Capitolo 1 :: Chapitre I

Pubblicato: 22-04-08 - Ultimo aggiornamento: 05-08-08

Commenti: Cette histoire est dédiée à Aurélie pour son anniversaire. Alors joyeux anniversaire ma belle.

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Historique…  

Ryô Saeba est un homme de l'ombre, un nettoyeur. Filatures, garde du corps, parfois meurtres, il accepte n'importe quel travail du moment « que le cœur du client [fait] vibrer le mien », dit-il. Son partenaire Hideyuki Makimura, est un ancien policier. Un jour Makimura est assassiné par le cartel Union Teope. Sa sœur, Kaori, décide de prendre la relève de son frère comme partenaire. Dès ce moment, Ryô s'efforcera de ne plus tuer. Ryô est une personne qui cache ses sentiments. Son passé très lourd n'est que vaguement évoqué. Il semble jouer un jeu quand il drague les jolies filles. Par la suite, on apprend que Kaori et Ryô s'aiment mais n'osent pas se l'avouer, car Ryô ne peut se permettre de tomber amoureux avec le travail qu'il fait et le milieu dans lequel il vit car comme il le dit si bien " une femme peut tomber amoureuse et le rester toute sa vie, moi je ne peux l'être que de temps en temps" (Amour, Destin et un Magnum 357)… Enfin disons qu’il ne peut l’assumer que de temps en temps.  

XYZ…  

Chapitre I  

Le soleil qui brillait à travers la fenêtre de la chambre de Kaori, venait lui caresser le visage. Elle ouvrit un œil, puis l’autre et se redressa d’un bond dans son lit en étirant paresseusement ses bras.  

-(kaori) Humm !!! Quelle belle journée, j’espère qu’aujourd’hui il y aura une demande, ça fait tellement longtemps que l’on n’a pas eut de client, que je commence à désespérer.  

Enfin ! Déjà tu devrais te lever ma vieille et après on verra !!!  

Kaori sortit difficilement de son lit et alla directement à la salle de bain prendre sa douche.  

Une fois fin prête, elle sortit acheter de quoi préparer le petit déjeuner et rentra.  

Habituellement, elle se contentait de préparer le strict minimum pour Ryo (café et pain), mais aujourd’hui, elle était d’humeur à être plus douce avec lui, bien qu’il ne le mérite pas, mais bon, il y a des matins comme ça ou on ne sait pas pourquoi on décide de faire tel ou tel choses.  

Bref, elle lui prépara une table digne de ce nom : au programme petit déjeuner français (pain confiture viennoiserie) qu’elle était parti chercher ce matin même dans une charmante petite boulangerie qui s ‘était installé il n’y a pas très longtemps dans le cartier.  

-(kaori) Ah ! c’est qu’il va être surpris… il a intérêt à apprécier, sinon ça va barder !!!  

Elle venait tout juste de mettre la touche final à la table, un magnifique bouquet d’oeillet blanc, allez savoir peut être qu’au passage, ça inspirerait ce cher ryo.  

-(kaori) j’en doute, se dit elle.  

Il est vrai que plusieurs mois s’étaient écoulés depuis le mariage de Miki et Umibôzu. Et ou Ryo s’était quasiment déclaré, mais comme toujours et bien que particulièrement cette fois ci il lui avait avoué son amour, rien de plus n’avait changé, s’était vraiment pitoyable d’ailleurs. Elle avait même décidé d’en prendre son partie et de ne plus espérer.  

-(kaori) C’est vrai, je le connais depuis si longtemps, je sais comment il fonctionne, et bien que pendant des années j’ai douté qu’il puisse m’aimer, je sais désormais, qu’il tient suffisamment à moi pour ne pas vivre cette relation. C’est sa façon à lui de me protéger.  

Mais franchement quel idiot, qu’est ce qu’il s’imagine, que tout les truands de la planète vont décider de me faire la peau pour lui pourrir la vie ? Non je rêve, quel imbécile !!! Et puis de toute façon, vu que je suis sa partenaire, ils s’attaquent toujours à moi pour essayer de l’atteindre, alors, il devrait arrêter de ce prendre la tête, et enfin me courtiser comme je le mérite et me rendre heureuse.  

Mais non… MONSIEUR préfère me pourrir la vie !!!  

Bref, quelle heure est il ? Ouah ! Quoi déjà 10h, il faut que j’aille réveiller se paresseux, et que je file faire un tour au tableau des messages, on ne sait jamais…  

-(kaori) Ryo, Ryyooo… lève toi gros paresseux, tu as vu l’heure !!!  

Kaori s’époumonait dans les escaliers en direction de la chambre de ryo.  

Quand à lui, réveillé déjà depuis bien longtemps comme toujours, il attendait patiemment que kaori vienne l’éveiller comme tous les matins, ça façon à lui de savourer leur relation !!!  

Mais ce matin elle avait tardé à venir le susciter et il se demandait ce qui pouvait bien la retarder, en se disant qu’il valait mieux aller vérifier… quand il l’entendit hurler son nom dans les escaliers.  

Il referma les yeux juste avant qu’elle fasse irruption avec fracas dans sa chambre comme à son habitude.  

-(ryo) Quoi, qu’est ce qui se passe ? un tremblement de terre ?  

Ah c’est toi !!  

-(kaori) Quoi un tremblement de terre t’a vu l’heure, lève toi.  

-(ryo) Ouaih ! finalement ce n’était pas un tremblement de terre mais plutôt un troupeau de mammouth !!!  

-(kaori) Quoi tu me traites de mammouth, attend un peu tu vas voir le mammouth !!!  

Et là, elle sortit sa massue de 1000 tonnes, spécial « je suis vexée » elle fit tournoyer l’engin de toute ses forces pour asséna le coup de grâce à Ryo.  

Il se retrouva encastré dans le mur, avec sur les lèvres un petit rictus… et dit :  

-(ryo) Si j’avais su quelle sortirait le spécial « je suis vexée » je me serais abstenu…  

Un corbeau passa au dessus de la pièce…  

-(kaori) Je te conseille de ne pas me chercher et de te lever.  

Sur ce, Kaori ressortit de la pièce non s’en refermer la porte violemment, histoire de bien faire comprendre à Ryo, qu’elle n’avait vraiment pas apprécié de se faire traiter de mammouth.  

Ryo, qu’en à lui ravit quelque part de s’être prit sa petite massue du matin, décida de se préparer pour la rejoindre dans la cuisine.  

Quand il sortit de la salle de bain il alla directement retrouver kaori pour petit déjeuner.  

Quand il arriva dans la pièce, que fut, sa surprise de découvrir la table remplit de victuaille et à son attention en plus.  

-(Ryo) « Dis donc, elle est plutôt de bonne humeur ce matin », se dit il à lui même.  

Il leva les yeux et remarqua qu’elle était de dos, juste au dessus de l’évier entrain de faire la vaisselle, de ce qu’elle avait du utiliser pour préparer tout ça.  

-(Ryo) Ouah !! dis donc tu t’es surpassé ce matin !!!  

-(kaori) C’est vrai, tu apprécies ?  

-(Ryo) Ah oui, je dois t’avouer que je suis ravie, merci Kaori.  

Elle rougit, et lui répondit :  

-(kaori) Je t’en pris, ça me fait plaisir.  

Il l’a regardait fixement, qu’est ce qu’elle pouvait être belle, et si attentionné…  

je ne la mérite vraiment pas, se dit il.  

Kaori, qui rougissait de plus belle en voyant le regard pénétrant de Ryo sur elle, décida de faire un pas en sa direction. Bien que gêné elle le regardait tendrement.  

Ryo se rapprocha à son tour, il n’était plus qu’à quelques centimètres l’un de l‘autre.  

L’atmosphère s’était chargée d’une douce électricité, et nos partenaires se dévoraient des yeux.  

-(Ryo) Kaori ?  

-(kaori) Oui, Ryo.  

-(Ryo) …Dit est ce que tu crois que tu pourrais me faire un petit déjeuner anglais demain ?  

-(kaori) Quoi ??!!!  

-(Ryo) Et bien oui, aujourd’hui c’est français, demain anglais, après demain tu pourrais le faire à la turque...  

Il n’eut même le temps de finir, qu’elle l’attrapa par le bras et le fit valser au dessus de sa tête.  

-(kaori) Tient prend ça, c’est du pure japonais !!!  

Les quatre fers en l’air, et le nez en sang il lui demanda :  

-(Ryo) Mais qu’est ce qui t’arrive, je te posais juste une question ? tu n’es pas obligé d’être si violente.  

Kaori préféra se retirer avant de finir par le tuer.  

-(kaori) … Non mais franchement, qu’est ce qu’il s’imagine qu’il peut jouer avec mes sentiment comme ça, et que j’accepterai toutes ses excentricités sans rien dire, et bien ça pas question, ça va changer, ça doit changer…  

Et sur ceux elle prit son manteau et décida de sortir histoire de marcher un peu, de se calmer et d’aller voir le tableau des messages.  

Pendant ce temps dans la cuisine, Ryo ressentait une désagréable impression.  

-(Ryo) A ce rythme elle ne tiendra pas bien longtemps, il faut que je me surveille, j’ai presque faillit la prendre dans mes bras.  

Mais qu’est ce qui me prend, je pense à Kaori maintenant ? Ah là, là, ça ne va pas du tout…  

Je suis piégé, quel imbécile, franchement il a fallut que je lui dise que je l’aime et voilà, elle attend de moi que je me conduise comme je devrais le faire d’ailleurs.  

Pardonne moi Kaori, mais je suis un lâche, je n’y arrive pas. Je ne pourrai pas supporter que par ma faute il t’arrive malheur. Pardonne moi…  

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