Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: katiadelage

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 15 capitoli

Pubblicato: 24-08-08

Ultimo aggiornamento: 09-10-08

 

Commenti: 80 reviews

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ActionRomance

 

Riassunto: Avant d’entamer cette histoire, je vous demanderai pour celles et ceux qui ne m’ont jamais lu, de lire absolument le Tome 40 « Ne me quitte pas… » Avant de lire celui-ci. Merci et bonne lecture.

 

Disclaimer: Les personnages de "Tome 41 "Ne Me Quitte Pas... Suite"" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Tome 41 "Ne Me Quitte Pas... Suite"

 

Capitolo 1 :: Chapitre I

Pubblicato: 24-08-08 - Ultimo aggiornamento: 24-08-08

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15


 

Historique…  

 

Ryô Saeba est un homme de l'ombre, un nettoyeur. Filatures, garde du corps, parfois meurtres, il accepte n'importe quel travail du moment « que le cœur du client [fait] vibrer le mien », dit-il. Son partenaire Hideyuki Makimura, est un ancien policier. Un jour Makimura est assassiné par le cartel Union Teope. Sa sœur, Kaori, décide de prendre la relève de son frère comme partenaire. Dès ce moment, Ryô s'efforcera de ne plus tuer. Ryô est une personne qui cache ses sentiments. Son passé très lourd n'est que vaguement évoqué. Il semble jouer un jeu quand il drague les jolies filles. Par la suite, on apprend que Kaori et Ryô s'aiment mais n'osent pas se l'avouer, car Ryô ne peut se permettre de tomber amoureux avec le travail qu'il fait et le milieu dans lequel il vit car comme il le dit si bien " une femme peut tomber amoureuse et le rester toute sa vie, moi je ne peux l'être que de temps en temps" (Amour, Destin et un Magnum 357)… Enfin disons qu’il ne peut l’assumer que de temps en temps.  

 

NE ME QUITTE PAS… SUITE…  

 

 

 

Rappel sur la fin du dernier tome…  

 

Le soleil commençait à décliner sur les hauteurs de la montagne, ils se regardèrent très sérieusement, et Ryo proposa au nettoyeur de dégainer quand les derniers rayons du soleil disparaitraient derrière les collines.  

Ils se positionnèrent face à face, attendant l’obscurité. Il n’en resterait qu’un, mais lequel ?  

 

Le crépuscule fit donc son entrée par cette belle soirée du mois d’Avril, et nos deux nettoyeurs sortirent leurs armes en se pointant du canon…  

Le vent se réveilla, soulevant quelques feuilles au passage…  

Les crosses argentées de deux armes à feu brillèrent dans l’obscurité.  

Et ils tirèrent…  

Il se passa un moment avant qu’un corps lourd ne s’écroule…  

Ryo venait d’être touché. La première balle lui traversa la poitrine, l’éjectant au sol, cloué à terre, Ryo crispa sa main contre son ventre et pivota pour essayer de se relever.  

Mais le tueur ne lui laissa pas le temps.  

La deuxième balle atteignit Ryo à la tête. Il roula sur le sol alors que l’assassin s’avançait vers lui, braquant l’arme dans sa direction pour faire feu une troisième fois.  

Un long filet de sang s’écoula de sa bouche.  

A terre gisant sans protection, tandis que tout vacillait autour de lui, il releva la tête et aperçut son ami, et le regarda sans haine.  

Le duel avait été propre, ils avaient agit comme deux professionnels et kit à mourir autant que se fusse de la main de cet homme.  

Et, avant de perdre totalement conscience….  

 

- (Ryo) Ne fait pas de mal à Kaori,…  

 

- (La Larme) Je ne lui ferais aucun mal, je te l’ai déjà dis, ne craint rien.  

 

La Larme se rapprocha de Ryo et le prit dans ses bras, il le regardait comme un père regarde son fils, son regard était ampli d’une grande tristesse.  

Quand tout à coup la Larme entendit une détonation et sentit une forte brulure au niveau de son cœur.  

A cause du vent et de la pluie qui s’était mis à tomber, il n’avait pas entendue les bruits des pas qui se rapprochaient.  

Dans le reflet de l’arme de Ryo qui était resté à terre, il eut juste le temps d’apercevoir simplement le reflet d’une ombre mouvante et avait sentit trop tard la présence qui se trouvait derrière lui.  

L’endroit étant plongé dans la pénombre, il était impossible à La Larme de distinguer le visage de son agresseur. Une fois que la balle qu’il avait reçu en plein cœur, le projetant à son tour au côté de Ryo, il constata que la silhouette avançait vers lui d’un pas résolu.  

Qui ? Se demanda-t-il ? Qui ?  

Sur son visage, il sentait l’eau glacée de la pluie qui se mélangeait au sang et lui embuait les yeux.  

Tout se brouilla autour de lui, mais il essaya une dernière fois d’apercevoir les traits de son meurtrier, avant de mourir.  

 

- (Kaori) C’était vous…  

 

Kaori était arrivé en courant cherchant son partenaire désespérément à la fin de la conférence qui s’était très bien passé pour les Chefs d’Etats.  

Elle avait été conduite par le fracas des bruits des armes à feux, et avait courut pour enfin arrivé au lac et constater que son partenaire était au sol gisant à moitié mort.  

Elle ne savait pas trop se qui s’était passé, mais elle avait sortit à son tour son arme et avait tiré sur celui qui lui avait enlevé Ryo.  

 

- (Kaori) Ryooooooooooooooooooooooooooooo…  

 

Elle avait reprit sa course pour se jeter sur lui. Elle pleurait… pleurait, n’arrivant pas à se rendre compte de ce qui se passait.  

 

- (Ryo) C’est la fin, Kaori…  

 

- (Kaori) je t’en prie ne parle pas. Ne dis rien je vais aller chercher du secours, je t’en prie ne meurs pas, ne me laisse pas, je t’en prie… ne me quitte pas… Je t’en supplie…  

 

Elle se relevait pour trouver un téléphone et prévenir les secours, quand il lui attrapa la main.  

 

- (Ryo) Reste avec moi, je ne veux pas partir seul. J’ai besoin que tu restes à mes côtés. Kaori, je sais que je t’ai souvent fait pleurer, mais je t’aime, et je t’ai toujours aimé…  

 

Et Ryo ferma les yeux pour ne plus jamais les ouvrir…  

Puis un cri de douleur déchira la pénombre de cet endroit si paisible.  

 

Chapitre I  

 

Le Président qui s’inquiétait de ne pas revoir Kaori revenir, se lança à sa recherche aidé par le Premier Ministre ainsi que ses gardes du corps.  

Le Général Sato était resté en retrait, ne comprenant pas ce qui s’était passé et surtout pourquoi le Président était toujours en vie.  

Quand Nicolas arriva auprès de Kaori, il constata avec horreur les deux cadavres inanimés. Kaori était allongé tout contre le corps de Ryo et pleurait toujours.  

Nicolas se rapprocha d’elle, la prit par la taille pour l’éloigner et demanda aux autres hommes de l’aider à transporter Ryo d’urgence à l’hôpital.  

 

- (Kaori) Il est mort…  

 

- (Président) Kaori, faite moi confiance, et laisser moi faire.  

 

Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que Kaori s’évanouit fiévreuse dans ses bras.  

 

Quand elle reprit connaissance, elle se trouvait dans ce qui devait être un hôpital. Elle sentait ces odeurs propres à ses établissements, puis elle se rappela… Ryo ?  

Elle se leva précipitamment, et sortit de sa chambre.  

Quand elle arriva dans le couloir, elle fut surprise de voir un garde à l’entrée, mais surtout elle avait plus l’impression d’être dans un boumkeur, voir une base militaire que dans un hôpital.  

Kaori lui demanda ce qu’elle faisait ici et surtout ou elle se trouvait.  

Le garde se présenta, et lui proposa de la conduire auprès de spécialistes qui lui expliqueraient la situation plus en détail.  

Elle le suivit, et se retrouva dans une grande pièce ou de nombreux militaires s’afféraient à la tache.  

Elle aperçut le Président qui se rapprocha d’elle, et lui demanda.  

 

- (Kaori) Qu’est ce que je fais là ? Et ou est le corps de Ryo ?  

 

- (Président) Kaori, calmez vous, je vais vous expliquer.  

 

Il la prit à part, et commença à lui raconter, ce qui s’était passé après qu’elle se soit évanouit dans la montagne.  

 

- (Président) Ce que je m’apprête à vous dire est classé Top Secret. Vous êtes sur une base militaire hospitalière de recherche qui a été crée entre votre Premier Ministre et moi même, il y a quelques années. Nous faisons des recherches très importantes sur beaucoup de virus, et bien sur nous faisons des expériences pour expérimenter ce que l’on peut découvrir. Cette base hospitalière à des ressources dont vous ne pouvez pas vous imaginer l’ampleur. Je suis un homme de valeur et j’ai beaucoup apprécié votre prévenance. Il est vrai que vous avez accepté un contrat pour me protéger, mais j’ai été surprit par votre gentillesse et votre bonté d’âme. Mr Saeba a également donné sa vie pour me sauver, alors j’ai décidé de faire quelque chose pour vous.  

 

- (Kaori) Mais que pouvez vous faire, Ryo est mort ?  

 

- (Président) Le cœur de Ryo n’a été quand partit touché, et nous travaillons en ce moment sur la régénération des tissus de l’organisme.  

 

- (Kaori) Qu’est ce que ça veut dire ?…  

 

- (Président) Ca veut dire qu’avec ce qui restait du cœur de Ryo, nous avons cloné ses tissus pour reconstituer son cœur, et pouvoir le ramener à la vie. On a eut beaucoup de chance. A trois minutes près, on le perdait…  

 

- (Kaori) Mais… Je ne comprends pas !!!  

 

- (Président) Le Clonage thérapeutique normalement est encore à l’état de projet. Pour faire simple, ça consiste à cloner des cellules d’un patient et à utiliser celles de l’embryon résultant pour récupérer des cellules, tissus, ou organes pour soigner le patient, ce qui est notre cas.  

 

- (Kaori) Alors…  

 

- (Président) Alors il est en vie. Vous voulez le voir ?  

 

- (Kaori) Nicolas, je ne pourrais jamais vous remercier comme il…  

 

- (Président) C’est moi qui vous remercie pour tout. Allez, venez…  

 

- (Kaori) Mais, au fait ! Qu’est ce que vous faite là ? Vous ne deviez pas rentrer en France juste après la conférence ?  

 

- (Président) Oui, c’est exact. Mais je tenais à rester pour superviser personnellement l’opération de Mr Saeba. Donc je suis là pour encore quelques jours.  

 

Le Président la conduisit dans une seconde pièce attenante à la grande salle ou se trouvait son partenaire.  

Puis Kaori se rappela qu’elle avait tué la Larme par rage, mais que néanmoins le commanditaire de cet assassinat n’était toujours pas démasqué.  

Elle se rappela ce que lui avait dit Ryo sur le Générale Sato, et décida de faire quand même attention à celui ci, ne sachant pas si la menace était levée sur le Président.  

Ils arrivèrent dans une chambre.  

Ryo était allongé sur un lit, de nombreuses machines positionné autour de lui pour le maintenir en vie.  

Le spectacle était douloureux et Kaori avait du mal à supporter de voir celui qu’elle aimait dans cet état. Mais il était en vie et s’était incroyable…  

 

- (Président) Votre partenaire est dans un coma traumatique de troisième catégorie. Nous avons fait tout ce que nous avons pu et maintenant c’est à lui de jouer. C’est à lui de décider s’il veut vivre et il va falloir qu’il se batte pour s’en sortir.  

 

- (Kaori) Mais… Je croyais qu’il était hors de danger ?  

 

- (Président) C’est effectivement en partie le cas, l’opération c’est très bien déroulé, mais il est encore dans le coma. Ce terme signifie « sommeil profond » en grec ancien. C’est une sorte d’abolition de la conscience et de la vigilance non réversible par la stimulation, consécutive à une lésion cérébrale traumatique. Et comme je vous l’ai dis, lui seul peut décider de revenir ou pas. Le mieux est encore de lui parler. On dit que même inconscient il peut entendre…  

 

Kaori le regarda tendrement, elle allait rester à ses cotés, même si ça devait être pour la vie se dit-elle.  

 

Et pendant ce temps flottant quelque part…  

 

- (Ryo) « … Je flotte, léger comme l’air, au dessus des nuages. De là haut, je ne vois plus la terre, les arbres, les gens. Je flotte, mais je ne contrôle plus rien. Et je me laisse porter par une force, comme s’il y avait un aimant dans le ciel qui m’attirait irrésistiblement vers les hauteurs. Mais plus je monte, plus les nuages deviennent sombres, épais et menaçants. Et bientôt, j’ai l’impression de me perde dans la fumée noire d’un incendie qui m’étouffe et me brule. Il y a bien un tunnel, mais pas celui baigné de lumière vive. Je ne suis pas surpris. Je savais que l’enfer m’attendait… C’est plutôt un passage souterrain, huileux et visqueux, qui sent le goudron fondu. Dans ce passage, une lucarne qu’on aurait oublié de fermer ; une fenêtre ouverte sur mon avenir. Je me penche pour observer, et ce que je vois me remplit d’effroi. Je suis couché sur un lit, paralysé, mon visage néanmoins serein. J’essaye de bouger la tête mais je n’y arrive pas. Je tente de me relever, mais je suis prisonnier d’une armure invisible. J’ouvre la bouche pour appeler Kaori, mais je reste muet. Dans mon esprit tout est étonnamment clair, je me rappelle… le duel… les images des dernières heures de ma vie défilent dans ma tête. Cette fois c’est fini… Je sais qu’il n’y aura pas de réveil… pas de nouvelle journée. Mais je ne comprends pas… Je suis toujours là, dans ce monde, dans cette pièce… »  

 

La porte de la chambre s’ouvrit et le Générale Sato se présenta.  

 

- (Générale) Melle Makimura, bonjour. Je vois que vous êtes déjà réveillé.  

 

- (Kaori) Oui.  

 

Elle observa le Générale, et ressentit une désagréable impression qu’elle ne pouvait s’expliquer.  

 

Celui ci exaspéré par la tournure qu’avait prit les évènements de ces derniers jours, tenta de paraitre décontracté, et prit des nouvelles de Mr Saeba comme il se le devait.  

Néanmoins sa détermination d’abattre le Président Français n’était pas retombé. Quand bien même la conférence secrète avait eut lieu et s’était soldé par un accord entre les deux partie. Le Générale supportait difficilement la présence de celui ci.  

Il faut dire que le problème remontait de beaucoup plus loin.  

Le Générale avait des opinions divergentes en ce qui concerne la politique de son pays, et surtout la façon de diriger leurs armées.  

Le japon étant une monarchie constitutionnelle avec un parlement bicaméral, le kokkai ou diète. Ce régime politique avait été mis en place en 1945 en accord avec les forces d’occupations aériennes.  

Le pouvoir exécutif appartenant au cabinet responsable devant la diète, composé du Premier Ministre (qui est le Chef du gouvernement au Japon et détient le pouvoir exécutif) et de Ministres d’Etats, tous devant être civile.  

Le Premier Ministre a le pouvoir de nommer et d’émettre les ministres dont une majorité doit être les membres du parlement.  

Il représente également l’Etat Japonais sur la scène Internationale.  

Ce qui n’était pas au gout du Générale qui manipulait son prédécesseur à sa guise mais n’avait désormais plus de prise sur le Premier Ministre actuel.  

C’est pour cette raison que si un Chef d’Etat tel que le Président de la République Française venait à mourir tragiquement sur le territoire Japonais, Le Premier Ministre en serait directement responsable et devrait tacher de rendre des comptes, mais également devrait se destituer de ses fonctions.  

 

 


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