Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: macema

Beta-reader(s): Nodino

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 1 capitolo

Pubblicato: 22-07-10

Ultimo aggiornamento: 22-07-10

 

Commenti: 8 reviews

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General

 

Riassunto: Lorsque la nuit offre une première mission...

 

Disclaimer: Les personnages de "Première mission" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Première mission

 

Capitolo 1 :: Première mission

Pubblicato: 22-07-10 - Ultimo aggiornamento: 22-07-10

Commenti: Voilà, alors avec un peu de retard, un OS spécial anniversaire pour Yaël la belle et une petite association de ses deux fans : Super-Groupie et Méga-Fan. Bisous à tous et bonne lecture.

 


Capitolo: 1


 

La nuit était tombée sur la ville, et les routes de la Mégalopole étaient désormais plus fluides. Rien d’étonnant à cette heure tardive. Derrière la vitre de la voiture, elle observait la lueur des lampadaires qui se reflétait sur son corps. Ils y faisaient comme des flashs de rayons de lumière, avant que sa peau ne reprenne la couleur ombrée de la nuit. Seraient-ils bientôt arrivés ? Quand rentreraient-ils enfin à la maison ? D’habitude, lorsqu’ils partaient du Cat’s Eye, ils ne mettaient pas autant de temps pour revenir. Et surtout elle pensait à Paku. Elle l’avait laissé là-bas, tout seul dans son petit lit, et il devait commencer à s’inquiéter de ne pas la voir revenir depuis que la nuit était tombée.  

 

Elle se mit à bailler sous l’effet hypnotique que provoquait le défilé des rayons lumineux dans l’habitacle de la voiture. Elle avait sommeil mais n’arrivait pas à dormir. La sangle de la ceinture de sécurité la comprimait un peu et elle n’aimait pas ça. Elle aurait bien voulu la défaire et s’allonger de tout son long sur la banquette arrière, mais elle savait d’avance que si elle le faisait, elle se ferait vite reprendre. Alors elle préféra poser sa tête légèrement en arrière, tournée vers son épaule gauche et le balayage des lueurs de la ville.  

 

Elle se laissait bercer par le ronronnement du moteur de la voiture. Parfois, elle arrivait à entendre la musique qui provenait de l’autoradio allumé à l’avant. Mais le son était à peine audible pour les passagers arrière, et il fallait vraiment tendre l’oreille pour ne serait-ce qu’écouter un refrain ou un couplet en entier. Alors elle reporta son attention sur les néons et les immeubles de la ville qui défilaient devant son regard.  

 

Au travers de la vitre entrouverte, un air doux et chaud venait par petites rafales caresser délicatement son visage. Elle finit par s’endormir dans la douceur de ces instants d’attente, les pensées envahies par l’image entêtante de Paku, avec au cœur un sentiment de remords de le savoir seul dans leur appartement. Elle se demandait s’il saurait se débrouiller tout seul et dans le noir. Il était trop petit pour atteindre les interrupteurs. Elle avait beau lui donner à manger de la soupe, il ne grandissait toujours pas. Et, de toute façon, on est toujours trop petit quand on a que quatre ans. C’est sur ce constat que son esprit s’assoupit pour de bon, remplaçant le cheminement de ses pensées par des songes plus doux.  

 

 

Elle se réveilla dans une salle aussi grande que sa chambre. Les yeux encore embués de sommeil, elle crut apercevoir des posters sur les murs peints en jaune et de-ci de-là des images de grandes fleurs à cinq pétales de couleurs vives. Mais que faisait-elle là, allongée au travers de trois chaises et seule ? Elle réalisa que la salle était d’ailleurs remplie de chaises de part et d’autres des murs de la pièce, elles formaient comme un cercle au milieu duquel trônait une petite table.  

 

Elle ramena ses poings serrés contre ses yeux et se mit à les frotter énergiquement pour mieux en chasser le sommeil. Elle se redressa doucement en s’appuyant sur une des chaises qui lui avaient servi de lit et s’étira en baillant bruyamment. Puis elle posa les deux pieds à terre et se leva pour s’approcher de la petite table. Celle-ci était recouverte de livres bizarres où s’affichaient en grand les photos d’hommes ou de femmes qu’elle voyait de temps en temps dans le poste de télévision. Il y avait même, posé sur la table, un petit présentoir rempli de feuilles de papier colorées et pliées, avec des écritures dessus.  

 

Mais où était-elle arrivée ? Une chose était certaine, elle n’était pas à la maison. Du fond de sa mémoire lui revint alors une sensation de voler comme un ange. Elle se souvenait avoir passé ses bras autour d’un cou pendant que la personne à qui il appartenait la transportait sans faire le moindre effort... Puis le retour des songes.  

 

 

Elle avait rêvé qu’elle savait voler tel un oiseau, simplement en battant des bras, puis le vent l’avait transportée dans ses courants d’air... Elle avait survolé des forêts, dont la parure des arbres était couleur émeraude. Elle était passée au-dessus de prairies remplies d’enfants qui s’étaient arrêtés de jouer au ballon pour la saluer à son passage. Elle avait traversé des nuages blancs et ceux mordorés des couchers de soleil dans une sensation de douceur sur sa peau. Elle en avait même goûté un ! Il avait un goût de vanille. Puis elle s’était posée dans un champ de tulipes multicolores...  

 

Là, elle y avait retrouvé Paku. Il lui avait tendu à son arrivée un énorme et merveilleux bouquet de plus d’une dizaine de fleurs différentes et de toutes les couleurs. Certaines étaient même faites d'or et d'argent et brillaient sous l’éclat du soleil et de la lune. Il y avait là des iris, des roses, des œillets, des pâquerettes, et même du muguet aux clochettes qui tintaient d'un léger bruit de carillon sous la brise. Les fleurs étaient si belles et elles dégageaient un parfum merveilleux lorsqu'on les respirait. Elle s’était couchée là, dans le champ de tulipes, le bouquet serré contre son cœur, tandis que Paku s’installait de même à ses côtés pour observer le ciel doré au-dessus d’eux. Puis elle avait fermé les yeux dans un soupir de bien-être avant de se réveiller dans cet endroit.  

 

 

 

Pourquoi étaient-ils partis du Cat’s Eye où ils faisaient la fête ce soir-là ? C’était l’anniversaire de Toshio et ils s’amusaient. Ils avaient mangé des plats confectionnés par tante Miki et elle s’était régalée d’onigiri parfumés aux œufs de poisson. Elle adorait ce plat, c’était son préféré même si les autres se moquaient d’elle parce que c’était un plat simple et très courant. Ils n’arrêtaient pas de lui dire qu’elle découvrirait un jour un plat qui remplacerait forcément les onigiri dans son cœur, mais elle n'avait encore jamais rien trouvé d'aussi bon que ces boulettes de riz entourées d’algues.  

 

Puis, ils avaient dansé sur de la musique entrainante et elle avait tenté de suivre à plusieurs reprises les pas des autres durant les danses, ce qui avait pris une bonne partie de la soirée. Elle s’était même amusée en dansant un rock, bien que Toshio se soit moqué d’elle en lui disant qu’elle ne savait pas le faire. Mais qu’est-ce qu’un garçon pouvait bien connaître à la danse d’abord ? Décidément, Toshio Ijuin n’était vraiment qu’un nul ! De toute façon il n’avait même pas aimé le gâteau que sa mère avait préparé pour lui, appréciant beaucoup plus ses cadeaux, sur lesquels il s’était jeté dès qu’on lui en avait donné l’autorisation.  

 

Ils avaient ainsi continué la soirée, en riant, en dansant et en s’amusant, jusqu’à ce que le téléphone ne résonne dans le café. C’est à ce moment là qu’ils étaient partis très vite. Elle avait dû courir jusqu'à la voiture et même, pour la première fois, attacher toute seule sa ceinture de sécurité. A peine avait-elle réussi et que le clic caractéristique de l’attache s’était-il fait entendre que la voiture avait démarré. Et maintenant, elle se retrouvait là !  

 

 

 

Cet endroit lui rappelait pourtant quelque chose mais elle était encore trop fatiguée pour essayer de s’en rappeler. Elle décida de partir à la découverte du bâtiment pour lever le mystère. Elle ne voulait pas rester ici toute seule : elle commençait à y avoir peur. Elle était courageuse, son père le lui rappelait constamment et oncle Ryô lui avait appris qu’il fallait faire face à sa peur plutôt que de se mettre à pleurer ou de se cacher dans un coin. Ouvrant en grand la porte de cette pièce, elle fit un pas à l’extérieur et se retrouva dans un long couloir aux murs vert pâle. Cette fois, elle reconnut enfin l’endroit où elle se trouvait : c’était là que travaillait maman, c’était la clinique du vieux Doc. Elle y venait parfois en voiture avec papa pour chercher maman après qu’elle ait fini son travail.  

 

Elle entendit des pas qui se rapprochaient d’elle dans le couloir et reconnut tout de suite les voix des personnes auxquelles ils appartenaient.  

 

- Alors, ça te fait quel effet maintenant ?  

- Ben, c’est nouveau pour moi, ça tu le sais... Mais je pense que je vais m’y faire bien vite quand elles seront rentrées.  

- Vous l’attendiez depuis longtemps quand même...  

- Ouais ! Et la petite merveille a dû penser comme nous, pour arriver avec trois semaines d’avance sur le planning...  

 

N’y tenant plus, elle se mit à courir en direction de ces voix qui résonnaient dans le couloir, et se précipita directement dans les bras chauds et rassurants de son père.  

 

- PAPAAAAAAaaaaaa !!!!!!!  

- Mais c’est ma petite Darling qui est déjà réveillée. Je pensais que tu dormirais un peu plus longtemps ma chérie.  

 

La saisissant au vol, son père fit un tour sur lui même, la faisant voler un instant avant de la ramener pour de bon dans ses bras où elle se blottit. Elle enfouit sa tête dans le creux de l’épaule de son père pour s’y sentir plus encore en sécurité, lui faisant au passage le câlin qu’il méritait pour ne pas l’avoir abandonnée, comme elle l'avait cru un instant. Elle était bien et se sentait si heureuse quand elle était dans ses bras. Son étreinte la rassurait.  

 

- Ben alors ma chérie, tu ne dis pas bonjour à oncle Ryô ?  

 

Relevant un court instant la tête, elle se tendit un peu pour appliquer une bise sonore sur la joue du nettoyeur. Et d’une toute petite voix, lui dit simplement bonjour avant de se reblottir dans les bras de celui qu’elle aimait le plus : son papa.  

 

- Ça va la belle ? Tu n’as pas eu trop peur de te réveiller toute seule dans la salle d’attente ?  

 

Tournant vers lui un regard triste, elle baissa la tête pour fixer le sol de la clinique.  

 

- J’étais toute seule. J’avais même pas Paku avec moi...  

 

Ryo souleva doucement son menton pour la fixer droit dans les yeux et lui faire un énorme sourire complice.  

 

- Oui, mais je sais que tu n’as pas eu peur. N’est-ce pas ?  

 

Prenant dans les yeux d’oncle Ryô un nouveau courage, elle leva vers lui des yeux remplis de fierté.  

 

- Non ! J’ai même pas eu peur moi. Je suis courageuse ! Comme mon papa !  

 

Ce dernier craqua complètement sous le compliment et la serra encore plus dans ses bras. S’y blottissant une nouvelle fois, elle regarda encore oncle Ryô droit dans les yeux.  

 

- Dis-moi Hitomi, tu as quel âge maintenant ?  

- Tu le sais bien, j’ai cinq ans, lui répondit-elle en montrant sa main avec tous les doigts tendus et écartés pour lui montrer son âge.  

- Oh ! Mais dis-moi alors, tu es assez grande maintenant pour remplir des missions ?  

- Des missions ! s’exclama-t-elle en frétillant au point que son père dut la poser pour éviter qu’elle ne tombe. Comme toi et papa ?  

- Oui ma belle ! Et j’en ai justement une toute particulière pour toi, si tu la veux bien.  

 

Battant des mains, elle ressentit en elle une profonde joie. Elle allait enfin pouvoir faire comme papa et Ryô et se battre contre tous les méchants de la Terre. Cependant, une question la taraudait...  

 

- Dis oncle Ryô ! Est-ce que Paku pourra m’aider un tout petit peu dans la mission ?  

 

Le sourire du nettoyeur s’étira encore plus. S’abaissant pour se retrouver au même niveau qu’elle, il lui passa la main dans les cheveux.  

 

- Si Paku pourra t’aider pour cette mission ? Mais ton doudou sera même indispensable ma belle !  

- Ça veut dire quoi indispensable oncle Ryô. C’est encore un gros mot comme toi et papa en dites souvent ?  

 

Ryô se redressa et regarda son compère. Tous deux affichaient un air gêné et ne savaient quoi lui répondre.  

 

- La vérité sort de la bouche des enfants !  

 

Se retournant vers l’origine de ces paroles, ils n’eurent que le temps de se pousser avant qu'une petite fusée ne parte en courant...  

 

- MAMANNNNnnnn !!!!!  

 

Elle s’agrippa à l’uniforme d’infirmière de sa mère, avant de le lâcher et de lui tendre les bras. Kazue se baissa alors pour l’enlacer. Après un furtif câlin, elle regarda sa mère qui semblait fatiguée et s’empressa de lui annoncer la bonne nouvelle.  

 

- Maman ! Oncle Ryô va me confier une mission !  

 

Tournant son regard vers les deux hommes en face d’elle, Kazue leva un sourcil soupçonneux.  

 

- Ah vraiment ?  

- Oui maman, je vais faire comme papa et sauver les gens !  

 

Devant l’air et les regards noirs que lui lançait sa femme, Mick recula légèrement. Ryô s’empressa de voler au secours de son comparse.  

 

- Ce n’est pas ce que tu crois Kazue, je te rassure. Et il faut d’abord qu’on demande l’autorisation de Kaori avant tout chose.  

 

Son regard passa de l’infirmière à sa fille, puis il s’accroupit de nouveau pour lui annoncer :  

 

- La mission que je veux te confier est très importante ma belle. Tu crois que tu en seras capable ?  

 

Elle acquiesça d’un signe de tête, les yeux remplis de fierté et de courage. Kazue restait étonnée en regardant le spectacle de sa fille avec le nettoyeur. Que voulait-il donc confier à ce petit être, d’autant plus sa fille ?! Se redressant, le nettoyeur prit une attitude désinvolte.  

 

- Kazue, est-ce dérangeant si on voit Kaori un petit moment, Hitomi et moi ?  

- C’est qu’elle a besoin de repos Ryô et ....  

- Juste dix petites minutes s’il te plaît ?  

- D’accord pour dix minutes alors, mais pas plus. Vous aurez tout le temps de la voir demain quand elle se sera reposée de cette nuit.  

- Entendu ! Tu me suis Hitomi ?  

 

 

 

 

Il lui prit alors la main dans la sienne et l’entraina dans le grand couloir vers une porte blanche. Un chiffre était inscrit dessus, et elle dut réfléchir un instant avant de le reconnaitre : un sept. Le nettoyeur frappa doucement à la porte avant de l’entrouvrir en faisant le moins de bruit possible.  

 

- Kaori ? On peu rentrer ? J’ai là quelqu’un qui aimerait te voir.  

- Oui entrez !  

 

Lorsqu’elle entra dans la pièce, elle vit tout de suite tante Kaori, assise dans un lit. Les murs étaient couverts de papier peint ce qui rendait la pièce beaucoup plus gaie que le reste de la clinique. C’était la première fois qu’elle avait l’occasion de rentrer dans une des chambres. Elle regarda tout autour d’elle : il s’y trouvait une armoire, le lit où était Kaori, et en face de ce lit, une vitre et une porte qui menait à un drôle d’endroit avec un évier. Elle se dit que c’était bizarre de faire ainsi une salle de bain où tout le monde pourrait voir tante Kaori en train de se laver. Et puis un lavabo seulement pour faire sa toilette, ce n’était pas terrible.  

 

- Bonsoir Hitomi. Comment vas-tu ?  

 

Tante Kaori parlait d'une voix très basse et fatiguée. Elle avait des cernes autour des yeux. Ryo l’amena jusqu’à elle pour qu’elle puisse l’embrasser et lui annonça qu’il fallait parler doucement ici. Elle lui fit un signe de tête pour lui faire comprendre qu’elle avait compris et s’adressa alors à Kaori d’une toute petite voix.  

 

- Je vais bien mais toi tu es fatiguée ! Pourquoi tu es dans ce lit ? Tu es malade ?  

 

Kaori lui sourit et la regarda avec des yeux pétillants. Comme les enfants pouvaient être perspicaces ! Elle l’avait déjà remarqué bien avant cela.  

 

- Kaori... J’aimerais confier une mission particulière à Hitomi. On en a déjà parlé il me semble. Est-ce que tu serais d’accord ?  

- Mais bien sûr !  

 

Sortant de sous les draps, Kaori vint l’enlacer de ses bras avant de lui prendre la main.  

 

- Viens voir, j’ai quelqu’un à te présenter.  

 

Elle l’emmena à l'autre bout de la chambre, où Hitomi aperçut alors un petit berceau transparent posé près de la fenêtre. Dans celui-ci se tenait un tout petit bébé, le plus petit qu’elle ait jamais vu de sa vie. Même certaines de ses poupées étaient bien plus grandes que lui. Kaori approcha un siège près du berceau et la prit sur ses genoux pour mieux lui montrer l’enfant.  

 

- Tu vois ma chérie, j’ai eu mon bébé aujourd’hui. Tu te souviens ? On en avait parlé.  

 

Elle acquiesça d’un hochement de tête, les yeux rivés sur le petit être qui dormait paisiblement.  

 

- Hitomi, je vais avoir besoin de quelqu’un pour veiller sur sa sécurité, mais je ne pourrais pas toujours être derrière mon bébé pour ça. Il va falloir le surveiller quand il aura besoin de manger, de dormir, puis quand il apprendra à marcher. Et plus tard à l’école quand je ne pourrai pas être présente près de lui. Tu crois que tu pourrais effectuer cette mission pour moi ?  

 

Elle se retourna vers tante Kaori, les yeux brillants et humides. Elle lui confiait son petit bébé qui venait juste d’acquérir la vie et qui sommeillait de l’épreuve qu’avait été sa naissance... Émue, elle ne put dire un mot et ses larmes se mirent à couler. Sa première mission était de protéger ce petit être. Elle câlina sa tante, la serrant dans ses petits bras aussi fort qu’elle le pouvait. Puis se calmant, elle retourna son regard vers le berceau.  

 

- C’est une fille ou un garçon tante Kaori ?  

- Une fille ma chérie. Elle s’appelle Yaël.  

 

Hitomi regardait Yaël qui dormait tranquillement dans son cocon. Les yeux brillants, pétillants, elle se mit à penser à tout ce qu’elle pourrait apprendre à cette petite fille. Oui, elle la protégerait. Elle se faisait la promesse de remplir cette mission tout au long de sa vie....  

 

 


Capitolo: 1


 

 

 

 

 

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