Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prosa

 

Autore: thalia

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 49 capitoli

Pubblicato: 12-01-09

Ultimo aggiornamento: 07-06-21

 

Commenti: 110 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Bon me revoilà après une très longue absence sur le site et aussi en écriture alors ne soyez pas trop méchants :) Je me lance sur une fic alternative sur ce que j'aurais voulu qu'il se passe à la fin de la série. Différente de ma 1ère : "Et si on arrêtait le temps" (un peu de pub pour ceux qui ne l'ont pas lu:) je vais essayer de faire dans l'action. Bonne lecture et dites moi ce que vous en pensez :)

 

Disclaimer: Les personnages de "Le retour de City Hunter" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Le retour de City Hunter

 

Capitolo 44 :: Confiance

Pubblicato: 16-05-21 - Ultimo aggiornamento: 16-05-21

 


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Miki pleurait encore quand Kazue pénétra dans sa chambre. Elle la regarda attendrit, pensant qu’elle évacuait les hormones post accouchement.  

Elle s’approcha d’elle doucement et s’installa sur le bord du lit, jetant un œil bienveillant au bébé endormi dans son petit lit.  

L’ancienne mercenaire se calma progressivement et elle renifla avant d’attraper un mouchoir et de reprendre contenance.  

 

-J’ai eu Falcon au téléphone, fini-t-elle par articuler en regardant son amie se figer.  

-Ils ont Ai ?  

 

Kazue voulait tout savoir et tout de suite. En plus, elle se demandait pourquoi Mick ne l’avait pas appelé, elle aussi.  

 

-Oui, ils l’ont retrouvé, enfin…Kazue, les nouvelles ne sont pas bonnes à part celle-ci…  

-Miki…Ne me dis pas…  

 

La doctoresse coupa sa respiration et ferma les yeux. Elle eut un léger vertige et se stabilisa contre le matelas.  

 

-Mick…Mick est gravement blessé mais il devrait s’en sortir…  

 

Miki l’avait dit tellement doucement que Kazue pensait avoir rêvé. Pourtant, quand elle ouvrit les yeux, elle vit le visage grave de son amie et comprit qu’elle avait bien entendu ses paroles.  

 

-Mon dieu…il faut que j’aille là-bas !  

-Kazue…  

-Quoi Miki, quoi encore ?  

-Ryô…Ryô, lui, n’est pas avec eux…  

 

Kazue porta la main à sa bouche et étouffa son cri pour ne pas réveiller le bébé. Elle avait du mal à assimiler les dires de la barmaid et tout se mélanger. Ai était retrouvée mais Mick était blessé pourtant l’un d’entre eux manquait à l’appel.  

 

-Que s’est-il passé là-bas, Miki ?  

-Je n’ai que les grandes lignes mais ils doivent rester encore là-bas pour que l’état de Mick se stabilise et qu’ils continuent les recherches pour Ryô. Kaori est endormi et nounours veille sur elle mais il n’est pas optimiste pour la suite…  

-C'est-à-dire ?  

-Il pense que Ryô est mort…  

 

La voix de Miki mourut dans sa gorge les deux femmes restèrent silencieuses, puis, Kazue se leva précipitamment pour sortir de la chambre.  

 

 

 

 

 

Le téléphone de Saeko vibra et elle décrocha en râlant.  

 

-Allo ?  

-Tu es en vie ! Saeko, tu aurais pu me rappeler ! hurla son père plus inquiet qu’en colère.  

-Pardon papa mais j’avais besoin de repos…  

 

La commissaire se redressa et remarqua le côté vide de son lit. Ses yeux partirent ensuite vers le cadran de son réveil et elle calcula rapidement le nombre d’heures de sommeil qu’elle avait pris.  

 

-Reika n’arrêta pas de m’appeler Saeko, on a un gros souci…il faudrait que tu viens au bureau…rapidement.  

-Je dois passer voir Kentaro, papa et je viens.  

-Très bien. Rappelle ta sœur, elle est morte d’inquiétude, elle aussi.  

 

Saeko raccrocha et partit directement prendre une douche. Elle avait fait plus d’une fois le tour du cadran, ce n’était vraiment pas dans ses habitudes mais son corps avait relâché toute la pression de ces dernières semaines.  

L’eau chaude lui fit un bien fou et elle y resta aussi plus longtemps, profitant pour remettre ses idées en place avant de retrouver la réalité.  

Les coréens étaient hors d’état de nuire sur Tôkyô pour le moment mais elle ne savait pas où ses amis en étaient en Amérique du Sud. De plus, l’attitude de son père était étrange et elle savait qu’elle aurait surement trois tonnes de paperasses à faire en retournant au commissariat.  

A peine habillée, son téléphone se remit à vibrer.  

 

-Oui ?  

-Saeko, c’est Kazue. On a des nouvelles de Falcon…ils ont Ai…  

-Oh, mais c’est merveilleux ! Pourquoi tu n’as pas l’air heureuse ? Que se passe-t-il ?  

-Mick est blessé et …  

-Et ?  

-Ryô a disparu…  

 

La policière se laissa tombée sur son lit et laissa le silence s’installer. Aucune des deux ne voulait le rompre et il fallut le sanglot du médecin pour que Saeko reprenne la parole.  

 

-Je passe à la clinique.  

 

 

 

 

 

-Allo ?  

-Reika, il faut que tu m’aides.  

-Saeko, enfin ! Je commençais à me ronger les sangs ! grogna la cadette.  

-Ils ont retrouvé Ai, Reika, mais Ryô a disparu.  

 

Un silence s’installa entre les deux sœurs. Reika accusait le coup.  

 

-Quand tu dis, disparut, tu veux dire quoi ?  

-Je ne sais pas mais je pars à la clinique pour que Kazue me dise tout ce qu’elle sait…  

-Saeko, tu penses qu’il… ?  

-Je ne sais pas…mais Ryô est Ryô, on doit lui faire confiance.  

 

Un nouveau silence s’installa puis Reika parla en coréen avant de reprendre sa conversation avec sa sœur.  

 

-Je vais les rejoindre là-bas. Ils vont avoir besoin d’un soutien pour le retour et je déteste rester ici sans rien faire. J’ai l’argent, autant me rendre utile.  

-Ce serait formidable, en effet. Je te dis quand je sais où ils sont exactement.  

-Saeko, tu as eu Papa ?  

-Oui mais je devais y aller sauf que je viens d’apprendre pour Ryô…et je dois passer à l’hôpital aussi voir Kentaro.  

-Ok alors, tu n’as pas lu mon mail, non plus ?  

-Non…Reika accouches.  

-J’ai des noms. Des noms d’hommes haut placés qui ont été corrompus…ça va faire mal au Japon…  

-Ok…On n’en a pas fini ici non plus, alors. Très bien, je vais voir Papa au plus vite et je te tiens au courant pour nos amis.  

 

La policière raccrocha au moment où elle arrivait à la clinique et elle se gara en dérapant sur les graviers. Elle passa rapidement devant Kenshiro en le saluant rapidement et se précipita vers le bureau de la doctoresse.  

Cette dernière en la voyant arriver, la guida vers la chambre de Miki où elles échangèrent sur la conversation téléphonique.  

 

-Reika va partir en Amérique du Sud dès qu’elle a les infos. Où sont-ils maintenant, Miki ?  

-Quito, à l’hôpital central.  

-Ok, ne vous en fait pas, d’accord ? On va les ramener tous ensemble.  

 

Elles échangèrent un regard déterminé et Saeko partit aussi vite qu’elle était arrivée.  

 

 

 

 

 

L’homme l’observait depuis un moment et remarqua qu’il n’était pas le seul. Ainsi, cette mission allait enfin bouger un peu.  

La porche quitta l’hôpital de Shinjuku en faisant crisser ses pneus sur le bitume. Il démarra à son tour mais laissa l’autre voiture lui passer devant. Il n’avait pas l’impression de s’être fait repérer ce qui le rassura sur le professionnel qu’il avait en face. Relevant la plaque d’immatriculation, il appela le commissariat pour avoir des renseignements.  

 

-Voiture louée, tu m’étonnes, grogna-t-il en quittant son correspondant. La recherche va être plus longue, vu l’heure, le loueur est fermé.  

 

Il s’engagea dans des rues qu’il connaissait par cœur et comprit où elle se rendait, se détendant. Là, elle ne risquait pas grand-chose.  

Quand le commissariat apparut devant lui, il se gara sans mal près de sa cible. Il l’observa alors que la femme qu’il devait protéger, s’éloignait.  

 

-Bon, je vais essayer de voir qui se cache dans cette voiture de location.  

 

L’inspecteur Satsuki sortit calmement et commença à marcher l’air de rien. Plus il se rapprochait et plus il avait l’impression d’avoir à faire à un amateur. Il se demanda même si la commissaire Nogami ne l’avait pas repéré, tellement son incompétence lui sautait aux yeux. L’homme dans la voiture était jeune et typé coréen. Une jeune recrue selon le lieutenant qui repartit vers sa voiture voyant un collègue arrivait et qui risquerait de le faire repérer.  

 

-Je n’ai pas trop à m’inquiéter, sourit il en attendant le retour de sa chef.  

 

Il se cala quand même à l’abri du regard inexpérimenté dans le siège de son auto et confiant, il attendit à son tour.  

 

 

 

 

 

Le préfet tournait comme un lion en cage quand sa fille se décida enfin à passer la porte de son bureau.  

 

-C’est pas trop tôt, Saeko ! Tu en as mis du temps !  

-Pardon, j’avais des urgences à régler…J’ai eu Reika, ça à l’air sérieux…  

 

La baie vitrée renvoyant son reflet, le patriarche se tourna vers les lumières de la ville. La nuit était tombée, maintenant et un certain calme s’était installé après les dernières agitations.  

Pourtant les traits tirés de l’homme ne laissaient pas penser qu’il en avait profité.  

 

-Papa ?  

-L’heure est grave Saeko. Ce n’est pas le père qui parle mais le préfet et j’avoue que cette tâche n’est pas facile…  

 

Lui laissant l’espace pour continuer dans sa lancée, Saeko ne répondit pas et attendit calmement en s’asseyant. Elle avait l’impression que son père avait pris dix ans de plus, en l’observant. Il s’était vouté et paraissait plus ridé que la dernière fois qu’elle l’avait vu.  

 

-Je sais par ta sœur que certains de nos hommes politiques ont laissé faire le massacre de la gare…  

-Ils étaient donc au courant, souffla la policière sentant son cœur se serrer.  

-Hum…mais le pire a été évité car si j’en crois mon gendre, la mafia coréenne avait carte blanche pour mettre la ville à feu et à sang…  

-Qui ?  

 

Le préfet se tourna enfin et regarda sa fille le regard n’étant plus que tristesse.  

 

-Si nos informations sont justes…trois ministres ont été corrompus. Le ministre de la ville, le ministre des transports et …  

-Et ?  

-Celui de l’intérieur…  

 

Saeko le regarda avec une expression figée. Figée d’étonnement, d’abord puis, d’horreur juste après.  

 

-Je sais…  

 

N’y tenant plus, elle se leva et serra les poings de rage.  

 

-Il a failli tuer son fils ! Son propre fils ! Et il l’a regardé dans les yeux en lui disant qu’il ne savait rien de tout ce qui se passe ! Comment ? Comment a-t-il pu trahir son pays et sa famille comme ça ?  

 

Elle avait dit tout ça d’une traite, avec tellement de colère qu’elle s’étonnait elle-même d’avoir perdu ses moyens devant son supérieur mais surtout son père. Elle, qui gardait tout pour elle, sans jamais le montrer, n’avait pas réussi à se contenir cette fois. Ces révélations étaient trop importantes surtout quand en plus elles concernaient aussi le père de l’homme qu’elle aimait.  

 

-Je suis allé voir le conseiller du premier ministre…de façon officieuse. Il me devait un service. Si tout ceci se révèle exact, on va partir dans une crise nationale sans précédent.  

-Comment Reika a eu ces informations ? demanda Saeko en se rasseyant.  

-Lee. Lee est allé à la source.  

-Quoi ? Il est allé voir le chef Kim Pak Choi ?  

-Oui…  

-Alors ces informations sont bonnes. Quelle est la suite ?  

-Je vais avoir un entretien avec notre premier ministre demain après-midi…  

 

Saeko resta silencieuse et ferma les yeux un instant. Elle n’aurait jamais pensé que cette histoire prendrait autant d’ampleur. On partait de City Hunter pour finalement se retrouver avec une affaire nationale de corruption.  

 

-Qu’est-ce que tu attends de moi ?  

 

Elle parlait au préfet et il le comprit avec la nouvelle assurance qu’elle affichait.  

 

-Je veux que le maximum d’hommes soit disponible dès que j’aurais l’aval du premier ministre. On va devoir procéder à des arrestations hors normes et je veux assurer nos arrières. De plus, je veux que tu te mettes en relations avec la police coréenne, il va falloir faire le ménage chez eux aussi…  

 

Saeko acquiesça et se leva, prête à quitter la pièce quand finalement, elle fit demi-tour et partit enlacer son père.  

 

-Merci, Papa. J’ai de la chance de t’avoir.  

 

L’homme resta surprit mais ne pipa mot, voulant profiter de ce moment rare entre eux.  

Il la regarda partir et ne put empêcher un sourire d’apparaitre malgré les circonstances. Il avait une confiance absolue en sa fille, ce qui laissait présager du positif pour la suite.  

 

 

 

 

 

L’avion était sur le point d’atterrir, faisant défiler des paysages uniques sous les yeux de la japonaise. Le voyage avait été éprouvant mais elle ne l’aurait raté pour rien au monde. Elle repensait encore aux mots de son mari et elle ne put empêcher un sourire d’apparaitre sur ses lèvres.  

 

-Ne tourne pas en rond comme ça ! Tu vas user la moquette !  

 

Il se mit à rire devant son air contrarié mais elle accepta de se réfugier dans ses bras quand il les ouvrit en grand.  

 

-Ne te moque pas ! Le vol n’est pas avant trois heures et j’ai l’impression que les minutes n’avancent pas !  

 

Lee se remit à rire et elle lui asséna une tapa légère sur l’épaule.  

 

-Arrête !  

-Tu vas bientôt partir, si je n’avais pas envoyé le jet en révision, tu serais déjà dans les airs. Tu vas devoir te contenter d’un vol régulier.  

 

Reprenant son sérieux, l’homme d’affaires invita sa femme à s’assoir sur le canapé près de lui.  

 

-J’aimerai partir avec toi mais ça attirerait les soupçons de Kim Pak Choi si je partais après notre conversation.  

-Promets-moi de faire attention pendant mon absence, commença Reika en le fixant. Je ne veux pas que tu te mettes encore plus en danger par ma faute.  

-Je ne l’ai pas fait que pour toi mais aussi pour arrêter ce fou. Je te promets que je ne prendrai pas d’autres risques, je veux te retrouver.  

-J’ai du mal à comprendre pourquoi il t’a dit tout ça… Vous ne vous connaissez pas…  

-L’argent, mon amour. L’argent fait plus parler que les sérums de vérité…  

-Fais attention.  

-Promis. Je t’aime Reika et je ne veux pas que notre projet tombe à l’eau, ais confiance.  

 

Elle lui rendit son sourire et il trouva une occupation agréable à deux pour faire patienter sa femme pour son avion.  

 

Quand les roues de l’avion touchèrent le sol, la japonaise retourna à la réalité et s’empressa de prendre ses affaires pour descendre au plus vite. Retrouver ses amis était devenue une obsession pour elle et surtout retrouver Ryô.  

 

 

 

 

 

Miki raccrocha. Les pleurs du bébé avait mis fin à la conversation avec son époux mais elle se sentait mieux à présent.  

Kaori était enfin réveillée et Mick reprenait des couleurs selon l’ancien mercenaire. Il n’était pas encore conscient mais c’était dû à tous mes médicaments qu’il avait dans la perfusion.  

Les médecins étaient optimistes et même s’il ne pouvait pas être rapatrié avant stabilisation complète, le pronostic vital n’était plus engagé.  

Le jeune mère prit le nourrisson et le porta à sa poitrine pour qu’il calme sa faim. Elle le regarda avec tendresse et se mit à rire en le voyant froncer les sourcils en n’arrivant pas à attraper le mamelon du premier coup.  

Rassurée par les paroles qu’ils avaient échangées, Miki se détendit enfin pour profiter de ce moment.  

Ces derniers jours avaient été durs et elle n’aspirait qu’à un peu de calme.  

Le bruit de succion la rassura et elle se laissa aller en fermant les yeux et se laissa porter par ses souvenirs.  

 

Le bruit de la massue raisonna dans tout le café et la barmaid soupira. Malgré les derniers événements, le couple City Hunter n’avait pas changé et elle voyait son amie toujours aussi énervée contre son partenaire. La jeune femme soupira et se tourna vers son époux qui notait tous les meubles abimés par la rouquine.  

Combien de temps encore cela allait durer ?  

Elle était bien incapable de le dire mais elle sentait qu’elle allait lâcher l’affaire. C’était irrécupérable.  

Ryô était en train de prendre ses jambes à son cou quand Kaori s’excusa une nouvelle fois devant les tenanciers en s’inclinant puis elle partit à toute vitesse derrière le pervers n°1 du Japon.  

 

-Je ne les comprendrais jamais, se lamenta Miki en allant sauver ce qui le pouvait encore.  

 

Falcon se contenta de sourire, ce qui eut le don de l’agacer encore plus.  

 

-Tu les a vu toi dans cette clairière ! C’est même toi qui m’a dit qu’il lui avait avoué ses sentiments ! Alors il attend quoi là !?!  

-Tu le connais, c’est un imbécile. Pourtant…  

-Pourtant quoi ?  

 

Le géant se remis à frotter son assiette, la mine pensive, laissant sa femme dans le flou.  

 

-Quoi ? fini-t-elle par hurler quand elle comprit qu’il ne poursuivrait pas.  

-Hum…quelque chose a changé, je pense.  

 

Miki avait alors observé longuement son époux et avait abdiqué devant tant de mystère.  

 

Mais elle se rappela que le mois d’après Kaori avait avoué à demi-mot qu’il y avait eu un certain rapprochement entre eux. Puis, Ryô avait surpris tout le monde en demandant sa partenaire en mariage. L’ancienne mercenaire n’avait jamais eu le fin mot de l’histoire mais elle se rappela encore les mots de sa meilleure amie.  

 

-J’ai une entière confiance en Ryô, sur tous les plans.  

 

La jeune mère ouvrit les yeux en sentant que son fils ne tétait plus et regarda amoureusement son petit endormi.  

Puis, le visage serein, elle comprit les mots qui raisonnaient dans sa mémoire. Elle devait faire confiance à Ryô, elle aussi.  

 

 


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