Capitolo 1 :: Le choix de Kaori

Pubblicato: 28-09-08 - Ultimo aggiornamento: 08-10-08

Commenti: Coucou !! Voilà une fic un peu spéciale. A la fin de ce chapitre c'est à vous de choisir. Je lance les votes aujourd'hui, et les stopperais le 6 octobre. La suite à ce chapitre sera publié au plus tard le 20 octobre. Bonne lecture à tous.

Capitolo: 1 2 3 4

Je suis là assis au bar. Miki et Falcon discutent ensemble. Et moi, je suis seul en train de boire mon café, quand soudain la porte s'ouvre sur toi, et lui. Un an que vous êtes ensemble aujourd'hui, et moi je n'ai rien pu faire pour l'en empêcher.  

Je me rappelle de ce moment comme si c'était hier. J'étais tranquillement installé ici au Cat's en train de boire un café. Et je vous ai vu tous les deux franchir la porte. Tu semblait si rayonnante ma Kaori, alors j'ai vite compris la raison de ton bonheur, et elle se trouvait à tes côté. Tu étais amoureuse d'un homme, mais cet homme ce n'était pas moi.  

Lui aussi était heureux, il n'arrêtait pas de te couver, son regard remplit d'amour. Il te tenait par la taille comme s'il avait peur que tu t'échappes. Vous étiez tellement dans votre monde que vous ne m'avez même pas vu. Et au lieu de vous asseoir au bar, vous vous êtes installés à une table. Miki est venue prendre votre commande et vous a félicité. Elle avait à peine le dos tourné, qu'il s'est penché sur toi et qu'il a prit tes lèvres pour un baiser passionné. Te voir dans ses bras, Kaori, m'a fait un coup au coeur et j'ai compris à cet instant que je t'avais perdu à jamais. Je ne pourrais plus espérer un jour être ton amant, je n'aurais plus que la place de l'ami. Un ami très cher, mais un simple ami. A cette pensée, ma peine s'agrandit, savoir que si j'avais été moins lâche j'aurais pu être à sa place. Et qu'au lieu d'être seul au bar devant une tasse de café, je serais assis à cette table te tenant dans mes bras.  

Je pense que c'est la mort de Kazue qui a été un déclencheur à votre amour. Le jour où cette dernière est morte dans un accident de voiture, vous vous êtes rapprochés. Et maintenant vous êtes amants. Je connaissais ses sentiments à lui, je savais à quel point il tenait à toi Kaori, mais j'aurais cru qu'il ne se serait jamais déclaré, laissant à toi le choix entre lui et moi. Mais la mort de Kazue lui a fait comprendre qu'il ne voulait pas te perdre, et qu'il avait trop longtemps caché ses sentiments.  

Un an s'est écoulé et vous êtes toujours aussi amoureux. je le vois si prévenant avec toi, t'aidant à t'assoir. Je te regarde, ton ventre arrondi, la grossesse te rend encore plus belle. Quand vous m'avez annoncé que vous alliez avoir un enfant, j'ai sentis comme une douleur au fond de moi. Dire que si j'avais été moins faible, l'enfant qui grandit en toi aurait pu être de moi.  

Mais soudain tu t'approches de moi, puis tu tortilles tes doigts, comme si tu avais quelque chose d'important à me dire. Ton air timide me fait toujours aussi craquer. Tout comme les massues que tu m'envoyais quand je sautais sur les filles.  

Je vois à ton air gêné que tu as quelque chose à me demander. Quand soudain, je vois deux bras qui t'enlacent. Pris dans ta contemplation, je ne l'ai même pas vu arrivé, lui le père de ton futur enfant.  

Voyant que tu n'arrivais pas à me parler, il s'est approché de toi, et t'a prit dans ses bras, comme pour te donner la force de me parler. Quelle est donc cette chose si grave que vous ayez à me dire.  

Toi Kaori, tu le regarde, un air interrogateur au fond de yeux, lui a bien compris ta requête et c'est lui qui s'adresse à moi.  

- Kaori et moi, on voudrait que tu sois le parrain de notre fils.  

Voilà donc ce que tu avais autant de mal à me demander Kaori.  

Que répondre à une telle demande, surtout venant de deux être qui me sont chers. Toi, Kaori, mon premier amour et lui qui est comme un frère pour moi.  

Mon silence te fait de la peine, et je vois la tristesse dans tes yeux. Tu crois que je ne veux pas. que je n'ai toujours pas accepté le fait que vous soyez un couple. Mais tu te méprends sur mon silence. Malgré la peine que j'ai de vous savoir ensemble, je suis heureux. Heureux que vous ayez pensé à moi pour être le parrain de votre fils, alors je fais la seule chose possible et je vous dit.  

- C'est un honneur pour moi que vous m'ayez choisit, et j'accepte avec joie d'être le parrain de votre enfant.  

Tu es heureuse toi aussi ma Kaori, et tu te jette à mon cou et dépose sur ma joue un tendre baiser et tu me dit à l'oreille.  

- Merci d'avoir accepté, je n'aurais pas voulu qu'un autre soit le parrain de notre enfant.  

Je regarde ton compagnon, il me souris, même si ce n'est qu'un sourire de façade, car il sait les sentiments que j'éprouve pour toi. Mais d'un regard, je le rassure, et lui fait comprendre que c'est lui qu'elle a choisit et que je m'incline, et que jamais je ne chercherais à briser votre couple.  

Soudain tu t'écartes de moi et tu recule. Lui s'approche de moi et me tend la main en me disant.  

- Merci vieux frère.  

Puis il se glisse derrière toi. Ses mains t'entourent et se pose sur ton ventre, qu'il se met à caresser. A cet instant, je vois face à moi une famille. Il est si tendre et attentionné avec toi que je me dis que tu as sûrement fait le bon choix.  

Il sent que tu es fatiguée, alors il te guide vers une table, m'invitant à vous rejoindre. Je n'ai pas trop envie de le faire, mais je n'ai pas envie de te faire de la peine, alors je vous suis. A table, nous discutons de tout et de rien. Vous évitez de parler de sujets trop intimes car vous ne voulez pas me faire de la peine. Alors je vous encourage dans cette voie. Vous demande si la chambre du bébé est prête. Alors toi ma Kaori tu te lances, tu me dit tous les détails de cette chambre qui n'attend plus que le petit être qui est en toi.  

Tu m'invites à venir vous rendre visite plus souvent. Qu'il n'est pas bon pour moi de rester tout le temps seul. Je leur dit que je viendrais plus souvent chez eux, bien que je sais que je ne tiendrais pas ma promesse.  

Puis quelques heures après votre arrivée, il dit que tu es fatigué, qu'il faut que vous rentriez. Alors vous me saluez, puis après avoir prit congé de Falcon et de Miki, vous quittez le café.  

Je vous suis du regard, puis quand je suis sûr que vous êtes bien loin, je prend à mon tour congé de nos amis cafetiers. Ils ont bien compris la peine que j'avais de vous voir ensemble, mais ils ne m'en disent rien.  

Et je rentre chez moi, seul.  

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