risque pas de faire mal, mais quand elle est lancée avec une force comme celle là, il vaut mieux l’éviter !  

Il jeta un regard boudeur à la jeune femme, et se réinstalla bien sur son lit. Allongé, les bras derrière la tête, il l’observait du coin de l’œil.  

 

- Comment tu t’appelles ? Lança alors tout à coup Ryo.  

 

La jeune femme le regarda, d’abord étonnée, puis tourna le visage à l’opposé de lui.  

 

- Je ne vois pas pourquoi je te le dirai. Finit-elle par lui répondre d‘un ton ferme et légèrement agressif.  

 

Il est vrai qu’il ne s’attendait absolument pas à cette réponse, et il parut un peu déçu. Mais ce qui le réconforta, c’est d’avoir eu l’occasion d’entendre la voix de la jeune femme, qui était vraiment très douce…  

 

Ryo ne préféra pas répondre à cette question. Ce serait répondre à son agressivité, et cela pourrait se finir mal. Et ce n’était pas ce qu’il désirait le plus.  

 

Il essaya quand même de relancer la conversation.  

 

- Depuis quand les cellules de prison sont mixtes ?  

 

L’autre personne présente dans la pièce esquissa un sourire.  

 

- Généralement elles ne le sont pas… On va dire que je suis un cas assez…particulier.  

- Pourquoi donc ?  

- Secret.  

 

Silence…  

 

Dans la cellule régnait un calme plat, presque écrasant et étouffant, jusqu’à…  

 

- Kaori.  

 

Ryo ne comprit pas tout de suite.  

 

- Quoi ? Dit-il  

- Kaori… Je m’appelle Kaori. Déclara alors la jeune femme, avec quand même un léger rose aux joues, qu’elle cacha en tournant la tête.  

 

Ce qui fit évidemment sourire Ryo.  

 

- Et moi Ryo. Ryo Saeba.  

- Je sais. Répondit alors soudainement la jeune femme.  

 

Là Ryo eu un regard très méfiant.  

 

- Comment ça, « je sais » ?  

- Secret. Répondit encore Kaori du tac au tac.  

 

« Si je comprends bien, il y a énormément de secret chez cette femme. »pensa Ryo. « Comment connaît-elle mon nom ? Pourquoi est-elle un cas particulier ? » se questionna intérieurement encore une fois l’homme aux cheveux bruns.  

 

*************************************  

 

Ça y est, lui et sa cliente avait atteint enfin l’endroit convoité : la pièce où se trouvait cachée, d’après les indications, la preuve de l’appartenance du lieu.  

 

Ryo est un expert. Et il a tout de suite compris que des gens d’une famille riche et noble comme celle-ci n’avait nulle part d’autre pour cacher leur bien que derrière un tableau, dans un mur. Il n’y avait qu’un tableau, il n’eut pas à chercher longtemps.  

 

Très délicatement il souleva le tableau, et le posa sur le lit juste à côté, sous l’œil attentif de sa cliente.  

Se trouvait alors un coffre-fort.  

Il sortit alors de sa poche des écouteurs, ceux qu’avaient les docteurs pour écouter les battements de cœur de leur patient, et le colla contre le coffre pour pouvoir entendre les cliquetis du cadenas. ( nda : BREF, on le voit dans toutes les Séries TV, tout les films policiers, alors c’est pas nouveau, hein ? ^^ )  

 

Un coup à gauche, deux coup à droite… ça y est, il avait trouvé !  

Il eut d’abord un petit sourire en coin, et avant d’ouvrir le coffre, se tourna vers sa cliente.  

 

« - Alors, jolie demoiselle, à quel genre de récompense aurais-je droit ? » Commença-t-il tout en s’avançant langoureusement vers la personne.  

 

Ayano sourit.  

 

« - Eh bien… à ça ! » Lui répondit-elle, en sortant un boîtier de sa poche. Elle appuya sur le bouton, et toutes les alarmes de la maison s’activèrent. D’un geste brusque elle poussa Ryo sur le côté, et ouvra le coffre.  

 

Quel ne fut pas l’étonnement de Ryo, quand il s’aperçut que le coffre ne contenait pas la preuve, mais un gros sac remplie de bijoux, et une valise pleine de billet ! Il n’eut pas le temps de faire quoi que ce soit, que la jeune femme lui faufila une liasse de billet dans la poche et un collier en or, avant de s’en aller brusquement par la fenêtre.  

 

Et juste avant de sauter, elle lui lança :  

 

- Merci beaucoup cher Ryo chouchou ! Grâce à toi j’ai pu reprendre l’argent de ma belle-mère, et je n’aurais pas besoin d’aller en prison ! Je te souhaite bonne chance avec tous les gardes ! Bye bye !! Hahahahahahaha !!  

 

Et elle sauta par la fenêtre, et disparu dans le noir.  

 

Ryo était abasourdi, il n’avait pas eu le temps de réagir ! Et il s’était fait avoir par une simple femme ! Quel humilité pour lui, un grand nettoyeur, de s’être fait avoir de la sorte !  

 

Il voulu s’enfuir, mais c’était trop tard. Déjà des pas résonnaient dans toute la maison en sa direction, et pleins de gardes attendaient en bas de la fenêtre par laquelle Ayano s’était échappée.  

 

Ryo se retrouvait comme un enfant perdu. Ce n’était pas son style, lui qui était toujours sûr de lui, jamais il ne s’était fait avoir de la sorte. Il n’eut pas le temps de ruminer encore plus qu’une voix le sortit de ses pensées :  

 

- Cela fait bien longtemps qu’on ne s’est vu, n’est-ce pas …  

 

Ryo déglutit, et se retourna vers la voix.  

 

- … Ryo Saeba !  

- L…Le…Le flic !  

 

************************************  

 

- Sinon… à part tes « secrets », tu n’as rien à dire ? Questionna Ryo à Kaori. Par exemple, pourquoi es-tu ici ? Rien qu’à te voir, on n’a pas l’impression que tu sois une grande criminelle ! Rigola-t-il.  

 

La jeune femme lui fit un regard noir.  

 

- Sincèrement…toi non plus, si tu veux tout savoir ! Laisse moi deviner : tu matais trop les filles dans la rue, et pour te punir on t’a embarqué ici ? Se moqua-t-elle.  

 

Une libellule passa derrière Ryo. Vraiment, cette fille avait l’air de l’avoir déjà sondé ! Comme si elle savait que c’était un véritable pervers ! C’est vrai qu’il l’avait laissé supposer tout à l’heure avant qu’elle ne lui lance sa chaussure au visage.  

 

- Je vois que tu ne sais pas qui je suis… lui répondit-il le visage le plus sérieux au monde.  

 

Kaori se tourna vers lui, étonnée de le voir afficher un visage sérieux.  

 

- Non, mais tu vas me le dire ?  

- Eh bien, c’est simple… Je suis… L’étalon de Shinjuku voyons ! Le loup d’un coup !  

 

La « prisonnière » tomba à la renverse. Elle s’attendait à tout, sauf à ça !  

Y’a des gens vraiment… On peut rien y faire … !  

 

************************************  

 

« Le flic » en question tomba par terre.  

 

- Si tu ne retiens même plus le prénom des gens, où va le Monde ?! Hurla-t-il à la figure du nettoyeur.  

 

Celui-ci fit mine de réfléchir.  

 

- Eduardo ? Non… Yamamoto ? Non plus… Attends je sais, tu t’appelles …  

- Hideyuki Makimura.  

- Hein ? Makamira ?  

- Non, Makimura.  

- Heinnnnn ????  

- À croire que ton cerveau ne peut ressembler qu’à un petit pois !  

- Merci pour le compliment, toi de même.  

- HIDEYUKI MAKIMURA ! T’as compris là ?!  

- Argg c’est bon, pas la peine de crier si fort !  

 

Le flic s’énerva.  

 

- Je ne t’ai pas demandé ton avis ! Mais de toute façon, on aura tout le temps de parler en chemin, n’est-ce pas ? Dans la VOITURE de POLICE !  

- Quoi ? Demanda le nettoyeur incrédule.  

 

Hideyuki eut un sourire niais.  

 

- À ton avis, pourquoi je suis là, idiot ? L’autre jour nous avons reçu une lettre au commissariat, qui disait que la maison de la famille Namuro ( nda : juste pour dire : le nom de famille de la cliente est Nahime, ce qui signifie qu‘elle ne fait pas partie de cette famille, dons en clair… Elle a menti à Ryo ! C‘est pas bien Ryo de s‘être fait avoir aussi facilement ! ^^ ) allait se faire cambrioler, ce soir à minuit. Et attends, que je vérifie bien… Il est minuit, n’est-ce pas ? Fit-il en regardant sa montre. Il faut vraiment être idiot d’envoyer une lettre pour prévenir d’un cambriolage ! Ça m’étonne de toi !  

 

- Mais ! Mais c’est pas moi ! Je n’ai jamais envoyé de lettre ! S’empressa de nier le nettoyeur.  

- Oui oui, c’est ça ! Et bien parles-en avec ton avocat, parce que là, on t’embarque !  

- J’ai pas d’avocat !  

- Ah ben ça, c’est ce qu’on appelle la « poisse » !  

 

Et c’est ainsi que deux gardes prirent Ryo par le bras, chacun d’un côté, puis descendirent en direction de la camionnette de police.  

 

( nda : lol, imaginez un Ryo comique qui se débat avec les deux gardes de chaque côté ^^ )  

 

À suivre … ( lol je sais, ça coupe bizarre ^^ ) 

 


Chapter: 1 2


 

 

 

 

 

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