Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: ml_77

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 6 capitoli

Pubblicato: 30-09-08

Ultimo aggiornamento: 23-10-08

 

Commenti: 31 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: Un nouveau client... Ryô jaloux non pas possible? Et pourtant...

 

Disclaimer: Les personnages de "What's else" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: What else

 

Capitolo 1 :: Problèmes chez City Hunter?

Pubblicato: 30-09-08 - Ultimo aggiornamento: 30-09-08

Commenti: Me revoilà dans une petite fiction, légère comme je l'aime... Je ne pouvais pas rester loin de mon clavier... Alors qu'est ce qui se passe? Ryô est obligé de prendre un client, j'ai bien dit un, et Kaori est très heureuse... Mes deux fantasmes dans une fic... Que demandez de plus... A très vite, je profite que j'ai du temps pour écrire... Bisous à tous, ps les reviews seront vivement appréciées!!!! ENJOY

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6


 

Kaori était parti, comme tous les matins, consulter le tableau à la gare. Elle n’avait même pas pris la peine de réveiller son partenaire, qui était rentré tard d’une virée avec le 1e pervers des Etats-Unis. Sa situation avec Ryô n’évoluait pas, voire même s’empirait. De plus, ils n’avaient pas eu de travail depuis longtemps, et comme Ryô sortait beaucoup, elle avait peur du solde qui lui restait en banque…  

 

Elle soupirait bruyamment dans la gare, tout le monde se retourna, et son visage pris une couleur rose. Puis elle aperçut une écriture sur le tableau, et là ce fut l’explosion de joie. Un grand yes résonna dans la gare. Ecrevisse, elle sortit rapidement de la gare.  

 

Cependant sur le chemin de retour, elle réfléchissait. L’écriture était ronde, oh non se dit-elle c’est une femme, à tous les coups c’est une super belle femme et je vais devoir surveiller Ryô… Oh non, pourquoi le sort s’acharne contre moi, qu’est-je fais dans une vie antérieure… Et puis ma pauvre Kaori, tu deviens folle, tu te parles de plus en plus à toi-même, c’est la faute de cette andouille de pervers…  

 

Elle gravit les escaliers, et elle était passablement énervée. Il était 11heures passés, et Ryô n’avait pas touché son petit déjeuner… J’en ai marre se dit-elle, elle se dirigeait d’un pas lourd vers la chambre de Ryô, les murs tremblaient, et Ryô se réveilla en sursaut. Kaori n’avait pas encore franchi la porte, que Ryô avait décidé de la faire enragée (NDA pour changer, bien évidemment). Il prit sont coussin, quand il entendit la porte s’ouvrir avec « délicatesse » (NDA vous visualisez bien la légendaire délicatesse de Kaori) sa réaction fut de prendre son coussin et de l’embraser en appelant Saeko.  

 

- Ryô, tu arrêtes tes enfantillages, tu te dépêches on a du travail…  

- Mais on n’a déjà assez travaillé cette année  

- Tu te fous de moi, j’en ai marre, tu fais rien de tes journées, tu bois tout notre argent…  

- Tu es jalouse parce qu’on t’a pas invité !! Tu devrais venir ce soir, je suis sure qu’une poulette te décoincerais…  

La seule réponse de Kaori fut de lui balancer une bonne vieille massue rouillée de 10 000 tonnes  

- T’es pas fentille et puis tu manques de douceur, pas étonnant que tu trouves personne…  

- Ryô, tu m’énerves… Va t’habiller on a rendez-vous à 15heurs pour voir notre cliente….  

- Une cliente ? Mais il fallait le dire plus tôt.  

 

Il se dépêcha de se relever, et bouscula Kaori pour se rendre dans la salle de bain… Kaori restait tout seule reparla à voix haute : je n’en peu plus, il m’énerve…. Je pourrais pas continuer ainsi.. Ryô pourquoi tu es comme ça ? Pourquoi ? La vie est si courte ! Et toi tu fais n’importe quoi, tu me considères comme un objet… Tu risques de finir ta vie seul… C’est ça que tu veux !  

 

Sous la douche (NDA : arrêtez de baver les filles…) Ryô repensait à sa discussion avec Kaori, enfin on peut parler d’une discussion : Pourquoi suis-je méchant ? Elle ne mérite pas ça, elle est fidèle et elle est toujours là pour moi. A la vie, à la mort. Mais je ne peux pas, je ne peux pas c’est la sœur de mon meilleur ami, j’ai promis de la protéger. Une relation sérieuse serait une déclaration de mort…  

 

Kaori était dans la cuisine à préparer à manger, pendant que Ryô lisait de la grande littéerature imagée (NDA vous avez certainement bien compris la métaphore pour les revues porno…)  

- Ryô c’est prêt !!  

- Quoi ?  

- On ne dit pas quoi on dit comment (NDA c’est ma signature…)  

- J’ai faim…  

- Attention ça rend sourd…. J’ai dit que c’est prêt !!! Tu veux une invitation pour venir à table (NDA c’est mon Papa qui dit toujours ça) ou il faut que je te livre  

- Ah non ne me l’apporte pas tu risquerais d’en mettre partout  

Une assiette pleine de riz vola à travers la pièce pour finir sur la tête de Ryô.  

- Yes ten points, je suis trop forte !!  

- Mais heu t’es méchante, il fut que je me relave maintenant, t’es vraiment une catastrophe !!  

- Tu sais quoi Ryô je me fous de ce que tu dis !  

- Ah oui !!!  

- Oui  

- Planche à pain, boulet, travelo brésilien, …  

 

Kaori serra les dents, et les mains. Un nuage de fumée se dégageait de ses oreilles, mais elle tenait le coup, et n’envoyait pas une massue pendant que Ryô continuait à dire toutes ses énormités.  

- Si monsieur Saeba veut bien se donner la peine de manger… j’aimerais que notre cliente ait peur des grondements sonores de votre estomac !  

- Oui fit Ryô surpris du calme, certes relatif, et de l’absence de massue. Il se dit que ça sentait pas bon, c’est jamais bon les pulsions refoulées (NDA Merci Freud)  

Le repas se passait dans un calme olympien. Kaori ne disait rien, Ryô essaya d’engager une conversation cordiale, mais il n’arrivait pas à faire sortir sa partenaire de son mutisme. Il se dit que cela lui passerait…  

 

Les deux partenaires se préparaient à y aller. L’hôtel était dans la partie chicos de Tokyo, et donc du quartier. Le voyage se fit dans un silence pesant. Ryô essayait de faire réagir sa partenaire, mais il n’y parvenait pas… Je sens que je vais regretter ce que j’ai dit soupira Ryô. Kaori ne releva pas, mais n’en pensait pas moins. Un léger sourire se dressa sur ses lèvres, oui mon petit Ryô tu vas en baver, foi de Kaori…  

 

Ils rentrèrent dans l’hôtel. Hôtel assez classique, piliers de style romain, peinture murale fresque au plafond, fauteuils cosys rouges, table en marbre…Bref pas un Etaphôtel mais un Hilton… Nos deux partenaires se dirigèrent vers la table 14, comme indiqué sur le message. Ils étaient un peu en avance. Kaori admirait lé décor :  

- C’est magnifique ici…  

- Ah ça y est Mademoiselle Makimura me reparle !  

- Oui mais pour pas longtemps…  

Une splendide jeune femme blonde, de type européen arriva à la table, et prononça les trois lettres magiques. Kaori se dit qu’elle avait malheureusement raison, cette femme était magnifique, longue chevelure blonde, joli maquillage, belle poitrine, fine taille, bien habillée, bref Kaori avait envie de pleurer.  

- Bonjour je me présente Anna Brella (NDA tentative de jeu de mot an Umbrella, mouais pas convaincue, désolée). Je suis agent, et je recherche quelqu’un pour protéger mon client, et on m’a  

- Pardon fit Ryô, un client ! Je ne travaille que pour la gente féminine  

- Ryô !!! tu sais connaît nos finances en ce moment, il n’y a pas à discuter ! S’il-te-plaît Ryô, si on continue à être au chômage on va devoir trouver un autre travail ! ils embauchent à l’épicerie du coin ça t’intéresse ! murmura Kaori à l’oreille de Ryô. Excusez-nous Mademoiselle, poursuivez.  

- Merci, mon client est un acteur connu, qui dois rester dans notre pays quelques jours. Il reçoit souvent des lettres de menaces, je dois dire qu’il fait beaucoup de jaloux. On m’a dit que vous étiez les meilleurs, et je préférais faire appel à vous pour garantir sa sécurité !  

- Alors Ryô ? Demanda Kaori avec insistance.  

- A une seule condition !  

- Laquelle ? Demanda les deux jeunes femmes  

- Que vous sortiez avec moi ce soir !  

Les deux jeunes femmes tombèrent de leurs fauteuils.  

Anna réfléchissait, pendant qu’un homme s’approcha de la table, et s’assit à côté d’elle.  

 

Kaori regarda le nouveau venu, et chuchota à l’oreille de Ryô :  

- Oh mon Dieu c’est Georges, Georges Clooney, quand je le dirais à Miki  

- Qui ça ?  

- Laisse tomber mon vieux  

 

 


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