Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prosa

 

Autore: thalia

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 49 capitoli

Pubblicato: 12-01-09

Ultimo aggiornamento: 07-06-21

 

Commenti: 110 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Bon me revoilà après une très longue absence sur le site et aussi en écriture alors ne soyez pas trop méchants :) Je me lance sur une fic alternative sur ce que j'aurais voulu qu'il se passe à la fin de la série. Différente de ma 1ère : "Et si on arrêtait le temps" (un peu de pub pour ceux qui ne l'ont pas lu:) je vais essayer de faire dans l'action. Bonne lecture et dites moi ce que vous en pensez :)

 

Disclaimer: Les personnages de "Le retour de City Hunter" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Le retour de City Hunter

 

Capitolo 24 :: Ce produit qui tue

Pubblicato: 05-12-20 - Ultimo aggiornamento: 05-12-20

Commenti: Bonne lecture

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48


 

Saeko claqua fortement la porte après avoir pénétré dans l’appartement. Elle était hors d’elle et elle le faisait bien comprendre à la personne qui lui avait ouvert la porte une minute auparavant.  

 

-Ecoute-moi, s’il te plait ! Et fais attention à toi, tu sors à peine de l’hôpital, continua d’une voix douce Kentaro.  

-Pourquoi être allé voir ton père ? Et pour quel résultat ? cracha-t-elle pleine de rage. Ca n’en valait pas la peine ! Je t’interdit d’écouter mon père, tu m’entends ??  

-Saeko, calme-toi, s’il te plait.  

 

Contre toute attente, la policière se jeta dans les bras de l’homme et l’embrassa à perdre haleine. Tout d’abord surpris, Kentaro ne répondit pas de suite au baiser mais reprenant contenance, il entraina sa partenaire vers le canapé et lui rendit sa douce torture avec empressement.  

Saeko entreprit de déshabiller son petit ami et de lui mordre chaque parcelle de peau qui se découvrait.  

La tension changea alors pour un besoin presque animal et le couple resta sur le canapé pour y répondre sans échanger d’autres mots.  

Seuls, halètements, gémissements et cris furent de mise pendant l’heure qui suivie dans le salon du journaliste.  

Quand leur étreinte s’arrêta, les deux corps nus enlacés, se caressaient oisivement.  

 

-Tu n’aurais pas dû…  

-Tu as aimé pourtant !?  

-Idiot !  

 

Les rires remplacèrent les mots puis tendrement l’homme attrapa le plaid pour les recouvrir.  

 

-Que t’a-t-il dit ?  

-Mon père ? demanda presque innocemment Kentaro.  

-Alors ?  

-Que je délirais et que s’il y avait des guerriers drogués dans les rue de Tôkyô, il le saurait ! Que je devrais arrêter de faire du faux journalisme et lui foutre la paix…ce que je me suis empressé de faire en claquant la porte de son bureau.  

 

Saeko regarda son homme un instant et sentit toute la détresse de ce dernier. Il était allé sur le front autant qu’elle, en allant affronter son père et il en était sorti lui aussi autant blessé qu’elle l’avait pu l’être dans l’attaque.  

Elle resserra son étreinte et plongea son visage dans le cou protecteur et chaleureux qui ne demandait que du réconfort.  

 

-On y arrivera sans son aide, on se débrouillera sans le gouvernement…  

-Je n’ai pas dit mon dernier mot…je vais faire un article.  

-Un article ? Tu es sur ? demanda la commissaire en se redressant. Tu vas devenir une cible en faisant ça. C’est trop risqué… non, je ne pense pas que ça vaille la peine.  

 

Kentaro regarda intensément la femme qu’il avait dans les bras et lui sourit, touché par son inquiétude. Il comprit qu’il était tant pour lui de faire ce qu’il devait faire depuis leur premier rendez-vous.  

 

-Saeko, veux-tu m’épouser ?  

 

Un silence régna dans la pièce et un froissement se fit légèrement entendre. Le plaid chuta sur le sol et s’en suivirent deux pieds nus. Puis, de légers pas et un soupire.  

 

 

 

 

 

 

Miki regardait l’écran de l’échographie et souriait en voyant son petit cascadeur faire l’idiot dans son liquide amniotique. Falcon et elle n’avait pas voulu savoir le sexe de leur enfant mais en faisant toutes ces dernières échographies de contrôle, l’ancienne mercenaire avait aperçu l’appendice qui ne laissait plus aucun doute sur le genre de son enfant. Depuis, elle culpabilisait de ne pas partager ça avec son mari mais ne pouvait s’empêcher de se projeter avec sa future petite famille composée de trois hommes à la maison.  

Son sourire parlait pour elle et Kazue ne voulant pas interrompre ses pensées, avait quitté la pièce pour la laisser seule devant son écran avec la vidéo, enregistrée de quelques minutes, du petit garçon qui n’allait surement pas tarder à naitre.  

 

Ce fut l’arrivée d’un géant au visage inconnu mais pourtant familier qui sortit Miki de sa rêverie.  

Kenshiro tapa à la porte de la salle d’examen et d’une voix bourrue, il lui demanda :  

 

-Peux-tu m’en dire plus sur ce PCP ?  

 

Miki se redressa difficilement et demanda à l’homme de venir la rejoindre.  

 

-Une drogue qui donne une force surhumaine à celui qui la prend et aussi de résister à la mort… je n’en sais pas vraiment plus mais je pense que Kazue pourra te répondre.  

 

Accompagnant les gestes à sa parole, la barmaid se leva et partie en direction de la salle de repos des soignants. Elle toqua légèrement et attendit que Kazue ouvre la porte.  

 

-Tu as fini ? demanda la doctoresse en regardant son amie.  

-Oui. On a besoin de toi.  

-Un souci ?  

 

Miki recula et Kazue s’avança pour voir enfin l’homme qui se trouver dans le couloir. Elle poussa un cri en le voyant puis fronça les sourcils.  

 

-On dirait…  

-Kazue, je te présente Kenshiro, le frère de Falcon.  

-Oh…  

 

Ne posant pas plus de questions, Miki enchaina sur les demandes du mercenaire. Ne pouvant répondre à tout, Kazue l’invita à la suivre et le guida vers une chambre.  

Quand ils y pénétrèrent, Miki et Kentaro virent un homme étendu sur un lit, recouvert de tuyaux et de bandages.  

 

-Ce yakuza a été amené après avoir pris plusieurs balles dont une à la tête… il est toujours vivant.  

-Poussière d’ange ? Mais que fait-il ici ?  

-Je soigne tout le monde Miki…continua doucement le médecin. Et, en plus, ça va me permettre de comparer ce PCP à celui qui avait empoissonné Mick…Peut-être que ça va nous être utile.  

 

La japonaise se tourna vers le frère de Falcon et lui expliqua les premières découvertes qu’elle avait faites grâce à son travail avec Mick et ce qu’elle espérait découvrir grâce à ce yakuza.  

L’homme l’écouta attentivement et compara lui aussi les données qu’il avait pu récolter. Il les partagea avec les deux femmes puis s’excusa en quittant la pièce.  

Kazue laissa quelques secondes de silence puis elle se mit à questionner l’ancienne mercenaire.  

 

-Je ne savais pas que Falcon avait un frère…mercenaire aussi ?  

-Deux…  

-Deux ?  

-Mon mari a deux frères. Tous les deux mercenaires aussi…ça leur vient de leur père. Histoire compliquée. Il ne sait pas que j’ai fait appel à lui…il va me tuer.  

-Pourquoi ?  

 

Miki fit signe à son amie de sortir dans le couloir et elle profita d’un banc pour s’assoir.  

 

-Ils ne se parlent plus depuis le retour de nounours au Japon. Kenshiro lui en veut d’avoir « déserté » l’Amérique centrale pour revenir au Pays.  

-Mais, il est là lui aussi, non ? demanda, étonnée, la doctoresse.  

-Oui mais l’histoire est complexe et pour faire simple, le handicap n’est pas accepté dans sa famille…  

 

Les deux femmes restèrent silencieuses et Miki sentit la main protectrice de Kazue sur son épaule.  

 

-Il ne t’en voudra pas, il comprendra.  

-On verra mais je n’avais pas le choix, seules, on n’avait pas beaucoup de chance.  

-Oui…  

 

 

 

 

 

Ayako raccrocha son téléphone et se laissa tomber sur son canapé.  

Une bonne chose de faite, elle avait réussi à rallier deux autres Oyabun dans leur camp. Maintenant, elle ne rêvait que d’une chose : un bon bain ! La tension de ces derniers jours s’était accumulée sur ses épaules et elle sentait le poids se répartir dans tous les muscles de son dos.  

Elle devenait trop vieille pour ces conneries, pensa-t-elle en souriant.  

Elle soupira en entendant des pas rapides se rapprocher.  

 

-Chef Serizawa ? parla la voix derrière la porte coulissante en papier.  

-Oui, Nao, rentre.  

 

L’homme de main fit glisser la porte et se présenta devant sa chef.  

 

-On a perdus trois hommes…  

-Trois…soupira Ayako. Prévenez leurs familles. Je prendrais contact avec elles dès que possible.  

-Bien Madame. Je…  

-Oui, Nao ?  

-Je m’excuse mais j’ai une requête à faire…  

-Je t’écoute.  

-J’aimerai aller sur le front ce soir ! lança avec énergie l’homme en s’inclinant profondément devant elle.  

 

La chef Serizawa resta interdite puis sourit à son bras droit.  

 

-Accepté. Mais je veux que tu me fasses la promesse de revenir me servir en un seul morceau !  

 

Le yakuza leva le regard plein de reconnaissance sur elle et quitta la pièce sans attendre.  

Ayako soupira et appela une des femmes qui était à son service.  

 

-Qu’on ne me dérange plus, je vais prendre un bain.  

-Bien Madame.  

 

Les tensions ne la quittèrent pas entièrement alors que son corps reposait dans le baquet d’eau bouillante. Elle repensait à ces derniers jours et aux pertes humaines. Elle culpabilisa un instant d’entrainer ses hommes à une mort certaine mais elle ne pouvait agir autrement. Bientôt leur force serait renforcée et elle espérait reprendre le dessus sur les ennemis qui les entouraient.  

Elle ferma les yeux et elle se laissa guider par de vieux souvenirs où son mari lui expliquait les règles de ce milieu et les contraintes auxquelles ils ne pouvaient échapper. Mais la situation actuelle était bien différente des lois imposées par le milieu et elle gérait comme elle le pouvait, en faisant de son mieux.  

Elle s’immergea la tête sous l’eau et s’isola dans une bulle de solitude.  

Le grand City Hunter manquait à sa ville. Sa protection devenait évidente et indispensable.  

Ayako ouvrit les yeux sous l’eau et remonta à la surface et inspirant une grosse bouffée d’air. L’évidence était là. Elle sourit en se demandant comment la ville devait être avant l’arrivée du grand Ryô Saeba.  

Puis, des pas interrompirent ses pensées.  

 

-Madame, Madame !!!  

-Que se passe-t-il ? J’ai demandé de ne pas être dérangé ! répondit la chef de clan en se levant portant pour sortir du bain.  

-Madame c’est Aïko !!  

-Aïko ?  

 

Des sueurs froides la traversèrent et elle se dépêcha de sortir du bain et de s’habiller.  

 

 

 

 

 

 

Des pas pressés raisonnèrent dans le couloir, alertant la doctoresse qui sortit précipitamment de son bureau. Elle vit des infirmières s’agiter autour d’un homme portant dans le bras une femme. Puis, derrière eux, elle vit Ayako entourée, elle aussi, de deux de ses hommes. Le visage défait et les membres tremblants.  

 

-Que se passe-t-il ? demanda Kazue en courant vers eux.  

-Jeune femme inconsciente, ayant pris une balle dans le ventre et ayant perdue beaucoup de sang, répéta l’infirmière à sa chef après avoir pris les informations au yakuza qui portait la blessée.  

-Placez-la en salle d’opération et appelez tous ceux qui sont disponibles.  

 

Le groupe se précipita sur les lieux, laissant la chef de clan et ses hommes seuls dans le couloir de la clinique.  

Kazue prit les choses en mains et guida les soignants autour d’elle sans perdre de temps et l’équipe s’afféra autour de la jeune femme inconsciente.  

De longues minutes se transformèrent en heures, angoissants encore plus les yakuzas qui ne faisaient que fixer la porte de la salle d’opération.  

 

 

 

 

 

Kasumi arriva à la clinique en fin d’après-midi et s’occupa de Yui jusqu’à son coucher. Miki la remercia de son aide et la voleuse partie de leur chambre pour entamer sa deuxième mission du jour. Alors qu’elle allait quitter les lieux, elle aperçut Ayako assise sur un banc près de la mare.  

 

-Que faites-vous ici ? lui demanda-t-elle en s’approchant.  

 

Les mots n’avaient pas l’air d’atteindre la femme, qui ne lui répondit pas. Kasumi hésita un instant avant de s’avancer plus encore pour se trouver dans le champ de vision d’Ayako.  

 

-Chef Serizawa ?  

-…Kasumi ? C’est toi ?  

-Oui… que se passe-t-il ? lui demanda-t-elle d’une voix douce.  

-Ma fille…ma fille est blessée…  

 

L’étonnement frappa Kasumi, qui s’agenouilla auprès de son alliée.  

 

-Pardon ? Votre fille ? Mais … ?  

 

Ayako tourna son visage plein de larmes vers son interlocutrice et seuls les sanglots lui répondirent.  

Les deux femmes restèrent ainsi longuement, Kasumi posant une main de soutien sur l’épaule de la chef Serizawa.  

Alors que les pleurs se tarissaient, des pas arrivèrent à toute vitesse vers elles.  

 

-Chef ! Ils ont fini !  

 

Ayako se leva d’un bond et partit en courant dans la clinique suivi de Kasumi et du yakuza.  

Dans le couloir régnait un silence pesant. Kazue s’essuya le front et sourit tendrement à la femme qui arrivait en courant vers elle.  

 

-L’hémorragie est stoppée. On lui a fait une transfusion et elle est stable. J’ai pu enlever la balle, qui n’a pas fait trop de dégâts. Il faut attendre son réveil mais je suis optimiste, elle est jeune, elle s’en sortira.  

 

Ayako serra la doctoresse dans ses bras et la remercia longuement. Personne n’osait parler.  

Puis, une infirmière amena la chef des yakuzas dans la chambre d’Aïko.  

 

-Quelqu’un peut m’expliquer ? demanda finalement Kasumi, une fois le calme revenu.  

-Je n’en sais pas plus, lui répondit le médecin. On m’a amené cette jeune fille avec une blessure par balle mais je ne sais pas en quoi Ayako est impliquée…  

 

Un des yakuzas qui se trouvait près d’elles, se tourna alors et leur expliqua.  

 

-Aïko est la fille adoptive de notre chef. Elle l’a sauvé de la rue, il y a de ça maintenant 3 ans. Je ne sais pas pourquoi on lui a tiré dessus mais elle est revenue à la maison ainsi…la suite vous la connaissez…  

 

Les deux femmes le remercièrent d’un signe de tête et quittèrent le couloir ensemble. Une fois éloigné, Kazue arrêta Kasumi et lui chuchota :  

 

-En la déshabillant pour atteindre la blessure, j’ai trouvé ça.  

 

La japonaise tendit la main vers la voleuse. A l’intérieur, elle tenait un petit sachet rempli de poudre blanche.  

 

-De la drogue ?  

-On dirait, j’ai demandé une analyse toxicologique mais je vais aussi analyser le sachet…  

-A quoi penses-tu ? demanda Kasumi voyant le visage grave de son amie.  

-PCP…  

-Quoi ? Dans la rue ? Mais …  

-Je sais, ça n’aurait aucun sens…pourtant mon instinct me dit que ça en est…  

 

Kasumi réfléchit rapidement à la situation et s’excusa pour quitter à toute vitesse la clinique. La situation sur Tôkyô devait catastrophique. Si de la poussière d’ange était distribuée dans la rue, le pire allait arriver.  

Se faufilant dans la nuit, elle partit rejoindre son clan. Il fallait agir vite avant qu’il ne soit trop tard.  

 

 

 

 

 

 

-Bien le bonsoir ma jolie ! Hep ! Ça va salope ! Je t’emmerde !!!  

 

Les cris de l’homme ivre attirèrent le regard d’Erika qui fermait les portes de son cabaret. Elle regarda à la ronde mais seul l’ivrogne était dans sa rue. La femme qu’il venait d’insulté, lui avait répondu d’un doigt d’honneur avant de partir vers l’avenue centrale.  

Le calme relatif du début de soirée, était presque oppressent comparé à l’agitation des derniers jours.  

La travestie soupira en tournant sa clef et se dirigea vers le bar pour se servir un alcool fort.  

Ce soir, elle était seule et elle allait en profiter pour se relaxer un peu. Tous avaient une mission mais elle, elle avait décidé de se poser, avant de repartir à l’attaque.  

Elle monta à l’étage pour rejoindre ses quartiers et elle passa devant la chambre bleue dont la porte était restée ouverte. Alors qu’elle allait la fermer, son regard fut attiré par des flashs venant de derrière la fenêtre. Elle s’en approcha pour voir ce qui se passait et elle aperçut des silhouettes dans l’ombre. Habituant son regard à l’obscurité, elle cligna plusieurs fois les yeux avant de comprendre ce qui se passait dehors. D’un geste vif, elle reparti aussi vite de la chambre pour se précipiter dans une autre pièce adjacente.  

Les flashs se firent plus forts et seulement quelques minutes plus tard un bruit assourdissant raisonna dans toute la rue, accompagné de nombreux cris. L’ancienne chambre bleue avait perdu son toit et de longues flammes léchaient les murs du cabaret. L’explosion n’avait pas était très violente mais elle avait fait quand même pas mal de dégâts.  

Les sirènes des secours mirent le temps à arriver et les premiers pompiers sur les lieux cassèrent la porte d’entrée pour pénétrer dans l’immeuble en flammes. Seules leurs voix raisonnaient avec le crépitement du bois brulé.  

Un homme se précipita entre eux et ils eurent juste le temps de l’attraper avant qu’il ne se précipite dans le feu.  

 

-Erika ! hurla Kenji tout en se débattant pour poursuivre son avancée.  

-Monsieur, restez là s’il vous plait et laissez-nous faire notre travail ! l’interpela un pompier.  

-Mais il y a quelqu’un à l’étage !  

 

Kenji fut sorti de force et les pompiers s’engouffrèrent à nouveau dans le cabaret.  

 

 


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