Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prose

 

Author: pitite

Beta-reader(s): Moon

Status: To be continued

Series: City Hunter

 

Total: 22 chapters

Published: 09-11-05

Last update: 04-10-07

 

Comments: 243 reviews

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RomanceAction

 

Summary: Ryo, qui s'est enfin déclaré, doit faire face à un individu un peu trop entreprenant avec Kaori.

 

Disclaimer: Les personnages de "Touche pas à Kaori" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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It's the name of the web site. HFC = Hojo Fan City.

 

 

   Fanfiction :: Touche pas à Kaori

 

Chapter 1 :: Une douce étreinte

Published: 09-11-05 - Last update: 30-12-05

Comments: Bon et bien je me lance. C'est le premier chapitre de ma première fic, donc j'ai un peu peur. J'espére que ça vas vous plaire. Donnez moi votre avis. Je fais un gros bisous à ma bêta, moon, qui m'a super bien aidé.

 


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Chapitre 1 : Une douce étreinte  

 

 

- Tenez Kaori comme convenu, voilà vos honoraires.  

 

- Merci Kailly.  

 

Kaori venait de prend le chèque que Kailly lui tendait. Au moment où elle posa son regard sur la somme, elle ouvrit grand les yeux pour voir si elle ne louchait pas sur les chiffres inscrits.  

 

 

- Mais… Mais Kailly c’est beaucoup plus que ce que nous avions convenus.  

 

- Je le sais Kaori, mais c’est ma façon de vous prouver ma gratitude.  

 

- Kailly, on ne peut pas accepter. C’est … c’est beaucoup trop.  

 

- Je vous en prie ne refusé pas s’il vous plait. C’est la moindre des choses, vous m’avez rendu mon petit ange.  

 

 

Kaori et Ryo venaient de résoudre une affaire dans laquelle, une jeune mère (Kailly) avait vu son enfant enlevé par son père après que le juge ait décidé d’accorder la garde du petit garçon à la maman. Désemparée Kailly, sous les conseils de Saeko, avait fait appel à City Hunter. Ce n’est qu’après 3 semaines d’enquête et quelques engagements assez musclés que Ryo et Kaori avaient enfin pu reprendre l’enfant et le ramener à sa mère.  

 

 

- Bon très bien Kailly, nous acceptons alors.  

 

 

Kailly et Kaori étaient face à face et se souriaient. Une profonde amitié était née entre les deux jeunes femmes et l’approche de la séparation les rendait toutes les deux profondément tristes.  

 

 

- Bon et bien nous n’allons pas tarder. Nous devons prendre un avion pour Paris dans 1heures.  

 

- Oh oui, c’est vrai. Vous ne voulez toujours pas que l’on vous accompagne à l’aéroport ?  

 

- Non merci Kaori. J’ai déjà appelé un taxi et puis, vous en avez déjà assez fait pour moi.  

 

- D’accord comme vous voulez, dit Kaori en faisant la moue.  

 

- Mip Mip  

 

 

Le bruit d’un klaxon venait de résonner dans la rue. Kailly se dirigea à la fenêtre et aperçu le taxi.  

 

 

- Et bien ça y est, mon taxi est arrivé. Ryo ?  

 

- Hmm  

 

- Encore merci pour tout.  

 

- Je vous en prie Kailly, revenez nous voir quand vous voulez. Vous serez toujours la bien venue.  

 

 

Kailly saisit son sac et se dirigea vers la porte avec son petit garçon. Quelques secondes plus tard, ils se trouvaient en bas à coté du taxi. Kaori avait ouvert la fenêtre pour leur faire un signe de la main avant qu’ils ne s’éloignent.  

Après le départ du taxi, Kaori n’avait pas bougé de place. Elle était toujours devant la fenêtre. Elle était triste et les larmes commençaient à lui brouiller la vue. Sa tristesse ne passa pas inaperçue aux yeux de Ryo. C’est alors que, sans bruit, il se plaça derrière Kaori qui fixait encore la rue où le taxi venait de partir. Plongée dans ses pensés, son regard perdus dans le vide, Kaori n’avait pas senti la présence de son partenaire derrière elle. Alors avec toute sa tendresse et tout l’amour qu’il éprouvait pour elle, il l’enlaça. A cet instant, Kaori sortie de sa rêverie. Elle sentait les bras musclés de Ryo autour d’elle. Surprise sur le moment même, par ce geste, ses joues prirent une petite teinte rosée.  

 

 

- Ryo, mais que …  

 

- Chutttttttt, ne dit rien.  

 

 

Quelques secondes plus tard, l’étonnement passé, Kaori se laissa aller à cette douce étreinte et posa ses deux mains sur les biceps de son partenaire. Heureux de cette réaction, Ryo resserra ses bras autour de Kaori. Il la sentait, là, tout contre lui, sa tête sur son torse. Elle était tellement proche de lui qu’il pouvait sentir son doux parfum vanillé qu’il aimait tant. Les minutes passaient et aucun des deux partenaires n’avaient envie de bouger par crainte de rompre le charme de cette si douce étreinte. Ils appréciaient tous les deux cet instant où, pour une fois, ils pouvaient profiter d’être l’un avec l’autre sans rien pour venir gâcher ce moment.  

 

 

- Dring, dring, dring. (NA : et oui traditionnel, le téléphone qui sonne. NB : toujours les mêmes en plus !)  

 

 

Le téléphone résonnait dans l’appartement. En entendant la sonnerie, Kaori, voulue aller décrocher, mais à sa grande surprise, Ryo la retenait dans ses bras.  

 

 

- Ryo ?  

 

- Hmm  

 

- Le téléphone,  

 

- Et bien,  

 

- Il sonne,  

 

- Et bien, qu’il continu,  

 

- Ryo, il faut répondre,  

 

- Pourquoi, je suis bien moi comme ça. Pas toi ?  

 

- Si mais…  

 

- Bon, alors on s’en fiche du téléphone. Qui que se soit, il rappellera.  

 

 

A ces mots, Ryo avait encore plus rapproché Kaori tout contre lui et il avait sa tête tout contre la sienne. Kaori eut du mal à croire ce qu’elle venait d’entendre. Il ne voulait pas bouger. Il était bien avec elle, et qui plus est avec elle dans ses bras. Elle n’en revenait pas. A cette pensée Kaori sentit ses joues devenir rouge, mais se reprit tout de suite.  

 

 

- Ryo c’est peu être urgent, on ne sait jamais,  

 

- Bon d’accord,  

 

 

Ryo desserra, non sans mécontentement, son étreinte pour libérer sa jolie prisonnière. Cette dernière se retourna alors vers lui. Elle plongea son regard droit dans le sien et lui sourit. Ce dernier en voyant le magnifique sourire que sa partenaire lui offrait ne put que le lui rendre à son tour et oublia aussi vite que le téléphone venait de lui voler une douce étreinte avec la femme qu’il aime depuis plusieurs années.  

 

 

Après le mariage de Miki et de Falcon, où il avait enfin avoué à Kaori qu’il l’aimait (NA : et ben ce n’est pas trop tôt), Ryo avait totalement changé de comportement envers elle. Il n’hésitait plus à lui montrer qu’elle avait une place dans son cœur par des petits moments de tendresse comme il venait de le faire, et cela n’était pas pour lui déplaire, bien au contraire. Mais il ne voulait pas aller trop vite pour ne rien gâcher et surtout pour ne pas brusquer Kaori, même s’il savait pertinemment qu’elle espérait de tout son cœur qu’il fasse enfin un pas vers elle. Il se demandait parfois, comment il avait pu faire pour tenir aussi longtemps sans la prendre dans ses bras comme il venait de le faire. Il avait enfin décidé de laisser parler son cœur. Même s’il avait peur, Il ne cherchait plus à l’éloigner de lui car il savait que c’était peine perdue, et que ni elle ni lui ne le supporteraient. Il s’était plusieurs fois surpris à penser « quel temps perdu, mais on va rattraper ça, je te le promet Kaori ». Il avait donc fait un choix. Celui de vivre au jour le jour, sans se poser de question et de profiter au maximum de la vie avec sa partenaire.  

 

 

Pendant ce temps, Kaori se dirigeait vers le téléphone. Durant tout le trajet qui la séparait de l’appareil, Ryo l’avait littéralement dévorée des yeux. Kaori, sentant le regard de son partenaire sur elle avait les joues rosées, mais le pire était à venir. Lorsqu’elle prit le téléphone et qu’elle se retourna vers Ryo, ses joues rosées passèrent au rouge vif en voyant le regard plein d’amour et de tendresse qu’il posait sur elle. Kaori totalement déroutée face au comportement de son partenaire en avait même oublié qu’elle venait de décrocher le téléphone.  

 

 

- Kaori ?  

 

- …………  

 

 

Mais aucune réaction de sa part. Ryo amusé recommença.  

 

 

- Kaori ?  

 

- Hmmm  

 

- Tu voulais décrocher le téléphone, c’est fait, mais maintenant ça serait bien de savoir qui est au bout du fil, non ?  

 

- Hein ?  

 

 

A ces mots Ryo ne put s’empêcher de sourire.  

 

 

- Le téléphone, Kaori  

 

- Oh, oui, allo…  

 

 

Le sourire de Ryo était encore plus prononcé sur son visage. Il aimait la voir embarrasser. Décidément, elle ne changerait jamais et c’est pour ça qu’il l’aimait. Il l’aimait pour sa douceur, sa tendresse, sa sensibilité et surtout pour sa légendaire timidité. Il savait que par un simple regard il pouvait la troubler, que par un simple mot il pouvait la faire rire ou la mettre en rage et il aimait ça. C’est à ce moment qu’il prit une grande décision qui allait bouleverser toute sa vie. Enfin plus précisément toute leur vie.  

 

 


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