Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prose

 

Author: Beautiful Strangeran

Status: Completed

Series: City Hunter

 

Total: 20 chapters

Published: 04-02-04

Last update: 31-03-04

 

Comments: 63 reviews

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DrameRomance

 

Summary: La vie peut tout nous donner, mais elle peut aussi tout nous reprendre. Que se passerait-il si l'un de nos deux héros disparaissait? Peut-on continuer à vivre? City Hunter n'est plus vraiment City Hunter sans l'un de ses membres. Mais, pourtant ...

 

Disclaimer: Les personnages de "City Hunter" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.Retour à la vie

 

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   Fanfiction :: Retour à la vie…

 

Chapter 15 :: Un peu d'action cela ne fait du mal à personne

Published: 10-03-04 - Last update: 10-03-04

Comments: Bonjour tout le monde, voici une petite maj. Je fais durer le plaisir, car c'est bientôt la fin. Comme toujours je vous souhaite une bonne lecture et j'attends toujours avec plaisir vos reviews.

 


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12 heures, c’est une Angéla en pleine forme qui franchit le seuil du café cat’s eye suivie par un Ryo à l’air pas très réveillé. En effet, Ils avaient discuté jusqu’à tôt ce matin. Ryo avait parlé de Kaori, sans pause, jusqu’à 9 heures. Cela avait été un moment très intense. Ryo parlait de Kaori avec tant de ferveur et d’amour. Angéla se demandait même s’il avait été au grand jamais aussi passionné avec sa partenaire. Mais, une chose était sûre, c’est qu’il l’avait aimé et l’aimait toujours. Angéla buvait avidement toutes les paroles de Ryo. Elle aurait tant aimé la connaître, cette femme, de qui elle se sentait plus que jamais proche. Toutefois, il y avait un petit problème. En effet, elle commençait sérieusement à apprécier Ryo, mais lui il n’avait que Kaori dans son cœur et aucune place libre pour elle. Donc, elle était ballottée entre la tristesse de ne pas être elle et l’envie de mieux la connaître. Elle avait sourit, rie, mais surtout pleurer, au travers de ce récit si touchant. Il savait tout d’elle, comme s’il avait tout graver jusqu’au moindre détail. Angéla sentait qu’il avait gardé tout en mémoire, au fond de son cœur. Il savait tout de Kaori. Cela avait été un moment inoubliable qu’elle avait beaucoup apprécié. Elle avait d’ailleurs décidé au terme du récit d’aller faire un petit tour à l’orphelinat avec ses enfants, à cet endroit où tout s’était fini. Enfin, ils étaient rentrés et étaient partis se coucher immédiatement.  

(Chacun dans leur lit ! Non, mais tout de suite, vous croyez que je ne vous ai pas vu venir avec vos idées mal placées. Pfff, on me l’a fait pas à moi ! )  

Ils s’étaient couchés et s’étaient endormis aussitôt la tête posée sur l’oreiller. Même Ryo était parvenu à trouver le sommeil assez rapidement pour une fois. Sauf qu’à 11 heures 30, ce fût une Angéla en pleine forme malgré ses deux heures de sommeil qui vint tirer du lit son fainéant de garde du corps. Elle était sûre que si elle ne venait pas le chercher, ils n’étaient pas près d’être parti pour le café de Micky et Falcon. Elle serait bien y allée seule, mais il lui avait fait promettre de ne pas sortir où que cela soit sans lui. Mais là, Angéla n’avait qu’une envie c’était de voir ses petits bouts et sa journée était encore chargée. En effet, après le déjeuner avec ses amis et les enfants, elle devait répéter pour son concert qui se tiendrait dans deux jours. Enfin, Ryo n’avait pas fait le difficile et ils se trouvaient désormais attablés à l’une des table du cat’s eye.  

Angéla avait Ryoko sur ses genoux. Hideyuki, quant à lui, se trouvait sur ceux de Ryo. Saori, pour sa part, était sur les genoux de sa mère qui discutait avec Angéla et qui présente également. Ryo discutait avec Falcon et Mike. La discutions allait bon train. Ils passaient un bon moment. D’ailleurs, à les voir ainsi, on pouvait se demander si Ryo travaillait ou s’il passait tout simplement un bon moment en compagnie de ses amis, sa femme et ses enfants. Tout du moins, pour un observateur extérieur qui ne connaissait en rien la situation, on pourrait le croire. Oui, il avait l’air presque heureux. On aurait même du mal à imaginer que le nettoyeur était en train de bosser. Il s’agit de ces beaux moments où même les plus grands nettoyeurs comme nos trois compères oubliaient presque que la vie est loin d’être aussi belle et aussi lumineuse. Mais, pourquoi ne pas profiter du répit que celle-ci nous accorde et même s’il ne s’agit que d’un répit de quelques minutes ou de quelques secondes. Se laisser vivre, effleurer du bout des doigts la vie normale des gens ordinaires. S’exposer au soleil de la vie, cela fait du bien. Ryo y goûtait et cela faisait bien longtemps que ce dernier ne l’avait plus caressé de ses doux rayons bienfaiteurs. Une douce caresse qui devait prendre fin, car il était temps de retourner à la réalité. Angéla devait partir à sa répétition. Finalement, les enfants allaient rester cette après-midi encore avec Saori, pour leur plus grand bonheur. L’enfance est si douce, sans contrainte. Il suffit de se laisser porter par la vie et les nuages de coton qui nous font voir la vie en rose. Ryo et Angéla partirent donc en direction de la plus grande salle de concert de Tokyo. Ils arrivaient bientôt à destination. Ils avaient fait le trajet assez rapidement, bien qu’ils s’y soient rendus à pieds. En effet, la salle se trouvait à 20 minutes de marche du café. Angéla avait envie de se dégourdir les jambes, histoire de se mettre en jambe pour la répétition.  

Pourtant, au détour d’une rue, une tension se fit ressentir. Ryo allait éloigner Angéla de ce danger imminent, lorsqu’il remarqua que cette dernière avait le corps tendu à l’extrême. Elle semblait avoir sentit également cette tension. Cela le déstabilisa un instant. L’idée d’une Angéla possiblement démon lui revint à l’idée et sa perplexité avec. Tout à coup un cri de femme s’éleva. Ryo n’eut pas le temps d’approfondir sa réflexion qu’il vit sa cliente fondre tout droit sur qui ? Sur un homme qui visiblement agressait une femme pour lui voler tous ses bijoux en plus de son sac à main. En réalité, ce dernier n’eut pas vraiment le temps non plus de faire trop de mal à la jeune femme. En effet, une Angéla furax venait de lui balancer un point rageur sur le visage qui le fit tomber. Angéla profita de cet interlude pour aider la femme à se relever et ainsi qu’elle parte. Le problème c’est que l’homme s’était relevé aussi. Ryo qui était encore médusé par cette intervention musclé d’Angéla, allait intervenir lorsque celle-ci l’en empêcha.  

 

- - Non laisse Ryo ! Je m’en charge ! Je déteste les crétins qui agressent les pauvres femmes sans défense. En plus, un peu d’action cela ne fait de mal à personne.  

 

- - On peut savoir qui est-ce que tu traite de crétin, espèce de sale garce ! T’as envie de te faire refaire le portrait ? Hein, la poupée siliconée ! répondit l’homme qui écumait de rage de voir qu’il s’était presque fait mettre chao par une femme.  

 

- Mais oui, c’est ça cause toujours le crétin ! Mais pour me refaire le portrait encore faudrait-il que tu puisses me toucher et là, … C’est pas la peine de rêver ! dit Angéla d’un ton neutre qui ne présageait rien de bon pour l’homme.  

 

Angéla se trouvait à présent en position d’attaque. Ryo observait cela plus que jamais perplexe. Toutefois, il ne parvenait pas à voir en elle une ennemie. Non, tout ce qu’il voyait c’était une femme super concentrée, super belle, super sexy et surtout avec une super minijupe qui était prête à se battre. Ouch, cela devenait dangereux. Non, pas que pour cet homme. Mais pour sa libido. Il valait mieux pas qu’elle se serve de ses jambes pour se battre car… Car, rien du tout, parce qu’Angéla venait de décocher un autre magistral coup de point que l’homme n’était pas parvenu à esquiver. Celui-ci lui décocha également un coup de point qui ne fit que fendre l’air. Angéla était bien plus agile que lui et s’était baissée. Elle en profita pour lui asséner un coup dans l’estomac. L’homme ploya un instant sous la douleur. Cela ne fit que décupler sa rage. Il voulût alors lui mettre un coup de pied qui assurément l’aurait envoyé embrasser le mur, si elle n’était pas parvenue aussi à l’esquiver, tout en souplesse. Ryo ne pouvait plus qu’observer, en restant prêt à intervenir si nécessaire. Il avait prit une cigarette qu’il savourait en se délectant du spectacle. Pourtant, il venait presque de la faire tomber lorsqu’il vit Angéla mettre fin à cette petite altercation par un magnifique un coup de pied circulaire. Oui, vraiment magnifique, surtout que la jupe était remontée très, très haut. L’homme maintenant gisait sur le sol inconscient. Angéla se frotta les mains de satisfaction, rajusta sa tenue et revint au côté de Ryo inconsciente de son trouble. Ryo restait les yeux exorbités et son faciès de pervers menaçait de faire son apparition.  

 

- Bien, en voilà un qui réfléchira à deux fois avant de recommencer à agresser une femme. Ryo ? Tu te sens bien ?  

 

- Puis-je savoir où as-tu appris à te battre et pourquoi as-tu besoin d’un garde du corps ?  

 

- J, ai appris à me défendre dans mes cours de karaté. Quant à ton autre question et bien c’est simple. C’est parce que mon manager insiste et qu’il ne veut pas que je me blesse ou plutôt que je ne sois pas figurée.  

 

- Oui. Bah en tout cas, tu es très douée.  

 

- Peut-être, mais juste dans les arts martiaux, parce qu’autrement pas vraiment. Je suis une vrai catastrophe avec les armes à feu. Je me retrouve toujours à canarder le plafond de la salle de tire plutôt que les cibles. C’est d’ailleurs pour ça que j’ai laissé tomber le tire.  

 

Ryo sourcilla à cette réponse et ne plu qu’éclater de rire. Et voilà encore une blague de ce foutu destin qui accentue toujours plus cette ressemblance entre Kaori et Angéla. Vraiment, s’il n’était pas convaincu que Kaori était morte, il pourrait croire qu’Angéla n’est personne d’autre que sa Kaori en blonde et aux yeux bleus.  

 

- Non, mais tu es sûr que tu vas bien ?  

 

- Oui, oui … Je rie seulement de la racler que tu lui as mis.  

 

 

- Euh… oui… Je ne supporte pas ce genre de chose et j’ai pas pu me retenir d’intervenir, dit-elle en rougissant à présent.  

 

- Bien ce n’est pas grave. Le plus important c’est que tu ne sois pas blessée.  

 

- Non, ça va. Je n’ai même pas mal à la main pourtant, je sais qu’il la sentit passer.  

 

- Oui, c’est une chance. Surtout que tu n’aurais pas été fine pour tenir le micro et moi j’aurais été bon pour un savon de la part de ton manager.  

 

- Ouais… D’ailleurs, on y va ? Mes musiciens doivent être en train de trouver le temps long. Oh ! mais il vaut mieux appeler la police pour le crétin.  

 

-  

 

- - laisse je m’en charge et en plus, il est bon pour encore une bonne heure de sommeil forcé.  

-  

- - Oui, on peut dire ça, répondit-elle en éclatant de rire.  

 

Ryo et Angéla quittèrent la rue pour se rendre, sans halte maintenant, à leur destination. Ryo prévint la police qui viendrait cueillir le crétin bientôt.  

 

 

 


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