Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autori: yunalescaminnie , kitty80

Beta-reader(s): Yunalescaminnie, Kitty80

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 4 capitoli

Pubblicato: 02-08-08

Ultimo aggiornamento: 08-10-08

 

Commenti: 45 reviews

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RomanceHumour

 

Riassunto: Ryo avoue après une dispute son amour à Kaori. Mais au moment de fusionner, son mokkori se porte aux abonnés absents. Et voilà le début d'un examen de conscience qui commence en cette soirée qui sera riche en rebondissements... [En Hiatus]

 

Disclaimer: Les personnages de "Rire sous l'effet de la 1ère fois" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Rire sous l'effet de la 1ère fois [En Hiatus]

 

Capitolo 1 :: Préambule

Pubblicato: 02-08-08 - Ultimo aggiornamento: 02-08-08

Commenti: Bonsoir tout le monde, Nous voilà ma Kitty80 et moi même avec une nouvelle fic, qui nous espérons vous plaira. Nous nous sommes bien amusées à l'écrire. Nous tenons aussi à toutes et tous vous remercier pour toutes vos gentilles reviews, qui nous vont droit au coeur. Vous êtes toutes et tous des anges, à part quand vous nous faites pleurer dans vos fics (lol). Ce premier chapitre, vous a été écrit par ma chère Kitty. Ze te nem ma belle. Bon assez de blabla, je vous laisse à la lecture. Bisou.

 


Capitolo: 1 2 3 4


 

Je vais vous conter une histoire qui semble irréaliste mais tellement vrai...  

 

PARTIE 1 : PREAMBULE - Ecrit par Kitty80  

 

 

Je me présente, je me nomme Ryo Saeba, tueur numéro 1 du Japon, cauchemar de tous les Yakusas et autres crapules qui peuplent mon pays mais surtout mon quartier de Shinjuku.  

Mon métier si particulier m’amène à rencontrer des personnes avec des problèmes plus ou moins farfelus.  

 

Je fais toujours en sorte d’être engagé par de belles jeunes femmes, quoique, je préfère ne travailler pour elle qu’en tant que garde du corps. Mais, j’ai une attirance plus particulière pour leurs corps (haha !!!) ; bref je peux honorer les contrats de ces demoiselles, si, elles acceptent de tirer un coup avec moi, ce qui entraîne pas mal de complications.  

 

Car, j’ai moi aussi un garde du corps spécial, c’est ma partenaire Kaori Makimura. Elle s’arrange toujours pour que je ne reste pas seule avec nos clientes. Ce qu’elle ne comprend pas, c’est que j’ai une réputation à tenir celui de l’étalon de tout Shinjuku, de Tokyo voir même du Japon et qui sait même de toute l’Asie !  

 

Et voilà qu’un soir pris dans mes tourments et mon inquiétude, je dévoile les sentiments que je dissimulais jusqu’alors envers Kaori.  

 

Une envie d’elle me prit au corps, lorsque nos lèvres se touchèrent, rien d’exceptionnel me direz-vous ? Mais pour moi, que l’on nomme l’Ange de la mort, cette sensation nouvelle a brûlée tout mon être.  

 

Car, je n’avais jamais éprouvé d’amour réel envers qui que ce soit, vu que ma vie passée ne me donnait pas le choix, les mots « tuer » et « ennemie » c’est ce qui faisait mon vocabulaire. Jusqu’à ce que je rentre au Japon, où je fis la connaissance de Maki, mon frère, mon meilleur ami qui est mort injustement par un cartel de drogue, il y a de ça plus de six ans. Avant de quitter ce monde pour toujours, il m’avait demandé de veiller sur sa jeune sœur, Kaori.  

 

Mais en disant cela, je ne pensais pas que veiller sur une personne pouvait être un dilemme au quotidien. Au début de notre partenariat tout était si simple, je ne la voyais que comme la sœur de mon ami et je me comportais tel un grand frère voir un père de substitution pour elle. Donc, je n’éprouvais pas d’attache particulière et de plus elle était jeune.  

 

Mais au fur et à mesure, nos relations sont devenues différentes, je ne la voyais plus avec ce regard protecteur, mais bien plus. Ce sentiment, que je ne connaissais pas, celui de se sentir vivant quand elle est proche de moi, et quand elle me regarde avec ses jolis yeux noisette qui dégagent tant de pureté et d’innocence. Elle m’apporte l’oxygène à chaque pore de ma peau, quand je manque de m’étouffer, elle me sauve de mes délires quand l’arme au poing, je vais pour tuer. Elle a rescapé mon âme blessé et pansé mes plaies grâce à ses sourires, qu’elle seule s’est m’adressée. Oui, elle a fait de ma vie un paradis que seul ma mort aurait pu s’ouvrir, ce dont je n’étais pas certain, tellement mes mains sont salies par le sang des personnes à qui j’ai ôté la vie.  

 

Kaori, mon fruit défendu ! Tout le contraire de moi et pourtant sans elle, je ne survivrais pas et je me laisserais tuer par le premier venu qui me défierais pour être le numéro un. Moi, l’homme aux milles femmes dont une seule fait battre vraiment mon cœur depuis tant d’années.  

 

Aujourd’hui, je me revois lui dévoiler toutes mes pensées, un soir, où durant toute la journée, je l’ai cherché après une énième dispute qui cette fois-ci fut celle de trop pour elle. Elle a craqué et quitté l’appartement et je suis resté là, dans notre salon sans faire le moindre geste, attendant que les mots cinglants se dissimulent dans mon cerveau.  

 

Puis ne la voyant pas revenir comme à son habitude, pour me préparer mon repas car malgré nos querelles Kaori veille toujours sur moi. Je pris le combiné et composa le numéro du cat’s eyes, à l’autre bout du fil Miki me dit qu’elle n’est pas venue de la journée, et c’est le cœur battant à vive allure, que je raccroche le téléphone.  

 

Je connais le programme journalier de ma douce, même en colère, elle ne néglige jamais de passer voir nos deux amis et ex-mercenaires récemment mariés Umibozu et Miki pour les saluer et boire un café. Mais là, elle n’était pas venue, lui est-il arrivé quelque chose ou l’a-t-on kidnappé ?  

 

Comme à son habitude, Kaori est toujours en proie aux enlèvements pour tenter de m’intimider. Mes rivaux n’ont jamais connu mieux pour me faire sortir de mes gonds. Enfin, je passe ce petit passage de héros aux yeux de ma belle.  

 

N’en pouvant plus de rester dans cette pièce, où, je commence à étouffer ; je pars à la recherche de ma brise de fraicheur. Une angoisse constante me tiraille le cœur, et si elle avait trouvé l’amour dans les bras d’un autre. Une colère et une envie de meurtre me gagne, je ne pourrais jamais supporter de voir mon rayon de soleil connaître le bonheur ailleurs que dans mes bras. C’est impossible voir inconcevable !  

 

Mais, qui suis-je pour être aussi égoïste ? Je lui fais comprendre qu’elle n’est rien à mes yeux, la blesse avec mes mots de plus en plus acerbes et amers à son égard et tout d’un coup, je ne veux pas la voir amoureuse d’un autre, quel salaud que je suis !  

 

Je déambulais dans tous les coins, qu’elle a l’habitude de côtoyer, quand je la vis, plus belle que jamais ses cheveux balayé par le vent, ses yeux plongés au loin, mais scintillants des larmes qu’elle avait du verser. Mon cœur ne supportant pas qu’elle est pleurée encore et à cause de moi se fendit comme un liquide.  

 

Je m’approche d’elle, les genoux à la limite de fléchir, le cœur battant à rompre un vaisseau, je lui pose une main sur son épaule. Elle ne m’avait pas senti arriver et ce simple geste la fit sursautée et elle me regarda étonné, mais surtout en colère.  

 

La nuit n’allait pas tarder à pointer avec sa lune et la fraicheur de la brise s’intensifiait de plus en plus. Je lui suggérai de regagner notre appartement, et c’est là qu’elle se tourna et me jeta un regard noir. Je compris alors que la partie était loin d’être remportée, mais le climat devenait glacial, alors, j’entrepris d’ôter ma veste et lui déposa sur les épaules. Elle ne réagit pas face à ce geste.  

 

N’y tenant plus, je la retourne presque violemment pour qu’elle me fasse face, et ses yeux inondés par les larmes me firent mal. Je lui demande de me pardonner pour ce que j’ai pu lui faire. Elle me répond une phrase qui m’a complètement terrassé, elle veut me quitter. Ces mots se répètent inlassablement et s’impriment dans tout mon être.  

 

Que répondre à ça ?  

 

L’homme le plus craint de tout le milieu et des pires criminels, blessé par des syllabes sorties de la bouche d’une femme. Mais par n’importe quelle femme, la femme de ma vie, oui, de ma vie.  

 

Je reprends peu à peu conscience de la situation épineuse dans laquelle, je me trouve et lui dit sans réfléchir que je l’aime, et, que ma vie sans elle serait vouée à ma perte.  

 

A cet instant, la surprise se peint sur son visage, puis le silence, un silence qui me martyrise, tant que les secondes défilent. Elle me répond finalement après quelques minutes interminables pour ma personne, qu’elle aussi m’aime, mais que ce jeu entre nous ne peut plus durer. Car, s’aimer un jour et se détester tous les jours ne font que la tuer à petit feu chaque jours qui passe.  

 

Je l’écoute déverser tout son mal être de me supporter depuis toutes ces années de cohabitation, et, toutes les vérités à mon égard me gifle en pleine figure. La douleur et la souffrance, qu’elle a du subir à cause de mon indifférence me donne froid dans le dos et ce n’est pas faute de ne pas savoir ce qu’elle éprouve.  

 

Mais, ce flot de parole et dite de vive voix me brise, je suis un être odieux !  

 

Comment a-t-elle fait pour rester à mes cotés tout ce temps ?  

 

Son amour pour moi est si fort, tout comme le mien pour elle. Ne supportant plus de l’écouter et de la voir pleurer, je la saisie vivement par le poignet et l’attire vers moi. Elle se débat, mais face à la pression sur son poignet, elle se résigne. Je sais que sur le coup la douleur que je lui fais subir est intense, mais je ne pouvais plus l’entendre parler sans agir à ma manière. Car, pour moi les gestes valent plus que les mots, et puis tant pis me dis je, les mots viendront après cet acte que je m’apprête à faire.  

 

Je lui relève le menton et l’oblige à me regarder en espérant vainement, qu’elle s’aperçoive du trouble qu’elle m’a causé, la tristesse mélangé à du désir.  

 

C’est à ce moment là que je choisis d’approcher mon visage du sien et lui effleure d’un baiser timide ses douces lèvres. Je me pousse légèrement pour voir sa réaction, elle baisse les yeux et le rouge aux joues. Je recommence alors la même phase, mais cette fois, j’accentue le baiser en y mettant plus de passion et essayant de lui faire comprendre tout l’amour qu’elle m’inspire, et ne lui laissant à peine le choix de respirer. Car telle une sangsue, mes lèvres ne voulaient pas se décoller de cette saveur fruitée qu’est sa bouche, délicieuse et envoutante, c’est ce que me dicte mon cerveau.  

 

Après, cet échange buccal, dont je ne voulais pas laisser en suspend trop longtemps, car ses lèvres fruités me manquaient déjà. Car hélas, le lieu et la température ne s’y prêtant pas, je lui chuchote à l’oreille, que je me détache d’elle à contrecœur, mais que quelque part dans un quartier de Shinjuku, il y a un lieu plus paisible que l’extérieur et que cet endroit n’est autre que notre appartement. Elle me fit un mouvement de tète qui me disait, qu’elle approuvait et qu’elle acceptait de me suivre.  

 

Le long du chemin qui mène à notre demeure me paru si long, car ayant gouté et savouré ses lèvres, je n’avais qu’une envie recommencé là et tout de suite. Qu’importe, si on me tirait dessus à cet instant, Je serai au moins mort en ayant avoué mon amour à la femme de ma vie et je pourrai dire que j’étais heureux à cet instant précis. Je lui pris la main et la serra dans la mienne, et c’est comme cela que nous avons franchi la porte de notre appartement.  

 

 


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