Capitolo 1 :: titre de la chanson: caresse de (SLAI)

Pubblicato: 06-05-08 - Ultimo aggiornamento: 06-05-08

Commenti: une tite one shot pour mettre en lumière les paroles d'une chanson que j'apprécie. bisous à vous toutes et merci pour vos encouragements qui réchauffe le coeur. kiss'us à mes deux puces d'amour vous me manquez (sniff) bonne lecture!

Capitolo: 1

Dans un quartier de la capitale du Japon, un homme veille sur le repos de sa belle, la nuit a été agitée pour les deux amants, ils se sont donnés l’un à l’autre pour la première fois. Ryo avait allumé sa radio est mis le son bas pour ne pas réveiller la jeune femme allongée tout près de lui.  

De sa chaîne-hifi une chanson se fit entendre, cette douce mélodie ressemblait à ses pensées actuelles envers sa compagne.  

Je veux caresser  

chaque courbe, chaque forme de ton corps sublimé  

Enveloppée toute entière par la lumière étrange  

du jour au levé  

Pardonne-moi si j’ai franchi le seuil de ton intimité  

Et sent dans mes caresses toute ma reconnaissance  

De ce que tu m'as donné.  

« À cet instant que je te regarde dormir, une envie de prolonger notre étreinte passionnée de la veille me prends, contempler ton visage et ton corps me brûle de désir. Tu m’as offert le plus précieux des cadeaux qu’un homme comme moi ne mérite pas. Ta virginité est la plus belle preuve d’amour qu’on puisse me donner et à jamais tu resteras mienne. »  

Je cherche le bonheur à tous les recoins,  

Ailleurs dehors il est forcément loin,  

Le mien je le cherchais sans trop le voir,  

Il est dans tes bras et dans ton regard,  

Alors,  

« J’ai recherché un bonheur éphémère dans les lits de femmes que je ne connaissais même pas, étouffant ainsi l’amour et le désir que j’ai pour toi. Mais quand vient le lendemain loin de toi, je me sens vide avec la culpabilité de t’avoir trompé, mon bonheur je le sais pertinemment que c’est toi et être ici, toi blotti dans mes bras me rend heureux »  

Je veux caresser  

chaque courbe, chaque forme de ton corps sublimé  

Enveloppée toute entière par la lumière étrange  

du jour au levé,  

Pardonne-moi si j’ai franchi le seuil de ton intimité,  

Et sent dans mes caresses toute ma reconnaissance,  

De ce que tu m'as donné  

« Continuer mes effleurements de cette nuit sur ta peau me font frémir dans tout mon corps, j’ai goûté à chaque parcelle de ta peau et je ne peux plus m’en passer. »  

On guette à l’horizon le moindre signe,  

Dans la paume de nos mains la courbe des lignes,  

Et je m’éloignais de lui comme beaucoup d’autres,  

Il se trouve blotti au fond de ton cœur,  

Alors,  

« Pendant plus de huit ans je n’avais qu’une envie c’était de te toucher, je me faisais violence pour ne pas dessiner chaque courbe de ton corps en freinant cette tentation par tes massues qui savaient calmer mes ardeurs radicalement. »  

Je veux caresser  

chaque courbe, chaque forme de ton corps sublimé  

Enveloppée tout entière par la lumière étrange  

du jour au levé,  

Pardonne-moi si j’ai franchi le seuil de ton intimité,  

Et sent dans mes caresses toute ma reconnaissance  

De ce que tu m'as donné,  

Combien de temps perdu,  

En quête d’une illusion,  

Et tu m'as attendu,  

Patiente et dévolue  

Alors,  

« Du temps j’en ai perdu avec mon comportement imbécile, repoussant à chaque fois les instants de bonheur et de tendresse que tu me soufflais, les balayant par des mots de plus en plus crus pour que tu t’éloignes de moi, mais c’était peine perdue. L’amour que tu me portes est bien plus fort que je ne l’aurais cru, tu t’es montrée plus amoureuse que jamais. »  

Je veux caresser  

chaque courbe, chaque forme de ton corps sublimé  

Enveloppée toute entière par la lumière étrange  

du jour au levé  

Pardonne-moi si j’ai franchi le seuil de ton intimité,  

Et sens dans mes caresses toute ma reconnaissance  

De ce que tu m'as donné,  

La transparence de tout mes gestes à ton égard,  

L’étincelle qui s’atténue est dans mes regards,  

Tout cela je m'en suis rendu compte un peu tard,  

Un peu tard  

« Je suis certes le plus héroïque des hommes de tout ce pays mais néanmoins le plus lâche.  

Te faisant souffrir au quotidien pour te faire payer le sentiment que je n’avais jamais éprouvé,  

Je t’en ai voulu de m’avoir appris à aimer et être amoureux, car je sais que je suis éperdument amoureux de toi. Te sentir loin de moi me rend fou et te perdre me tuera.  

Je souhaite à présent être à tes cotés à jamais, ne plus être transparent envers toi et exister à travers toi. Je t’aime Kaori ! »  

La fin de la musique sonne dans l’oreille du nettoyeur, sa femme s’éveille peu à peu de ses songes et scruta son amant d’un regard plein de tendresse.  

Le jeune homme se pencha sur sa belle et l’embrassa fougueusement, mêlant leur langue dans une danse des plus sensuelles. Leurs mains coulèrent sur leur corps, allant de découverte en découverte, leurs corps en ébullition face à leur exploration gestuelle et buccale leur font se rapprocher de plus en plus jusqu’à s’unir pour ne faire qu’un, leur étreinte mouvementée atteint son summum et ils crièrent leur nom à l’unisson.  

Capitolo: 1