Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prose

 

Author: Beautiful Strangeran

Status: Completed

Series: City Hunter

 

Total: 20 chapters

Published: 04-02-04

Last update: 31-03-04

 

Comments: 63 reviews

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DrameRomance

 

Summary: La vie peut tout nous donner, mais elle peut aussi tout nous reprendre. Que se passerait-il si l'un de nos deux héros disparaissait? Peut-on continuer à vivre? City Hunter n'est plus vraiment City Hunter sans l'un de ses membres. Mais, pourtant ...

 

Disclaimer: Les personnages de "City Hunter" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.Retour à la vie

 

Tricks & Tips

Some pieces of advices to authors

 

- Check the grammar and spelling of your stories. - Read your story at least once. - Try to write chapters of at least 2 pages and of a maximum of 6-7 pages. - Try to update your story regularly.

 

 

   Fanfiction :: Retour à la vie…

 

Chapter 2 :: La vie continue

Published: 05-02-04 - Last update: 26-09-06

Comments: Voici un chapitre de plus, je suppose que vous souhaitez savoir lequel de nos deux héros manque à l’appel. Je vous comprends et moi aussi je souhaiterais le savoir. Toute fois, un peu de suspens cela ne fait pas de mal. À vrai dire Ryo et Kaori se disputent encore à savoir lequel des deux a disparu. Tout ce que je peux vous dire c’est que les coups de massues fusent et qu’il semble que nous devions attendre le prochain chapitre pour le savoir. ersonnage. S.V.P : N’hésitez pas à donner votre avis. Merci et bonne lecture.

 


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Chapitre II : La vie continue.  

 

Le printemps s’installe et reprend ses droits, timidement. L’hiver a été long et rude. En fait, les hivers semblent toujours plus longs, plus rudes, toujours plus mornes, toujours plus tristes, depuis ces trois dernières années.  

 

Trois ans déjà, soupira la jeune femme. Cela semble une éternité et pourtant, cela ne fait que trois ans. Que cela passe vite, se dit-elle d’un air résigné. Cela a été dur et je n’arrive pas à croire que le temps est poursuivit ainsi son cours. En fait, je ne parviens pas à croire qu’après tous ces mois de souffrances où sa disparition était si ancrée en nous, la vie a pu reprendre ses droits et a pu continué. Pourtant, quand j’y repense j’ai l’impression que c’était hier. Mais, non. La jeune femme laissa échapper un nouveau soupir. On pense être habitué à la mort, quand on est dans le milieu. Il s’agit de notre quotidien. Mais, quand cela nous touche de si près. Non! Non! Non, on ne peut pas s’y habituer. Ce n’est qu’une illusion de croire qu’une telle chose soit possible. Et comme dit le vieil adage, c’est quand les personnes disparaissent que l’on se rend compte de la place qu’elles occupent dans notre vie.  

 

Un petit bruit dans la pièce d’à côté, la fit sortir de ses pensées. Elle se leva doucement du fauteuil dans lequel elle s’était installée. Elle essuya les larmes qui commençaient à s’échapper de ses yeux et se rendit dans la petite chambre d’enfant.  

Une petite fille de deux ans et demi s’y trouvait. Elle venait juste de s’éveiller de sa petite sieste. Sa mère s’arrêta à l’entrée de la chambre, pour l’observer quelques instants. Comme toujours, un magnifique sourire vint éclairer le visage de la femme et chassa instantanément toutes ses pensées tristes. La petite fille regardait son plafond parsemé d’étoiles et n’avait pas remarqué la présence de sa mère.  

 

- Chérie! l’apostropha-t-elle doucement. Tu as fini de dormir?  

 

L’enfant tourna vivement la tête vers sa mère et se mit sur son séant. De grands yeux pétillants de vie et un grand sourire illuminèrent ce visage angélique.  

 

- Maman!  

 

- Oui, ma puce!, répondit-elle en s’approchant du lit, pour prendre sa fille dans ses bras.  

 

- J’veux plus faire dodo.  

 

Bien, mon cœur. Alors, je vais te débarbouiller et après on va aller voir papa, et on va manger un petit goûter.  

 

Les yeux de l’enfant, comme si cela fut possible étincelèrent encore plus à la simple évocation du mot papa.  

 

- Papa!, Papa!, s’écria-t-elle.  

 

Aussitôt dit, aussitôt fait, cinq minutes plus tard, une mini, mini tornade fit son apparition dans le café cat’s eye.  

 

- Papa! cria l’enfant.  

 

 

Ma puce! répondit Falcon avant d’attraper la fillette et de la soulever dans les airs.  

 

NDA : Waw! Cela doit être encore mieux que de faire de la balançoire! J’ai mal au cœur rien que d‘imaginer un géant de deux mètres 30 qui vous soulève un petit bout comme ça! Je suis sûre que l’on doit croire que l’on est un oiseau!  

 

Micky fit son apparition également. Elle regardait attendrit la scène émouvante qui se jouait devant ses yeux, lorsque soudain.  

 

- Miickyy! Mon amoouur!...., je suis là! Je veux un bisou. Déclara un Mike Angel qui pour l’heure se prenait pour un oiseau, ou une fusée, (je ne sait pas trop), s’élançait tout droit sur la pauvre Micky.  

 

 

- SBIM!, fût le bruit que la mini massue de la fillette fit lorsqu’elle s’abattit sur le nez de Mike qui s’écroula immédiatement sans atteindre sa cible.  

 

- A ÏE! Mais ça fait mal!  

 

Micky, Falcon et la petite ne purent que rire devant la mine déconfite de Mike.  

 

- Mais, c’est pas drôle! râla-t-il. T’es vraiment comme ta marraine! J’y crois pas! Tu devrais avoir honte de défigurer tonton Mike de la sorte, dit-il plaintif, le visage ravagé de larmes de crocodiles.  

 

La petite Saori regarda dubitative le grand blond, à l’air pitoyable et demanda à son père de descendre. Ce dernier la déposa sur le sol et celle-ci se précipita dans les bras de Mike.  

 

- Padon tonton Mike, lui dit-elle en lui offrant son plus beau sourire. Puis adoptant une réplique charmeuse digne de son oncle américain lui dit :  

Tu sais tonton, t’es toujours le plus beau!  

 

NDA : ah, c’est pas croyable combien les enfants sont doués pour nous imiter!  

 

Micky et Falcon partirent d’un nouveau fou rire. Mike qui ne leur prêtait pas la moindre attention, souriait à pleine dents à la petite Saori.  

 

- Tu iras loin, mon poussin. Tu auras tous les hommes à tes pieds quand tu seras plus grande! lui dit-il avant de lui donner un petit bisou.  

 

- Non, mais j’suis gande, moi! protesta-t-elle et j’suis plus gande que toi quand j’suis avec papa! répondit-elle moqueuse.  

 

Tout le monde se mit à rire, tandis que Saori les regardait sans comprendre.  

 

- Ma chérie, on va manger un petit quelque chose?, lui demanda sa mère.  

 

- Oui, j’ai faim!  

 

Micky installa la petite à une table. Mike, quant à lui, retourna à sa place. Falcon lui servit une nouvelle tasse de café. Mike commença à déguster celui-ci et tourna la tête pour observer la petite. Cette dernière mangeait les gâteaux accompagnés d’un verre de lait que venait de lui apporter Micky.  

 

- Pas la peine de la regarder comme ça, tu es trop vieux pour elle! Je te la donnerais jamais en mariage, dit Falcon posément mais sur le ton de la plaisanterie.  

 

 

- Dommage, car tu perd l’immense chance de m’avoir comme future gendre!, répondit Mike également sur le ton de la plaisanterie. Il bu une nouvelle gorgée de café et reprit la conversation plus sérieusement et à voix basse.  

Vous en avez bien de la chance Micky et toi d’avoir une gamine aussi géniale que Saori.  

 

- Tu sais rien ne t’empêche de faire la même chose.  

 

- Oui, Kasue et moi, on y pense. Mais, j’ai un peu peur. Le monde où l’on vit n’est pas une sinécure.  

 

- Je sais et moi aussi j’ai eu les mêmes craintes, mais aujourd’hui Saori est la preuve que j’ai pris la bonne décision.  

 

- Oui, tu dois avoir raison. Tu sais quand je regarde ton petit bout, je me rend compte combien la vie est plus forte que tout. Malgré tout ce qui nous déchires, le monde ne s’arrête pas de tourner et la vie continue.  

 

Falcon ne disait rien. Il se contentait d’écouter Mike. Il n’était pas nécessaire de se demander à quoi faisait-il référence. Non, c’était clair. Ce drame avait touché les cœurs et cette perte laissait sa trace indélébile. Ils étaient un groupe et le sont toujours, mais un groupe à qui il manque un membre important.  

 

- Te rends-tu compte que cela fait trois ans?  

 

- Oui, le temps poursuit sa course.  

 

- Oui, mais je ne comprends pas comment le temps a pu passer si vite. Même si nos vies ont repris du sens, cela ne sera plus jamais la même chose.  

 

- Mike, on ne peut rien faire contre la mort et surtout dans notre travail. Il est arrivé ce qui est arrivé et on y peut rien.  

 

-Je sais tout ça et je l’accepte. J’ai juste un peu de mal à ne pas y penser des jours comme aujourd’hui et quand on voit ce qu’….  

 

Mike ne pu finir sa phrase, car la clochette de la porte du café venait de tinter. Une personne venait d’entrer, il s’agissait de .….  

 


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