Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: nanou

Status: In corso

Serie: Style Hojo

 

Total: 43 capitoli

Pubblicato: 29-04-05

Ultimo aggiornamento: 30-10-09

 

Commenti: 181 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: il n'y a rien à résumer, il faut lire pour le croire!

 

Disclaimer: Les personnages de "Petit délire du matin!" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Petit délire du matin!

 

Capitolo 18 :: Les préparatifs

Pubblicato: 20-07-07 - Ultimo aggiornamento: 20-07-07

Commenti: Bonjour à tous ! Je vous poste encore un autre chapitre, c’est que je suis bien inspirée en ce moment. Mais ne vous inquiétez pas, je n’oublie pas mes autres fics qui sont en cours d’écriture. De plus, j’écris par bout au boulot, vu que chez moi c’est quasi impossible ! Vous vous rendez compte que je brave tous les dangers pour vous poster un chapitre ? lol Un danger qui prend la forme de la chef qui fait des allers et retours dans le bureau. No comment. J’espère que ça vous plaira toujours. Je tiens à remercier mes reviewers : ma Bougnate, Didinebis pour ses deux reviews, Cristina, Black et le dernier et pas le moindre, mon p’tit Tigrou. Désolé mon grand, avec ou sans Sarko, ta sortie n’est pour tout de suite. Pour tes rayures, je te conseille Mir Couleur ! Tes couleurs retrouveront tout leur éclat ! lol Bon j’arrête de parler et je vous laisse savourer. Biz et bonne lecture. Votre star intergalactique.

 


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Une fois l’hélicoptère camouflé sous des branchages, Maruku inspecta la grotte. Elle était profonde et aménagée de façon à accueillir une grande table, un coin pour dormir ainsi qu’un mini laboratoire contenant des éprouvettes et autres ustensiles propres à fabriquer des armes chimiques. Le reste de la place fut réservé à l’hélico.  

Mica apporta les plats qu’elle avait préparés et les posa sur la table. Maruku fit honneur aux mets et le ventre bien rempli, il put passer à l’exécution de son plan.  

 

- Patron, qu’est ce qu’on fait maintenant ? demanda Moon.  

- Venez par ici, je vais tout vous expliquer en détails, répondit-il.  

 

Il déplia une grande carte qui représentait Narita, le grand aéroport de Tokyo.  

 

- On va au Japon patron ? demanda Mica.  

- Oui Mica, c’est pour ça que j’ai demandé des passeports ! Vous allez mémoriser cette carte dans ses moindres détails. Une fois sur place, il faudra que vous sachiez où se trouve chaque chose les yeux fermés.  

- Patron, j’ai loué deux chambres près de l’aéroport, expliqua Moon.  

- Parfait Moon, c’est l’emplacement qu’il fallait pour que nous puissions faire des allers et venus sans se faire remarquer. Moon et Mica, il faudra que vous sachiez le nombre exact d’agents qui travaillent à Narita, y compris les gars de la maintenance, les bagagistes et tous ceux qui sont en contact permanent avec les avions. Tenez-vous au courant des rotations de personnels, des tours de garde des agents de sécurité, du nombre de voyageurs moyen en une journée, ainsi que les heures de pointe.  

- Patron, ça va demander du temps ! s’exclama Mica.  

- Je vous laisse une semaine, pas un jour de plus. Plus vite nous aurons acquis ces renseignements, plus vite nous pourrons accéder à l’étape supérieure, objecta Maruku.  

- Et en quoi consiste l’étape supérieure patron ? demanda Moon.  

- C’est très simple, j’ai inventé un mélange très proche du PCP de par sa composition, sauf qu’il ne transforme pas les êtres humains en bêtes sanguinaires mais en moutons très obéissants !  

- Ah ?  

- Oui, nous allons en injecter aux agents de l’aéroport qui suivront nos instructions sans broncher. Pour cela, nous nous munirons de sarbacanes, c’est plus discret et plus efficace aussi. Une fois l’opération terminée, nous pourrons les contrôler à distance et leur faire part de leurs taches sans se déplacer à Narita.  

- Patron, vous êtes un génie ! dit Mica.  

- Ce n’est pas tout Mica, vous aurez toutes les deux à espionner les allers et venus chez Saeba. Comptabilisez le nombre de personnes qui sont installés chez lui en plus de sa partenaire. Surveillez tous leurs déplacements, même quand cet idiot va dans ses cabarets fétiches et les heures auxquelles ils rentrent. Surtout, soyez discrètes, vous avez sûrement entendu parler de son ouïe exceptionnelle.  

- Ok patron, nous avons tous compris, quand est-ce que nous partons ? demanda Moon.  

- On va attendre quelques jours, le temps que je prépare mon PCP 2, et aussi pour que les autorités pensent que je suis loin d’ici. Il ne faudrait pas que le GIGN nous gêne dans nos activités. Au fait, j’oubliais…  

 

Il leur tendit chacune une minuscule fiole dans un pendentif.  

 

- Oh patron c’est joli, c’est un cadeau ? s’exclama Mica.  

- Hum, oui et non, cette fiole contient un petit cocktail de mon invention, si jamais vous êtes arrêtés, buvez-en le contenu, vous ne sentirez rien. J’ai appelé ça la « mort subite », du nom de ma bière préférée ! ricana t-il.  

 

Moon et Mica déglutirent en pensant que leur patron était vraiment fêlé.  

 

- Vous voulez dire que vous allez nous tuer patron ? bredouilla Mica.  

- Mais non petite sotte, ça c’est vraiment le dernier recours. On ne connaît pas les moyens qu’a la police japonaise de vous faire parler, je ne voudrais pas que vous fassiez échouer des mois de préparation. De plus, je te rappelle que quand vous m’avez rejoints, vous avez fait la promesse de me suivre jusque dans la mort.  

- C’est vrai patron…mais…  

- Tu as peur Mica ?  

- Non c’est pas ça, c’est que je voudrais voir aboutir votre plan, le voir de mes propres yeux.  

- Dans ce cas là, à toi ne pas te faire prendre ! rigola t-il. Mica, Moon, grâce à moi, vous allez connaître une gloire et une renommée sans pareille dans le monde du terrorisme ! Les plus grands criminels ne seront que des enfants de choeur à côté de nous !  

- Heu patron, et une fois que nous aurons hypnotisé les gens de l’aéroport et surveillé Saeba ?  

- Vous allez placer des minis explosifs à chaque recoin de l’aéroport et à l’extérieur aussi. Vous serez aidé dans votre tache par des employés. Ensuite, nous prendrons en otage quelques invités de Saeba pour l’attirer jusqu’ici. Il devra venir seul et non armé. Il ne pourra pas être partout à la fois, soit il délivre ses invités qu’on aura disséminés un peu partout sous la garde de nos agents, soit il trouve les explosifs et les désamorce. En aucun cas, il ne pourra faire les deux, par manque de temps. Au bout de quelques minutes, nos agents auront pour ordre d’égorger leurs otages. Si jamais il en réchappe, on servira Saeba sur un plateau d’argent à la police de polices. En prime, nous aurons un joli feu d’artifice : Narita en feu !  

- Waow, il est génial votre programme patron, je m’en régale d’avance ! s’enthousiasma Mica en se frottant les mains.  

- Au fait patron, comment on va faire pour prendre en otage les invités de Saeba ?  

- Je ne sais pas encore….réfléchit-il en se frottant le menton. Bah, il les emmènera sûrement visiter la ville ou je ne sais quoi d’autre…  

- Vous ne pensez pas que votre co-détenu a dû tout dire à la police ?  

- Je ne pense pas, par contre il en a sûrement parlé à sa sœur qui a dû prévenir Saeba. Ce renard doit se tenir sur ses gardes…hum, on peut toujours l’appâter avec une femme. Bah, on verra sur place, je suis sûr qu’on trouvera la solution là-bas. Bon, assez parlé, mettons-nous au travail !  

 

A quelques kilomètres de là, maison d’arrêt de Clermont…  

 

- Quoi ??? hurla Tigrou.  

- Je suis désolé Tigrou, j’ai tout essayé mais le directeur n’a rien voulu entendre, il t’en veut encore pour ta tentative d’évasion…  

- Grr le vieux schnok est vraiment têtu comme un mulet ! Moi qui pensais que tu réussirais à le faire plier...  

- Tu sais, je ne suis que gardien de prison, pas président de la République !  

- Excuse-moi François mais je voudrais empêcher qu’une catastrophe se produise, et surtout ce serait pour moi une vengeance personnelle…  

- Il y a peut-être une solution…  

- Ah bon ?  

- Oui, mais c’est assez risqué, mais en s’y prenant comme il faut, ça devrait marcher…  

- Allez, vide ton sac !  

- Je vais te sortir d’ici…  

- Mais t’es cinglé ?!!!! t’as pensé aux conséquences, c’est pas seulement ta place que tu risqueras mais ta tête ! Et ta grand-mère ? Qui va s’en occuper ?  

- Chut, ne cries pas comme ça ! Pour ma grand-mère, je ne me fais pas de soucis, ta sœur en prendra soin…  

- Je ne peux pas croire que tu aies eu une idée pareille, c’est moi qui ai reçu des coups et c’est toi qui divagues !  

- Ecoute-moi bien Tigrou, je sais ce que je risque mais je vais agir pour la bonne cause…  

- La bonne cause…c’est bizarre mais j’ai l’impression que tu veux t’attirer les faveurs de Shan !  

- Idiot va !  

- Bon, ok…franchement, ça me fait flipper tout ça…  

- Et moi donc ! Mais on n’a pas trop le choix, la vie des amis de ta sœur est en jeu et peut-être même la vie des gens de là-bas. Dieu sait de quoi est capable ce timbré ! Tu crois qu’il est encore en France ?  

- J’en suis sûr, je le sens…je pense qu’il est même encore dans les parages…  

- Et comment comptes-tu le trouver ?  

- Il me faudrait une carte du coin, si tu pouvais m’en procurer une…  

- Ok, je vais essayer de t’en trouver une…  

- Alors, c’est quoi ton idée pour me faire sortir d’ici ?  

- Heu, te déguiser en femme !  

- Quoi ?!!! Tu plaisantes ??  

- Pas du tout !  

- Jamais je ne me déguiserais en femme !  

- C’est ça ou tu croupis ici !  

- Grrr, tu me le paieras François !  

- Tu me remercieras plutôt ! On va attendre qu’il fasse sombre ; pour l’instant, je vais aller te chercher des vêtements…  

- Ne prends pas de jupe s’il te plaît, je ne me suis pas épilé les jambes !  

- Ah ah ah, ne t’inquiètes pas, je vais te donner un look sexy !  

- Quel crétin…  

 

Une fois que le gardien fut parti, Tigrou ne put s’empêcher d’avoir peur pour son ami mais aussi pour lui.  

 

« Pourvu que tout marche bien…François prend de sacrés risques, il doit vraiment être raide dingue de ma sœur. Ma vieille, t’as intérêt à le garder celui-là, c’est un gars en or ! » pensa- t-il.  

 

François se rendit chez Shan et lui fit part de son plan. Il ne put s’empêcher de rougir en la voyant, elle était de plus en plus belle et même la colère ne l’enlaidissait pas.  

 

- Mais François, tu es fou ! Tu te rends compte des risques que tu cours et Tigrou aussi. Je ne voudrais pas qu’ils vous arrivent quelque chose !  

- Ne t’inquiète pas Shan, cette mission réussira, en tout cas je ferais tout pour qu’elle le soit ! Heu, j’aurais besoin de quelques-uns de tes vêtements…  

- Mais qu’est ce que tu veux en faire ? Oh, mais ne me dis pas que…  

- Si, je vais déguiser ton frère en femme pour le faire sortir !  

 

Shan ne put s’empêcher de rire.  

 

- Je suppose qu’il a râlé ?  

- Oui, et plus que tu ne le supposes mais il n’a pas le choix !  

- Je ne peux pas m’empêcher d’avoir peur.  

 

François posa une main sur son épaule et la serra.  

 

- Tout va bien se passer, ne t’en fais pas, tu me fais confiance n’est-ce pas ?  

- Bien sûr François, je te confierais ma vie sans problème…  

- Shan...  

 

La main de François migra vers sa joue, il attira la jeune femme vers lui quand la mère de Shan entra dans le salon. Shan s’écarta brusquement de lui, le rouge aux joues.  

 

- Oh François, tu es là mon garçon ?  

- Bonsoir madame, je…je venais juste voir Shan…  

- Tu veux boire quelque chose ?  

- Laisse maman, je vais faire du chocolat, tu as pris tes médicaments ?  

- Oui ma chérie. Alors François, j’espère que mon garnement de fils se tient correctement ?  

- Oui madame, il est sage comme une image depuis qu’il est là…  

- Mon pauvre garçon, sanglota la mère de Shan.  

- Maman, allons, il va bien et puis François est là…Va te reposer, je t’apporte ton café dans ta chambre.  

- Merci ma chérie, à plus tard mon garçon…  

- A plus tard…  

 

Une fois que la mère de Shan fut retournée dans sa chambre, la jeune femme se dépêcha d’aller dans sa chambre et de ramener quelques unes de ses affaires, un jean taille basse, des espadrilles à talons compensés et un t-shirt en licra rose avec un gilet assorti. Pour ne pas faire les choses à moitié, elle fournit à François quelques accessoires de maquillage.  

 

Shan le raccompagna jusqu’à la porte en lui demandant d’être très prudent ; il la rassura d’un baiser sur le front.  

 

Sur le chemin qu’il faisait tous les jours à bicyclette, François ne put s’empêcher de penser à Shan.  

 

« Se pourrait-il qu’elle éprouve les mêmes sentiments pour moi ? J’ai senti qu’elle ne me repoussait pas quand j’ai voulu l’embrasser… peut-être parce qu’elle voulait juste me remercier d’aider son frère ? J’espère que non ! Et le frangin, je sens qu’il va m’incendier quand je vais lui apporter les vêtements…m’incendier ? Quoi de plus normal pour le fils d’un pompier ! Ah ah ah ! Mon p’tit François, t’es trop drôle ! » se dit-il. (NDA : je vois bien Black sortir ce genre de blague un peu vaseuse, pas vous ? lol)  

 

En arrivant à la maison d’arrêt, il cacha soigneusement son panier de linge à l’abri des regards indiscrets ; il prit les vêtements et les mit dans un sac plastique noir et se rendit à la cellule de Tigrou. Il trouva celui-ci entrain de faire les cents pas.  

 

- C’est pas comme ça que tu risques de guérir tes blessures !  

- Ah François, c’est pas trop tôt ! Je suppose que ma sœur t’a passé un savon !  

- Pas du tout, j’ai réussi à la convaincre, elle m’a juste demandé d’être très prudent.  

- Je me demande ce que tu lui as fait pour qu’elle te fasse autant confiance…  

- Abruti, arrête de dire du mal de ta sœur et écoute plutôt ce que j’ai à te dire !  

- Oui, dis-moi ce que tu as prévu !  

- Voilà, j’ai prévu de te faire sortir ce soir…  

- Déjà ?  

- Oui, tu vas m’enfiler ça et tu vas m’attendre…  

- C’est quoi que tu m’as emmené ?  

- Regarde moi ces jolies choses !  

- Ah punaise, les fringues de ma sœur, je vais flotter dedans !  

- Ça m’étonnerait, tu vas plutôt être à l’étroit je crois, Shan a de belles formes, elle est pas dégingandé comme toi !  

- Rhoo, mais c’est qu’il la défend en plus ! Il est amoureux, il est amoureux !  

- Au lieu de te moquer de moi, tu ferais mieux d’enfiler ça !  

- Tu peux te retourner s’il te plait, je suis pudique…  

- A d’autres ! Je te signale que quand tu t’es fait tabasser, les autres gardiens ne t’ont pratiquement rien laissé sur le dos, c’est moi qui t’ai ramené à ta cellule, j’ai tout vu !  

- T’étais obligé de me rappeler ce douloureux souvenir ?  

- Désolé mais tu m’as cherché !  

 

Quelques minutes plus tard, Tigrou avait revêtu les vêtements de sa sœur ; François se mordit les lèvres pour ne pas rire. Le t-shirt laissait apparaître le nombril du jeune homme et le jean taille basse lui faisait une seconde peau tellement il était serré. De plus, il lui arrivait à mi-mollets ! Les orteils sortaient des espadrilles.  

 

- Je t’interdis de dire quoi que ce soit !  

- Mais je n’ai rien dit Tigrou ! heu, c’est pas toi qui disais que t’allais flotter dans le jean ?  

- Ouais bon…elle n’aurait pas pu me donner des chaussures plates et sans lacets ? Je suis tout boudiné dedans ! Et puis ce jean me comprime les gonades…  

- Il fallait bien te rendre féminine !  

- Tu parles ! On va m’arrêter avant que je fasse trois pas !  

- Mais non, et puis c’est pas fini !  

- Comment ça pas fini ?  

- Il y a le maquillage !  

- Ah non, je refuse !  

- Allez mon Tigrou, montre-moi ta jolie bouche !  

- Grrr… tu me le paieras Shan !  

- Arrête de gesticuler, sinon tu vas ressembler à un clown !  

- Et tu crois que si je ne bouge pas, je vais ressembler à Adriana Karembeu ?  

 

 

 


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