Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Sheena

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 13 capitoli

Pubblicato: 10-03-06

Ultimo aggiornamento: 19-06-06

 

Commenti: 127 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Le passé ne peut s'effacer, ou disparaitre ; nous pouvons tout au plus l'oublier pendant un temps. Mais un beau jour tout refait surface et il faut à cet instant précis faire preuve de courage pour lui faire face ! C'est ce que Kaori va s'efforcer de faire.

 

Disclaimer: Les personnages de "Que maintenant la vie me sourit !" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Que maintenant la vie me sourit !

 

Capitolo 1 :: Chapitre I : Le plus beau des présents

Pubblicato: 10-03-06 - Ultimo aggiornamento: 10-03-06

Commenti: Cela fait un moment que je parcours ce sit de long en large et que je me régale de vos fanfic. Alors aujourd'hui j'ai décidé de me mettre derrière mon petit clavier afin moi aussi de tenter de vous faire rêver. ( J'ai bien dit tenter...) J'espère que ce début vous plaira et que vous en redemandrez lol. J'attend vos commentaires avec bcp d'impatience. Bises et bonne lecture.

 


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Chapitre I : Le plus beau des présents  

 

Une jolie jeune femme, aux cheveux bruns et coupés cours, marchait d’un pas qui ce voulait pressé et déterminé dans les rues de Shinjuku. En effet cette dernière après avoir arpenté la ville de long en large depuis maintenant trois jours, avait finalement réussit à dégoter le cadeau idéal pour son « fainéant » de partenaire. Elle avait une idée très précise de ce qu’elle désirait et était donc des plus difficile à satisfaire.  

Mais là, son voeux avait été exaucer ; c’est pourquoi son visage arborait fièrement un des plus joli sourire qu’il fut donner de trouver dans le pays, et que ses yeux rayonnaient de bonheur et pétillaient de malice.  

 

Elle devait cependant ce hâter, car il ne lui restait plus beaucoup de temps pour préparer un repas digne de ce nom pour la petite fête qu’elle avait organisé en l’honneur de l’anniversaire de l’autre moitié de City Hunter. Il était déjà deux heures et demi passée et, hors mis le gâteau qu’elle avait préparé le matin même, alors que son coéquipier dormait encore, aucuns autres plats n’étaient prêts.  

 

Elle arriva bien vite devant l’entrée de son immeuble, où elle habitait maintenant depuis plus de sept ans. Une fois dans son appartement elle se dépêcha de cacher dans sa chambre les cadeaux, et se dirigea vers son antre. La cuisine était son domaine de prédilection et Kaori en maîtrisait parfaitement l’art délicat, malgré les incessantes remarques que pouvait lui faire Ryô.  

Une fois devant les fourneaux elle décida donc de son menu et s’y attela. Les heures défilèrent à une vitesse grand V et il ne resta plus qu’une heure à Kaori pour se préparer avant l’arrivée de ses invités et de son partenaire, qui se devait d’être rentré à huit heures. Bien que Ryô ne l’aurait jamais avouer, même sous la torture, il raffolait des petits plats que lui mijotait Kaori ; et celui là, qui n’était préparé que de ce dont il préférait, il ne l’aurait pour rien au monde loupé.  

 

Ryô rentra chez lui vers les huit heures moins le quart, il avait juste le temps de prendre une douche expresse et de se changer. En passant devant la chambre de sa tendre partenaire il vit que la porte n’était pas fermée complètement et se risqua donc à jeter un coup d’oeil. Là, il eu droit à un spectacle qui ne s’offrait à lui que trop rarement, Kaori était de dos, en sous-vêtements noirs et contemplait une petite robe à bretelles qui se trouvait être de la même couleur que les vêtements qu’elle portait.  

Un sourire heureux sur le visage notre nettoyeur se rendit à sa chambre pour prendre quelques affaires de rechange et s’en alla à la salle de bains.  

 

Une fois qu’elle eu enfilé sa robe Kaori descendit dans le salon avec sous ses bras deux paquets enveloppés dans un beau papier argenté ; elle les déposa sur une petite table qui se trouvait dans un coin à coté de la fenêtre, et fit quelques arrangements à la grande table qui se trouvait dressée au milieu du salon en attendant le reste de la troupe.  

 

A huit heures précise, trois coups se firent entendre et cette dernière se hâta d’aller ouvrir. Derrière la porte se trouvait Saeko, Reika, Miki et son mari Falcon ; mais bien avant que Kaori n’ait eu le temps de leur souhaiter la bienvenue et de les faire entrer, un P.V.I (pervers volant identifié, lol je me demande ou je sui aller trouvé ça moi... ...||: ...||:) c’était déjà jeter sur les soeurs Nogami.  

 

- « Ahhh mes chéries, vous êtes enfin arrivées, venez, venez entrées nous allons pouvoir commencer à nous amuser,hihihi ... vous avez sûrement décider de m’offrir votre corps comme cadeau alors ne perdons pas de temps dépe...... . »  

 

Le nettoyeur numéro un du Japon n’avait pas pu terminer sa phrase qu’il s’était vu engloutir sous une massue de plus de 10 000T où était inscrit « Cadeau de Kaori pour les pervers irrécupérables ».  

 

- « Et ça, ça te convient comme cadeau espèce de détraqué, » avait vociféré sa partenaire.  

 

- « Foui fest parfait. »  

 

Les quatre personnes qui se trouvaient encore sur le palier de la porte rentrèrent dans l’appartement sans jeter un seul regard à la larve humaine qui servait de paillasson, seul Falcon prit bien soin de s’essuyer les pieds sur ce dernier avant d’entrer.  

 

- « Non mais tu pourrait faire attention où tu marches espèce de gros balourd, » avait maugréé l’étalon de Shinjuku.  

 

Quelques minutes après cet événement que l’on pourrait qualifier d’ordinaire, deux autres personnes se présentèrent à la porte de City Hunter. En effet Mick et Kazue venait d’arriver, et il ne fallut qu’un dixième de seconde au deuxième pervers de Tokyo pour s’élancer sur sa proie.  

 

- « Kaori, ma belle tu es splendide, ravissante, éblouissante, renversante même! » complimenta Mick avec son air le plus charmeur, qui bientôt fut remplacer par sa tête de pervers et que ses doigts commencèrent à s’agiter dans tous les sens.  

« Oublie cet étalon de bas étage, cet chose qui te sert de partenaire et viens avec moi mon amourrrrrrrrr, je te ferait passer la plus belle nuit de ta viiiiiiiiiiiie. »  

 

Ryô qui fulminait depuis un moment devant l’attitude de son ancien coéquipier décida d’intervenir. Il c’était contrôler jusqu’à maintenant mais voir cet amerloque de malheur sauter sur Sa Kaori il en était hors de question. Déjà que, quand il l’avait vu ouvrir la porte dans sa petite robe noire qui la saillait parfaitement, il avait dû faire diversion car son mokkori s’était réveillé. Ce fut donc avec la grâce, et la rapidité d’un félin qu’il s’interposa entre sa partenaire et son jumeau blond, et qu’il l’envoya visiter le mur d’en face.  

 

Après ce début de soirée, qui ne changeait pas vraiment de l’ordinaire, notre petit groupe passa donc table et engloutit (ou plutôt les trois ogres sur pattes) à une vitesse déconcertante les divers mets qu’avait préparé Kaori.  

 

Le moment de la distribution des cadeaux arriva donc, et Ryô ouvrit l’un après l’autre les présents qui avaient été disposé sur la table prévue à cet effet.  

Le premier se trouvait être le cadeau des soeurs Nogami, et était un livre intitulé « Bonnes manières et Savoir vivre ».  

 

- « Qu’est ce que c’est que ce truc, et qu’est ce que je dois comprendre d’abord hein...???? » dit un Ryô qui se voulait pour le moins énervé.  

 

- « Oh mais rien mon petit Ryô ne t’énerves pas voyons, nous avons seulement voulus te rendre un service et aider Kaori à t’éduquer » dit une Saeko qui se retenait difficilement de rire alors que le reste de l’assemblé se moquait joyeusement de notre nettoyeur.  

 

- « Oui nous avons voulus faire d’une pierre de coup, » renchérit Reika, « et puis pense un peu à cette pauvre Kaori qui doit subir tes manières à longueur de journée. »  

 

- « Vous êtes pas gentilles d’abord », dit un Ryô boudeur le dos tourné et accroupit par terre, « BOUHHHHH personne ne même.... BOUHHHH .... BOUHHHH. »  

 

- « Tiens mon ami heureusement que ton vieux pote Mick pense à toi hein? » demanda ce dernier en lui tendant un tout petit paquet qui contenait une boite de 100 préservatifs.  

 

- « Ah enfin un cadeau à la hauteur de ma réputation ! T’es un frère mon vieux ... Cependant t’aurais pu prendre une boite où il y en avait plus en une semaine je les ai tous passé moi ! C’est que je ne suis pas l’étalon de Shinjuku pour rien ! » S’exclama t-il devant sept paires de jambes dont leur propriétaires étaient tombés à la renverse.  

 

Miki et Falcon lui offrirent un nouveau holster et vint alors le cadeau de Kaori, ou plutôt les cadeaux car ils en restaient encore deux disposés sur la table.  

 

Il ouvrit le premier qui se voulait rectangulaire et tomba sur un cadre en métal où était gravées les lettres R.S dans un coin et où C.H étaient entrelacées dans un autre ; dans ce cadre sa douce et tendre moitié y avait glissé une photo qui avait été prise au Cat’s Eyes et où on pouvait y voir la petite bande au complet, hors mis Kaori qui tenait l’appareil photo. Ryo fut très touché par ce simple geste, il n’y avait qu’elle pour lui offrir une photo de sa famille, famille qu’il avait construit avec elle, grâce à elle ; c’était elle qui en était le point névralgique, le coeur.  

Il prit alors le second présent et ressentit une forte émotion en le tenant, il pouvait y lire tout l’amour que lui portait sa partenaire, mais la sensation de départ n’était rien comparait à celle qui lui vrilla le coeur et le corps quand le cadeau fut ouvert. En effet à l’intérieur du boité ce trouvait une magnifique gourmette en argent où était graver Ryô Saeba d’un côté et 26 Mars 195X (désolé pour l’année mais je ne voie vraiment pas, mettez ce que vous voulez…) de l’autre. Et où au niveau du fermoir ce trouvait une sorte de médaillon avec les lettres C.H ; il y avait également un mot glisser dans le couvercle du boité Notre nettoyeur le pris donc dans ses mains et commença à le lire :  

 

« Les personnes normales ont leur état civil écrit sur du papier, mais les écrits s’envolent, se brûlent, où se perdent ; et qui plus est, toi Ryô, tu n’es pas une personne normale. Tu es un être d’exception qui mérite bien mieux que cela, alors ton identité à toi elle est gravée dans de l’argent, métal aussi précieux que toi tu peux l’être à mes yeux.  

Bon anniversaire Ryô.  

Kaori »  

 

Toute notre petite assemblée le regardait avec son cadeau entre les mains, hors mis Kaori tout le monde se demandait ce que cela pouvait être et attendait impatiemment que ce dernier daigne le leur montrer.  

 

Ryô se trouvait être dans une sorte état second, mais comme à son habitude il ne montrait du dehors aucun tourment qui assiégeait son être. Seul Falcon parvenait à ressentir la vague de joie et de bonheur qui déferlait dans son cœur. Devant l’attitude stoïque de Ryô, Kaori se demandait si son cadeau n’était pas mal venu où déplacé. Cependant elle n’eu pas le temps de pousser plus long son introspection que deux bras forts et vigoureux l’avaient enlacés, et qu’une tête était venue se nicher dans son coup.  

 

- « Tu m’as encore fait le plus beau des présents Sugar, … Il n’y à que toi qui pouvait me faire ce genre de cadeau et à vrai dire je n’aurai pu l’accepter de personne d’autre que toi … Merci ma chérie (cf. épisode 125 « un noël très blanc » dans cet épisode Ryô la nomme ainsi, et je trouve ça trop beau….snif). Lui souffla Ryô dans le creux de l’oreille avant de l’embrasser tendrement sur le front ; le visage de Kaori vira de suite à un beau rouge vermillon.  

 

- « Bon alors tu nous le montre ton cadeau de ma belle Kaori ou tu joues l’égoïste » s’insurgea Mick avant de ce recevoir une massue avec l’inscription « Je suis là MOI » de la part de Kazue.  

 

Ryô leur montra donc le contenu du cadeau tout en prenant bien soin d’enlever le mot avant.  

 

- « Pffff c’est toujours lui qui tire le gros lot y’en a marre à la fin » se lamenta le blondinet  

 

- « Et oui mon pote, que veux tu on a la classe ou on ne l’a pas … Tu ne peux pas l’acheter à l’épicerie du coin Mick » se venta Ryô.  

 

- « QUOI TU DIS QUE JE N’AI PAS DE CLASSE MAIS TU T’ES REGARDER ESPECE D’ETALON A DEUX SOUS … JE SUIS LA CLASSE MÊME, MOI MÔSIEUR. »  

 

Nos deux anciens partenaires se jetèrent donc l’un sur l’autre et continuèrent à se battre alors même qu’ils étaient suspendus dans les airs par Falcon. Un spectacle des plus pathétique s’offrait aux personnes restantes.  

 

La soirée continua donc dans la joie et la bonne humeur jusqu’à ce que les invités décident de rentrer.  

 

Une fois seul dans l’appartement Kaori entreprit de débarrasser la table et de faire la vaisselle sous l’œil attentif de son partenaire qui se décida tout de même à l’aider.  

Quand l’appartement fut remis en ordre Kaori souhaita une bonne nuit à Ryô et commença à gravir les escaliers ; mais à peine avait elle fait trois pas qu’elle se retrouva une nouvelle fois prisonnière contre un torse musclé, elle leva alors la tête et rencontra les yeux sombres de celui-ci. Ils restèrent enlacés comme cela pendant de nombreuses minutes, qui leurs parurent des heures, mais aucuns des deux ne voulaient bouger, pour rien au monde ils n’auraient voulus changer leurs places à ce moment ; ils se trouvaient enfin dans les bras de la personne aimée. Le temps n’avait plus d’importance.  

 

- « Je tiens à te remercier une nouvelle fois Sugar Boy …pour la fête et les cadeaux, tout était parfait. Maintenant il est temps d’aller se coucher… Bonne nuit Kaori » dit ce dernier en montant les marches qui le menaient à sa chambre.  

 

Kaori restait telle une statue en bas des marches ; par deux fois dans la soirée Ryô l’avait pris dans ses bras et lui avait parler tendrement, il l’avait même appelé chérie. Cela n’était vraiment pas dans ses habitudes. Alors pourquoi avait elle espéré un baiser quand il la tenait si amoureusement dans ses bras il n’y a que quelques instants de cela ? Elle était toute chamboulée et n’arrivait plus à penser correctement ; elle décida donc de monter se coucher dans sa chambre, une bonne nuit de sommeil lui ferait du bien. Un changement dans leur relation était peut être enfin en train de s’opérer et elle l’attendait avec la plus grande impatience.  

 

Ryô, quand à lui, était en caleçon allongé sur son lit, les bras croisés derrière la tête et le regard perdu dans le vide. Il réfléchissait à cette relation si particulière qu’il entretenait avec l’autre moitié de leur duo.  

 

Voilà maintenant bientôt huit ans que tu partages ma vie Sugar, nous avons surmontés ensemble les bons comme les mauvais moments. De la petite gamine naïve tu es devenue une femme courageuse, forte et généreuse. Tu m’as donné ce que je n’avais jamais eu, tu m’as donné une vie, un but, mais par dessus tout tu m’as donné une âme. Du tueur sans foi ni loi qui ne vivait qu’à travers la mort, tu as fait un justicier des villes qui combat les crimes et aide les personnes qui en ont besoin.  

Je te dois tant Kaori.  

Tu es la meilleure partenaire qui m’ais été donné d’avoir ; nous n’avons pas besoin de nous parler pour nous comprendre, même les regards sont parfois superflus, nous anticipons parfaitement ce que va faire l’autre et c’est ce qui fait notre force, c’est ce qui fait de nous le duo tant redouté …City Hunter… Cela n’a jamais aussi bien porté son nom.  

… Aujourd’hui je me rends compte que quoi que je dise, ou quoi que je fasse tu ne partiras pas, cette vie tu l’as choisi et tu t’y sens bien. Et puis de toutes manières je ne suis qu’un égoïste et un lâche jamais je n’aurai la force de me séparer de toi, si tu n’es plus à mes cotés je sombre ; tu m’es aussi indispensable que l’air l’est à mes poumons.  

Je t’aime Kaori.  

Je t’aime plus que tout et j’en ai plus qu’assez de me cacher derrière de faux prétextes, ta vie sera toujours en danger mais tant que tu seras à mes côtés rien ne t’arrivera, je serais là pour te protéger.  

… Et ce soir quel cadeau tu m’as fait !  

Par ce simple présent tu m’as donné une identité, une réelle identité. Je ne sais pas ce que j’ai fait au ciel pour mériter un ange comme toi ma chérie, mais maintenant que je t’ais je te garde, c’est décidé.  

Nous verrons bien ce que la vie nous réservera, et comment notre relation évoluera.  

 

Alors que nos deux nettoyeurs dormaient d’un sommeil profond le jour se levait sur le quartier de Shinjuku.  

 

 


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