Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prosa

 

Autore: Fauve

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 1 capitolo

Pubblicato: 25-09-07

Ultimo aggiornamento: 25-09-07

 

Commenti: 19 reviews

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RomanceRomance

 

Riassunto: Un froid glacial s'abat sur l'appartement de City Hunter ! Le reste je ne le dirai que si mon avocat est présent ^^

 

Disclaimer: Les personnages de "Au lit !" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Et l'outillage sus mentionné dans cette fic est à moiaaaaaaa lol !

 

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   Fanfiction :: Au lit !

 

Capitolo 1 :: Au lit !

Pubblicato: 25-09-07 - Ultimo aggiornamento: 25-09-07

Commenti: Coucou !!! Vi c'est moi que revoilàààà ! Mais vous savez quoi je dois être folle. J'ai pas encore fini toutes mes lectures en retard tant ici que sur MH et pourtant c'est moi qui vous fais des cadeaux pour mon anniversaire en prime. Ouais pourquoi je doute de ma folie moi T_T... Enfin bref ! Allez histoire de me réchauffer euh de réchauffer le climat lol une petite one shot que j'ai écrit pendant mes vacances (ou mes épousailles ne furent pas organisé merci Tic ! lol). J'espère que ça vous plaira, car moi j'adore lol et si vous trouvez Ryo aujourd'hui bah merci de le prévénir qu'il y a le même souci chez moi que celui indiqué dans cette fic lol. Allez hop débrouillez vous pour le reste lol ! Bonne lecture et bon reviewage lol !

 


Capitolo: 1


 

 

 

Une ombre, un mouvement, une impression et surtout une nuit obscure où un homme ne s’attendait pas à se trouver face à son destin. (Nda : vous avez peur hein… Bah faut pas lol)  

 

Mais revenons quelques minutes en arrière.  

Ryô Saeba dormait du sommeil du juste.  

Soit c’était un sommeil arrosé d’alcool mais un sommeil profond dans lequel il trouvait la force de rêver de son ange.  

 

La nuit où plutôt la vie de la nuit à Shinjuku, était agite ces temps-ci.  

Fête sur fête avait lieu pour célébrer l’arrivée du printemps et la floraison des cerisiers et par la même le renouveau de la vie.  

 

Mais revenons-en à cette nuit si froide en dépit du courant de gaieté qui parcourait les rues, joie due à la floraison des cerisiers.  

 

Et oui, le printemps était là.  

Néanmoins, allez savoir pourquoi, ce soir il faisait froid.  

Un froid comme on n'en avait pas vu à cette période de l’année depuis un quart de siècle.  

Ce froid tenace régnait en cette nuit sur toute la ville et surtout dans l’appartement du couple infernal City Hunter.  

 

A vrai dire, heureusement qu’il faisait froid, sans quoi le destin n’aurait pu s’accomplir.  

Enfin les rouages du destin s’enclenchaient, et rien ne permettrait d’arrêter ce que je m’en vais vous relater  

 

Il était 3 heures du matin, Ryô Saeba dans son lit, portait un bas de pyjama et soufflait de plaisir tant ses rêves lui convenait.  

 

Il ne sentit donc pas la présence qui venait de pénétrer dans sa chambre.  

Cette personne se glissa jusqu’au pied de son lit, tel un chat.  

Pas un grincement, pas un chuintement ni même un pas hésitant ne s’était fait entendre.  

 

Avec subtilité, la créature souleva les draps qui couvraient l’étalon de Shinjuku.  

 

L’étalon en question ne se rendait toujours pas compte de se qui se passait et ne se doutait certainement pas de se qui allait arriver dans les minutes suivantes.  

 

La présence se glissait maintenant à pas de velours sous les draps, rampant pour arriver à la hauteur du torse de Ryô.  

Elle s’arrêta, poussa un soupir et fit ce que toutes nous rêvons de faire, elle fit du torse de Ryô un coussin de fortune.  

 

C’est avec une lenteur calculée que cet être posa sa tête sur se torse si bien fait et y fit glisser ses mains.  

Jusqu’à présent tout allait bien.  

 

Cependant, Ryô Saeba est un grand professionnel.  

En réalité, à peine la créature avait-elle atteint son torse, qu’il s’était en parti réveillé et le fut totalement quand il sentit des mains douces et délicates le caresser innocemment.  

 

Il comprit de suite quelle créature avait fait ça.  

Une seule et unique personne sur Terre avait ce don de le surprendre, sa partenaire Kaori Makimura.  

Toute autre personne il l’aurait sentie arriver, mais pas elle.  

 

« Kaori tu m’expliques ce que tu fais dans mon lit ?! » Demanda dans le plus grand immobilisme et d’une sérénité absolue Ryô.  

 

Il n’était pas le moins du monde inquiet, au point qu’il trouva futile d’allumer les lumières.  

Du moins c’est ce qu’il se racontait à lui-même.  

 

Kaori rouge de confusion, tenta de s’expliquer.  

« Euh… mon… mon radiateur est apparemment en panne, alors… »  

 

« Alors tu es venue dans mon lit ! » Déclara le nettoyeur d’un ton narquois. « Mouais avoue que tu voulais plutôt me faire une visite nocturne. »  

 

Kaori n’avait même pas entendue la seconde phrase de Ryô tant elle était courroucée pas le ton de son partenaire.  

 

« Je te signale que j’ai ’entreposé’ tous les vêtements d’hiver au sous sol. Alors que voulais-tu que je fasse d’autres, je suis frigorifiée ! »  

 

La jeune femme ne s’était pas laissée démonter par l’attitude hautaine de son partenaire et lui répondait du tac au tac.  

 

Puis, il sentait bien qu’elle était glacée, elle n’avait pas quitté le lit et encore moins ’le corps’ de Ryô.  

 

Cependant, il sentait que son propre cœur de nettoyeur s’emballait et ça, ça ne lui convenait pas.  

Sa tête reposait toujours sur le torse du beau brun qui craignait qu’elle ne se rende compte de ses soudaines ‘palpitations’. Pour lui, il était indispensable qu’elle ne se fasse pas d’idée et qu’elle parte de son lit, alors il fit ce qu’il savait si bien faire avec sa partenaire, la déstabiliser afin que lui-même ne soit plus déstabilisé.  

 

« Je vois, et donc tu as choisi de te glisser dans mon lit, entre mes draps, le tout en silence et tu me prends pour ton oreiller car tu as froid ?! »  

 

Kaori ne se laissa pas faire, elle connaissait bien la bête et donc elle avait réponse à toutes ses remarques.  

 

« Si je t’avais réveillé pour te demander la faveur de dormir près toi, tu n’aurais pas apprécié et tu aurais certainement répondu non !  En plus tu es le seul à encore avoir une couverture… Qui plus est chauffante la couverture. Et pour finir dans ton lit il n’y a qu’un oreiller, vu que tu as explosé l’autre hier matin en rêvant de ton inspecteur chérie !!! Chose que j’avais oublié en m’installant… Alors dis-moi… Tu m’envoies paître ou pas ?! »  

 

« … » Il se savait piégé, elle avait réponse à tout apparemment.  

Il ne put donc refuser qu’elle reste près de lui, enfin je devrais dire contre lui.  

Et puis il est vrai que lui aussi avait un peu froid maintenant que les vapeurs de l’alcool consommé plus tôt se dissipaient.  

 

Avoir une présence dans son lit surtout une présence féminine n’était pas une si mauvaise idée. Cependant quand la délicieuse créature en question était vêtue d’une nuisette et était sa partenaire, ça n’était plus chose aussi évident pour ses nerfs et pour son self control.  

 

« Alors Ryô ?! »  

« Bon très bien… Dormons ! » Se risqua-t-il tout en sachant qu’il ne finirait pas sa douce nuit au pays de Morphée.  

 

Il s’était voulu ronchon mais pourtant Kaori n’était pas dupe.  

 

Trente minutes plus tard aucun des deux ne dormait.  

Trop froid… trop tout en fait.  

 

« Ryô… »  

« Hum ?! »  

« J’ai toujours froid… » Décréta la jeune femme d’une voix grelottante.  

 

Ah que les nerfs du pauvre homme étaient mis à rude épreuve avec cette femme près de lui.  

 

« Bon viens là… »  

 

Il attira Kaori qui était presque totalement couchée sur lui, leurs jambes était emmêlées et les bras de Ryô serraient avec délicatesse la jeune femme.  

Malgré tout, il sentit qu’elle frissonnait et il comprit se qui se passait.  

Le radiateur de sa chambre avait lui aussi déclaré forfait.  

Lui y survivrait à n’en pas douter, mais elle ça…  

Alors il se mit à caresser son dos, il aurait dû la frictionner pour lui apporter de la chaleur, mais il préférait de loin caresser la peau quasi-dénudée.  

Voici donc les prémices de ce qui allait le perdre dans le plaisir.  

Kaori, elle, sentait la main de Ryô aller et venir sur son dos et l’en remerciant déposant sur son autre main qui était à sa hauteur, un chaste baiser.  

« Merci Ryô… Merci pour tout. »  

 

‘Ah que la vie est cruelle avec moi !’ Pensa le pauvre nettoyeur dont le mokkori hurlait à la mort.  

 

Puis une connexion se fit dans son cerveau. Ce qu’elle avait dit… La façon de le remercier… Une toute petite phrase qui résonnait à ses oreilles et le rendait fou.  

 

Son éternelle innocence et sa naïveté si touchante malgré tout ce temps près de lui, malgré toute la violence qu’elle avait vue, il se rendit compte à cet instant qu’elle avait fait son choix depuis longtemps, et ce choix c’était lui, c’était la vie de nettoyeuse.  

 

Il sentit à ce moment-là la jambe nue de sa partenaire le caresser comme pour se réchauffer ? Le réchauffer ? Le torturer ? Allez savoir.  

 

« Hum Kaori  !!! »  

 

Il lâcha totalement prise et roula sur Kaori qui poussa un petit cri de surprise.  

 

Les bras de la jeune femme avait été ramenés de chaque côté de sa tête par l’homme qui allait devenir son amant.  

 

Elle ne pouvait plus bouger, Ryô, sa passion et son désir la clouait sur place.  

 

« Tu vas me rendre fou espèce d’idiote ! »  

 

C’était sorti comme ça, mais il ne regrettait pas car c’était vrai.  

 

Elle le rendait fou, et elle était idiote de croire que jamais il n’avait éprouvé de désir pour elle, d’avoir pensé qu’il ne l’aimait pas.  

 

« Ryô !!!! » Sur le moment elle s’était offusquée, cependant en plongeant son regard dans celui de son amant, elle comprit et attendit la suite.  

 

« Tu es bête… Mais c’est pour ça que je t’aime… »  

 

Laissa-t-il échapper en déposant sur les lèvres de celle que le destin avait déposé entre ses bras, de celle qui allait sous peu devenir Madame Saeba en cette nuit frigorifique.  

 

Maintenant je vais juste finir en vous apprenant un petit secret.  

Quoi ?!!! J’allais pas les observer non plus rhooooo la la ^^’  

Je ne veux pas risquer ma fourrure.  

 

Bon alors voilà un petit secret que je vous supplie de ne pas ébruiter.  

Umibozu n’est pas innocent dans la panne du chauffage chez Ryô et Kaori.  

Il avait entendu dire par Ryô lui-même un jour ou il était totalement saoul, que son fantasme le plus fou serait qu’une beauté se glisse dans son lit pour se réchauffer, pour le réchauffer (NDA : votre propre imagination n’a qu’à fonctionner lol désolée, le slurp c’est pas encore pour maintenant ni ici^^).  

 

Umibozu savait fort bien que le climat allait fortement se dégrader. Le décuplement de ses sens depuis qu’il était aveugle et ses vieilles blessures de guerres l’avaient informé et il avait donc agi.  

 

D’ailleurs si vous avez l’occasion dans la journée de passez au Cat’s Eye, je vous conseille de regarder derrière le comptoir, à coup sur, vous y verrez le traditionnel Bazooka d’Umi mais aussi et surtout une clé anglaise oublié depuis peu dans le coin !  

 

 

 

 

FIN 

 


Capitolo: 1


 

 

 

 

 

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