Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: nanou

Status: In corso

Serie: Style Hojo

 

Total: 43 capitoli

Pubblicato: 29-04-05

Ultimo aggiornamento: 30-10-09

 

Commenti: 181 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: il n'y a rien à résumer, il faut lire pour le croire!

 

Disclaimer: Les personnages de "Petit délire du matin!" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Petit délire du matin!

 

Capitolo 21 :: Olé!

Pubblicato: 18-10-07 - Ultimo aggiornamento: 18-10-07

Commenti: Bonjour à tous! ^_^Pas de transports ce matin, maudits grévistes! J'en ai profité pour vous poster ce chapitre. Vous allez enfin savoir qui est Toto! lol Merci aux fidèles revieweurs : Cristina, Didinebis, mon chat, ma Bougnate et Black pour son doublé. Petit message à mon tit Tigrou : désolée mon grand, tu n'es pas au bout de tes déboires! lol Biz et bonne lecture. Votre star intergalactique.

 


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Toto le taureau se tenait à quelques mètres de Tigrou, l’air furieux. Il avait reconnu l’importun qui l’aveuglait, le même qui s’amusait à le narguer quand il était dans son enclos. Il commençait à gratter le sol, prêt à bondir sur le jeune homme, complètement fourbu et paralysé par la peur.  

 

Les deux ennemis se jaugeaient du regard, l’un au bord des larmes et l’autre, les yeux rouges de colère. Tigrou n’avait rien pour se défendre et de plus, il portait la veste rouge vif de sa sœur, qui faisait autant de mal à Toto que la lumière blanche de la lampe torche.  

 

Le taureau tenait là sa revanche sur celui qui depuis des années le tournait en bourrique. Quand il venait rendre visite à son grand-père, Tigrou ne manquait jamais d’aller « saluer » Toto. Il se mettait à califourchon sur l’enclos et commençait à l’exciter en lui disant qu’il n’était plus bon à rien, surtout pas à procréer, et que même s’il le faisait, il ne donnerait que des veaux chétifs qui ne vivraient pas un mois !  

 

Et à chaque fois la bête essayait de l’encorner, Tigrou sautait de l’autre côté de l’enclos et lui tirait la langue. Toto ruminait sa vengeance et se disait qu’un jour il pourrait avoir cet avorton qui lui faisait des misères. Comme si Dieu avait entendu son appel, voilà que son ennemi de toujours se trouvait à quelques sabots de lui.  

 

L’animal beuglait de toutes ses forces pour extérioriser cette tension qu’il avait accumulée depuis des années et se rua sur Tigrou. Ce dernier arriva à l’esquiver de manière étonnante. Surpris, Toto freina et se retourna pour se retrouver à nouveau face à face avec le jeune homme. De la fumée sortait de ses naseaux, il n’abandonnerait pas le combat, même s’il devait y laisser son dernier souffle.  

 

De plus, l’ennemi n’était pas armé, il avait toutes ses chances pour le planter sur une de ses cornes. Tigrou de son côté, soupira de soulagement. Il avait réussi à éviter la première attaque de Toto mais il ne pouvait pas continuer à esquiver de cette manière.  

Soudain, une idée germa dans son esprit. Il ôta sa veste et la mit devant lui, le corps bien droit, les pieds tournés vers l’extérieur.  

 

De la provocation ! L’ennemi le défiait ouvertement ! Soit, Toto ne pouvait se défiler. Sa colère augmentait. Il ne partirait pas sans avoir piétiner cet avorton !  

A nouveau il gratta le sol et attaqua.  

Oléééé !! El Tigrou para l’attaque à la manière des plus grands toréadors. Il n’avait plus peur, il serait le vainqueur. Il ramassa une branche morte et s’en servit comme d’une épée, même s’il était conscient qu’il ne pouvait pas faire grand-chose avec. Dommage qu’il n’ait pas gardé l’arme de François !  

 

Toto n’avait pas dit son dernier mot, mais à la troisième et quatrième attaque, il n’avait toujours pas encorné son ennemi. Il fit une pause et regarda son ennemi qui ne cilla pas. Bien campé sur ses jambes, Tigrou narguait l’animal, l’air de dire « tu peux toujours courir, tu ne m’auras pas ! »  

 

Tentant le tout pour le tout, Toto s’élança à nouveau et cette fois-ci il réussit à érafler le jeune homme qui grimaça de douleur.  

« Argh, la sale bête ! » cria t-il.  

 

Son jean moulant fut déchiré sur le côté et un mince filet s’en échappa. Toto jubilait, enfin il avait pu toucher son ennemi ! L’odeur du sang excitait la bête et la rendait plus forte. A une autre reprise, elle parvint à bousculer Tigrou qui tomba sur l’herbe. La respiration du jeune homme se fit plus saccadée, il n’était plus en position dominante.  

 

Toto en profita pour charger à nouveau. Dans un sursaut d’énergie, Tigrou essaya de courir en rebroussant chemin, le taureau à ses trousses. Il sentit une des cornes lui raser fesses, il accéléra la cadence malgré sa jambe blessée. Alors que tout semblait perdu pour lui et qu’il pensait ne plus revoir sa famille, il aperçut un des gros arbres qu’il avait croisé en fuyant. Au moment où le taureau allait l’atteindre, il s’écarta un peu et les cornes de Toto allèrent se planter dans l’arbre !  

 

Haletant mais heureux, Tigrou sourit.  

 

- Alors, on fait moins le malin maintenant ! Sache qu’El Tigrou ne perd jamais !  

 

Furieux de s’être fait avoir de la sorte, Toto beuglait désespérément. Tigrou en profita pour le titiller avec sa branche morte. Le taureau se débattait pour essayer de se dégager, en vain.  

Malgré ses ruades, il n’arrivait pas atteindre le jeune homme qui lui tirait maintenant la queue.  

 

- Tu y réfléchiras à deux fois maintenant avant de m’attaquer, hein mon gros ?  

 

Ces paroles ne calmaient pas du tout Toto, au contraire !  

 

- Il faudra que je parle à pépé de ta future castration. C’est vrai, tu te fais vieux et puis tu ne pourras plus t’en servir bientôt. Alors autant que tu serves de bête de trait !  

 

Au mot « castration », le taureau se calma aussitôt. Il s’imaginait déjà avec des sacs remplis à ras bord sur le dos. Pas question ! Personne ne toucherait à son mokkori ! Il saurait amadouer le vieux. De plus, ce n’est pas pour rien que les gens l’appelaient « l’Etalon de Clermont » ! Il devait être digne de ce nom !  

 

Tigrou jubilait, ces derniers mots avaient eu l’effet escompté. Il n’avait nullement l’intention de dire à son grand-père de castrer Toto, il s’amusait de voir la réaction de la bête. Il laissa l’animal planté là. Des larmes s’échappaient des yeux du taureau. Jamais un homme ne l’avait autant humilié. Il prendrait le temps qu’il faudra mais il trouverait un moyen de se venger, foi de Toto !  

 

Après un dernier regard à la bête, Tigrou s’éloigna. Sa jambe le faisait atrocement souffrir. Il prit la veste et s’en servit comme garrot, il la serra bien fort et fit un double nœud. La maison de sa mère n’était plus très loin, il pouvait encore tenir jusque là. Comble de malchance, la lampe torche le lâcha. Il s’en débarrassa et continua son chemin en boitillant.  

 

Il ne fallait pas qu’il perde son avance sur les policiers, malheureusement avec Toto, il avait perdu pas mal de temps. Il savait qu’ils allaient d’abord le chercher chez lui mais ils auraient vite fait de comprendre qu’il se terrait chez sa mère. De toute façon, il n’avait nulle part où aller. Shan allait être surprise de le voir, surtout dans cet état ! Elle va sûrement lui poser tout un tas de questions mais il était prêt à subir cet interrogatoire plutôt que de se faire prendre par les policiers !  

 

A quelques mètres de là, Shan faisait toujours les cent pas, Joséphine dans les bras (NDA : lapin nain de Shan). Le temps passait et elle n’avait pas encore de nouvelles de son frère et de François. Pourtant ce dernier lui avait promis de téléphoner une fois qu’ils seraient sortis de la maison d’arrêt.  

Chibi ne dormait pas non plus depuis que Shan lui avait raconté le plan de l’évasion. Depuis le départ, elle sentait que cette évasion serait vouée à l’échec mais elle se garda bien de le dire à l’Auvergnate.  

 

Elle se leva et rejoignit son amie au salon.  

 

- Ben alors ma belle, tu ne dors pas ?  

- Comment veux-tu que je dorme Chibi ? je suis si inquiète…  

-Je te comprends, moi non plus je n’y arrive pas, je peux te tenir compagnie ?  

- Bien sûr, tu veux une tasse de thé ?  

- Non merci, je crois que je suis assez excitée comme ça !  

- Tu as raison…mais qu’est ce qu’ils font ?  

- Calme-toi, tout va bien se passer, la rassura Chibi, même si elle n’était pas convaincue.  

- J’espère qu’ils n’ont pas été pris…  

- Pourquoi as-tu des pensées aussi négatives ? Allons ma Shan, détends-toi, ils ne vont plus tarder…je te laisse un moment, j’entends Eole miauler (NDA : chat de Chibi)  

- Ok, je vais sortir un peu voir s’ils n’arrivent pas…  

- Sois prudente…  

 

Shan reposa Joséphine dans sa cage. Cette dernière tapa du pied pour montrer son mécontentement, car elle était si bien dans les bras de sa maîtresse. Elle mit une veste et prit le fusil et une lampe pour plus de sécurité. Une bête pourrait rôder dans le coin. Quelques minutes plus tard, elle entendit une respiration bruyante, comme si la personne était au bord de l’apoplexie.  

 

- Qui va là ?  

 

Joignant le geste à la parole, elle braqua sa lampe sur l’intrus et arma son fusil pour se rendre compte aussitôt que c’était le pauvre Tigrou !  

 

- Tigrou ???  

 

Shan était à la fois rassurée et choquée. Son frère était au bord de l’épuisement, les yeux cernés de noir ; le maquillage avait coulé lui donnant un aspect de masque d’Halloween. Ses vêtements étaient déchirés, il avait noué sa veste à la jambe gauche et s’appuyait sur une longue branche d’arbre pour marcher. Il grelottait, bref le pauvre faisait peine à voir.  

 

Si Shan n’avait pas pris sa lampe torche, elle aurait pu tirer sur lui car Tigrou claquait tellement des dents qu’il ne pouvait articuler un mot. Elle appela Chibi à la rescousse pour l’aider à le ramener à l’intérieur. L’auvergnate s’empressa de dénouer la veste, mais comme le sang avait séché, elle dut tirer dessus pour la retirer. Ce geste fit crier Tigrou de douleur.  

 

- Chuut, tu vas réveiller maman ! murmura t-elle.  

- Désolé, mais ça fait mal, je ne suis pas fait de pierre…  

- En tout cas c’est pas joli à voir…il faut que tu enlèves ton pantalon…  

 

Vu son hésitation à la faire, elle commença à s’énerver.  

 

- Tu vas pas jouer aux chochottes quand même, je te rappelle que je suis ta grande sœur, si tu ne veux pas que ta jambe gangrène et qu’on te la coupe , t’as intérêt à te dépêcher !  

- Heu Shan, je vais aller dans ma chambre, si tu as besoin de moi, appelle-moi…  

- Merci ma Chibi, allez, lève-toi, on va aller dans la salle de bains, ça sera plus pratique…  

 

Avant d’aller dans sa chambre, Chibi aida Shan à emmener Tigrou dans la salle de bains et partit. Ce dernier retira son pantalon pour que sa sœur puisse nettoyer la plaie.  

 

- Ce sont les policiers qui t’ont fait ça ? On dirait un coup de couteau…  

- Pas vraiment, c’est un coup de corne !  

- Quoi ?  

- Ben oui, Toto s’est encore échappé de chez pépé, je l’ai cloué à un arbre ! ricana t-il. Aïe !  

- Désolée mais il va falloir que je te recouse ça, c’est assez profond…  

 

Tigrou serra les dents, il avait hâte que sa sœur en termine avec son aiguille. Elle lui fit un bandage pour terminer.  

 

- Voilà, ça devrait tenir…  

- Merci soeurette…  

- Y a pas de quoi ! Hum, je crois que tu as des choses à me raconter toi, et puis où est François ?  

- Laisse-moi faire un brin de toilette et je te raconte tout !  

- Ok, ça marche, je vais te chercher des vêtements propres.  

- Heu Shan, pas les tiens s’il te plaît !  

- T’inquiète pas, je te ramène ceux de grand-père !  

 

Quelques minutes après, frais et dispo, Tigrou revint au salon.  

 

- Alors dis-moi tout, où est François ?  

- Je l’ai assommé…  

- Quoi ??  

- C’est lui qui me l’a demandé ! En fait l’évasion a complètement foiré…  

 

Et Tigrou raconta en détails l’échec du plan de François.  

 

- Pauvre François, j’espère qu’il n’aura pas de séquelles…  

- J’ai l’impression que tu t’inquiètes plus pour lui que pour moi !  

- Idiot, je m’inquiète pour vous deux ! Il peut perdre son boulot à cause de toi, ou même être arrêté pour complicité ! Quant à toi, les policiers pourraient venir te chercher ici.  

- Ne t’inquiète pas pour François, il va s’en tirer, il va passer pour une victime, celui qui risque le plus dans cette histoire c’est moi ! Je sais bien que les policiers vont venir me chercher ici, mais je ne savais pas où aller….  

- Hum, il va falloir te trouver une cachette mais où ? Ah, j’ai une idée !  

- Je peux savoir à quoi tu penses ?  

- Tu te souviens de la grotte où on allait quand on était petits ?  

- Celle où on jouait à cache-cache ?  

- Oui ! Tu pourrais te cacher là !  

- Mais il caille dedans ! Tu te rappelles que j’ai attrapé un gros rhume et que j’ai failli y rester en y allant !  

- Je m’en souviens mais c’était de ta faute ! Quelle idée de se promener en t-shirt quand il faisait moins dix dehors !  

- Mouais…  

- Tu pourrais t’y cacher, personne n’irait te chercher là-bas, je t’apporterais des vêtements et de la nourriture. De toute façon tu n’as pas le choix !  

- Ok, je m’incline, quand veux-tu que j’y aille ?  

- Immédiatement !  

- Déjà ?  

- Bien sûr, les policiers ne vont pas tarder à venir ici, et plus vite tu te rendras à la grotte, plus vite tu seras en sécurité.  

- D’accord, j’y cours, j’y vole !  

 

Après s’être habillé chaudement, Tigrou se dirigea vers la grotte alors qu’au dehors, le soleil se levait lentement. Il n’avait pas oublié son idée d’arrêter Maruku mais pour le moment il fallait qu’il se terre pour échapper aux policiers…  

 

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Le van conduit par Ryô prit différents chemins pour se rendre à la salle de sports. Il voulait éviter que Maruku ou ses acolytes ne les suivent. Mais par chance aucune voiture suspecte ne fut repérée.  

Le nettoyeur se gara dans le parking du sous-sol et fit prendre les ascenseurs à ses invités. Ensuite, chacun se sépara pour aller aux vestiaires. Méga essaya de s’incruster dans celui des filles mais fut délogé par Ryô qui le traîna jusqu’à celui des garçons. Notre nettoyeur en profita pour toucher les gambettes de ses invités mais fut éjecté par une énorme massue de Kaori.  

 

« J’espère qu’il n’y a pas d’autres copies de Ryô dans le HFC, ça risque de devenir dur de les contenir ! » pensa Kaori.  

 

Une fois qu’ils eurent mis leur tenue de sport, tous les protagonistes se dirigèrent vers la salle de volley.  

La déception s’afficha dans le regard des hommes.  

 

- Dites les filles, la tenue d’une joueuse de volley ne comporte t-elle pas un short moulant ? demanda Ryo en bavant.  

- Exact Ryô mais tel que je te connais et que je connais les deux autres, j’ai conseillé aux filles de mettre un survêtement ! déclara Sabi.  

- Quel dommage ! pleurnicha Méga.  

- Un gâchis tu veux dire ! ajouta le Brestois.  

- Dis donc Black, tu veux que j’appelle Sandra ? Je suis sûre qu’elle se ferait un plaisir de calmer ta libido ! proposa Nanou.  

- Heu non, t’es trop gentille avec moi Nanou ! ironisa son garde du corps.  

- Du calme vous deux, alors on fait les équipes ? Qui veut se mettre avec moi ? demanda Ryô.  

 

 


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