Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Mercury80

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 1 capitolo

Pubblicato: 02-02-19

Ultimo aggiornamento: 02-02-19

 

Commenti: 2 reviews

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Romance

 

Riassunto: OS Ryo et Kaori s'offrent un petit moment de douceur et tendresse. Attention sensuel

 

Disclaimer: Les personnages de " Ryo et Kaori s'offrent un petit moment de douceur et tendresse." sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: A l''italienne

 

Capitolo 1 :: chapitre 1

Pubblicato: 02-02-19 - Ultimo aggiornamento: 02-02-19

Commenti: Bonjour, un OS pour patienter avant la prochaine histoire. Moments intimes évoqués. Bonne lecture Merci pour vos reviews^^

 


Capitolo: 1


 

Le liquide doux et tiède coulait le long de sa colonne vertébrale, provoquant des milliers d’étincelles dans son corps. Un doigt suivit de peu la progression du liquide. Elle retint sa respiration tant les sensations provoquées étaient fortes et délicieuses. Elle la relâcha à regrets quand son doigt quitta sa peau. Puis ce furent ses mains, fortes et puissantes, mais qu’elle savait d’une douceur exquise, qui se posèrent dans le bas de son dos. Ses pouces suivaient à contre sens le tracé du liquide. Puis ses mains enveloppèrent ses épaules doucement puis redescendirent le long de son dos.  

 

C’était bon : les douleurs s’envolaient, le calme et la sérénité les remplaçaient. Il renouvela le mouvement, dessinant cette fois de petits ronds avec les pouces le long de sa colonne. Il entendit le soupir de plaisir sortir de sa bouche et sentit le désir titiller son bas-ventre. Il contrôla cette pulsion : ce n’était pas le moment… pas encore, se dit-il en souriant légèrement. Il remonta jusqu’à sa nuque, délicate et appétissante, cette nuque qu’il adorait embrasser et mordiller, là où naissait cette chevelure rousse qui le rendait dingue. Il la massa longuement : il sentait la tension sous ses doigts s’évacuer lentement.  

 

- Ca va ?, lui murmura-t-il, doucement à l’oreille.  

 

- Oui, très bien même, souffla-t-elle.  

 

Il laissa ses mains descendre le long de ses épaules puis masser délicatement ses côtes en profitant pour caresser la naissance de ses seins.  

 

- Profiteur, l’entendit-il dire d’une voix mutine.  

 

- Non si je profitais, je ferai cela.  

 

Il déposa une pluie de baisers dans son cou et sur ses épaules, puis mordilla légèrement le lobe de son oreille.  

 

- Tu es trop loin de moi, Kao. Viens ici., lui dit-il.  

 

La jeune femme quitta la chaise sur laquelle elle s’était assise, la tête posée sur le dossier, et se laissa guider entre ses jambes, le dos contre son torse puissant et chaud. Son corps était parcouru de frissons qui n’étaient pas dus à la fraîcheur de la pièce. Elle sentait dans le bas de son dos le désir de son homme qui amplifiait et ses joues rougirent à l’idée de ce qui allait se passer ensuite…  

 

Ryo prit le petit flacon d’huile parfumée et en versa quelques gouttes dans sa main. Il frotta ses mains l’une contre l’autre pour les faire réchauffer puis se fit un devoir de masser le corps de sa partenaire avec beaucoup d’application. Il posa les mains sur ses épaules à nouveau et descendit lentement, laissant ses mains glisser sur ses seins veloutés et arrondis. Elle gémit lorsqu’il effleura leurs pointes durcies et hypersensibles. Il se fit un devoir de leur rendre un hommage très appuyé, les titillant, les massant, les pinçant jusqu’à ce que la jeune femme se cambra sous la force du désir.  

 

- Si tu veux me tuer, continue comme ça., haleta-t-elle, en se penchant pour le regarder.  

 

Il lui dégaina un sourire vorace et prit sa bouche dans un baiser passionné. Cet homme allait la rendre folle. Elle qui pensait que le temps et son état réduiraient son envie d’elle s’était bien trompée.  

 

- Moi te tuer ? Pas avant d’avoir eu une séance de mokkori à en faire pâlir les pro du sexe., lui susurra-t-il à l’oreille.  

 

Il reprit ses caresses descendant lentement vers son ventre. Il était émerveillé et subjugué par ce ventre. Il avait envie d’y déposer les lèvres, de le lécher, de le parcourir de ses mains et ce fut la troisième option qui l’emporta à ce moment-là. Il posa les mains sur les hanches et remonta jusqu’au sommet. Ce qu’il sentit sous les paumes de ses mains le remplit d’un bonheur sans fin : leur enfant, abrité bien au chaud dans ce corps de déesse.  

 

- Tu parles d’un corps de déesse, je ressemble plutôt à une baleine oui., fit la voix amusée de sa femme.  

 

- Oops j’ai pensé tout haut ?  

 

Elle acquiesça, amusée et attendrie à la fois. Il lui sourit tendrement.  

 

- Je confirme un corps de déesse. Il n’y a qu’un divin corps qui provoque cet effet-là., lui dit-il en appuyant son membre durci contre elle.  

 

Elle sourit de fierté et laissa ses mains vaquer librement le long de ses cuisses, en griffant l’intérieur puis passant juste le bout des doigts, le faisant grogner de plaisir. En représailles, Ryo quitta ce ventre chéri pour continuer la descente amorcée plus tôt. Ses doigts glissèrent vers le lieu jadis interdit et où, maintenant lorsqu’il en franchissait les portes consacrant leur union une nouvelle fois, il perdait la tête. Il s’appliqua minutieusement à attiser le désir chez celle qui partageait désormais son lit et ses nuits, laissant ses doigts appliquer le même traitement qu’à ses tétons puis les laissant doucement se réfugier dans l’intimité de sa chère et tendre. Elle se cambra contre lui, il la sentait entamer la danse éternelle sous le jeu de ses doigts, entendait ses gémissements de plaisir, la sentait se contracter autour de lui.  

 

- Ryo, je n’en peux plus. Je te veux.  

 

- Patience, ma belle, patience. Ce n’est pas que passionnel, cette fois-ci…  

 

Il persévéra dans sa tâche, variant le rythme, la profondeur. Il connaissait son objectif et, lorsqu’il entendit sa respiration se bloquer, sentit ses muscles intimes se contracter autour de ses doigts et elle se cambrer contre lui pendant de longues secondes, son coeur battant si fort qu’il l’entendait, il sut qu’il avait atteint la première étape. Il lui laissa quelques minutes, le temps de récupérer, la faisant s’allonger à côté de lui…  

 

Peu à peu, il laissa de nouveau ses mains errer sur ce corps dont il ne se lassait pas en explorant à nouveau chaque centimètre carré. Ses lèvres et sa langue se joignirent à la découverte, à l’exploration très approfondie de cette peau chaude et douce. Sa compagne tira sur le tissu qui le recouvrait encore et il ne se fit pas prier pour l’enlever, commençant à être trop serré dedans. Ses yeux plein de convoitise se posèrent sur l’objet de torture qui la ferait bientôt à nouveau monter au septième ciel et elle ne se priva pas pour le saisir et lui faire vivre ce que lui lui faisait vivre. Il la laissa jouer un moment et, quand le moment devint un peu trop critique à son goût, il se retira de sa main.  

 

Il reprit son exploration et retrouva le chemin du paradis défendu où il entreprit à nouveau de l’envoyer dans une spirale de sensations fortes. La jeune femme ne savait plus où donner de la tête entre ses mains qui caressaient ses seins et sa langue qui jouait dans son intimité et, soudain, elle sentit une nouvelle vague de plaisir déferler sur elle, tout son corps se contractant sous la surcharge de sensations. Redescendant à nouveau de son petit nuage, elle reprit sa respiration lentement dans le creux des bras de son homme. Ils se regardèrent longuement puis s’embrassèrent tendrement. Que c’était bon après tant d’attente… Voyant sa compagne s’assoupir, Ryo reprit les choses en main (au figuré, tout du moins pour quelques secondes encore) :  

 

- Kao, Sugar, on n’a pas fini… murmura-t-il en l’embrassant dans le cou.  

 

- Je suis épuisée, Ryo. Deux orgasmes, ça devrait suffire, non ?, se lamenta-t-elle.  

 

Elle adorait faire l’amour avec lui, mais là elle était lessivée… quoique les baisers dans le cou, ses mains qui caressaient à nouveau ses seins, ses fesses, son intimité, tout cela réveillait ses sens et son envie de fusionner avec lui.  

 

- Rappelle-toi ce qu’il a dit…, lança Ryo, avec un clin d’oeil suggestif.  

 

Kaori se souvint et sourit. Mais dans son état de fatigue, elle décida de prendre les choses en main et, d’un mouvement plus ou moins souple, se positionna à califourchon sur lui.  

 

- Tu ne m’échapperas plus ainsi., fit-elle avec un sourire mutin.  

 

Elle ne s’embarrassa pas de fioritures et prit son membre en main, le menant rapidement au bord de la jouissance, puis doucement elle l’amena en elle. Il posa ses mains sur ses cuisses la forçant à ne pas bouger un moment, tellement la sensation était agréable. Puis n’y tenant plus, tout comme elle, il la lâcha et la laissa contrôler le rythme de leurs ébats. Elle sut faire durer le plaisir pour lui comme pour elle et ils atteignirent ensemble cette fois-ci le moment magique. Après quelques secondes, il l’attira vers lui et la cala contre son corps, l’embrassant tendrement. Il posa la main sur son ventre et le caressa tendrement. Elle soupira d’aise et de fatigue.  

 

- Tu vas me laisser dormir maintenant ?, demanda-t-elle d’une voix tendre mais épuisée.  

 

- Oui. Mais ne m’en veux pas, je n’ai fait qu’obéir au médecin., dit-il, d’un ton taquin.  

 

- Si celui-ci était décidé à sortir, on n’en serait pas là.  

 

- Ca a dû être très dur pour toi de te plier à ce genre d’ordre…, fit-elle d’un ton compréhensif.  

 

- Dur, en effet…  

 

Elle rougit au ton suggestif qu’il employa. Il lui releva le menton et lui dit en regardant droit dans les yeux.  

 

- Dis, il faudra renouveler l’expérience : faire l’amour à une femme enceinte est une expérience assez… intéressante, surtout quand c’est toi qui es enceinte., murmura-t-il, un regard profond et empli d’amour plongé dans le sien.  

 

- Pourquoi pas ? On en reparlera après l’accouchement., lui dit-elle en déposant un baiser léger sur ses lèvres.  

 

Elle s’endormit dans ses bras, lui la suivant de peu.  

 

- Ryo ! Ryo ! Debout, fainéant, dépêche-toi : le travail…  

 

Ryo se leva en panique, perdu : le travail ? Quoi le travail ? Kaori était devant lui, habillée. Il la regarda un peu bêtement, puis son lit, puis à nouveau elle.  

 

- Tu vas te décider à t’habiller ?! Il est bientôt onze heures !  

 

Il se mit à rire lâchant par là même le drap qui le couvrait. Un rêve, il avait rêvé de Kaori. Ce n’était pas la première fois, mais là il l’avait rêvée enceinte de lui. Il arrêta de rire soudain et la regarda comme il ne l’avait certainement jamais regardée.  

 

- Ah mais habille-toi par pitié ! Lui lança-t-elle, rouge de gêne, de confusion et…  

 

Il s’approcha d’elle de sa démarche féline, le regard soudain très sérieux. Kaori avait baissé les yeux mais, quand il fut devant elle et qu’elle vit apparaître l’objet de ses pensées les plus cachées, elle fut bien obligée de relever la tête, rouge de honte. La colère montait et une massue apparut dans sa main. Mais quand elle croisa son regard, elle ne le lâcha pas comme hypnotisée.  

 

- Et si on faisait un bébé ?, lui proposa Ryo d’une voix grave.  

 

Elle faillit tomber à la renverse. La massue avait disparu. Il la retint, la plaquant contre lui, lui faisant prendre conscience sans le vouloir de son excitation.  

 

- Je… Ryo… Arrête, je ne sais pas de qui tu rêvais mais, là, c’est très gênant, balbutia-t-elle, détournant le regard.  

 

Il la força à le regarder et, sans faux semblant, lui dit :  

 

- Je rêvais de toi, comme depuis des mois, voire des années. J’ai arrêté de compter.  

 

- Ce n’est pas drôle. On n’est même pas ensemble.  

 

Le tremblement dans sa voix, sa tristesse l’émurent plus que de raison. Alors c’était l’effet qu’il lui avait fait… Il s’en voulut.  

 

- Réglons ça aujourd’hui, Kaori.  

 

Elle plongea son regard dans le sien, comme pour sonder son âme, son coeur. Il ne lui cacha rien. Quand il vit ses yeux briller des larmes qu’elle retenait encore, il lui murmura doucement à l’oreille :  

 

- Je t’aime et je veux un enfant de toi.  

 

Puis il l’embrassa avec tout l’amour qu’il ressentait. Il la sentit hésiter puis répondre à son baiser nouant ses bras autour de son cou. Il la serra plus fort contre lui, sentit ses larmes couler librement sur ses joues. Lorsqu’ils se séparèrent, elle posa son front contre le sien et lui dit droit dans les yeux d’une voix ferme mais tendre :  

 

- Je te préviens : je t’aime et je donnerai ma vie pour toi, mais, si tu me repousses encore après ça, je te tue de mes propres mains. Ton passé de guerillero et tes compétences de nettoyeur ne pourront rien contre moi.  

 

Il la crut : ce petit bout de femme était capable de tout, même de briser la carapace d’un loup solitaire comme lui, alors le tuer…  

 

- Ca veut dire que j’ai le droit de te déshabiller sans me prendre un coup de massue ?, lui demanda-t-il taquin.  

 

- Tu te prendras un coup de massue si tu ne te dépêches pas…, répondit-elle du tac au tac mutine.  

 

- Quel sale caractère…, dit-il en souriant.  

 

Il la prit dans ses bras et l’embrassa. Puis lentement il la mena jusqu’à son lit rattraper des nuits à rêver d’elle…  

 

 


Capitolo: 1


 

 

 

 

 

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