Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prose

 

Author: Kaori_2

Status: To be continued

Series: City Hunter

 

Total: 19 chapters

Published: 04-11-06

Last update: 12-08-07

 

Comments: 67 reviews

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ActionGeneral

 

Summary: Une jeune femme est témoin d'un meurtre bien malgré elle et se retrouve la cible du tueur. Pour sa protection Saeko fait appel à City Hunter Et sera amener à faire de nouveau appel à lui...

 

Disclaimer: Les personnages de "Un témoin de trop" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Un témoin de trop !

 

Chapter 18 :: Choc

Published: 11-08-07 - Last update: 12-08-07

Comments: laborieux à recopier du fait de la fatigue... Je m'endors devant. Bref... Bonne lectures à vous

 


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Toutes deux s’effondrent alors sur le sol devant leurs amis interdits.  

 

« KAORI… SAEKO… » Hurle Ryô en courant vers elles.  

 

C’est à ce moment là que le préfet arrive suivit par quatre autres policiers.  

 

« non… » Murmure-t-il à l’arrêt en voyant sa fille à terre.  

« NON ! » Répète-t-il plus fort avant de parvenir à bouger d’un pas lourd.  

 

Miki est désemparée et se sent coupable d’avoir accompagné Kaori, Mick reste sans voix, serrant ses poings de rage. Il n’a réalisé l’objectif de Smith que trop tard. Quand bien même il n’aurait rien pu faire d’autre… Kaori a été la plus rapide… Pourtant pas assez, mais cette fois-ci ce n’est pas elle qu’on cherchait à éliminer. Certes sa réaction ne fut pas la meilleure, mais elle ne fut pas la pire non plus.  

 

« Miki, Mick… Aidez-moi à faire le maximum avant l’arrivée des secours. » Déclara Ryô d’une voix presque éteinte. « Que quelqu’un appelle une ambulance. » Parvint-il à rajouter de façon plus énergique.  

 

Sans un mot Miki se pencha vers Kaori et Mick vers Saeko. La blessure de la première semblait assez sérieuse et celle de Saeko dangereuse. La balle avait, semble-t-il, traverser le corps de Kaori avant d’atteindre Saeko dans la poitrine, non loin du cœur. Si Kaori ne s’était pas interposée de la sorte nul doute que, cette fois, les funérailles auraient été réelles. Mick pressa la blessure de Saeko du mieux qu’il le pouvait pour empêcher le sang de trop s’écouler. La pâleur de son visage l’inquiétait vivement.  

 

« Ne nous lâche pas ! » Murmura-t-il en vérifiant son pouls, faible mais présent.  

 

Le préfet tomba à genou à ses côtés, osant difficilement poser une main sur le visage de sa fille inconsciente.  

 

Kaori sentait l’agitation de ses amis autour de Saeko et d’elle-même. Elle souffrait silencieusement et parvint à ouvrir les yeux avec peine. Elle devina Miki sur sa droite à côté de laquelle se trouvait Ryô, tous deux comprimaient la blessure fortement, Miki dans le dos et Ryô sur le devant.  

 

« R…Ryô. »Dit-elle difficilement et douloureusement.  

‘Je sais que j’ai encore réagit sans réfléchir, mais pardonne moi. Saeko n’aurait rien vu venir et…’ Songea Kaori dans le même temps.  

« Chut… Je suis là mon trésor… Ne parle pas. » Lui répondit-il en lui serrant la main. (avec sa main libre)  

« Je… Pardon… » Toussa-t-elle avant de refermer les yeux.  

« Accroches-toi mon cœur, les secours vont arriver. » Lui dit-il la voix noueuse.  

 

Il sentit néanmoins ses forces l’abandonner et sa main glissa silencieusement dans la sienne.  

 

« Kaori. » Etouffa-t-il.  

 

Les secours, qui arrivèrent finalement, prirent aussitôt le relais et posèrent rapidement des pochettes de sang au vue de ce qui avait déjà été perdu et de la gravité des blessures de chacune. Vite et bien installée dans les ambulances, celles-ci filèrent vers l’hôpital de police où les urgentistes les prirent en charge de manière prioritaire dès leur arrivée.  

 

Le trajet ne fut pas de tout repos pour les ambulanciers… De façon plus ou moins proches, elles leurs procurèrent des frayeurs supplémentaires en ayant un arrêt cardiaque.  

 

A l’hôpital, malgré les protestations du préfet et de Ryô ceux-ci ne purent aller plus loin que l’accueil. Une infirmière les installa néanmoins dans une salle d’attente privée. Miki, la plus apte à parler, alla avertir Falcon et Reika de la situation par téléphone.  

 

Le préfet et Ryô n’arrivaient pas à se calmer (NdK2 : on les comprends) et tournaient en rond comme des fauves en cage.  

 

« Papa, Ryô ! Arrêtez-vous un instant. » Les supplia Reika qui était venue avec Yuka dès qu’elle avait su.  

 

Les deux hommes stoppèrent leur manège le temps de l’écouter parler mais le reprirent aussitôt qu’elle arrêta de les sermonner. Yuka soupira dépité. L’arrivée de Falcon, Kazue et Laetitia fut salvatrice. Falcon fit tant d’effet au préfet que celui-ci pris place sur une chaise proche de ses filles, Ryô l’imita en soupirant.  

 

Beaucoup, beaucoup plus tard, deux médecins entrèrent.  

 

« Monsieur le préfet. » Commença celui qui portait des lunettes.  

 

Celui-ci se leva aussi sec, suivit de près par Ryô. Seulement, le ton employé par le médecin ne l’enchantait guère.  

 

« Nous… Nous les avons perdues. » (NdK2 : Je sens des regards plein de reproches… Aïe… Aïe… Pitié… Lisez la suite… Aïe…)  

‘A mon avis ce n’est pas comme ça qu’il aurait dû formuler sa phrase.’ Pensa le deuxième médecin.  

 

Miki sentit son cœur se serrer, le préfet resta silencieux incapable de dire quoique ce soit… Yuka étouffa un cri de colère et se cacha, en pleurs, dans les bras de Reika. Avant que Mick, qui s’était levé furibond, ne se jette sur le chirurgien Kazue lui attrapa la main et la serra fortement. Quant à Ryô, il empoigna vivement le médecin par le col de sa blouse et le souleva littéralement du sol… Le médecin devint livide et sentait l’hostilité certaine que son annonce avait engendrée.  

 

« Ne vous méprenez pas. » Dit-il difficilement tandis que son collègue tentait de l’aider.  

« Se méprendre ? » S’exclama Ryô en colère en repoussant le second médecin.  

 

La porte s’ouvrit alors subitement sur une infirmière essoufflée.  

 

« Nous… Nous les avons retrouvées. » Dit-elle le souffle court. « Elles sont en salle de réanimation dans le secteur D, et non B, du cinquième étage. »  

 

Le médecin sentit la tension de l’homme qui l’avait saisi, diminuer considérablement et ses pieds touchèrent de nouveau le sol.  

 

« Que se passe-t-il ? » Demanda l’infirmière qui réalisa alors que l’ambiance n’était pas au beau fixe.  

« Rien. » Répondit Ryô gravement en lâchant le chirurgien qui se frotta aussitôt le cou.  

 

Ryô alla aider le préfet à se relever et s’approcha de l’infirmière.  

 

« Accompagnez les s’il vous plaît. » Ordonna le second médecin.  

« Bien docteur. »  

 

Chacun suivit alors l’infirmière. Miki, la dernière à sortir, s’arrêta à côté du médecin aux lunettes qui avait fait cette annonce de la pire façon qu’il soit et le gifla magistralement avant de continuer son chemin. Le chirurgien demeura stoïque et les regarda s’éloigner.  

 

« Mais qu’est ce qui ne va pas chez eux ? » S’exclama-t-il en sentant sa joue s’échauffer.  

« Je crois savoir. » Soupira son confrère.  

« Explique-moi. »  

« Comment réagirais-tu si, après avoir emmener aux urgences des amis, des membres de ta famille, dans un état plus que critique, on t’annonçait de but en blanc ‘nous les avons perdus.’ »  

 

Silencieux et pensif au départ, le médecin réalisa finalement son erreur… verbale  

 

« Ils ont cru qu’elles y étaient restées. » S’exclama-t-il gêné.  

« Voilà. »  

 

Le chirurgien n’en savait plus qu’en dire et ne savait plus où se mettre.  

 

« Bon ne restons pas là, d’autres patients ont besoin de nous. » Lui rappela son confrère.  

« Oui. » Affirma-t-il sans trop de conviction.  

 

En chemin vers le secteur D du cinquième étage, l’infirmière expliqua :  

 

« Monsieur Nogami, votre fille a eut beaucoup de chance... Enfin… D’un certain point de vue…La balle s’est logée à un centimètre du cœur. Je sais que cela paraît effrayant mais si j’ai bien compris, l’autre jeune femme, mademoiselle Makimura, lui a sauvé la vie en intervenant, au détriment de la sienne. Pour être plus claire, sans son intervention la blessure lui aurait été… fatale. Encore une chose ! Vous ne pourrez pas rentrer dans la même salle qu’elles. Leur état est encore instable, aussi, ne vous étonnez pas de les trouver sous forte surveillance médicale. »  

« Leur état est si critique ? » Demanda Ryô gravement.  

« Comme je l’ai dit à monsieur Nogami, la blessure de sa fille lui a presque était fatale de par sa présence près du cœur. »  

« Et pour madame Saeba ? » S’impatienta Ryô.  

« Madame Saeba ? »  

« Oui… Enfin mademoiselle Makimura. » Se corrigea Ryô tandis qu’ils arrivèrent devant la salle.  

« La balle a fait beaucoup de dégâts en la traversant, et pour elle tout comme pour mademoiselle Nogami, la nuit sera déterminante… Pour ne rien vous cacher elles ont déjà fait des arrêts cardiaques, et bous craignons qu’elles n’en fassent de nouveau. » Avança l’infirmière alors que les amis de ses patientes les regardaient au travers de la vitre.  

 

Elles étaient sous l’assistance de respirateurs (NdK2 : et non d’aspirateurs comme j’ai faillit l’inscrire.) et leurs lits étaient assez proches.  

 

Tout à coup une alarme retentit faisant entrer l’infirmière dans la salle rapidement suivit de deux autres médecins qui se penchèrent en toute hâte ver Saeko. L’infirmière approcha le défibrillateur et, suivant les ordres des médecins, le mit en marche. Le médecin choqua le cœur de Saeko par deux fois, sans résultat. La troisième stimulation refit partir les pulsations cardiaques et tout sembla redevenir plus calme. Au dehors, témoins impuissants, leurs amis réagissaient différemment. Ryô enrageait de ne rien avoir vu venir de la part de Smith. L’heure des visite toucha à sa fin et chacun fut cordialement invité à quitter l’établissement…  

 

 

 


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