Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: Elsa

Beta-reader(s): Sayaka1537, Grifter

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 6 capitoli

Pubblicato: 31-10-07

Ultimo aggiornamento: 16-10-08

 

Commenti: 59 reviews

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RomanceDrame

 

Riassunto: Attention, Fic alternative !! :) Kaori travaille dans une maison d’éditions et Ryô est… un escroc !! Tout semble indiquer qu’ils ne se rencontreront jamais...Et pourtant… ^^ Qu’est ce qu’il pourrait ce passer s’ils se rencontraient …? A vous de lire ! :)

 

Disclaimer: Les personnages de "Une raison de vivre...Et de mourir" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Une raison de vivre... Et de mourir.

 

Capitolo 1 :: Introduction.

Pubblicato: 31-10-07 - Ultimo aggiornamento: 31-10-07

Commenti: Bonjour à tous!! Tout d'abord, je dois dire que je n'avais pas l'intention de poster si tôt une nouvelle fic (surtout que j'ai toujours l'autre!! :)). Mais je voulais tellement vous présenter le premier chapitre que voilà...^^ Je vais essayer d'écrire une histoire "romantique", j'espère que le résultat sera bon... En tout cas, je souhaiterai remercier Sayaka qui malgré son emploi du temps à accepté de corriger mes chap.!! Je vous souhaite alors une bonne lecture et laissez-moi vos impressions!^^ (je suis très curieuse!)

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6


 

Kaori,  

 

Le jour se lève, j’aperçois déjà les rayons du soleil. Je te regarde dormir et je me demande encore comment ce monde peut-il être aussi cruel…  

Malgré ces faibles rayons que la rosée craint, j’ai peur que tu attrapes froid. J’ai posé mon manteau sur tes épaules qui bougent au rythme de ta respiration.  

Comme tu es belle ! Je pourrais encore rester toute ma vie à te regarder dormir, sourire.  

 

Mais je dois te quitter.  

 

Pour toi…  

 

J’espère que tu me pardonneras, mais sache qu’il n’y a pas d’autre solution. Tu le sais, nous le savons tous les deux. Si je ne me rends pas, nous ne pourrons jamais vivre en paix. Je ne veux plus fuir. Je pars pour ta sécurité.  

 

Pour te retrouver la prochaine fois, je serais capable de faire n’importe quoi. Même de renaître pour toi.  

Mais ne t’inquiètes pas, « mon amour ». Si nous sommes réellement liés par le Destin, nous nous retrouverons, je n’en ai aucun doute.  

Même si je dois mourir une nouvelle fois, je saurai revenir auprès de toi.  

 

La prochaine fois…  

 

Ne pleure pas s’il te plait, tes larmes me fendent le cœur. Je préfère voir ton beau sourire, sur ton visage apaisé qui te va si bien. Même si je ne suis plus là, auprès de toi, le simple fait de savoir que tu es heureuse me réchauffe le cœur.  

Une fois de plus, je pars dans l’espoir de te revoir.  

 

N’oublie pas. Même dans une autre vie, je t’aime et je t’aimerais encore.  

 

Tu es mon étoile compagne,  

 

Ryô.  

 

 

 

 

 

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*  

*-*-*-*-*-*-*-*  

*-*-*-*-*  

*-*-*  

 

 

Une sonnerie retentit dans la chambre de Ryô. Ce dernier, encore endormi à dix heures du matin, entrouvrit un œil. D’une main, il tenta d’éteindre le réveil qui se trouvait sur sa table de chevet, lorsqu’il s’aperçut que ce n’était pas le réveil qui sonnait mais bien son téléphone portable.  

Se demandant, de mauvaise humeur, qui pouvait bien l’appeler à cet heure-ci, Ryô décrocha.  

 

- Oui qu’est-ce qu’il y a?  

- C’est moi. Répondit l’interlocuteur. J’ai des nouvelles.  

- Shin, c’est pas le moment de parler boulot je suis aussi occupé avec le mien.  

 

« Ryô qui est-ce ? »  

 

La voix provenait de la chambre de Ryô, plus précisément de son lit. Hibari, la femme que Ryô avait été obligé de séduire à des fins professionnels, s’était aussi réveillée à cause du téléphone.  

 

Sans même prendre le temps de lui répondre, Ryô se leva et sortit de la chambre. Il ne voulait absolument pas qu’elle entende la conversation !  

 

- C’est bon Shin, tu peux reprendre. Commença Ryô qui était arrivé au salon.  

- Ça concerne justement ce boulot là. Et grâce à toi, on a réussi. Il a complètement été ruiné ! Il a dû fermer son entreprise ! Heureusement que tu as su convaincre sa fille…  

- Autant pour moi, répondit Ryô. Je peux maintenant m’en débarrasser… Elle devenait vraiment agaçante !  

- Comme bon te semble. Mission accomplie ! Maintenant, j’ai un autre travail pour toi. Mais je ne t’en parlerai pas au téléphone. Je t’attends à l’endroit habituel à quatorze heures.  

- Attends, j’ai bien droit à des « vacances » non ?... Allô ?  

 

Mais il était trop tard. Shin avait déjà raccroché.  

 

Ryô aimait faire ce qu’il faisait. Enfin aimer était plutôt exagéré. D’une certaine manière, il s’était habitué à faire ce métier peu commun. Seulement il appréciait aussi avoir quelques « pauses ».  

En réalité, le métier de Ryô était ce qu’on pouvait appeler l’escroquerie. Pour ce cas, Ryô avait dû séduire la fille du chef de l’entreprise « Persocon & co » spécialiste dans la vente de matériel informatique très perfectionné afin qu’il fasse faillite.  

 

Et en soi, ce n’était pas très compliqué. Après quelques sorties en tête à tête avec Hibari, Ryô parvint à la convaincre que son « entreprise » était prête à acheter plus la moitié de leur offre.  

 

Bien évidemment, l’entreprise de Ryô qui n’existait pas ne paya pas « Persocon & co » et disparut du marché. Parallèlement, les partenaires de Ryô dont Shin qui était le chef de la bande, avait en même temps crée une compagnie d’assurance fictive chargée d’en vendre au chef de l’entreprise. Du coup, « Persocon & Co » perdit tous ses moyens, fit faillite et dû fermer.  

 

 

Ryô se remettait peu à peu de la nouvelle. Super, encore du travail ! Avait-il pensé ironiquement. Toutefois, il avait momentanément oublié un détail.  

 

« Ryô tu as fait du café ? »  

 

Le concerné, surpris, se souvint du « détail ». Mais il se sentit tout d’un coup heureux. Il se retourna et vit Hibari, vêtue d’une seule chemise qui lui allait jusqu’aux genoux descendre les escaliers de son appartement.  

 

- Non je n’ai pas fait de café et j’en ai plus. Du moins pour toi. Répondit-il sans honte. Et j’aimerais bien que tu t’en ailles j’ai d’autres choses à faire.  

 

- Pourquoi tu me parles comme ça Ryô, Répliqua Hibari faisant la moue. Tu n’étais pas comme ça la nuit dernière…  

- J’ai changé. On dit bien que la nuit porte conseil non ?  

 

Contrariée et énervée, elle ne savait plus quoi répondre. Sans hésiter, elle choisit de partir.  

 

- Je peux au moins prendre une douche avant de partir ?  

- Non désolé je suis très pressé. Dépêche-toi !  

 

C’était vraiment le comble ! Il osait la traiter ainsi, comme une moins que rien ! Elle s’empressa de retourner dans la chambre et se rhabilla en deux temps trois mouvements. Puis, elle sortit comme une furie, Ryô la regardant en mangeant une pomme.  

 

- Au plaisir de ne jamais te revoir espèce de profiteur ! S’était-elle exclamée à l’intention de Ryô avant de claquer la porte.  

- Moi de même, avait murmuré le concerné indifférent à la situation qu’il avait provoquée.  

 

 

*-*-*-*-*-*-*  

 

 

Dans les rues de Ginza, de nombreux passants et touristes profitaient de ce beau temps du mois d’octobre afin de faire du shoping. C’était une journée de grande affluence. Une jeune femme aux cheveux courts se faufilait tant bien que mal parmi les piétons. Elle ne cherchait pas à tout prix à acheter le dernier vêtement à la mode. Loin de là. En réalité, elle avait un rendez-vous avec sa meilleure amie, propriétaire d’un snack bar.  

 

Presque essoufflée, elle ouvrit la porte du café en question.  

 

- Bonjour Kaori ! Tu en as mis du temps !  

- Bonjour Miki. Désolée on m’a un peu retardée !  

 

- Je trouve que tu en fais trop, Kaori, répondit Miki. Tu n’as même plus de temps pour te reposer ou encore t’amuser !  

- Mais je ne me plains pas, Miki ! Et j’aime beaucoup ce que je fais !  

- Ok, d’accord, mais il ne faut pas exagérer !! Tu as ton travail et il faut encore que tu t’occupes des autres ! Tu es trop gentille !  

 

Kaori s’était entre-temps assise à sa place réservée au comptoir, tandis que Miki lui servait une tasse de café.  

 

- Tiens en parlant de ça, je ne suis pas encore allée lui rendre visite. Dommage que l’Hôpital soit aussi loin de la maison d’édition…  

- Tu tiens vraiment à aller lui rendre visite toutes les semaines ?  

- Bien sur que j’y tiens vraiment Miki! J’ai promis à ce petit ange de venir lui raconter une histoire chaque vendredi et je compte bien tenir cette promesse ! Je me sens suffisamment coupable de n’avoir pas pu l’adopter et en plus il a fallut qu’il ait une malformation cardiaque…  

 

- Ce n’est pas de ta faute, Kaori…  

 

Soudain, le téléphone portable de Kaori vint interrompre la conversation des deux amies. Sur l’écran, on pouvait lire « Hideyuki ».  

 

- Je ne peux pas laisser une seule seconde mon frère seul qu’il m’appelle déjà pour l’aider ! Sourit Kaori, amusée.  

 

Miki leva les yeux au ciel, comme pour montrer son indignation. Elle avait eu peu d’occasions de rencontrer le frère, ou plutôt le demi-frère, de Kaori, mais elle savait que c’était le genre d’homme qui ne veut pas laisser sa sœur voler de ses propres ailes.  

D’autant plus qu’il était le directeur d’une grande et célèbre maison d’édition de livres divers, allant de la littérature classique au manga, appelée « Shohan’»  

 

Connaissant parfaitement son amie, Miki n’essaya même pas d’empêcher Kaori de décrocher.  

 

- Allo Hideyuki, qu’il y a-t- il ?  

- J’ai absolument besoin de toi au bureau ! S’écria aussitôt son frère. Hirumu Shizuoka est sur le point de sortir son dernier roman ! Je veux que tu négocies les droits de publication !  

- Même si c’est mon jour de pause ? Hésita Kaori…Ok ok je plaisantais ! J’arrive tout de suite grand frère ! Termina-t-elle le sourire aux lèvres.  

 

Elle raccrocha et rangea précipitamment son portable. Puis, se levant, elle dit à l’intention de son amie :  

 

- Désolée Miki, le devoir m’appelle. Notre sortie sera pour une prochaine fois.  

- Ok. Dis à ton frère de ma part que c’est un vrai tortionnaire ! Tu penses revenir pour me faire un peut de compagnie ?  

- Je ne suis pas sûre. On est vendredi et je dois aller…  

- A l’Hôpital, je sais…Tant pis pour moi alors. Prends soin de toi !  

 

Kaori la salua et sortit du café. Si elle souhaitait tant se dépêcher, c’était parce qu’avant d’aller rejoindre son frère, elle voulait à tout prix visiter le petit Shuuji, qui attendait une opération.  

 

 

*-*-*-*-*-*-*  

 

 

A l’autre bout de la ville, en début d’après-midi, plus précisément vers 14 heures, Ryô entra dans un café malfamé, et salua le serveur du bar. Puis il s’installa à une table où Shin, son «patron» l’attendait.  

 

A peine s’était-il assis qu’il trouva un dossier posé sur la table. Au même moment, le serveur du comptoir posa un second verre d’alcool sur la table. Ryô en but une gorgée, puis reposa le verre, prêt à écouter Shin.  

 

- Voici notre nouvelle cible, Commença ce dernier. Pour changer un peu, on va couler une grande maison d’édition. On va se faire passer pour une maison d’édition concurrente et on va peu à peu gagner des parts de marché jusqu’à ce que la maison d’édition adverse ne soit plus côtée en bourse et perde à tout jamais toute crédibilité…  

 

Ryô, qui ne voyait pour le moment aucun intérêt à s’en prendre à une maison d’édition, pris le dossier pour l’examiner. A l’intérieur se trouvait une sorte de base de données fournissant toutes les informations nécessaires concernant l’entreprise, comme son chiffre d’affaire ou son placement en bourse à Nikkei.  

 

En haut de la première feuille, Ryô pouvait lire le nom de leur prochaine victime :  

 

« Shohan’ éditions»…  

 

 

 


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