Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prose

 

Author: Beautiful Strangeran

Status: Completed

Series: City Hunter

 

Total: 20 chapters

Published: 04-02-04

Last update: 31-03-04

 

Comments: 63 reviews

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DrameRomance

 

Summary: La vie peut tout nous donner, mais elle peut aussi tout nous reprendre. Que se passerait-il si l'un de nos deux héros disparaissait? Peut-on continuer à vivre? City Hunter n'est plus vraiment City Hunter sans l'un de ses membres. Mais, pourtant ...

 

Disclaimer: Les personnages de "City Hunter" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.Retour à la vie

 

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   Fanfiction :: Retour à la vie…

 

Chapter 8 :: Retour au Japon

Published: 15-02-04 - Last update: 15-02-04

 


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- Ouf ! soupira de soulagement Angéla. Eriko, tu m’as achevé.  

 

- Excuse-moi Angéla, mais il fallait vraiment que je fasse les retouches et comme tu n’es pas de retour à Tokyo avant le défilé, tenta de se justifier Eriko.  

 

- Eriko, mais il n’y a pas de mal Eriko, je te taquinais. Il y en a des biens pires que toi, tu sais.  

 

Bon si tu ne m’en veux pas, ça me va. En plus, heureusement pour moi, je n’aurais pas beaucoup de retouche à faire, tu as quasiment la même taille que l’amie qui m’a inspirée cette collection.  

 

- Vraiment ? Pourquoi ne lui as-tu pas demandé de défiler pour toi ?  

 

- Et bien, j’aurais adoré, mais elle ne peut pas. Ce défilé est une façon pour moi de lui rendre hommage, dit-elle la voix emprunte d’une vive émotion.  

 

- Oh ! Je suis désolée Eriko.  

 

- Tu sais ce n’est pas grave, on ne peut rien faire contre la vie. Puis, tu sais c’est bien avec toi j’ai l’impression de la revoir, tu lui ressemble beaucoup.  

 

- Ah oui ! Elle aussi était blonde ? répondit Angéla tentant de faire sourire la jeune femme. En effet, il était rare qu’une japonaise soit blonde à moins de porter une perruque ou de se teindre les cheveux.  

 

- Eriko pas vraiment, répondit Eriko comprenant la tentative d’Angéla. Tentative qui d’ailleurs avait eu l’effet escompté. Eriko, elle ne te ressemblait pas vraiment physiquement, mais, en fait elle était très gentil et très accessible tout comme toi. Elle était un véritable rayon de soleil dans notre vie à tous.  

 

- J’aurais bien aimé la connaître.  

 

- Oui et vous vous seriez entendu. Sauf que tu aurais plu tout de suite à Ryo et cela aurait semé la zizanie.  

 

- Ryo ?  

 

Oui son partenaire de travail. Elle était l’assistante d’une sorte de détective privé. Le pauvre de nous tous, c’est lui qui en a souffert le plus. On savait tous qu’ils s’aimaient, mais ils n’ont pas pu profiter de leur amour et je crois même qu’ils ne se sont jamais révéler leurs sentiments. C’est peut-être là le plus triste de l’histoire.  

 

Angéla écoutait, mais étrangement l’image d’un homme en pleure se superposa à ce récit dans sa tête. Cet homme-là aussi pleurait la perte d’un être cher, ce soir-là sur le toit.  

 

- Angéla ! appela doucement Eriko Tu es encore là ?  

 

- Euh ! oui. Excuse-moi je pensais à autre chose.  

 

- Oh ! mais je t’embête avec mes histoires.  

 

- Eriko, tu ne m’embêtes pas du tout, c’est juste que cela m’a fait pensé à autre chose.  

 

- Tiens ! que dirais-tu si je t’invitais à déjeuner ? J’ai des amis qui tiennent un petit café très sympathique.  

 

- Et bien, cela serait avec joie mais….  

 

- Tu voulais rejoindre tes enfants ?  

 

- Oui, pour une fois qu’ils peuvent voyager avec moi et que l’on reste ici assez longtemps.  

 

- Alors deux solutions s’offrent à nous.  

 

- Vraiment ?  

 

- Oui, tout à fait. Soit tu rentres rejoindre tes enfants, soit tu demandes à ton chauffeur de les amener au restaurant et on y déjeune tous. En plus, mon couple d’ami a une petite fille presque de leur âge. Qu’en penses-tu ?  

 

- J’en pense que c’est une bonne idée, comme ça je pourrais voir de nouvelles têtes et les enfants auront aussi l’occasion de se faire une nouvelle amie.  

 

- Bien alors marché conclu !  

 

Ce fût ainsi qu’Angéla et Eriko partirent au cat’s eye où les y rejoignirent les enfants. Au café s’y trouvait Micky et Umibozu avec leur fille, laquelle jouait avec son oncle Mike. Comme toujours le café était plutôt vide. Les clients se faisaient rares quand Falcon se trouvait là. Il n’y avait que les habitués qui se rendaient ici. Malgré tout, aujourd’hui, il s’agissait d’une journée encore plus calme que d’habitude. À vrai dire Falcon et Miky désespéraient de voir quiconque rentrer. Ces derniers discutaient de tout et de rien, lorsque la clochette de la porte carillonna.  

 

- Bonjour ! dit Eriko en pénétrant dans le café.  

 

- Bonjour ! répondirent en cœur les personnes présentes.  

 

Mike allait se jeter sur Eriko, quand il remarqua la présence d’une tierce personne. Eriko fit place alors à Angéla et à ses enfants.  

 

- Bonjour ! salua Angéla.  

 

- Bonjour ! répondirent Umibozu et sa femme.  

 

Mike lorsqu’il vit cette beauté fatale, s’approcha d’elle adoptant son air le plus charmeur. Puis, il lui fit un baise main pour la saluer.  

 

- Bonjour, belle demoiselle. Je me nomme Mike Angel, pour vous servir.  

 

Eriko, Micky et Falcon regardait la scène désabusée. Ils étaient trop habitués à ce genre de spectacle. On pouvait voir d’ailleurs un corbeau et une libellule qui reproduisaient la même scène, se moquant de Mike. Pendant ce temps, Saori, quant à elle, faisait connaissance avec les enfants qui accompagnaient les nouvelles arrivantes.  

 

- Bonjour monsieur Angel. Moi, c’est ….  

 

- Angéla Larson ! s’écria Micky réalisant l’identité de la femme qui accompagnait la styliste.  

 

En effet, Il semblait à Micky qu’elle connaissait cette femme. Puis, elle s’était souvenue avoir vu une photo de celle-ci dans un de ses magazines de mode. Pourtant, Micky avait une drôle d’impression à son égard. Une sensation indéfinissable.  

 

- Absolument, acquiesça Angéla en adressant un superbe sourire à Micky.  

 

Umibozu, quant à lui, eut un léger soubresaut quasi imperceptible. Il ne dit rien en ce sens. Mais étrangement, il se mit à sourire à pleine dents.  

 

- Vous êtes la magnifique Angéla, bien entendu ! Comment ai-je fais pour ne pas vous reconnaître, dit Mike un sourire ravageur aux lèvres.  

 

- Peut-être parce que ma beauté est bien plus fade que celle de votre épouse, lui rétorqua-t-elle moqueuse.  

 

Tous éclatèrent de rire. Le corbeau et la libellule étaient sur le sol, pliés en quatre, absolument morts de rire.  

 

- Monsieur Angel, la prochaine fois pensez à retirer votre alliance quand vous tenterez d’aborder quelqu’un, lui dit-elle toujours sur le même ton de la plaisanterie, mais en lui adressant tout de même un sourire chaleureux.  

 

Mike ne lui tint pas rigueur et lui sourit en retour.  

 

- Laisse tomber Angéla, Mike est un dragueur invétéré, lui dit Eriko. Approche-toi plutôt que je te présente les patrons du café.  

 

- Eh ! protesta Mike.  

 

- Dis-moi Mike qu’est-ce que cela fait de se faire moucher en beauté, dit Umi.  

 

- Tu vas pas t’y mettre toi aussi !  

 

- Cela t’apprendra d’ennuyer mes clientes.  

 

Angéla s’était approchée au cours de la joute. Eriko débuta alors les présentations.  

 

- Angéla à ta droite, cette magnifique jeune femme c’est Micky et à ses côtés c’est Umibozu ou Falcon son mari. Puis, tu as déjà fait la connaissance de l’un des pitres de service. Puis, la petite fille qui a déjà sympathisé avec tes enfants c’est Saori.  

 

Angéla les regarda tour à tour leur adressant un sourire.  

 

- Je suis ravie de faire votre connaissance, dit-elle.  

 

- Mais, nous aussi, répondit Micky enthousiaste.  

 

- Les enfants ! interpella Angéla.  

 

- Oui, maman ? répondirent-ils  

 

- Venez ici que je vous présente.  

 

Ces derniers s’exécutèrent, mais lorsqu’ils remarquèrent la carrure de Falcon ils eurent un peu peurs.  

 

- Pas la peine d’avoir peur de Falcon, il est très gentil, dit Angéla à l’adresse des enfants.  

 

Tout le monde tiqua à cette remarque. On aurait dit qu’Angéla le connaissait depuis des années. Il est vrai qu’elle n’avait pas eu peur de lui en entrant et pourtant, la plupart des nouveaux clients restaient tétanisés face à lui. C’était très étrange. Micky lança un regard interrogateur vers son mari, mais il lui fit signe qu’ils ne se connaissaient pas. Eriko avait dû l’avertir que bien qu’impressionnant Umibozu était très gentil. Angéla n’ayant pas fait attention à sa remarque trop préoccupé de rassurer ses enfants, ne comprenait pas ces regards posés sur elle. Toutefois, elle avait une impression de déjà vu. Elle ne s’attarda pas sur ses impressions et entreprit de présenter ses enfants.  

 

- Les enfants voici Micky la maman de Saori, à côté c’est ?  

 

- euh ? Comment préférez-vous que l’on vous appelle ? Umibozu ou Falcon ?  

 

- Falcon cela me va, répondit-il.  

 

- Bien, voici Falcon, le papa de Saori et là c’est Mike.  

 

- Bonjour, dirent les enfants encore intimidés.  

 

- Bonjour les enfants, dirent-ils.  

 

- - Mes deux petits bouts c’est Ryoko pour la demoiselle et Hideyuki pour le jeune homme.  

 

- Il s’agit-là de très jolis prénoms et de très beaux enfants, complimenta Micky.  

 

- Merci beaucoup, Micky. Mais Saori est aussi très belle.  

 

- Merci beaucoup. Mais au fait, si vous êtes ici, c’est que vous voulez prendre peut-être un petit quelque chose ? demanda Micky.  

 

- En fait, on pensait déjeuner ici, répondit Eriko  

 

- Ah ! alors installez-vous, s’écria Micky.  

 

- - Vous pouvez choisir la place qui vous convient le mieux, ce n’est pas le choix qui manque, plaisanta Falcon.  

 

Angéla sourit à pleine dents à cette remarque et partit s’asseoir à l’une des tables du fond avec Eriko  

 

- Tu te mets aussi à la drague, attention elle est coriace, dit à voix basse un Mike moqueur.  

 

- Arrête de dire n’importe quoi, ça changera. En plus ce n’est pas moi qui me suis fait remettre à sa place en beauté.  

 

- Ouais. Mais j’suis sûr qu’elle est tombée sous mon charme et que c’est la seule excuse qu’elle a trouvé pour ne pas montrer son trouble.  

 

- Mike ! l’appela justement Angéla.  

 

- Tu vois ce que je te disais, dit-il à Falcon. Oui, Angéla.  

 

- Voulez-vous vous joindre à nous. Peut-être pourrions-nous parler des États-unis ? Vous êtes bien américain, n’est-ce pas ?  

 

- Oui ! Mais bien sûr ! s’écria-t-il tout content et accourant à leur table.  

 

Micky, quant à elle, s’empressa de prendre leurs commandes. Mike et Angéla débutèrent une conversation sur les États-unis en anglais. La pauvre Eriko était exclu de la conversation. Heureusement, Micky arriva bien vite avec leurs repas.  

 

- Dites-moi Eriko et Mike, cela vous dérange si je demande aussi à Micky et à Falcon de se joindre à nous ?  

 

- Oh ! Mais pas du tout ! C’est même une très bonne idée, répondit Eriko  

 

Angéla lança alors son invitation et très vite tout le monde se trouva regrouper autour des deux tables qu’ils avaient mis côte à côte, afin d’être plus à l’aise pour manger. La discution allait bon train tant du côté des enfants que du côté des adultes. Micky posait pleins de questions à Angéla sur sa carrière de chanteuse et de mannequin. Celle-ci répondait volontiers à toutes les questions qu’on lui posait. Toutefois, elle ne s’attardait pas trop sur sa vie personnelle, si ce n’est pour parler de ses enfants. L’ambiance était bonne enfant, Micky et Angéla parlait désormais comme si elle se connaissait depuis toujours. En fait, Angéla malgré sa célébrité était très accessible et tout le groupe riait et discutait comme s’ils se connaissaient depuis des siècles.  

 

- Comment vous vous êtes connu Eriko et toi, demanda Mike.  

 

Le tutoiement était maintenant devenu naturel.  

 

- Et bien, Eriko était venu au défilé auquel je participais.  

 

- Oh ! quand tu es partie à Paris le moi dernier ? demanda Micky.  

 

- Oui, tout à fait. J’ai attendu la réception après le défilé, pour rencontrer Angéla. Je voulais lui demandé qu’elle défile pour moi ici. J’étais très nerveuse.  

 

- Nerveuse ! Tu plaisantes ou quoi Eri, tu tremblais tellement que même les feuillages d’un arbre tremble moins en pleine tempête. Je ne savais même pas que je pouvais faire aussi peur.  

 

Tous éclatèrent de rire face à cette remarque. Ils essayaient d’imaginer Eriko tremblant de la sorte. Elle qui semblait si forte, si indestructible tant elle était si pleine de vie.  

 

- Oh ! te moque pas de moi, il y a de quoi être impressionné tout de même. En plus, je te rappelle que c’était quelque chose d’important pour moi.  

 

- Oui, excuse-moi Eriko Je ne voulais pas me moquer de toi. Enfin, pas de trop, rie-elle. En tout cas, ce n’est rien du tout comparez à la tête que tu as faite quand tu t’es présentée !  

 

- Ah bon ? interrogea Mike.  

 

- Oui, Eriko a commencé à se présenter.  

 

- «Bonjour, je suis …»  

 

- Je n’ai jamais pu finir ma phrase, car Angéla à compléter en disant : « Eriko Kitahara, je sais». Du coup je ne savais plus quoi dire. Elle m’avait surprise.  

 

- Oui, puis pour la mettre à l’aise, j’ai continué en disant : Ne soyez pas surprise mlle Kitahara, je suis japonaise et mannequin de surcroît et c’est normal que je connaisse une aussi grande styliste que vous.». Le seul problème c’est que je voulais la mettre à l’aise et elle a viré au rouge pivoine. Alors, je n’ai pas pu résisté j’ai éclaté de rire.  

 

- Du coup réalisant le ridicule de la situation, moi aussi j’ai éclaté de rire. Quand je me suis sentie de nouveau d’aplomb, je lui ai demandé si elle accepterait de défilé ce mois-ci pour moi.  

 

- Et j’ai accepté tout de suite. En plus, cela ne me gênait pas puisque je venais de toute façon ici pour une série de concert.  

 

- Oui, kasue a d’ailleurs essayé d’avoir des places, mais elle n’y est pas arrivée, dit Mike.  

 

- Kasue ? Je suppose qu’il s’agit de ton épouse, demanda Angéla d’un ton un peu moqueur.  

 

- Oui, répondit Mike gêné.  

 

- Et bien, je peux peut-être arranger ça, dit-elle. D’ailleurs, si vous voulez je peux m’arranger pour vous obtenir des places pour vous aussi, qu’en dites-vous ?  

 

- Euh. Oui, pourquoi pas, répondit Falcon.  

 

- Quand a lieu ton concert ? demanda Micky.  

 

- La semaine prochaine pour celui de Tokyo. Après demain j’en ai un à Okaydo et dans deux semaines Un Nagasaki et Iroshima.  

 

- Waw, mais tu défile pour Eriko et tu donnes ton concert la même semaine, s’exclama Micky.  

 

- Oui, mais je n’en ai que pour une soirée pour chaque alors, ça va. J’ai encore le temps de me reposer.  

 

- C’est vraiment très fatigant comme vie, dit Falcon.  

 

- Oui, mais c’est tout de même moins difficile que le votre de travail, répondit Angéla.  

 

- Tu sais ça va, on n’a pas tant de travail que ça au café, répondit Micky.  

 

- Micky, je ne parle pas de ça. Eriko m’a expliqué brièvement vos activités plus atypiques. Je trouve cela même très fascinant. D’ailleurs, je pratique un peu le tire, mais je ne suis pas très douée. J’ai voulu apprendre à me défendre pour protéger mes petits bouts. Mais je suis plus douée pour le self-défense et les arts martiaux. En plus, cela permet de maintenir la forme.  

 

- Et bien, tu es plus dangereuse qu’il n’y paraît, raya Mike.  

 

- Que veux-tu je suis pleine de ressource. Enfin, je crois que c’est une forme de paranoïa que j’ai développé aux États-unis. Cela m’a incité à apprendre. Avant il ne me semble pas que je ressentais cette sensation de danger. J’ai même l’impression du contraire. Enfin, ce n’est pas bien important. Soudain, Angéla remarqua l’heure. Waw ! il est déjà 14 heures !, s’exclama-t-elle. J’ai promis aux enfants d’aller au parc cet après-midi, dit-elle désolée. Cela vous ennuie si je vous abandonne maintenant ?  

 

- Eriko, pas du tout, répondit Micky.  

 

- T’inquiète pas pour nous, dit Eriko D’ailleurs il faut que je retourne à l’atelier.  

 

- Oh ! Moi, il faut que j’aille chercher la voiture de kasue au garage, dit Mike.  

 

- Que diriez-vous de venir tous dîner chez moi, ce soir ? On pourrait discuter un peu plus longtemps. Puis, tu pourrais me présenter ta femme, hein Mike ?  

 

La seule réponse de celui-ci fût un sourire entendu.  

 

- Pour moi pas de problème, dit Eriko  

 

- Pour nous non plus, répondit Micky.  

 

- Bien, alors je vous attends chez moi à 19 heures.  

 

- Et tu habites où, demanda Mike.  

 

- Euh, oui ! Cela peut peut-être aider que je vous donne l’adresse. J’habite à l’appartement 25 de l’hôtel de la Tour de Tokyo.  

 

- Eh bien ! on ne se refuse rien.  

 

- Que veux-tu Mike, c’est comme ça quand on est célèbre et que L’on a de l’argent. En fait, c’est surtout que je n’ai pas eu le temps jusqu’à présent de trouver un vrai chez moi. Je ne suis revenue que très rarement au Japon depuis mon départ aux États-unis.  

 

- Oh ! je voulais juste te taquiner, dit Mike gêné.  

 

- Mais ce n’est pas grave, enfin tache de ne pas être en retard ce soir. Si tu ne veux pas que je me fâche pour ça.  

- Ok, madame.  

 

Angéla se leva et prévint les enfants qu’ils y allaient. À cette annonce, Saori fit une petite moue triste, Ryoko et Hideyuki n’affichait pas d’avantage une mine réjouit.  

 

- Micky et Falcon, cela vous ennuie si j’emmène Saori avec moi, car ces trois-là me semblent déjà inséparables.  

 

- Mais pas du tout, répondit immédiatement Falcon, tandis que Micky semblait hésiter.  

 

Angéla ne sembla rien avoir remarquer de l’hésitation de Micky. Hésitation qui s’était transformé en surprise de voir Falcon accepté aussi rapidement.  

 

- Bien, je vous dis donc à ce soir, dit Angéla qui sortait déjà avec les enfants et suivit de près par Eriko  

 

- On peut avoir confiance en elle, répondit Umibozu aux yeux inquisiteurs de sa femme.  

 

- Comment le sais-tu ? dit Micky.  

 

- Oui, c’est vrai Falcon toi qui hésite toujours à nous la confier, dit Mike.  

 

- J’hésite à vous la confier, parce que vous la gâtez trop aussi bien toi que son parrain. Quand à savoir comment je le sais, je le sais c’est tout. Et, je sais que vous aussi vous lui faite déjà confiance et je crois que l’on a raison.  

 

 


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