Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prose

 

Author: Kaori_2

Status: Completed

Series: City Hunter

 

Total: 32 chapters

Published: 19-11-04

Last update: 09-08-06

 

Comments: 62 reviews

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General

 

Summary: Résultat du défi de Kelly.

 

Disclaimer: Les personnages de Jurrassic Park le retour sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Jurrassic Park le retour

 

Chapter 8 :: Une arrivée imprévue!

Published: 28-01-05 - Last update: 28-01-05

Comments: Et oui vous ne rêvez pas! Enfin une petite mise à jour ;o). Merci de votre patience et bonne lecture.

 


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La tempête se calma du jour au lendemain. Et le bateau pu récupérer sa folle allure.  

 

Finalement, en fin de matinée, l’île se découpa à l’horizon, pour se rapprocher inexorablement jusqu’à ce qu'il ne reste que cinq-cent mètres à vue de nez. Tous étaient sur le pont, profitant des doux rayons du soleil et de la légère brise. C’était calme. Trop calme pour Ryô. Il alla trouver Umibozu.  

 

De dernier était à l’ombre, épiant les moindres faits et gestes de l’équipage. Il avait un très mauvais pressentiment. Il éprouvait une sensation indescriptible.  

 

« Ca ne va pas ? » Demanda Ryô en le voyant.  

« Je ne sais pas. Il me semble qu’il serait plus sage de faire demi-tour. »  

« Oh ! Allons ! Aurais-tu peur de la faune locale ? … A moins que… Oui c’est ça. En fait tu veux garder Miki en maillot de bain rien que pour toi petit coquin. »  

 

Umibozu rougit jusqu’aux oreilles  

 

« On dirait que j’ai trouvé le point sensible. » S’amusa Ryô.  

« Attends un peu toi… » Dit Umibozu menaçant. « A la place de m’agacer tu ferais bien mieux de garder un œil sur ta partenaire. »  

« ??? » Fit Ryô perplexe en tournant sa tête vers elle.  

 

Mick était auprès d’elle, une main posée sur son épaule, et elle rigolait bien. Le sang de Ryô ne fit qu’un tour tandis que son regard se fit menaçant. Tournant alors le dos à Umibozu il s’approcha gravement de SA partenaire.  

 

De son côté Mick sentit soudain une forte animosité autour de lui. Il tourna alors la tête à droite et à gauche. C’est alors qu’il aperçut Ryô dont le regard parlait pour lui. Mais il ne vit pas que Ryô. Kazue aussi le regardait une massue à la main.  

 

Il n’eut pas le temps de s’expliquer que la massue s’abattit sur lui. C’est alors qu’une détonation secoua le navire qui était alors à une centaine de mètres du lieu prévu. Mick se releva comme si de rien n’était et retint Kazue in extremis. Kaori s’agrippa à la rambarde tandis que Ryô et Umibozu couraient déjà vers le lieu de l’explosion.  

 

« Qu’est ce qui s’est passé ? » Cria le capitaine à travers l’interphone.  

« Quelque chose a explosé dans la salle des machines ! »  

« Comment ça quelque chose ? » Vociféra le capitaine avant de reprendre 3 Quelle est l’étendue des dégâts ? »  

« Le moteur est hors service, il y a une énorme voie d’eau et quatre hommes sont grièvement blessés. »  

« Evacuez la salle des machines et fermez les issues ! »  

« Pour les blessés ? »  

« Faites les sortir au plus vite ! »  

« Bien capitaine. »  

 

Le marin lâcha alors l’interphone et fit volte face. Ryô et Umibozu étaient déjà en train de sortir trois des quatre marins. [K2 : Ben oui, bâti comme il est Umibozu peut en porter deux à lui tout seul :op] Et mieux valait éviter de leur faire une seule réflexion.  

 

Le niveau d’eau commençait à monter dangereusement et il restait encore un homme. Ryô retourna à l’intérieur de la salle suivit d’Umibozu.  

 

« Dépêchez-vous ! Je dois fermer la porte d’ici deux minutes grand maximum. »  

 

Le corps du dernier homme flottait à la surface de l’eau, fort heureusement il était allongé sur le dos. Ryô et Umibozu nagèrent vers lui et attrapèrent chacun un bras pour le tirer vers la porte.  

 

De justesse.  

 

« Appelez les médecins ! » Ordonna Ryô trempé jusqu’à la moelle pestant qu’aucun des marins présents n’avait pensé à le faire avant.  

 

Le marin de tantôt s’exécuta sur-le-champ. Le médecin de bord, Mitsuko et Kazue vinrent illico presto.  

 

Sur le pont, tandis que porté par le courant le navire s’approchait du bord, tout le monde s’activait cherchant à aider selon leur possibilité. Laissant Umibozu avec les marins pour les questionner, Ryô remonta sur le pont à vitesse grand V.  

 

« Ryô mais que ? » Demanda Kaori perplexe.  

« Pas maintenant… Tomoe, Kaori ! Allez vous enfermer dans votre cabine. N’en sortez que si Umibozu, Miki, Mick, Kazue ou moi nous présentons. C’est clair ? »  

« Oui ! « Affirma Kaori avant d’attraper le bras de Tomoe et de l’emmener avec elle.  

 

[Ryô : J’aurai dû y aller avec elles, mais j’avais d’autres priorités… J’aurai dû me douter que le responsable profiterai de la confusion !]  

 

Sans perdre de temps, les jeunes femmes rejoignirent donc leur cabine… Seulement. Elles étaient attendues. Non pas par une personne mais par deux ! Avant qu’elles n’eurent le temps de s’étonner les deux hommes se jetèrent sur elles.  

 

Kaori poussa sa cliente dans la chambre voisine. C’était celle de Ryô. Sitôt avec elle, elle ferma la porte à double tour. Cependant les types n’avaient pas dit leur dernier mot. Ils retournèrent dans la cabine des jeunes femmes. Kaori, obnubilait par la porte d’entrée en avait oublié un petit détail. Les deux cabines communiquaient.  

 

« KAORIII » cria Tomoe.  

 

Celle-ci réagit au quart de tour et sortie une massue… L’homme de derrière recula tandis que le premier ricanait diaboliquement.  

 

« Maurice fait gaffe » Fit le deuxième tentant de masquer sa voix.  

« C’est pas cette garce qui m’arrêtera. » Répondit-il tout en ricanant.  

‘Toi mon grand tu ne perds rien pour attendre’ pensa Kaori en serrant sa massue furieusement.  

 

Maurice se rapprochait toujours et sorti un canif de sa poche de façon sadique. Malgré la tension qui l’envahit au souvenir du coup de couteau, Kaori esquissa un sourire et finalement…  

 

SBAM…  

 

La massue s’abattit violemment sur la tête à Maurice faisant vibrer la cloison des cabines.  

 

Les vibrations du choc n’échappèrent ni à Mick, ni à Umibozu ni Miki et encore moins à Ryô. Lâchant le marin qu’il était en train de questionner et le laissant aux bons soins d’Umibozu il courut voir ce qu’il se passait.  

 

« Maurice ??? » Questionna le second type.  

« Ggg gaga. » Répondit-il choqué.  

 

L’autre sortit alors son arme à feu et visa Kaori. Elle avait sortit une autre massue. [Ryô : Elle en avait caché autant dans ma cabine ???]  

Le type tira au moment où la massue allait s’abattre. Et le « chapeau » de la massue tomba sur le sol lourdement. Kaori regarda ce qui lui restait en main d’un air éberlué.  

 

« Cette fois c’est fini. » Dit-il avec froideur.  

« En effet ! » S’exclama Ryô dans son dos.  

« Saeba vous êtes rapide ! » S’étonne la type. « Mais serez-vous assez rapide pour… »  

« Pour quoi ? Vous piquer votre arme ? C’est déjà fait. » Fit Ryô alors à côté de Kaori.  

 

D’un air étonné le type baissa son regard sur sa main… Vide !  

 

« C…Comment ? » Balbutia-t-il.  

« Tsss. Et si nous découvrions qui se cache sous ce masque ? »  

 

L’homme sembla blêmir.  

 

« Rien de cassé Kaori ? » Murmura Ryô discrètement.  

 

Kaori lui fit signe que tout était OK. L’agresseur fit un pas en arrière, puis deux… Avant de rencontrer un obstacle inattendu… Il heurta soudainement … Curtis.  

 

[Ryô : Une personne de moins à suspecter !]  

 

« Que se passe-t-il ici ? » Demanda t-il perplexe.  

« L’homme devant vous a de nouveau attaqué Tomoe avec l’aide de la personne ci-dessous. » Expliqua Ryô en désignant la paire de jambes qui dépassait de la massue.  

 

Curtis regarda en premier la massue, puis son regard se reposa sur l’homme devant lui… Il y avait une certaine tension dans la pièce. Le silence s’était installé. Soudain, il y eut une coupure de courant. Une exclamation de surprise fusa dans la pièce… Puis des bruits de luttes… Un ouch avait été prononcé par une voix féminine juste après que Ryô ait donné un coup. Et des pas de courses avaient suivit pourtant Ryô avait empoigné un homme… Lorsque la lumière de secours s’alluma, Ryô s’aperçut avec stupéfaction qu’il tenait fermement Curtis et que l’homme masqué avait pris la fuite… Dans la cohue Kaori s’était reçue un coup au visage et se trouvait allongée sur le lit de Ryô plus ou moins sonnée.  

 

« Décidément c’est un pro pour s’échapper. » Ironisa Ryô.  

« Dites Saeba ! Pourriez vous me lâcher ?  

« Oh ! Désolé ! »S’excusa Ryô en lâchant prise.  

« Vous n’êtes pas blessée Tomoe ? » Demanda t-il en se tournant vers les jeunes filles.  

« Non. Grâce à Kaori. » Répondit-elle en l’aidant en se relever.  

 

Ryô sourit alors discrètement. [Ryô : Tu as fait du bon travail sugar.]  

 

Soudain…  

 

« Tous les passagers sont priés de se rendre sur le pont ! Je répète tous les passagers sont priés de se rendre sur le pont par ordre du capitaine. »  

« Vous venez ? » Fit Ryô en attrapant Kaori par la main.  

 

Surprise, elle le regarda en souriant. Avant de rejoindre le pont avec Tomoe, Curtis et Kaori, Ryô leur fit faire un petit détour par la cuisine. Là, il récupéra un torchon propre et le déplia avant de déposer en son centre des glaçons. Puis il le plia.  

 

« Tiens ! Maintiens ça sur ta pommette. » Dit-il en le tendant à Kaori.  

« Merci. » Répondit-elle.  

 

Elle sentait le contact du froid qui diminuait la sensation de chaleur et de douleur.  

 

…  

 

Une fois sur le pont le capitaine annonça la mauvaise nouvelle. Le bateau ne pourrait pas repartir en l’absence de réparations convenables. Qui plus est le temps que les secours arrivent était de trois semaines….Tomoe, elle, ne pensait qu’à une chose joindre l’île d’une manière ou d’une autre et commencer son observation.  

 

Soudain le bateau s’immobilisa contre le point d’arrivée. Grâce au courant il était plus ou moins parvenu à destination. Le capitaine ordonna de jeter l’ancre ! Ryô observa l’entourage d’un œil. Personne ne semblait troublé par cette annonce… Et le coupable courait toujours… Puis Ryô nota l’absence d’un homme. Il sourit narquoisement et alla trouver Umibozu pour lui en faire la remarque… Ils attendraient cependant un nouvel agissements de sa part pour le prendre sur le fait.  

 

Tomoe organisa ensuite la mise en place de son campement avec l’aide des marins et de son équipe. Certains étaient chargés de décharger le navire, d’autres sur l’île faisaient le classement de l’équipement, et pour finir d’autres préparèrent un périmètre de sécurité en élevant une petite palissade.  

 

La mer était calme, le sable était d’un blanc nacré et à l’horizon le soleil se couchait, déployant une teinte flamboyante de couleurs. Fatigués de cette journée, les marins s’affairèrent toutefois à la préparation du dernier repas sur le navire.  

 

Sur terre, tous étaient étalés sur le sable chaud regardant d’un œil serein le couché de soleil apaisant. Le roulis du navire avait fini par passer et il était plus facile de marcher droit. Puis Tomoe fit réunir son équipe et celle de son garde du corps.  

 

« Tout d’abord je vous remercie tous de m’avoir accompagné jusqu’ici. Ensuite voici quelques règles élémentaires à respecter tant que nous serons sur cette île.  

Premièrement : Il est interdit de faire du feu, même pour la nuit ou la cuisine. Pour ce point là le cuisinier du navire reste à notre service pour la préparation des repas.  

Deuxièmement. Il interdit de fumer… Donc Monsieur Saeba veuillez écraser votre cigarette s’il vous plaît. De la même manière les parfums et déodorants parfumés sont déconseillés.  

Troisièmement vous l’aurez compris, tout ce qui a une odeur doit disparaître de la surface de cette île. Donc si vous voulez manger une barre chocolaté ne laissez pas tomber l’emballage négligemment.  

Quatrièmement et dernièrement évitez les cris ou les bruits intempestifs. » Fini-t-elle tandis que le son d’une massue venait tout juste de résonner.  

 

Rouge écrevisse, Kaori lâcha sa massue et baissa la tête confuse.  

 

 


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