Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prose

 

Author: Beautiful Strangeran

Status: Completed

Series: City Hunter

 

Total: 20 chapters

Published: 04-02-04

Last update: 31-03-04

 

Comments: 63 reviews

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DrameRomance

 

Summary: La vie peut tout nous donner, mais elle peut aussi tout nous reprendre. Que se passerait-il si l'un de nos deux héros disparaissait? Peut-on continuer à vivre? City Hunter n'est plus vraiment City Hunter sans l'un de ses membres. Mais, pourtant ...

 

Disclaimer: Les personnages de "City Hunter" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.Retour à la vie

 

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   Fanfiction :: Retour à la vie…

 

Chapter 9 :: Sweet boy

Published: 25-02-04 - Last update: 25-02-04

Comments: Désolée d'avoir tant tardée pour écrire ce nouveau chapitre. J'ai été un peu débordée, en raison de quelques partiels de mi session. Enfin, oublions cela. J'espère que ce nouveau chapitre tant attendu, n'est-ce pas Antarês, ne vous décevra pas de trop. Comme toujours, laissez-moi des reviews, votre avis est important! Maintenant, tout ce que je peux vous dire c'est : Bonne Lecture !

 


Chapter: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20


 

La visite au parc était très agréable. L'odeur des cerisiers embaumait l'air, les fleurs de toutes les couleurs étaient un régal pour les yeux et égayait vraiment le parc. D'ailleurs, Angéla aimaient beaucoup les fleurs et se sentait très sereine face à ce spectacle. Les enfants aussi étaient très chanceux, ils avaient de grandes aires de jeux. On peut même dire qu'ils se dépensaient à courir les uns derrière les autres. C'était si touchant. Enfin' peut-être pas si touchant.  

 

- SBIM !  

 

- SBIM !  

 

Angéla resta interdite un instant. Les yeux écarquillés, elle regardait la scène qui venait de se jouer sous ses yeux. Puis, elle ne pu qu’éclater de rire. En effet, son Fils Hideyuki et un autre petit garçon venaient de se prendre un petit coup de massue en mousse chacun. Pour Hideyuki se fût Saori qui le remit à sa place de la sorte, après que ce dernier lui ait soulevé un peu le pend de sa jupe. L'autre coup de massue venait de Ryoko, qui subissait la même mésaventure. Angéla se demandait comme toujours d'où venait se penchant de son fils à soulever les jupes. Et quant à Ryoko, elle se posait également la question de la provenance d’une telle manie, même si elle n'était pas surprise de la réaction de sa fille. Mais elle était surprise que Saori use aussi de la massue. Enfin, rien de grave sauf si cette grosse dame à l'air pas très commode était la mère ou peut-être la grand- mère du petit garçon. C’était indéterminable. Enfin, il valait mieux qu'elle intervienne avant que cela ne dégénère. Elle s'approcha donc des enfants.  

 

- Les enfants on y va On va voir les animaux !  

 

- Oui maman ! s'écrièrent Hideyuki et Ryoko.  

 

- Oui, Anzéla ! s'écria Saori.  

 

- Attendez madame ! l'apostropha la femme. Vous ne pensez tout de même pas vous en sortir comme ça ! dit-elle hargneuse.  

 

- Quoi dont madame, répondant Angéla feignant l'innocence.  

 

- Votre fille a tapé mon petit Tosyo!  

 

- Oui, c'est vrai. Mais je crois que c’était mérité. En plus, ce n'est pas avec de la mousse qu'il a du se faire mal, répondit-elle calmement.  

 

- Peu importe que cela soit de la mousse ou non. Et bien sur qu'il a eu mal ! Je ne laisserais personne faire du bobo à mon fils ! Surtout que je suis sûre qu’il n’a rien fait de mal !  

 

Angéla qui sentait la moutarde lui monter au nez, inspira profondément, s’accroupit à hauteur du petit garçon, retira ses lunettes de soleil, découvrant un regard tendre et apaisant, puis lui offrit son plus beau sourire.  

 

- Dis-moi Tosyo, Ryoko t'a fait mal ?  

 

- Non madame, répondit-il impressionné par les grands yeux bleus qui le fixaient.  

 

- Puis, dis-moi. Pourquoi Ryoko t'a tapé avec la massue ?  

 

- Parce que j'ai toucé à sa zupe, dit-il tout penaud.  

 

- Merci Tosyo, le remercia-t-elle lui adressant un autre sourire.  

 

Angéla se releva et toisa la femme. Cette dernière ne savait plus où se mettre. Elle reposa ses lunettes sur le nez, avant que quelqu’un ne la reconnaisse. Mais la femme l’observait déjà avec plus d’attention.  

 

- Angéla Larson ! s'écria-t-elle soudain.  

 

- Mince ! Et dire que j'étais passé inaperçue pour le moment, pensa-t-elle. J'aurais jamais du retirer ces fichus lunettes de soleil. Oui, c'est moi, répondit-elle malgré tout et en adressant un superbe sourire.  

 

Oh, mais comment ai-je fait pour ne pas vous reconnaître ! Pourtant, mon mari me dit que je vous ressemble temps.  

 

En entendant cela, Angéla tomba à la renverse. Autour d’elle, quelques corbeaux voltigeaient l'air dépité. Leur mine semblait dire :  

 

- Non, mais on aura tout entendu !  

 

- Pardon ? fût la seule chose qu’elle parvint à articuler, tandis qu’elle se relevait.  

 

- Vous allez bien ? demanda l’autre femme perplexe.  

 

- Oui, oui, c’est la surprise de voir notre ressemblance qui m’a fait un choc, dit Angéla tentant de ne pas éclater de rire et surtout de ne pas répondre quelque chose de trop ironique du genre : Peut-être à cause des cheveux ?.  

 

- Oh ! Vous trouvez aussi !  

 

- Oui, vraiment, répondit-elle toujours le plus sérieusement possible.  

 

- Vous savez mon mari est l'un de vos fans et ils trouve que je vous ressemble, surtout quand je chante !  

 

- Waw, il faut faire un sacré exercice d'imagination, pour trouver notre ressemblance. Je sais que j’ai pris des formes à cause des jumeaux, mais tout de même. Enfin, je ne préfère pas imaginer le genre de fantasme de son mari, pour qu'il me compare à elle, pensa Angéla.  

 

- Vous voulez m'entendre peut-être ?  

 

- et bien, j'aimerais bien, mais je dois partir, dit-elle précipitamment.  

 

- Oh, mais s'il vous plait, cela ne vous prendra que deux minutes, supplia-t-elle.  

 

- Bon, je dois avoir deux minutes, répondit-elle résignée.  

 

Angéla savait par expérience, maintenant, qu'il était inutile d'insister face à ce genre de supplique. De plus, les gens étaient si fiers de lui montrer combien ils chantaient bien. Alors, elle avait appris à se concentrer, afin d’arborer un visage le plus neutre possible. Cela n’avait pas été trop difficile, il lui semblait d’ailleurs qu’elle s’exerçait à ça depuis toujours. Elle se concentrait donc. Il ne fallait pas qu’elle éclate de rire ou qu’elle fasse une drôle de moue si elle chantait trop mal. Elle ne se permettait de montrer ses émotions que si la personne chantait vraiment bien. Heureusement pour elle, la plupart du temps c’était le cas et avec un peu de chance, cela serait encore le cas. Cependant, sa concentration fût mise à mal dès les premières notes entonnées.  

(Et je peux vous dire qu’heureusement que l’on ne peut pas l’entendre, car sinon, nous aussi on aurait du mal à ne pas se boucher les oreilles ou courir à la recherche de boule qui est-ce. Pour vous faire une petite idée, imaginez madame Olson dans La Petite Maison Dans La Prairie, en version soprano ! Brrr ! J’en ai mal aux oreilles rien que de l’imaginer ! Bon, excusez, il faut que j’arrête le massacre avant qu’elle nous tue Angéla et les enfants, et qu’elle fasse fuir tout le monde du parc !)  

 

- Bravo ! s’écria Angéla en applaudissant. Vous chantez vraiment très bien !  

 

- Mais, je viens à peine de commencer.  

 

- Oui, je sais, mais je suis désolée. Mais je viens de me souvenir que je dois partir, j’ai un rendez-vous très important.  

 

- Oh ! Comme c’est dommage, répondit la femme déçue.  

 

- Tenez ! C’est pour vous et votre mari, dit Angéla tandis qu’elle lui tendait deux photos dédicacées.  

 

- Vous êtes si gentille, merci. Désolée pour tout à l’heure.  

 

- Oh ! Mais il n’y a pas de mal, j’ai pu faire la connaissance de ma jumelle, répondit gentiment Angéla, alors qu’elle s’enfuyait du parc avec les enfants.  

 

Une fois hors de vue de la femme, elle ralentit la cadence et soupira de soulagement.  

 

- Ouf, je l’ai échappé belle ! Et dire que j’avais réussi à passer inaperçue.  

 

- Maman ? interpella Hideyuki doucement.  

 

- Oui, mon chéri ?  

 

- Z’ai faim.  

 

- Vraiment ? Vous aussi les filles ?  

 

Tous acquiescèrent d’un hochement de tête. Angéla regarda sa montre et remarqua qu’il était déjà 16h30.  

 

- Ouh la la ! Mais, il est l’heure du goûter c’est vrai ! Bon, les enfants, on va rentrer, pour le goûter. On ira au zoo un autre jour. En plus, il faut que vous fassiez votre petite sieste, d’accord ?  

 

Un autre hochement de tête collectif fût la seule réponse qu’elle obtint. Les enfants commençaient à montrer des petits signes de fatigue de leur folle après-midi. Angéla fit signe à un taxi, pour ne pas les fatiguer d’avantage en prenant le bus ou le métro, pour rentrer à l’hôtel. Ce matin, elle n’avait pas pris la voiture et si elle appelait le chauffeur de l’hôtel, il faudrait encore attendre. Un taxi s’arrêta et toute la petite troupe s’engouffra dans ce dernier. Ils arrivèrent assez rapidement à l’hôtel. Angéla paya et entra à toute vitesse dans l’édifice. Arrivée à l’appartement, elle débarrassa les enfants de leurs chapeaux et leurs vestes. Saori regardait émerveillée l’immense appartement. Angéla sourit la voyant ouvrir de grands yeux sur chaque chose sur lequel son regard se posait. Elle laissa Ryoko et Hideyuki lui faire faire le tour du propriétaire, alors qu’elle leur préparait un petit goûter. Une fois prêt, les enfants s’installèrent à la cuisine bavardant de chose d’enfant et grignotèrent avidement leur goûter. Angéla pour sa part buvait un petit thé, en réfléchissant à ce qu’elle pourrait préparer pour le dîner. Elle se décida pour un petit plat tout simple, après avoir entendu Hideyuki dire à Saori qu’il aimait le riz au curry et aux crevettes qu’elle lui préparait. Lorsqu’ils eurent fini leur encas, Angéla les débarbouilla et les mis tous les trois dans son grand lit, pour une petite sieste. Elle entreprit alors de faire le tour de ses placards, pour trouver ce dont elle avait besoin. Pour l’essentiel, elle avait tout, sauf les crevettes et de quoi faire un dessert. Elle décida d’appeler une employée de l’hôtel pour qu’elle vienne surveiller les enfants, pendant qu’elle irait faire un tour rapide au supermarché. D’ailleurs, elle en avait remarqué un, pas trop loin et en voiture, elle en aurait pour trente minutes à peine, pour faire ses courses. Ce fût ainsi qu’elle sortit, après s’être changée car elle avait trouver le moyen de se tacher en débarrassant la table du goûter. Alors, elle enfila un simple jeans et un débardeur noir, avec une petite veste en jeans également. Elle avait coiffé ses longs cheveux en un chignon qu’elle cacha sous une casquette, sans oublier bien entendu ses lunettes. Elle partit donc en coup de vent, il fallait qu’elle se dépêche, si elle voulait que tout soit prêt avant l’arrivée de ses inviter. Elle arriva très vite au supermarché et heureusement pour elle, il n’y avait pas grand monde, passer aux caisses rapidement serait tache aisée. Elle fit le tour des rayons, prenant tout ce dont elle pourrait avoir besoin. Elle prit une quantité assez conséquente, car vu la carrure de Falcon, il ne devait pas se contenter de deux crevettes et deux grains de riz qui se battent en duel. Elle était toute concentrée à sa tache, lorsqu’au détour d’un rayon, elle remarqua une silhouette qui interpella son attention. Elle s’arrêta à l’angle du rayon et observa discrètement celle-ci. Elle chercha quelques minutes dans sa mémoire, pourquoi cette dernière lui était familière et elle se souvint enfin. Elle la regarda encore quelques secondes, alors que la personne commençait à partir dans le sens opposé. Elle fit rapidement le tour du rayon, pour ne pas se faire remarquer et prendre ainsi la même direction que cette silhouette. Toutefois, le temps de sa manœuvre, elle perdit sa cible de vue, mais la retrouva par chance trois rayons plus loin, dans le rayon dessert. Cela tombait bien, c’est justement le rayon qu’elle cherchait pour finir ses achats. Angéla ne préféra pas s’engager ainsi dans l’allée. Elle abandonna quelques instants son caddie au coin du rayon suivant. Elle fit le tour par là, pour prendre par surprise la personne. Elle ne savait pas pourquoi elle faisait cela, mais c’était étrange, c’était une envie comme ça. Quand elle s’engagea dans le bon rayon, la personne était toujours là et elle semblait se concentrer sur son choix à faire. Elle s’avança alors le plus discrètement possible. Heureusement, il n’y avait personne d’autre dans ce rayon que sa cible. Elle remarqua quand elle fût assez près que la personne se parlait à elle-même.  

 

- Bon, ce n’est pas facile. Qu’est-ce que je prend une tarte ou un gâteau. Pfff, trop dur. Je n’aurais pas tous ces problèmes si tu étais là ma Kaori, tu m’aurais préparé un de tes supers desserts.  

 

Angéla esquissa un sourire, il était vraiment drôle et vraiment absorbé par ce qu’il faisait. Elle arriva donc à sa hauteur et :  

 

- Boug ! fait-elle doucement près de son oreille.  

 

- Arrête Kaori ! tu sais que je déteste que tu fasse ça, dit Ryo spontanément, tout en se retournant vers la source de sa frayeur.  

 

- No sweet boy, je ne suis toujours pas Kaori, répondit Angéla tandis qu’elle souriait à pleine dents, fière de ce qu’elle venait de faire, pour une obscure raison.  

 

- Oui et Kaori est toujours morte aussi, répondit-il un peu tristement, mais en adressant tout de même un sourire à la jeune femme.  

-  

- Vous allez bien ? s’enquit Angéla.  

 

- Oui, merci chère marquise.  

 

- Ah, je vois que vous ne m’avez pas oublié.  

 

- Non, en effet. De plus, il est difficile d’oublier quelqu’un qui a le don de vous surprendre et qui apparaît comme par magie.  

 

- Oui, dit-elle un peu gênée. Je suis désolée d’avoir fait ça et d’ailleurs je ne sais pas pourquoi je l’ai fait.  

 

- Vous savez ce n’est pas grave. Il n’y a pas grand monde qui peut se vanter d’avoir réussi à me surprendre. Pour le moment, vous n’êtes que deux !  

 

- Votre femme et moi, je suppose ?  

 

- Oui, tout a fait. Elle avait ce don de pouvoir me surprendre de temps en temps, et vous avez ce don aussi. Ainsi que celui de me donner l’impression que c’est elle.  

 

- J’en suis désolée, cela doit être douloureux de se rendre compte que cela n’est qu’une simple illusion, répondit-elle toujours attristée pour lui.  

- Oh, mais ne vous inquiétez pas. Ce n’est pas grave. Vous savez pendant un quart de seconde, j’ai vraiment l’impression qu’elle est là et pendant ce quart de seconde, j’oublie qu’elle ne reviendra plus. Vous m’offrez un peu de bonheur, c’est bien au contraire. D’ailleurs, vous ne seriez pas un ange ?  

 

- Non, pas vraiment, répondit Angéla en éclatant de rire.  

 

- Vous en êtes sûre, demanda un Ryo charmeur. (ben, voilà je cents que sa nature revient au galop. Attention Angéla !)  

 

- Oui, j’en suis sûre. Mais au fait, permettez-moi de me présenter, Angéla Larson, dit-elle en lui tendant la main. Main que ce dernier s’empressa de serrer.  

 

- Moi, c’est Ryo Saeba. Mais, je constate que vous m’avez menti.  

 

- Pardon ?  

 

- Oui Angéla, est un mot formé à partir du mot ange, non ? Vous avez donc quelque chose d’angélique !  

 

- Oui, on peut dire ça ! répondit-elle éclatant de rire de plus belle.  

 

- Mais dites-moi, vous nêtes pas la Angéla Larson, tout de même!  

 

- Bah, si, sweet boy, répondit-elle après avoir retirer ses lunettes et sa casquette.  

 

- Un sweet boy qui était encore plus craquant que ce qu’elle n’avait pu voir ce soir-là sur le toit. Angéla se trouvait définitivement sous son charme.  

 

- - Ola la ! Et dire que je me suis fais consoler, par vous ! dit-il alors qu’il arborait maintenant son visage au combien célèbre du pervers numéro 1 du Japon. Les autres vont en faire une jaunisse, quand je leur dirais que …. Je vous ai rencontré !  

 

Tout naturellement, vous imaginez bien qu’Angéla en tomba à la renverse et qu’elle fût rapidement rejointe par une troupe de libellule. Au revoir aussi, l’image du beau prince charmant. Il faudra un jour que quelqu’un prenne le temps de lui expliquer que ce n’est pas comme ça qu’il réussira à séduire les filles. Ryo reprit toutefois contenance et tendit la main à Angéla, pour l’aider à se relever. Angéla remarquant qu’il était redevenu normal accepta cette main tendue.  

 

- Puis-je vous demandez, ce qu’une aussi belle femme et aussi célèbre surtout vient faire à Tokyo ? Surtout dans un supermarché ?  

 

- Bien, je suis ici pour une série de concerts et un défilé. Quant à ma présence dans ce supermarché, je viens faire mes courses, comme tout le monde. J’ai invité du monde. Oh ! Mon Dieu ! il faut que je vous laisse, sinon mes inviter n’auront rien à manger pour le dîner !  

 

Sur ce Angéla prit un dessert au vol et au hasard, fit un signe d’au revoir à Ryo et partit en courant à la caisse, après avoir récupéré son caddie au passage. Ryo, quant à lui, resta planté là sans réaction, clouer sur place par ce revirement de situation. Elle avait disparue, comme elle était apparue. Elle lui semblait insaisissable et il se sentait si étrange en sa présence. Elle avait un je ne sais quoi qui l’intriguait, il avait un drôle de sentiment la concernant. Un sentiment très difficile à définir. Ryo soupira longuement, choisit à son tour un dessert au hasard, de toute façon ils ne seraient jamais aussi bons que ceux de Kaori. Puis, il quitta lui aussi le supermarché, pour rentrer chez lui.  

 

 

 

 

 


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