Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prosa

 

Autore: Sheena

Beta-reader(s): Grifter

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 8 capitoli

Pubblicato: 18-10-07

Ultimo aggiornamento: 10-04-08

 

Commenti: 98 reviews

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DrameRomance

 

Riassunto: En l'absence de Ryo une nouvelle affaire se présente à Kaori : infiltrer une secte pour retrouver et libérer la nièce d'un ministre. Cependant tout n'est pas aussi simple que cela ! Et, ce qu'elle va découvrir derrière ces portes dépassera l'imaginable !Elle devra faire face à l'ignominie humaine. En resortira t'elle indemne ?

 

Disclaimer: Les personnages de "' In Sanguis Veritea Es '" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: ' In Sanguis Veritea Es '

 

Capitolo 1 :: Chapitre I : Prologue

Pubblicato: 18-10-07 - Ultimo aggiornamento: 18-10-07

Commenti: Coucou tout le monde ! Me revoilà avec une nouvelle fic qui me passionne énormément ! J'espère qu'il en sera de même pour vous. Dites moi donc ce que vous en pensez en me laissant un petit commentaire.... Egalement un immense merçi à ma super béta qui travail plus vite que son ombre ! Bisous Read & Enjoy Sheena

 


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Chapitre I : Prologue  

 

 

Depuis quelques heures déjà, la nuit avait déployé son sombre manteau et un silence presque inhumain voire inquiétant régnait aux alentours. Pas un sifflement d’oiseau, pas un bruissement d’ailes ni même le craquement de branches ne se faisait entendre. Le seul bruit que l’on pouvait distinguer dans ce néant des plus opprimant, était celui de la pluie battante se fracassant sur le sol.  

 

 

Une grande maison se dessinait à l’horizon.  

 

 

En y regardant de plus près, on s’apercevait qu’il s’agissait en réalité d’un manoir. Deux épaisses et grandes portes en bois fermaient l’entrée de celui-ci à quiconque qui aurait voulu y pénétrer. Au centre de ces dernières, était disposée une tête de dragon en fer forgé dont la longue langue amovible servait de butoir. (NDB : BRR ça fout la chair de poule ton manoir.)  

 

 

Une fois le seuil de l’entrée franchi, un majestueux escalier entouré d’une rambarde en marbre ainsi qu’un magnifique lustre en cristal suspendu au plafond s’offraient à la vue du visiteur. De nombreux tableaux et tapisseries étaient accrochés aux murs et de lourdes tentures de velours rouge bordeaux drapaient les fenêtres, ne laissant pas filtrer le moindre petit rayon de lumière dans la pièce.  

 

En haut des escaliers se trouvaient diverses portes en bois minutieusement sculptées donnant chacune d’elle sur différentes chambres. Chaque chambre était composée et agencée de la même manière : Une grande armoire, un bureau, un grand lit à baldaquins entouré de deux tables de chevets ainsi que de deux somptueux fauteuils.  

Tout ce mobilier, comme celui qui décorait le reste du manoir était en bois de cerisier. Ces fabuleux ornements ne faisaient qu’amplifier la magnificence des lieux.  

 

Cependant, derrière tout ce luxe et cette grandeur, une atmosphère oppressante régnait en ces lieux. Un voile de peines et de tourments semblait englober cette demeure, lui conférant ainsi une aura des plus déplaisantes.  

 

 

En redescendant au rez-de-chaussée et en empruntant la petite porte dérobée se trouvant sous les escaliers, une odeur acre pouvait se faire sentir. Cette dernière vous prenait la gorge et les poumons et rendait votre respiration de plus en plus difficile au fur et à mesure que vous cheminiez en direction de sa source.  

 

Le couloir qui se présentait derrière cette porte semblait interminable. Il était éclairé ça et là par des petits néons blancs qui ne lui conférait qu’un très léger faisceau lumineux. Ce décor, ou plutôt l’absence de décor, tranchait étrangement d’avec le reste du manoir.  

 

 

Au bout de ce couloir, une nouvelle porte.  

 

A peine cette dernière était-elle entrebâillée que l’odeur vous soulevait le cœur.  

 

 

Des murs rouges.  

 

Le sol rouge.  

 

Même le plafond semblait être de cette couleur.  

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Rouge.  

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Rouge comme le sang.  

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Et des cadavres.  

 

 

Des cadavres par dizaines, allongés à même le sol. Des corps sans vie, tous drapés de noir qui faisait ressortir la blancheur cadavérique de leur peau.  

 

Tous décédés de la même façon. Des dizaines d’hommes, de femmes, mais également d’enfants, avec une dague enfoncée profondément dans leurs poitrines, exactement là où se trouvaient, avant, cet organe de vie, ce muscle palpitant qu’est le coeur.  

 

 

Au fond de la pièce, sur une sorte de caveau de marbre blanc, reposait un corps.  

 

Celui-ci à l’instar des autres était entièrement vêtu de blanc.  

 

C’était le corps d’une jeune femme, approchant plus vraisemblablement de la trentaine, ses cheveux châtains, et l’on pouvait imaginer que la couleur de sa complexion naturelle était pale ; cette jeune femme avait un teint laiteux.  

 

Sa mort n’était pas du à un coup fatal porté au cœur comme pour les autres, mais à la plaie qu’elle avait au niveau de sa jugulaire. En effet une longue balafre ornait tout le coté gauche de son coup, un coup de couteau long et profond par lequel s’était écoulé le sang de son corps. Ce dernier avait laissé une trace rougeâtre sur la bretelle de la robe ainsi que sur l’épaule, et avait ensuite formé un sillon avant de goutter sur le sol, créant ainsi une flaque assez importante au pied du caveau.  

 

En examinant de plus près les corps, l’on pouvait remarquer que tous arboraient un meme symbole marqué au fer rouge, sur une partie de leur corps : Un S. et un V. en caractères gothiques entrelacés.  

 

Seule la jeune brunette allongée sur la plaque de marbre portait une marque un petit peu différente. En effet, en plus de ces lettres se trouvait au-dessus le tatouage d’une somptueuse rose dont des gouttes de sang s’échappaient de son coeur.  

 

 

 

Ne supportant plus, ni l’odeur, ni la vue de ce spectacle, la jeune inspectrice qui s’était retenue depuis son entrée dans le manoir, les larmes ruisselant sur le visage, prit ses jambes à son cou afin de sortir de ce lieu maudit pour prendre un bon bol d’air pur, se vider l’estomac, et par-dessus tout permettre à la pluie qui ne cessait de tomber depuis quelques heures maintenant de lui laver non seulement le corps mais aussi l’esprit.  

 

 

Au fur et à mesure que l’eau cascadait sur son corps, elle sentit l’aura menaçante de cette maison s’effacer petit à petit pour ne laisser place qu’à la peine et au désespoir. Car cette vision cauchemardesque était à jamais gravée dans sa rétine.  

 

 

Comment en étaient-ils arrivés là ?  

 

Comment allait-t-elle annoncer tout cela ?  

 

Comment… ?  

.  

.  

.  

Pourquoi… ?  

 

 

 

 

 

 


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