Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prosa

 

Autore: ellipse du coeur

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 3 capitoli

Pubblicato: 17-05-07

Ultimo aggiornamento: 16-07-07

 

Commenti: 12 reviews

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RomanceDrame

 

Riassunto: une pièce sombe... une intrusion du soleil...

 

Disclaimer: Les personnages de " Elliptiquement vôtre" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Elliptiquement vôtre

 

Capitolo 1 :: Synospis

Pubblicato: 17-05-07 - Ultimo aggiornamento: 17-05-07

 


Capitolo: 1 2 3


 

Un petit coquin s’introduisait dans une pièce où sommeillaient deux individus. Le malicieux éclaira de ses doux rayons un objet des moins commun.  

La pierre qui surmontait la forme ovoïde, chassa le coquin avec hardiesse. Cet objet bougea, disparaissant de la vue du plus indiscret des spectateurs. Les rayons divins achevaient maintenant leur course sur l’anatomie de l’une des personnes se trouvant dans la couche. Ils caressaient l’épiderme de ses épaules. Une dextre très attentionnée repositionnait le drap sur les dites shoulders. Cette main jalousait le contact que ces chenapans avaient avec sa partenaire de nuitée.  

 

Rapprochons nous un peu plus de la scène… Nous sommes maintenant un peu plus contigu à la couche… Deux formes se dessinent vaguement devant nos yeux, emmitouflées dans un drap de coton blanc. Les deux figures, proches l’une de l’autre, s'emboîtent parfaitement.  

 

Le soleil était presque à son zénith, lorsque l’un des individus bougea… Une forme féminine se dégagea la première du lit… Profitant des canailles, elle tenta de mettre la main sur un morceau de sa tenue qu’elle possédait encore hier. Cependant, peu de choses avaient survécues… Seul ses dessous subsistaient, de la folle nuitée qu’elle avait eu avec le partenaire masculin qui se trouvait à une demi lieu de là. Sa robe n’avait plus de bretelles, elle enfila donc la chemise de son amant. Elle s’étirait, quand une forme se dessina derrière elle. Deux armes enserraient sa taille, un baiser brûlant se posa sur la peau de son cou. La jeune femme croisa ses bras sur les armes de son amant, faisant basculer sa tête sur son épaule, ouvrait à peine la bouche, laissa échapper un soupir empreint de désir. Les deux amants baignés dans la lumière solaire, s’abandonnèrent dans les bras de l’un de l’autre l’espace d’un instant. C’est avec quelques regrets que la jeune femme laissa les armes de son partenaire. On pouvait imaginer la déception de l’homme délaissé. Elle se dirigeait vers la porte, lorsque qu’une main retenait son élan. Ses yeux s’illuminèrent, un sourire apparut sur son visage, ses lippes rencontrèrent celle de l’homme.  

 

« Bonjour mon cœur… »  

 

La demoiselle ouvrit la porte, et disparue dans une autre pièce… Le peu de lumière qu’avait apporté cette brève issue, avait éclairé l’espace d’un instant le corps nu de l’homme, laissant entrevoir sa beauté apollinienne.  

 

Voyant l’objet de ses désirs s’éloigner, l’homme regagna sa couche. Au bout de quelques minutes, il se leva de nouveau… Il enfila le bas de son costume, emboîta le pas sur celui de la jeune femme. Il ouvrit une nouvelle fois la porte. Il s’introduisit dans un couloir. C’est encore endormi, que l’homme se dirigea vers une seconde pièce. L’homme s’étirait, ébouriffa une nouvelle fois ses cheveux noir. Il mis les pieds dans l’antre. De douces senteurs lui parvinrent, la demoiselle s’afférait devant la cuisinière. Il s’immobilisa quelques instants devant le spectacle : la demoiselle de dos vêtue de sa seule chemise. Le vêtement un peu trop grand, baigné de lumière, laissait paraître ses courbes avantageuses… Malgré sa coupe à la garçonne, il n’avait plus de doute, c’était bien une femme qu’il avait devant lui…  

 

Il s'avança vers la demoiselle… Lui déposa un baiser sur l’épaule découverte…  

Sa bouche s’approcha de l’oreille de la jeune femme, et il murmura :  

 

« Bonjour mon ange… »  

 

Elle se retourna, les joues rosies, ramenant d’un doux geste le pan de la chemise défectueux…  

Les tyrans couleurs noisette fixèrent son amant l’espace d’un moment… Ne pouvant pas résister à la violence de sa passion, et ne se sentant plus le désir de le faire, c’est avec délectation qu’il prit possession de ses lèvres…  

 

 

 

 


Capitolo: 1 2 3


 

 

 

 

 

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