Capitolo 1 :: Oh..oh.. FANTÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔÔMEEEEEEES.

Pubblicato: 23-07-14 - Ultimo aggiornamento: 23-07-14

Commenti: ihih, pas si drôle LACHEZ DES REVIEWS PLEASE. <3 qui gagne ? <3 aussi ! la fin se termine bêtement, je sais, mais à cours d'inspiration.

Capitolo: 1

Les yeux dans les yeux, ils se toisèrent du regard. Les filles comme les garçons retenaient leur souffle, attendant que la sentence tombe. Les deux jeunes adultes se fixaient depuis déjà dix minutes. Se tournant autour tel des vautours. L'un de leurs bras penchant vers le sol, comme-ci à chaque seconde qui s'écoulait, ils pouvaient changer le cours de l'histoire. Ils bouillonnaient tous. Leur honneur en dépendait, de ce simple jeu ! Pourquoi avaient-ils accepté ce jeu puéril qui reflétait bien la personnalité d'un certain blondinet ? La jeune femme n'était guère à l'aise dans cette tenue qui l'empêchait de faire un infime mouvement. Les dents serrées, elle était furieuse. Dans toute les personnes présentes dans cette salle, il fallait que son adversaire soit le meilleur de tous. Elle fixait inlassablement les prunelles noires du jeune homme qui lui fessait face. Elle devait faire diversion. Oui, voilà la solution ! Qu'il ce concentre sur autre chose que ce stupide foulard rouge ! Mais quoi ? « Réfléchie ... qu'est-ce que ce vieux pervers aime bien ? Les soutiens-gorge ! Voilà la solution ! » un petit sourire apparut sur le visage de la jeune femme. Ce qui ne plu pas du tout à son adversaire. Dans un claquement, elle brandit son bras au-dessus de sa tête. Surpris par son geste, le brun releva la tête et vu alors le trésor. Son visage ce déforma en un rictus de pervers affreux. Ses yeux devient globuleux, ses pupilles minuscules, sa bouche s'étira en un sourire affreux, sourire qui aurait fait pâlir de dégoût plus d'un, son regard était porté sur un soutient-gorge 90 C, en dentelle bleue, transparent. Il s'imaginait déjà portant le trophée sur sa tête. Quant à la jeune femme, elle jubilait intérieurement, oui, elle avait réussi son coup. Elle balança le soutient-gorge qui vint s'écraser près du foulard. « Oh oh... » se dit intérieurement la jeune brunette. Le pervers baissa la tête suivant des yeux l'objet tant convoité. Mais son attention fut attiré par le bout de tissu rouge. Elle avait osé ! Son visage redevint automatiquement normal, mais un petit rictus amusé restait au coin de ses lèvres. Il leva une fois de plus les yeux vers elle et croisa son regard noisette. Qu'elle était adorable lorsqu'elle rougissait. Mais il ne devait pas céder. Ah ça non ! Jamais ! Beaucoup était en jeu. De un son honneur. De deux son honneur et de trois son honneur. Oui, son honneur. Lui le numéro un, perdre à cause d'une petite minette toute frêle. Pff, même pas en rêve ! Elle se baissa et en une fraction de seconde, il réagit et leur main s'entrechoquèrent. Poussant un petit cri de douleur. La jeune femme s'écroula au sol et se mit à secouer sa main rouge. Inquiet pour sa partenaire, le beau brun tendit une main à la jeune brunette, mais peine perdu. Elle s'empara du foulard avec sa main normale et poussa un cri, mais cette fois de victoire. Dieu, elle avait gagné ! Mais lorsqu'elle voulu ramené à elle le tissu, un poids l'en empêchait. Grognant, elle regarda la main géante de son partenaire tirer vers lui le tissu on ne peu plus fragile.  

-Mais arrête ! Que fais-tu ?! S'exclama la brunette.  

-Je récupère mon honneur !  

-Ton honneur ?  

-Oui ! J'ai été battu par une fille. Oups, que dis-je, j'ai été battu par un travelo et ça je ne l'avouerais jamais ! Mon honneur en a pris un coup !  

-Mais ! Aidez-moi vous autres ! Ne restez pas plantés là ! Cria-t-elle en direction des sept personnes présentes.  

-Je vole ton secours ! Superman à la rescousse des jolies filles en détresse ! Clama haut et fort l'auteur du jeu tout en accourant vers la « jeune femme en détresse ». arrivé près d'elle, il s'assit à même le sol, comme elle, et attrapa sa taille, taille qu'il tira vers lui pour reprendre le foulard de sa belle. Les autres sortirent soudainement de leur torpeur. Miki secoua la tête de droite à gauche et voulu rejoindre Kaori et Mick qui se débattaient contre un Ryô déchaîné.  

-Espèce de traître ! Comment oses-tu te mettre chez l'ennemie ! Tu me trahis moi ? Moi ton pote de beuveries !  

-Désolé, mais je préfère mille fois Kaori à toi !  

Une tornade rousse courut en direction du brun solitaire, elle imita les trois personnes à terre, tirant sur la taille de l'homme qu'elle aime.  

-Moi je te soutiendrais toujours mon bel étalon !  

-Merci. Dit-il dans un couinement tout en déglutissant.  

-Tu sais comment me remercier n'est-ce pas ? Chuchota-t-elle à son oreille d'une manière sensuelle.  

-Mmh. Frémissant en entendant la proposition déplacée de la rouquine, Ryô déglutit une fois de plus. La jolie brune grogna en voyant la scène mais elle ne cédera pas ! Elle le voulait ce foulard et dieu sait qu'elle obtiendra par la force ou le charme ce stupide foulard qui détermine tant de choses pour tous. Miki, Kazue et Eriko se précipitèrent pour aider leur meilleure amie. Tirant de toute leur force, Ryô et Reika ne cédèrent guère. Il ne restait que Saeko et Falcon. Tout deux indécis. Ne sachant qui aider. Soudain la voix de Ryô rendue rauque par l'effort retentit :  

-Saeko ma chérie, si tu m'aides j'efface dix coups sur ta liste de dettes.  

-J'arrive !  

Et Saeko se précipita, attrapant les hanches de sa petite sœur.  

-Traîtresse ! Hurla Kazue, transpirant à fond dans sa tenue identique à celle de Kaori, Miki, Kazue, Saeko et Reika, seules les couleurs les différenciées.  

-Dix coups en moins Kazue c'est pas n'importe quoi c'est DIX coups. Cria Saeko.  

-Falcon, mon amour ! Dit Miki, suppliant son mari du regard.  

-Non. Je ne rentrerais pas dans votre p'tit jeu de gamins.  

-Falcon, ma luciole, si tu viens m'aider, je ne sauterais plus sur Miki ou Kasumi pendant un mois entier, parole de Saeba.  

L'échine de Falcon fut parcouru d'un frisson.  

-Sérieux ?  

-On ne peu plus sérieux ma luciole des mers.  

-désolé Kaori.  

-Falcon pitié. S'écria la brunette, au bord du gouffre. Je t'en supplie. Moi je n'ai rien à t'offrir. Mais... mais... tu es mon ami hein... et si tu nous aides, avec Eri', on arrête de squatter ton café pour les réunions filles.  

-QUOI ?! Hurla Eriko les yeux globuleux.  

-C'est vrai ?  

-Falcon... je tiens toujours mes promesses alors que Ryô.... niette ! Combien de fois m'a-t-il promis de m'emmener à la fête foraine, ou même de jouer le Père Noël durant les fêtes de Noël, jamais, il n'a jamais fait ça ! Qui a toujours dû remplacer le Père Noël ! C'était Mick ! Et puis ne t'allie pas avec lui ! À cause de qui tu as perdu des centaines de clients parce qu'il t'énervait et qu'tu devais sortir ton bazooka ?! Et tous ces surnoms débiles qu'il te donne !  

-KAORIIIIIIIII. Hurla Ryô.  

-BAH QUOI C'EST LA VERITE ASSUME VIEUX STROUMPHE.  

-VIEUX QUOI ?!  

-Cessez donc de vous battre ainsi. Je vais régler cette affaire une fois pour toute ! S'exclama Falcon, un énorme sourire aux lèvres.  

-Qui as-tu choisis Luciole ?  

-Personne. Nous allons avoir une deuxième épreuve. Si Kaori gagne, tu enlèves dix coups à la liste de Saeko, tu ne sauteras plus sur Miki et Kasumi pendant un mois entier, et tu tiendras tes promesses envers la petite et le plus important tu cesseras avec tes surnoms débiles envers moi. Expliqua Falcon. Par contre, si tu gagnes, tu récupères ton honneur, tu n'auras plus de coups de massues pendant une semaine, et Eriko et Kaori ainsi que les autres ne viendront plus squatter mon café pour leurs réunions entres filles. Ça vous dit ?!  

-Mmmh... ok. Dirent les deux nettoyeurs, méfiants.  

-je sais quel jeu on va choisiiiiiiiiiir ! S'écria Mick, le poing en l'air.  

-Non. C'est moi qui choisis. Dit simplement Falcon, un sourire carnassier des plus effrayant sur le visage ce qui fit frisonner tous ceux qui étaient dans la pièce. En plus, j'ai déjà fais mon choix. Allez dans votre voiture à tous.  

Ils obéir tous, tels des automates. Kaori qui était assise dans la mini rouge de son partenaire, boudait dans son coin. Elle regardait le paysage de nuit qui s'offrait à elle. Son cœur avait été légèrement fissuré en entendant son partenaire proférer de tels âneries sur elle. Elle se trouvait pourtant très mignonne dans son sari vert. En effet, la jeune femme avait revêtit un bustier qui laissait voir son ventre en entier, le haut ne cachait que ses seins. Ce bustier était de couleur vert pâle à dentelles pour décorer le haut. Des fines bretelles presque invisibles aux yeux de tous de couleurs bleues ciel. Une longue jupe, très longue jupe de couleur bleue ciel comme les bretelles, décorée de fils d'or et de perles vertes et jaunes, Eriko, qui voulait que cet ensemble soit unique avait fait brodé dessus en dentelle fine les initiales de la jeune femme. « K.M. », cadeau des plus original. Un voile qui transparent d'un léger bleu agrémenté le tout. La jeune styliste c'était arrangée pour que le voile ne couvre pas la jupe. Le voile avait, au niveau des épaules les mêmes fils d'ors et les mêmes perles que la jupe. Elle s'était aussi légèrement maquillée d'un rouge à lèvres rose pâle et ses yeux avait du fard à paupières vert très très pâle. Presque inexistant. Sa coiffure était restée la même à la différence d'un bijou de tête qui retombait sur son front, sous ses mèches rebelles brunes. Elle était restée pieds-nus sous les conseilles d'Eriko qui lui avait dit de mettre une chaîne de cheville qui sonnait lorsqu'elle fessait un mouvement des plus insignifiants. Elle avait aussi des bracelets en métaux vert et bleus assortit à sa tenue qui s'entrechoquaient et fessaient du bruit. Lorsqu'elle était descendue des escaliers de son appartement, Ryô l'attendait en bas, il n'avait pas joué le jeu en mettant son costume indien. Légèrement agacée, elle était descendue en prenant son temps, ryô quant à lui avait faillit avoir une attaque en voyant la tenue limite vulgaire de sa partenaire qui descendait de sa démarche féline les escaliers. Dieu, il l'avait trouvé magnifiquement magnifique dans cette tunique affriolante. À chaque pas, des tintements de ses bijoux retentissaient, le jeune nettoyeur ce concentrait sur le bruit, pour ne pas céder. Les sourcils froncés, il s'apprêtait à ouvrir la bouche quand sa partenaire, sans un regard elle se dirigea automatiquement vers la porte.  

Ce concentrant sur la voiture de Mick qui était devant la sienne, ryô suivait la route que lui avait indiqué Falcon. Ce silence pesant l'ennuyait à mort.  

-Kaori ?  

-Mmh.  

-Non rien.  

-Mmh.  

Il la trouvait bizarre. Presque froide envers lui. Inquiet, d'une main il tenait le guidon et de l'autre, il la posa sur la cuisse de la jeune brunette. Sous ses doigts glissait le tissu de sois de la jupe. Frémissant, il restait dans cette position, fixant la route. Kaori quant à elle sursauta et fixa la main de Ryô sur sa cuisse. Il voulait ce faire pardonner. Elle posa la sienne sur celle de ryô et la pressa doucement. Leurs doigts s'entremêlant. Ils étaient bien ainsi. Légèrement rouge de son audace, Kaori tourna instinctivement la tête vers la fenêtre. Soudain, le feu rouge arriva, et Ryô freina.  

-Sois pas en colère p'tit frère.  

-p...p...p'tit frère ?  

-oups.  

-TU M'AS APPELLE PETIT FRERE !  

-Excuse-moiiiii Kaoriiiiiiiiiii.  

-Humf.  

Et la route continua sans soucis. Sans soucis ? Que dis-je. Après avoir traité son âme sœur de petit frère, ryô c'était prit une petite massue et un coup de griffe monumentale sur sa main qui était restée sur la cuisse de la jeune femme. Trente minutes de trajet et ils arrivèrent tous les huit devant un vieille batiste. Sortant tous de leur voiture respective, ils se plantèrent devant Falcon.  

-C'est quoi ça ? Demanda Mick, pointant du doigt la maison délavée.  

-Votre épreuve.  

-Hein ? Crièrent tous.  

-Cette maison est dites hantée. Le défi est que le premier d'entre vous -il pointa à cet instant les deux nettoyeurs qui formaient à eux deux City Hunter- cri à perdu. Donc celui qui a gagné est celui qui ne cri pas. Il n'y a pas de temps. Tant que vous n'aurez pas poussé d'hurlements, vous resterez dans cette maison dite Hantée. Aussi, dois-je ajouter que vous pouvez aussi faire peur à votre adversaire. Sur ce. ALLEZ-Y.  

Les deux jeunes adultes déglutirent et Kaori, qui était pâle s'accrochant à un pan de la veste de Ryô. Tout deux avancèrent  

Dix minutes plus tard.  

-R...ryô... tu... tu peux allez voir là-bas ce qui ce cache dans cette chambre ? Murmura Kaori, s'accrochant de toute sa force à son sari.  

-Humf. Il s'enfonça dans la chambre et Kaori claqua la porte.  

-Excuse-moi Ryô, mais je dois gagner ! Cria-t-elle.  

-Kaoriiiiiiiii ouvre cette pooooooorte.  

Ryô entendit un grattement, une grimace se forma sur son visage et lentement il fit volte-face à un raton laveur. Claquant des dents, il se colla un peu plus à la porte.  

-Pitié Kaoriiii. Il va me tuer Kaori. Regarde ses yeux Kaaori. Il est maléfique Kaori. KAORI. KAORIIIII. SUGAR. SUGARRRR.  

Trop tard, il avait attiré l'attention de notre très chère animal à rayures. Le raton courut à toute vitesse sur sa proie et se mit à le mordre et autre chose. Ce retenant pour ne pas hurler à sans décrocher la mâchoire, Ryô se mit à gigoter. Attrapant à toute vitesse son magnum, il visa et tira. Une seule balle avait suffit. Kaori qui avait entendu le bruit ouvrit la porte à la volée et remarqua du sang et le corps gisant du pauvre animal. Plaquant ses deux mains sur sa bouche, Kaori, les larmes aux yeux, courut à toutes enjambées vers le pauvre cadavre.  

-Q...qu'est...qu'est-ce que tu...tu as fait ? Tu l'as tué ! ASSASSIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIN. Se mit à hurler Kaori, se redressant, les mains pleines de sang. Elle se tourna vers Ryô qui tremblait désormais.  

-M...mais...nan...  

-SI TU AS TUE CE PAUVRE ANIMAL SANS DEFENCE ! Tu as abusé de ta force sur un être inférieur. Tu l'as dégommé espèce... espèce..de...de... marchemallot... souffla-t-elle. Corbeaux et libellules passèrent. Marche mallot ? Se retenant de rire. Il reçu à la figure un poing.  

-Outch. Ça va pas t'es malade ma parole ! Hurla le nettoyeur. Le nez saignant légèrement.  

-Tu l'as bien mérité ! Cracha Kaori, secouant son poing endolori.  

Soudain, la porte qui était restée ouverte se ferma dans un claquement sec et effrayant. Sursautant. Kaori poussa un hurlement strident en même temps que Ryô. ( il est pas un peu trouillard notre ryô ? Nda ; tu trouves aussi. Ahah. ) se rendant compte de leur boulette. Kaori ferma la bouche, laissant Ryô crier seul.  

DEHORS :  

-C'est Ryô et Kaori qui crient là.  

Silence radio.  

-Non, c'est juste ryô !  

-KAORIIII A GAGNE.  

Capitolo: 1