Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: Sophie

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 13 capitoli

Pubblicato: 04-08-03

Ultimo aggiornamento: 04-08-03

 

Commenti: 10 reviews

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Romance

 

Riassunto: Une petite fin pour ne pas rester dans l'inconnu. Sans originalité, Kaori est menacée...mais trop de choses sont enfouis dans le coeur de nos personnages.

 

Disclaimer: Les personnages de City Hunter sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: KAORI à BOUT

 

Capitolo 1 :: 1. Une journée comme les autres.

Pubblicato: 04-08-03 - Ultimo aggiornamento: 04-08-03

Commenti: Je tiens à préciser que j'ai retrouvé dans une autre fanfiction l'idée (pas le texte tel que, seulement l'idée) de la raison du premier échange entre Ryô et Kaori. Je n'avais pas du tout l'intention de voler cette idée…j'avais d'ailleurs déjà écrit mon texte avant de lire la fiction correspondante. Mais comme elle se trouve antérieure à la mienne, je ne voudrais pas être accuser de plagiat. Je m'excuse donc auprès de l'auteur correspondant et espère qu'il (elle) ne prendra pas ça comme un pillage de son œuvre. Le texte est uniquement de moi par contre (vous vous en rendrez bien vite compte….) Je n'ai, de plus, pas le talent de l'auteur, pour associer humour, action et romance. Le thème est, à ma grande honte, romantique (vu que tout est fait pour Ryô et Kaori se trouvent vraiment, donc forcément c'est à l'eau de rose). C'est lisible par tout le monde de 7 à 77 ans. Je n'ai pas lu tous les mangas de CH..donc forcément cela peut se voir… Comme il n'y a pas beaucoup d'originalité dans le texte et que je n'ai pas pu lire tout vos fanfictions, j'espère qu'il n'y aura pas de problèmes. Je jure que s'il y a des ressemblances, elles sont fortuites. En outre, je suis plus à l'aise dans les pensées que dans l'action…(un peu contradictoire pour un texte sur CH)… Voilà, maintenant, c'est fini…si vous êtes encore prêt à lire, allez-y

 


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Ryô marchait seul dans la rue. Le fait qu'il ne soit pas accompagné de sa partenaire n'était pas extraordinaire, mais le fait qu'il ne soit pas en train de draguer les jolies filles qui le frôlaient était, par contre, peu commun, pour ne pas dire exceptionnel. Pourtant, à la sortie de l'immeuble, il s'était bien appliqué à courir après quelques jupes, au cas où Kaori aurait regardé. Mais, à quelques rues de là, il était redevenu complètement sérieux. Maintenant, il coupait la foule sans s'arrêter. Non pas qu'il ne fut pas conscient (très conscient) des beautés à coté de lui. En tant que nettoyeur professionnel, il avait toujours tous ses sens en éveil. Cependant, il avait un sujet plus grave à traiter: Kaori.  

 

La journée pourtant avait commencé très bien, comme toutes les autres. Se réveillant à demi quelques instants avant que la jeune femme ne pénètre dans sa chambre, il avait rejeté les draps. Puis, Kaori était rentrée, sans frapper, comme d'habitude. Pendant quelques secondes, il avait pu, semi-endormi mais quand même, sentir son regard sur lui, un regard qu'il savait tendre. Puis, la massue était tombée  

 

"- Ah!!! Ryô….Tu pourrais tout de même mettre un slip pour dormir...Surtout que tu devrais maintenant savoir que je viens te réveiller".  

 

Simulant, le réveil brutal, il répondit en grommelant  

 

"- Et toi, tu devrais savoir qu'on ne pénètre pas dans la chambre d'un jeune homme sans frapper….j'aurais pu être en charmante compagnie…"  

"- Et puis quoi encore, je t'interdis de ramener une fille du soir, chez nous...Est-ce que je ramène des garçons, moi ?"  

"- Je voudrais bien que tu en ramènes un de temps en temps, au moins je serais sur que tu es une femme, j'ai des doutes de temps en temps, tu sais…"  

 

BAHOUMMMM, le marteau "imbécillité quotidienne n°1" de 10 livres (le petit donc) rencontra avec force sa joue. Avant même qu'il ne put retirer cette dernière, la porte claquait vigoureusement, ébranlant toutes les fondations. Il sourit intérieurement: Kaori allait bien, il faisait beau, ce petit coup de marteau prouvait, qu'heureusement, elle s'intéressait toujours à lui…Repoussant le marteau, il se recoucha en attendant que Kaori ait fini de préparer le petit déjeuner…  

 

 

Dans la cuisine, Kaori fulminait.  

"Comme ose-t-il ?, non seulement il serait capable de ramener une fille ici, mais en plus il me demande de ramener un homme…mais quel pervers, il me dégoûte…"  

 

Elle n'avait pas fini cette pensée, qu'elle le revit juste avant qu'elle ne le réveille. Bon, d'accord il aurait pu être un minimum habillé, mais il était si serein quand il dormait, si calme. Il semblait, en ces moments, pouvoir répondre à toutes ses promesses. "Mais, voilà, il faut qu'il se réveille et qu'il redevienne cet imbécile…Enfin, l'imbécile c'est moi ! Je suis amoureuse de lui, mais incapable de lui dire et de le forcer à prendre une décision. A croire que je me complets dans la situation". Mais, elle savait que la situation n'était pas si simple que ça…Etre la partenaire de City Hunter faisait que tout était beaucoup plus compliqué, et aussi plus dangereux. Elle le savait, elle l'avait choisi…mais "quelquefois, se dit-elle, en soupirant, ne pourrions nous pas nous conduire comme des gens normaux"…  

 

Elle savait qu'elle ressassait toujours la même rengaine…Eriko et sa sœur lui aurait dit de laisser tomber, que rien ne justifiait la peine que Ryô lui causait perpétuellement…Rien, se dit-elle, sauf le fait que je l'aime et les instants de pur plaisir qu'il lui avait déjà donné. Rougissant malgré elle, elle se souvint de la soirée qu'il avait passé ensemble grâce à Eriko, le baiser qu'il avait échangé sur le bateau de Kaïbara, et toutes les fois où il l'avait tenu dans ses bras, rassurant, protecteur, confiant. De fil en aiguille, elle en vient à l'épisode survenu (qu'elle essayait pourtant d'éviter de faire remonter à sa mémoire) lors du mariage de Mikki. Malgré l'extrême tension, elle l'avait bien entendu dire qu'il faisait tout pour que la femme qu'il aime ne souffre pas à cause de lui, répondant aux menaces du général le sommant à choisir entre sa propre vie et celle de Kaori. Et puis l'étreinte qui avait suivi…Elle avait espéré que ca aurait changé quelque chose entre eux. Mais non!!  

 

D'un coté ca l'avait plutôt arrangé, elle avait peur de ce qui aurait pu arriver. Ils étaient toujours aussi proches, sachant exactement ce que l'autre avait en tête pendant une enquête….toujours à se taquiner, toujours présent l'un pour l'autre. Il continuait à la faire tourner en bourrique, elle n'était pas dupe. Il draguait devant elle impunément…mais c'était Ryô…  

 

Donc, d'un certain coté, tout cela l'avait bien arrangé… Mais d'un certain coté seulement, il y avait l'autre. S'asseyant à la table de la cuisine, avec un café en face d'elle, elle secoua la tête pour faire que ces idées disparaissent. Mais rien à faire, elles étaient là, elle se devait de les mener jusqu'au bout. Malgré la peur immense que cela lui faisait, elle souhaitait aussi tellement fort que leur situation évolue. Mais, elle ne ferrait pas le premier pas. Pas question de se ridiculiser ou pire de le mettre devant le fait accompli, jamais. Et puis à quoi, cela les mèneraient-ils ? Pourtant, ce serait si bon de se sentir dans ces bras, de sentir son corps près d'elle, de l'aimer enfin au grand jour…  

 

Toute à ses pensées, elle ne prit pas conscience que Ryô était rentré, s'était versé un verre de café et s'était assis à coté d'elle, dépliant le journal, comme à son habitude. Le regard perdu, ignorante de la présence de son partenaire, Kaori lança rêveusement "Ryô, tu m'aimes ?". A l'instant où les mots s'échappaient de sa bouche, son cerveau lui envoya le brusque signal "Ryô est en face de toi".  

 

Elle leva les yeux, interdite, et croisa le regard de l'homme. La question était tombée au moment où Ryô portait la tasse à sa bouche. Pris de surprise, il resta dans cette position et la regarda. "C'est quoi, cette question, c'est pas encore le moment. Je ne suis pas prêt" pensa-t-il l'espace d'un instant. Il ne savait comment y répondre. De son coté, Kaori se sentait très mal à l'aise. Jamais, elle n'aurait du dire ça à haute voix. Elle sentait qu'elle était devenue écarlate. Peut-être que si elle se levait et faisait comme si rien ne s'était passé…"Non, lui cria une petite voix intérieure…C'est la providence. Tu veux savoir ce qu'il pense vraiment de toi, ce qu'il ressent pour toi…c'est le moment où jamais". Aussi, la jeune femme resta immobile, regardant son partenaire, attendant qu'enfin, l'abcès se crève, que la vérité explose.  

 

Ryô décida d'opter pour l'ironie, plutôt que de faire celui qui n'avait pas entendu.  

"- Disons que je te supporte. Je ne suis capable que d'aimer de magnifiques femmes, sensuelles, prêtes à tout pour m'avoir…pas un garçon manqué qui ne sait même pas faire la cuisine, ni tirer sur un éléphant dans un couloir…. Ton café est toujours aussi mauvais, d'ailleurs", ajouta-t-il tout en se préparant à recevoir une massue d'au moins 500 tonnes, cette fois-ci.  

 

En effet, celle-ci l'envoya directement dans le mur. Mais, il y manquait quelque chose, c'était plus un réflexe qu'une véritable volonté. Ouvrant un œil dont l'ecchymose se résorbait rapidement, il dévisagea Kaori. Celle-ci était encore plus écarlate qu'avant, si c'était possible. Mais, elle n'avait pas bougé de sa chaise. Dans son regard, il n'y avait pas de colère, mais une infinie tristesse, une immense douleur, comme si elle avait reçu une blessure au cœur. Elle ne le regardait pas, de nouveau perdue dans ses pensées.  

"- J'imagine que c'est la vérité, j'ai du me faire de trop grandes illusions" l'entendit-il dire. L'instant après, la Kaori normale était revenue et le dévisageait furieusement.  

 

" Aucune femme normale ne voudrait de toi, vers lubrique…Quant à mon café si tu n'en veux pas, tu peux t'en faire un toi-même, je ne suis pas ton esclave...D'ailleurs, continua-t-elle en se levant, tu n'as qu'à aller toi-même à la gare ce matin, peut-être y aura-t-il de travail…et, puis, si c'est une belle femme, tu auras enfin trouver ton bonheur…", finit-elle en fermant la porte de sa chambre derrière elle.  

 

Pour faire bon effet, Ryô répliqua "Enfin, tu me laisses y aller…je vais pouvoir choisir mes clientes…j'en profiterais pour faire un tour au Cats'eye. Peut-être que Falcon n'y sera pas…". Ce fut à son tour de fermer la porte, mais d'entrée cette fois-ci.  

 

 


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