Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prose

 

Author: Beautiful Strangeran

Status: Completed

Series: City Hunter

 

Total: 20 chapters

Published: 04-02-04

Last update: 31-03-04

 

Comments: 63 reviews

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DrameRomance

 

Summary: La vie peut tout nous donner, mais elle peut aussi tout nous reprendre. Que se passerait-il si l'un de nos deux héros disparaissait? Peut-on continuer à vivre? City Hunter n'est plus vraiment City Hunter sans l'un de ses membres. Mais, pourtant ...

 

Disclaimer: Les personnages de "City Hunter" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.Retour à la vie

 

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   Fanfiction :: Retour à la vie…

 

Chapter 10 :: Maintenant à mon tour de te surprendre

Published: 27-02-04 - Last update: 27-02-04

 


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venait de s'écouler depuis ce fameux soir où elle l’avait revu. Entre temps, elle était partie à Okaydo, pour donner deux concerts, lesquels s'étaient bien passés. Elle avait pris le temps de visiter la ville avec les enfants. Certes elle était au Japon pour le travail, mais elle était là aussi pour le plaisir. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas pu passer autant de temps avec ses petits bouts. Elle était aussi heureuse d'être revenue dans son pays natal. Elle pensait d'ailleurs s'acheter une maison ou un appartement, afin qu'elle ait un vrai chez soi quand elle viendrait ici. Il faut dire qu'elle envisageait de revenir plus souvent à Tokyo, depuis qu'elle l'avait revu. C'était totalement délirant, mais cette homme l'attirait irrésistiblement et de façon irrationnelle. C'était bête, car Tokyo était une grande ville et il n'était pas dit qu'elle le revoit un jour. Sans compter le fait qu'elle avait cherché ses coordonnées dans l'annuaire et auprès des renseignements, mais il était sur liste rouge. Il ne lui restait plus qu'à laisser faire le destin une fois de plus. Comment était-il possible qu’elle soit tant attirée par lui ? Ça elle l’ignorait, mais c’était un fait. Peut-être était-elle amoureuse ? Rien n’était moins sûr. Toutefois, une chose était claire elle avait très souvent pensé à lui au cours de cette semaine. Mais là, elle était trop fatiguée pour penser d'avantage. En effet, elle avait conduit toute l'après-midi, préférant conduire prudemment à cause des enfants et cela même si pour son séjour son manager lui avait réservé une ferrari. Ce n’était pas une voiture désagréable à conduire, mais une petite polo comme sa voiture habituelle aurait amplement suffit. Par ailleurs, ce qui l'ennuyait vraiment c'étaient ses maux de têtes qui étaient toujours plus fréquents depuis le dîner avec ses nouveaux amis. Elles les aimaient vraiment beaucoup. Dès la première minute, elle a eu l'impression de faire partie de ce groupe. Mike était très drôle et un dragueur invétéré. Kasue et micky étaient géniales, leur amitié ayant pris forme tout de suite. Puis Falcon, sous ses grands airs d'intouchable, était très gentil et très doux. C'est incroyable car on est loin de pouvoir penser cela quand on le voit de prime abord. Puis, il est si drôle quand il remet en place Mike. Bon le mur de son salon a un peu souffert, mais ce n'est pas grave. Une nouvelle vague de douleur vint lui briller les tempes. Elle vérifia une dernière fois que les enfants dormaient et elle partit se coucher, en espérant que ses rêves ne viennent pas perturber son sommeil. Ces derniers aussi s’amusaient à lui jouer des tours, depuis ces deux derniers mois. Ils semblaient signifier quelque chose, mais ils étaient trop compliquer à comprendre et ils les fatiguaient plus qu'autre chose. Le seul point positif était que dernièrement, un certain homme venait les peupler.  

 

- Bon, il est temps de dormir Angéla. Demain, c'est une grande journée avec le défilé d'Eriko et il vaut mieux être en forme.  

 

Angéla s’endormit presque aussitôt et cela malgré ce mal de tête persistant. Le lendemain se furent ses petits monstres qui vinrent la réveiller à l'heure très matinale de 6h30.  

(Ah les enfants ! cela vous use, hein? N’est-ce pas les mamans ? Petit clin d’œil à vous qui faite un super travail, le plus beau du monde !)  

Ces derniers venaient de se réveiller et n'ayant plus sommeil, décidèrent qu'il était l'heure aussi pour leur mère de se lever. Celle-ci ne broncha pas, trop accoutumer à ce que ses petits démons se lèvent assez tôt. Ils restèrent encore un peu au lit toutefois, jouant un peu. Angéla s'adonnait à sa torture préférée, une super séance de chatouilles intensives. Enfin, ils se levèrent finalement à 7 heures. Angéla devait partir à la répétition du défilé de ce soir. Elle en aurait pour la matinée. Fort heureusement, elle aurait son après-midi de libre et elle n’aurait qu’à se rendre au défilé qu’à 19 heures, puisque ce dernier débutait à 21 h. Elle se préparait donc, s'habillant très joliment comme toujours. Mais sa tenue lui donnait un petit coté rebelle charmant. En effet, elle avait mis un pantalon de cuir noir et un top en soie rouge. Oui vraiment il s'en dégageait un charme fou. De plus, cette tenue était complétée d'une veste en cuir rouge qu'elle enfilerait en sortant.  

 

- Oh maman ! t'es zolie, dit Hideyuki admiratif.  

 

- Merci mon poussin, c'est gentil, répondit-elle lui déposant un bisous sur le front.  

 

Sur ce Ryoko qui était dans sa chambre vint aussi vers sa mère.  

 

- Oh maman ! t'es zolie comme.... comme.... Comment tu dis, toi?  

 

- Comme un ange....  

 

- Oui Je sait ! Comme un anze descendu du ciel, dit la fillette gaiement.  

 

- Merci mon ange, mais ici celle qui est belle comme un ange descendu du ciel c'est toi mon coeur, répondit-elle en lui déposant aussi un baiser sur le front.  

 

- Bien mes chéris et si on allait manger, hein?  

 

- Ouiiiii ! s’écrièrent-ils en chœur.  

Ainsi, ils se rendirent à la cuisine pour petit -déjeuner. Le repas se passa dans la bonne humeur, comme toujours. Puis, vint vite l’heure pour Angéla de partir rejoindre Eriko. Mais avant de partir, celle-ci expliqua aux enfants le déroulement de la journée.  

 

- Bon, mes poussins, je vais vous expliquer la journée. Vous allez rester avec Natsumi et vous serez sage bien entendu, dit-elle un sourire aux lèvres. Puis, à midi le chauffeur vous conduira au travail de maman et après on ira manger. Et si vous êtes sages, on ira voir les animaux aujourd’hui. D'accord ?  

 

Les enfants se contentèrent de hocher la tête pour toute réponse.  

 

- Alors, maintenant faites un gros bisous à maman.  

 

Les enfants ne se le firent pas dire deux fois et de part et d’autre lui donnèrent un énorme bisous. Angéla les embrassa à son tour et partit rejoindre Eriko. Sa matinée se passa bien et très vite, si vite qu’elles avaient même fini la séance de répétition avec une heure d’avance. Cette dernière répétition générale n’était qu’une petite mise au point. En effet, les autres mannequins avaient répétés plusieurs fois au cours de la semaine précédente et le professionnalisme d’Angéla n'avait fait de cette séance qu’une simple formalité. Angéla se trouvait à présent dans sa loge et finissait de se préparer, elle allait pouvoir aller chercher directement les enfants finalement. Soudain quelqu’un toqua à la porte.  

 

- Une minute j’arrive ! répondit Angéla.  

 

- Oh, prend ton temps ! C’était juste pour te dire que tu viennes me voir dans la salle pour que je te présente quelqu’un. Cela sera ton garde du corps pour la soirée, dit Eriko au travers de la porte.  

 

- D’accord, j’arrive dans deux minutes.  

 

 

- Ok, à tout de suite, répondit Eriko avant de partir.  

 

- Oh la plaie ! Ces fichus garde du corps ! Moi, qui déteste en avoir, ils sont tous plus bête les uns que les autres. En plus, ils servent à rien, je suis tout de même pas une personne si importante à protéger. Me protéger de quoi, d’ailleurs ? Pfff, espérons juste que celui-ci ne soit pas trop bête et pas trop casse pied, avec cent milles recommandations qui au bout du compte ne servent à rien, maugréa-t-elle.  

 

Angéla se décida finalement à rejoindre Eriko dans la salle. Quand elle y arriva, celle-ci se trouvait en grande conversation avec l’un des techniciens et à part eux, il n’y avait personne d’autre qu’elle ne connaisse déjà. Elle observa attentivement les personnes présentes, mais vraiment elle ne voyait pas de personne qui lui était inconnue. Soudain, un bouh ! À son oreille la fit sursauter.  

 

- Aaah ! Crétin ! Mais t’es malade ? dit-elle en se retournant vivement et ne se rendant même pas compte de ses propos.  

 

- Bonjour marquise ! répondit un Ryo qui tentait de cacher son étonnement face à la vive réaction de la jeune femme.  

 

Vous allez me dire qu’il n’y a rien d’anormal à cela. Rien de plus normal de réagir vivement, quand on vous fait une telle frayeur. Et moi, je vous répondrais que je suis totalement d’accord avec vous. Bien, comme vous le constatez nous sommes d’accord. Une autre question s’impose alors d’elle-même, pourquoi tout ce discours, hein ? Je pourrais vous répondre à rien et que j’avais juste envie d’écrire pour ne rien dire, que cela muscle mes doits et mes poignets, que mon cerveau se tape un délire ou….  

- Stop ! Arrête Beauty ! Y en a marre de ton bavardage inutile !  

- Eh ! du calme mon cher ego. Pas la peine de s’énerver de la sorte, je voulais juste détendre l’atmosphère, moi.  

- Oui, oui, cause toujours ! Tu tournes autour du pot pour rien ! En plus, tu casses les pieds de tout le monde avec tes délires ! Viens-en aux faits, si tu t’en souviens encore ! Cher Alter.  

- SBANG ! Tiens plutôt ça ! La seule qui casse les pieds de l’autre ici c’est toi ! Et à cause de toi, mon récit est totalement chamboulé !  

Bien, je suis désolée pour cette intervention intempestive de mon ego, mais je vais reprendre mes explications. Enfin, j’aimerais bien mais à cause d’elle, je me souviens vraiment plus de ce que je voulais dire. Oh quelle enquiquineuse celle-là !  

- SBAM ! Tiens ! Voilà ce qu’elle te dit l’enquiquineuse et laisse tomber, je vais expliquer ce que tu voulais dire car sinon on est encore là demain, tête de moineau !  

Bon, chers lecteurs et lectrices, ce qu’elle tentait de vous expliquer, ce n’est pas tant la réaction d’Angéla, mais plutôt de ce qu’elle a dit et de la façon dont elle l’a dit. Il s’agissait d’une réplique digne de celle de Kaori. Voilà c’est tout.  

Bon, excusez du dérangement. Je vais soigner Beauty qui est encore dans les pommes et elle reprend dès qu’elle peut le récit. Vous inquiétez pas non plus si la suite n’est plus très cohérente, mais Beautiful Strangeran et la cohérence…. Bah ! Ça fait deux !  

 

- Ah Ryo, C’est vous ?  

 

- Oui, c’est moi. Mais maintenant vous me vouvoyez ?  

 

- Bien sûre. Je ne me souviens pas que l’on se soit tutoyais avant.  

 

- Oui, pourtant il y a deux secondes, vous avez dit je cite : «Aaah ! Crétin ! Mais t’es malade ?»  

 

Angéla battit des paupières confuse.  

 

- Vraiment, j’ai dit ça ? Je ne m’en suis pas rendu compte, excusez-moi.  

 

- Il n’y a pas de mal, je voulais juste vous rendre l’appareil.  

 

- Oui et bien, on peut dire que vous y êtes parvenu, dit-elle en riant. Maintenant que l’on est à égalité, on peut peut-être vraiment se tutoyer ?  

 

-  

 

- - Oui et après trois rencontre presque fortuite, on peut se tutoyer en effet. Donc, moi c’est Ryo et toi ?  

 

- Moi c’est Angéla, répondit-elle entrant dans son jeu. Mais, au fait pourquoi dis-tu presque fortuite ?  

 

Ryo n’eut pas le temps de répondre à son interrogation. En effet, Eriko qui n’avait rien raté de la scène se rapprocha d’eux pour prendre la parole.  

 

- Vous vous connaissez ? dit Eriko surprise.  

 

- - Oui, on s’est déjà croisé deux fois par hasard, répondit Angéla qui essayait de masquer son trouble.  

 

- Et bien quelle surprise !  

 

-  

 

- - Oui, en effet ! Mais, au fait où est le garde du corps dont tu me parlais ?  

- Tu n’as pas encore deviné ?  

 

- Deviner quoi ? Tu sais moi et les devinettes. En plus, j’ai le cerveau en compote en ce moment.  

- Bon, maintenant c’est à mon tour de te surprendre, alors. Ryo ….  

 

- Attend ! Tu veux dire que …  

 

- Oui, c’est moi qui serais ton garde du corps, répondit-il finalement. En plus, il ne sera franchement pas désagréable à garder, ajouta-t-il en bavant littéralement.  

 

- Ryo ! gronda Eriko. Tu te calmes ou sinon je t’obliges à jouer les mannequin !  

 

- Ok, je me calme. Pas la peine de me menacer de la sorte. Tu sais que je déteste ça  

 

- Oui, mais tu sais et bien, tu aurais pu faire un effort car la collection je l’ai faite en m’inspirant de Kaori et toi. En plus, tu pourrais très bien jouer les mannequins et surveiller Angéla de près.  

 

- Non, merci. Je préfère rester discret et je n’ai pas que ça à faire que de jouer les mannequins.  

 

Angéla écoutait sans rien dire, lorsqu’elle réalisa ce qu’Eriko venait de dire à Ryo.  

 

- Eriko, excuse-moi, mais l’amie dont tu me parlais c’est Kaori ?  

 

- Oui pourquoi tu l’as connais ?  

 

- Non, mais j’en ai déjà entendu parler.  

 

- Ce sont les autres qui t’en ont parlé ?  

 

- Les autres ? demanda Ryo.  

 

- Oui, ceux de la bande, répondit Eriko.  

 

- Tu connais la bande ? demanda-t-il à Angéla maintenant l’air méfiant.  

 

- Oui, j’ai fait leur connaissance grâce à Eriko et Saori est maintenant l’amie de mes enfants. Quand à ta question Eriko, ce ne sont pas eux qui m’en ont parlé. C’est Ryo, je lui ai fait peur l’autre jour et …  

 

- Et je ne sais pas pourquoi j’ai cru que c’était Kaori, dit-il un peu sèchement.  

 

- Bien, je suis ravie de savoir que tu es mon garde du corps Ryo. Mais là, il faut que j’aille chercher mes enfants à l’hôtel. Eriko on se voit tout à l’heure, dit Angéla en partant précipitamment.  

 

- Mais Angéla ?.... Qu’est-ce qui lui arrive ?  

 

- Je ne sais pas, mais je vais le savoir, répondit Ryo avant de sortir à son tour.  

 

- Ils sont bizarres ces deux-là, soupira Eriko avant de retourner à ses occupations.  

 

 

 

 


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