Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prose

 

Author: phoenix2048

Beta-reader(s): Macema

Status: To be continued

Series: City Hunter

 

Total: 20 chapters

Published: 22-06-10

Last update: 22-04-22

 

Comments: 63 reviews

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RomanceAction

 

Summary: Fic alternative : Makimura est toujours en vie et bosse avec Ryô, qui ne connaît pas Kaori. Mais un jour...

 

Disclaimer: Les personnages de "Love at first sight and Consequences..." sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Love at first sight and Consequences...

 

Chapter 1 :: Chapitre 1

Published: 22-06-10 - Last update: 22-06-10

Comments: Salut! Me revoilà de retour après une longue absence. Je suis très heureuse de vous retrouver pour de nouvelles aventures... Voici le premier chapitre d'une des fics que je me décide enfin à majer... Je pense qu'elle sera plus longue que d'habitude, mais je ne sais pas encore combien de chapitres il y aura au total. Bon j'arrête mon blabla et je vous laisse découvrir cette nouvelle histoire qui j'espère vous plaira! Merci à Macema, qui est ma bêta pour cette fic. J'attends vos reviews avec impatience. Bisous!!

 


Chapter: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20


 

Cela faisait plus de trois ans qu’un étrange duo s’était formé à Tôkyô : un ancien flic, honnête et droit, qui avait démissionné suite à la culpabilité qu’il éprouvait face à la mort d’une jeune collègue, et surtout aussi car les lois l’empêchaient de rendre justice comme il le souhaitait réellement ; et un tueur à gages, au regard sombre et dur, froid comme la glace, qui éliminait les ordures en rendant sa propre justice.  

Au début de cette drôle de collaboration, le flic était toujours en fonction et le nettoyeur l’aidait dans l’ombre, car un début d’amitié était né entre les deux hommes, qui s’entendaient plutôt bien et qui partageaient tous deux la même soif de justice.  

Chacun la rendait à sa façon, mais ils se rendirent vite compte que leur collaboration faisait des étincelles.  

Hideyuki Makimura était un bon flic, respecté de tous ses collègues : il prenait vraiment son travail très à cœur et faisait de son mieux pour le faire convenablement.  

Ryô Saeba était un tueur depuis sa plus tendre enfance, car depuis tout petit, il avait dû apprendre à se battre et à tuer pour survivre en pleine guérilla. Son monde n’était que violence et noirceur. Le fait de travailler avec Makimura avait apporté un peu de lumière dans sa triste vie, et il se félicitait vraiment de son choix.  

Makimura avait une jeune sœur, prénommée Kaori. La jeune fille était toute sa vie et il aurait fait n’importe quoi pour elle. La seule chose qu’il ne voulait pas, c’était la mêler à son travail et lui révéler son véritable métier : assistant d’un nettoyeur…  

Surtout que ce tueur avait plusieurs facettes : défenseur de la veuve et de l’orphelin, terreur des criminels en tout genre, tueur de sang froid n’éprouvant aucune pitié, mais ce qui peut paraître complètement contradictoire, un obsédé notoire, véritable coureur de jupons, sautant sur toutes les filles qu’il rencontre !  

Alors quand ce dernier lui demandait quand il pourrait enfin rencontrer sa sœur, Hideyuki lui disait toujours : « Jamais de la vie ! Dans tes rêves ! »  

Ryô savait que son ami le tuerait s’il cherchait à la rencontrer.  

 

***  

 

Depuis plusieurs semaines, nos deux amis étaient en filature et s’apprêtaient à démanteler un important réseau de trafic de drogue pour le compte d’un riche homme d’affaire. Celui-ci avait perdu sa fille unique à cause de cette saloperie qui circulait de nouveau en ville. Cette nouvelle drogue était encore pire que ses consœurs : elle ressemblait à des bonbons acidulés et son conditionnement y était pour quelque chose, car elle se présentait sous forme de mini sachets, comme des bonbons Tagada. Mais ce n’était en aucune manière une friandise. Ses effets ne se faisaient ressentir qu’après plusieurs ingestions. Les personnes qui en consommaient devenaient non seulement dépendantes, comme pour toutes les autres drogues, mais elles perdaient complètement le sens de la raison.  

La fille de leur client s’était enfermée petit à petit dans son monde et avait perdu ses inhibitions. Un beau jour, elle se suicida au volant de sa voiture en prenant l’autoroute en sens inverse : le véhicule fonça dans la glissière de sécurité et finit sa course dans le vide.  

Le dernier rendez-vous avait enfin lieu et il suffisait à Ryô d’accumuler un tas de preuves supplémentaires pour envoyer le responsable en prison. C’est ce qu’Hideyuki avait conseillé au père éploré, mais Ryô avait compris que ce ne serait pas suffisant pour cet homme…  

 

Une voiture stoppa sur le port juste devant un grand hangar. Makimura était posté à quelques mètres, et observait à l’aide de jumelles les hommes déjà sur place, en train de préparer des caisses remplies de ces petits « bonbons ». Un homme sortit de la berline avec une grosse mallette de cuir noir dans les mains : celle-ci semblait peser lourd. Un autre homme descendit à son tour de la voiture. On pouvait facilement deviner qu’il s’agissait d’un garde du corps.  

Tous deux se dirigeaient vers l’autre groupe d’individus et les caisses.  

 

« Alors, vous avez le fric ? » dit un homme corpulent, apparemment, le dealer.  

« Oui, nous avons l’argent. On voudrait voir la marchandise maintenant !  

_ Patience… Le fric d’abord !  

_ Non, montrez-nous la cargaison !  

_ Très bien ! Voilà ce que nous allons faire : je vous montre la marchandise et vous nous montrez le pognon, en même temps… »  

L’homme à la mallette acquiesça.  

 

Ryô n’en croyait pas ses yeux : il y avait au moins 300 millions de yens en petites coupures dans l’énorme valise et pas moins de 200 kilos de ces saloperies de pilules dans la dizaine de caisses qui les entourait. Tous entrèrent à l’intérieur pour poursuivre les négociations.  

« Makimura, surtout ne les loupe pas ! » lui chuchota-t-il.  

« Tu me prends pour qui ? Je sais ce que je dois faire gros malin ! »  

Le nettoyeur souriait car il adorait taquiner son associé.  

« Et au lieu de me casser les pieds, va donc faire ton boulot, Ryô chou !  

_ Oh Maki, je ne savais pas que tu avais ce genre de sentiments pour moi ! » fit Ryô en dénudant son épaule et en prenant une pose langoureuse.  

BONG. Il reçut un coup de téléobjectif sur le crâne.  

« Crétin !  

_ Ahahah… »  

Ryô s’éloigna sans un bruit dans la nuit noire…  

Il se faufila par une petite lucarne à l’intérieur du hangar. Son associé s’était rendu de l’autre côté du bâtiment et avait opéré de la même manière. Il se posta derrière une pile de caisses et commença à mitrailler les protagonistes du deal.  

Il n’en croyait pas ses yeux : celui qui allait acheter cette foutue drogue n’était autre que l’associé de leur client ! Comment cette pourriture avait-elle pu se lancer dans pareil business ? Ce n’était visiblement pas pour l’argent. Pour des nouvelles sensations ? L’adrénaline ?  

Leur client allait être très déçu et très rancunier sur ce coup-là.  

Cependant, l’ex-flic savait très bien que son partenaire avait un tout autre châtiment en tête pour cette belle pourriture : la mort ! Il savait que Ryô pensait que c’était le seul châtiment qu’il méritait, et encore cela lui semblait trop doux pour un homme comme ce Kinagawa.  

Ryô, lui, attendait le moment propice pour passer à l’attaque.  

 

Les caisses changèrent de propriétaire de même que les billets. Kinagawa composa alors un numéro sur son portable :  

« Oui, la transaction est faite… Amenez le camion… »  

« Merde ça va se gâter ! » se dirent en même temps les nettoyeurs.  

Un camion fit irruption quelques instants plus tard dans l’entrepôt : une dizaine d’hommes en descendit et se mit à charger les caisses.  

Il fallait agir et vite. Les festivités allaient commencer !  

Makimura sortit de la poche de son imperméable un petit magnéto ; une grosse voix se fit entendre :  

« Ici la police ! Le bâtiment est encerclé ! Rendez-vous les mains en l’air ! »  

VLAN. Ryô s’écroula à terre.  

« Non mais c’est quoi cette voix débile ! D’où il sort ça lui !?»  

Bizarre quand-même le pouvoir que ces trois petites phrases pouvaient avoir ! Les truands paniquèrent et sortirent leurs armes pour tirer à l’aveuglette.  

« Quelle bande de nuls ! » murmura Ryô.  

Le nettoyeur, toujours tapi dans l’ombre, prit son magnum 357 et les désarma facilement. Les gangsters ne trouvaient plus qu’une seule chose à faire : s’enfuir !  

Makimura tira à son tour et en blessa aux genoux : des cris de douleurs se firent entendre. Ryô tira à son tour dans les pieds des hommes du dealer, qui furent immobilisés, comme leurs petits camarades.  

Mais tous ceux-là n’étaient que du menu fretin et le gros poisson filait avec le camion.  

Ryô cria à son associé :  

« Occupe-toi d’eux ! Je m’occupe du camion ! »  

Makimura vit une ombre se glisser à l’extérieur. Un bruit de moto se fit entendre et disparut dans la nuit.  

Hideyuki ligota solidement toute la troupe et téléphona à son ancienne partenaire, la belle Saeko Nogami.  

« Nogami, j’écoute…  

_ Saeko chérie, je suis ravi de t’entendre…  

_ Maki ? Tout va bien ?  

_ Oh oui… Rejoins-moi avec tes hommes au hangar numéro 27 sur le port… J’ai un beau cadeau pour toi… »  

Il ne lui laissa pas le temps de répliquer et raccrocha. L’inspectrice se demanda ce que cela cachait et se mit immédiatement en route.  

 

Pendant ce temps, Ryô poursuivait le camion à moto : seuls Kinagawa et son garde du corps s’y trouvaient. Cela faisait 5 bonnes minutes qu’il les poursuivait et il voulait les forcer à stopper près du commissariat.  

Ils n’allaient pas tarder à passer devant. Ryô eut une idée : la route se prolongeait sur un pont autoroutier et juste en dessous, on trouvait la route qui menait au centre ville. Le camion prenait de la vitesse.  

« Tu crois pouvoir t’échapper sale enfoiré ! »  

Un virage se profila à l’horizon : le nettoyeur visa les pneus du camion et tira. Les pneus éclatèrent et Kinagawa perdit le contrôle. Il percuta la glissière de sécurité qui céda sous le choc, ce qui fit basculer le camion dans le vide.  

Mais Ryô avait prévu son coup : le camion ne vint pas s’écraser sur la chaussée, mais s’encastra dans un panneau publicitaire. Le nettoyeur poursuivit son chemin et finit sa course juste sous le fameux panneau.  

Sur le coup, le garde du corps de Kinagawa avait été tué, mais l’intéressé, salement amoché, parvint quand-même à s’extirper de la cabine et à se laisser glisser jusqu’au sol.  

Il pensait s’en être sorti, mais c’était sans compter sur la détermination de Ryô à venger la mort de la fille de son client.  

Kinagawa entendit des bruits de pas et commença à paniquer. Il voulut s’enfuir mais un coup de feu l’empêcha de poursuivre sa route. Il stoppa net, dos au tireur. De grosses gouttes de sueur coulaient sur son visage.  

Une voix dure s’éleva dans les airs :  

« Où tu vas comme ça mon gros ? Tu croyais pouvoir t’enfuir sale pourriture ! »  

Kinagawa n’osait plus se retourner. Cette voix le faisait frémir. Il n’avait plus rien à perdre et voulut voir le visage de son interlocuteur. Il se retourna et fit face à deux yeux noirs qui le fixaient durement. Ce regard perçant lui glaçait le sang.  

« Qui… Quui es-tu ?  

_ Sache que si je te le dis, tu vas mourir…  

_ …Qu… Quoi ?  

_ De toute façon, tu pensais pouvoir t’échapper ?  

_ N… Non…  

_ Personne n’échappe à City Hunter.  

_ Toi ? … Tu… es…Ci…City…H…Hunter ?  

_ Je vois que tu me connais…  

_ Je… Oui… Ne me fais pas de mal… Je t’en supplie… J’ai de l’argent… Si tu veux, on partage… »  

Non mais c’était quoi ce type ? Il essayait de l’acheter ? Il osait croire que cela fonctionnerait et sauverait sa misérable vie ! Ryô bouillonnait à l’intérieur.  

Sa voix claqua :  

« Tu me prends pour qui ? Je déteste les types de ton espèce… Tu n’es qu’une sale petite ordure… Une ordure qui s’enrichit avec la mort des gens… Tu mérites seulement de mourir…  

_ Non ! Pitié… Je ne veux pas mourir…  

_ Et tu crois qu’Emi Kenichiro voulait mourir elle ?  

_ Je… C’est un malentendu…  

_ Tu l’as tuée avec la saloperie que tu revends… Au fait, mon nom, c’est Ryô Saeba…  

_ Hein ?  

_ Bon voyage vers l’enfer salopard ! »  

Une détonation se fit entendre. Kinagawa s’écroula, une balle entre les deux yeux. Puis une ombre disparut à son tour après avoir ramassé la douille qui traînait sur le sol.  

 

Saeko et ses hommes avaient pris possession du hangar. Les gangsters furent emmenés dans les fourgonnettes. La jeune femme fut rejointe par son ancien partenaire :  

« Maki… C’est quoi tout ce grabuge ?  

_ Tu devrais être contente Saeko… Je t’offre un démantèlement de trafic de drogue sur un plateau. Je te ferai parvenir demain des documents et des photos, bref, un dossier en béton, avec preuves à l’appui.  

_ Très bien… merci. »  

Une sonnerie retentit : Maki décrocha, écouta son interlocuteur sans dire le moindre mot, et raccrocha aussi vite. Un sourire se dessina sur ses lèvres.  

« Et comme bonus, tu trouveras un camion encastré dans un panneau publicitaire en centre ville, avec des caisses chargées de drogue. A bientôt Saeko… »  

Il s’éloignait déjà lorsque la jeune femme courut vers lui :  

« Hide… Attends !  

_ Quoi ?  

_ J’ai réfléchi à ta proposition…  

_ Tu y as réfléchi ? C’est vrai ? »  

La jeune femme acquiesça.  

« Quel est votre verdict votre honneur ?  

_ C’est d’accord… Je veux bien vivre avec toi ! »  

Le jeune homme voulait l’embrasser, mais il était tellement gauche, qu’il ne savait pas trop si c’était le bon moment. C’est Saeko qui prit les devants et l’embrassa tendrement.  

 

***  

 

Makimura rentra chez lui après cette soirée mouvementée. Une silhouette familière l’attendait déjà.  

« T’es pas fatigué ?  

_ Il m’en faut plus que ça voyons !  

_ Oui, j’oubliais… Que penses-tu d’un remontant ? Je t’invite ! »  

L’homme sourit à la remarque et suivit son associé.  

Makimura habitait un immeuble calme, en plein centre-ville. Il y partageait son appartement avec sa sœur.  

Les deux hommes entrèrent : Hideyuki déposa son pardessus sur le porte-manteau et invita Ryô à s’asseoir. Puis il versa deux verres de whisky et en tendit un à son partenaire.  

« A nous !  

_ Santé ! »  

Ils burent une gorgée du liquide ambré qui leur brûla la gorge.  

Maki vint s’asseoir en face de Ryô, l’air soucieux.  

« Qu’est-ce qui t’arrive ?  

_ Oh rien… Juste que Saeko veut bien vivre avec moi…  

_ Ah quand même ! Tu t’es enfin décidé à lui avouer tes sentiments ! T’es vraiment long à la détente mon gars…  

_ C’est juste que je ne suis pas comme toi Don Juan ! Il me faut du temps pour parler de ces choses-là…  

_ Gros timide… Et ça a l’air de te contrarier qu’elle ait accepté ?  

_ Non, au contraire, je suis le plus heureux des hommes ! C’est juste que…  

_ Que ?  

_ Que je ne sais pas comment en parler à ma sœur…  

_ Dis-le lui, tout simplement… Je suis sûr qu’elle comprendra et qu’elle sera très heureuse pour toi…  

_ Pff… C’est drôle…  

_ Quoi ?  

_ Le pire, c’est que tu ne connais pas ma sœur, et qu’en plus je suis certain que tu as raison… Elle sera ravie… »  

Ryô esquissa un sourire. Comme il pouvait se compliquer la tâche ! Lui, justement, prenait la vie comme elle venait, sans se torturer l’esprit. Il acceptait les choses sans trop réfléchir. Si quelque chose arrivait, c’est parce que c’était comme ça, ça devait arriver…  

« Sois cool, Makimura ! Prends la vie comme elle vient… Vis à fond sans t’encombrer l’esprit de choses inutiles… »  

Maki leva les yeux vers lui.  

« Parfois, je me demande si tu n’as pas raison… »  

Tout était calme dans l’appart.  

Ryô tourna la tête à droite, à gauche, semblant chercher quelqu’un.  

« Au fait, ta sœur n’est pas là ?  

_ Et non ! Pas de bol pour toi ! Elle est partie dormir chez une amie.  

_ Bon ben c’est pas encore aujourd’hui que je la verrai alors !  

_ Et crois-moi, ce n’est pas demain la veille ! »  

Ryô prit un air boudeur, comme un petit garçon.  

« Tu es dur avec moi Makimura !  

_ Je veux juste la protéger… Je ne veux pas qu’elle souffre…  

_ Merci pour moi… Tu crois que je la ferais souffrir peut-être ?  

_ Je te connais… Tu ne peux pas t’empêcher de draguer les filles, et ma petite sœur est une jolie fille… Elle ne pourrait que souffrir avec toi, car tu n’es pas l’homme d’une seule femme… Je me trompe ? »  

Ryô soupira et fixa son ami.  

« Malheureusement non… Tu as raison, je ne pourrais pas m’attacher pour la vie à une seule personne…  

_ Donc voilà pourquoi je ne veux pas que tu rencontres ma sœur… Et puis quelle opinion aurait-elle de nous ? Le flic et le tueur ?  

_ Elle ne le sait toujours pas ?  

_ Elle me pose souvent des questions sur toi… Sur le boulot…  

_ Et que lui réponds-tu ?  

_ Que nous sommes des détectives…  

_ C’est pas plus mal… Mais tu devrais vraiment lui parler… Car si un jour elle découvrait la vérité par elle-même, elle t’en voudrait encore plus…  

_ Oui, je sais…  

_ Bon, c’est pas tout ça, mais je vais rentrer… Au fait, n’oublie pas de dire à Saeko de prévenir les journalistes.  

_ Oui … Je vais le lui dire et aussi prévenir Mr Kenichiro…  

_ Bien… Bonne nuit !  

_ Bonne nuit ! »  

Le nettoyeur quitta l’immeuble et enfourcha sa moto pour rentrer chez lui.  

 

 


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