Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 1 capitolo

Pubblicato: 21-07-06

Ultimo aggiornamento: 21-07-06

 

Commenti: 19 reviews

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General

 

Riassunto: Ne regardons pas le côté obscur du cauchemar...

 

Disclaimer: Les personnages de "Rien de tel qu'un cauchemar!" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Rien de tel qu'un cauchemar!

 

Capitolo 1 :: Rien de tel qu'un cauchemar...

Pubblicato: 21-07-06 - Ultimo aggiornamento: 21-07-06

Commenti: Bonjour à tous, les contrariétés, ça fait délirer…la chaleur aussi d’ailleurs. Entre deux traitements de factures, j’ai eu le temps de concocter ce one-shot. En fait, c’est un clip vidéo de Angel Heart qui m’a inspiré. Merci Sophie ! Très émouvant, très beau…Bon ce n’est pas un chef-d’œuvre mais j’y ai mis une bonne dose d’humour, j’espère qu’il vous plaira. Je le dédicace à notre Druide vénéré un jour en avance, pour son anniversaire. Je souhaite une bonne fête à tous nos amis Belges, Life, Moon, F-Kaorina, Fan2CH, Lovely et tous ceux que j’oublié ! ^_^ Bon anniversaire à Sarah et Lina aussi. Biz et bonne lecture, votre star intergalactique.

 


Capitolo: 1


 

Un crissement de pneus, un cri désespéré, des bras tendus vers l’être aimé, puis des battements de cœur qui ralentissent, un dernier regard, une larme qui coule et le silence, terriblement pesant jusqu’à l’arrivée des voitures de police. Ensuite le vacarme des sirènes, les badauds attroupés, l’ambulance qui vous arrache le seul être auquel vous teniez.  

 

- Noooooooooooooooooooon !!!!!!!  

 

Les draps humides, trempés de sueur, une respiration haletante, des yeux hagards….  

 

- Maudit cauchemar….  

 

Tout semblait si réel, et son regard, il y avait tellement d’amour…non, elle ne pouvait pas me quitter comme ça…  

 

Petit à petit, sa respiration redevint normale. Kaori, alertée par le cri de son partenaire, se précipita dans sa chambre, sans prendre la peine de toquer à la porte. Elle le vit assis sur son lit, les yeux dans le vague.  

 

Elle s’approcha et posa une main sur son épaule.  

 

- Ryô, ça va ?  

 

Sa douce voix ramena le nettoyeur sur terre. Leurs regards se croisèrent un instant, l’un où transparaissant de l’inquiétude et l’autre de la peur. Encore plus que d’habitude, Ryô avait peur, peur de perdre cet ange qui faisait partie de sa vie depuis maintenant dix ans.  

 

N’obtenant pas de réponse, Kaori se rapprocha un peu plus et lui toucha la joue. La main douce et chaude de sa partenaire le réchauffa un peu. Il posa sa main sur la sienne, voulant encore garder cette sensation.  

 

Troublée, Kaori le laissa faire. C’était une des rares fois où elle pouvait profiter de sa tendresse.  

 

Les gouttes de sueur qui perlaient sur le corps de Ryô, lui donnèrent des frissons. Il lâcha la main de Kaori et se leva brusquement.  

 

- Je vais prendre une douche, ça va me faire du bien…  

 

La jeune femme hocha la tête et le regarda s’éloigner vers la salle de bains, une serviette à la main.  

 

Elle entendit le claquement de la porte puis le bruit de l’eau qui coulait.  

 

« Mais qu’est ce qui arrive à Ryô ? Je ne l’ai jamais vu comme ça…. »  

 

Elle s’installa sur le lit et attendit le retour de son partenaire ; ce dernier apparut quelques minutes plus tard, vêtu d’une simple serviette nouée autour de la taille. Il s’était frictionné assez fort car sa peau portait des marques rougeâtres.  

 

Kaori laissa son regard s’attarder sur ce torse musclé. Elle rêvait d’y promener ses mains mais au fond d’elle, elle savait que ça n’arriverait jamais. Elle soupira.  

 

- Kaori ? murmura Ryô, conscient du trouble qu’il suscitait chez la jeune femme.  

- Ça va mieux Ryô ? demanda t-elle en se reprenant.  

- Oui…beaucoup mieux…Kaori, il faut qu’on parle, dit-il en plongeant son regard dans celui de la jeune femme.  

 

Kaori le trouvait trop sérieux à son goût, elle espérait qu’il ne remette pas sur le tapis, son éternelle tirade pour l’éloigner de lui. Il s’installa à côté d’elle, toujours vêtu de sa serviette.  

 

- Kaori…ça fait plusieurs nuits que je fais le même cauchemar…  

- Un cauchemar ?  

- Oui, en fait tu y perds la vie en voulant sauver un enfant…  

- Mais Ryô…  

- Attends, laisse-moi finir…je me suis rendu compte que même si tu ne fais pas équipe avec moi, tu pourrais quand même être en danger, tu peux avoir un accident par exemple…  

 

Kaori ne put s’empêcher de rire. Ryô la regarda, complètement éberlué.  

 

- Mais enfin Kaori, qu’est ce qui te prends ?  

- Et ça t’as pris plusieurs nuits pour t’en rendre compte, t’es bête !! dit-elle entre deux fous rires.  

 

Le nettoyeur bouda un peu.  

 

- Moi qui étais sérieux, t’es vraiment pas gentille, dit-il en croisant les bras.  

- Ryô….arrête de faire l’enfant, dit-elle en essayant de se calmer.  

 

Il reprit soudain son sérieux.  

 

- Oui, je suis bête mais aussi fou d’inquiétude de ce qui pourrait t’arriver…  

 

Kaori cessa alors de rire et prit le visage de Ryô entre ses mains.  

 

- Ryô, si le destin veut que je meure, tu ne pourras pas l’en empêcher mais sache que je ne compte pas partir maintenant ; je sais que si je te laisse tout seul, tu vas faire l’imbécile auprès des jolies jeunes femmes ! dit-elle en lui faisant un clin d’œil.  

 

Surpris par la réaction de la jeune femme, le nettoyeur lui sourit…  

 

- J’ai l’impression que je déteins sur toi chère partenaire. Voilà que tu fais le pitre pour essayer de me faire changer les idées !  

- Tu sais, dix de « vie commune », ça laisse des séquelles !  

 

Ils éclatèrent de rire en même temps. Puis un silence gênant s’installa entre eux. Ryô en profita pour entremêler ses doigts à ceux de Kaori, ce qui eut pour effet de la faire rougir.  

 

- Kaori, ce que je voulais dire tout à l’heure, c’est que maintenant il n’y a plus de raison pour que je t’éloigne de moi, il faudra juste que je redouble de vigilance…  

- Je ne comprends pas ce que tu veux dire Ryô…  

- Hum, je ne suis pas doué pour les discours alors je vais t’expliquer par des gestes !  

 

Il se pencha vers elle et l’embrassa, d’abord tendrement puis avec plus de fougue. Quand ils se séparèrent, essoufflés, Kaori se demandait si elle ne rêvait pas. Est-ce que Ryô éprouvait quelque chose pour elle ?  

 

- Ryô, est-ce que j’ai bien compris ?  

- Sotte, tu veux une autre explication ? Je peux t’en donner autant que tu veux !  

 

Elle rougit et se blottit contre lui.  

 

Ryô ne voulait pas en rester là et lui releva le menton pour goûter à nouveau à ses lèvres. Il défit les deux premiers boutons de son haut de pyjama, trop grand pour elle et y glissa sa main. Etonné par son audace, la jeune femme se crispa un peu mais la douceur des mains de Ryô la détendit peu à peu.  

 

Bientôt le pyjama en entier se retrouva au sol, de même que la serviette de Ryô. Mains et lèvres se livraient une bataille sans merci pour prendre possession de chaque parcelle de peau. Entre soupirs et gémissements, la découverte de l’autre par les sens devenait un plaisir sans fin.  

 

Une fine pellicule de sueur recouvrait ces corps enlacés qui bougeaient au rythme de leur désir. L’expert en amour devenait un novice dans les bras de la jeune femme qu’il aimait alors que cette dernière se transformait en tigresse à son contact.  

 

Ne faire qu’un avec l’être aimé, jambes emmêlées, doigts serrant les draps, cris de plus en plus aigus, étouffés par la bouche de l’un ou de l’autre.  

 

Ryô regrettait d’avoir attendu si longtemps pour se déclarer. « Que de temps perdu, quel abruti j’ai été ! Toutes ces heures où j’aurais pu faire mokkori avec Kaori, au lieu de lui faire l’éloge du nettoyeur sans foi ni loi, pfff…idiot que je suis ! Tant pis, Kaori chérie, prépare-toi à avoir des nuits d’insomnie, ah ah ah !! »  

 

Hum, comme le dit un ancien proverbe indien, « c’est coup par coup qu’on arrive à déplacer la grosse marmite » (traduction plutôt maladroite mais bon je fais ce que je peux !). Il y aura mis le temps mais l’important c’est de se déclarer !  

Je vous propose de laisser nos tourtereaux finir ce qu’ils sont entrain de faire, je crois qu’on les a assez dérangé comme ça, vous ne trouvez pas ?  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Capitolo: 1


 

 

 

 

 

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