Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: Lauraw

Beta-reader(s): Lady Gaby

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 1 capitolo

Pubblicato: 04-12-08

Ultimo aggiornamento: 04-12-08

 

Commenti: 8 reviews

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Romance

 

Riassunto: J'espère que je n'ai pas fait trop de faute et que mon one shoot vous plaira... Je l'ai écris en à peine une soirée j'étais inspirer et merci à Kaori62 pour ma première com... j'ai changer quelques petite chose et j'attends car vos avis me boost super ! Joyeuses fêtes à tous le monde !!!

 

Disclaimer: Les personnages de City hunter sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: SANS DETOUR

 

Capitolo 1 :: ONE SHOOT

Pubblicato: 04-12-08 - Ultimo aggiornamento: 12-01-09

Commenti: A vos commentaires j'attends de savoir si mon unique chapitre vous à plu.

 


Capitolo: 1


 

Ce matin-là, Kaori s’était levée du pied gauche. Et pour cause, aujourd’hui c’était le jour de son anniversaire, elle avait trente ans et sa vie semblait en être restée au même point depuis dix ans..  

 

Plutôt que s’apitoyer sur son sort, elle avait récemment décidé de se prendre en main en changeant de style vestimentaire, tout en gardant des vêtements pratiques pour le travail. Bien que Ryô ne le lui avouait pas, la jeune femme s’améliorait grâce à Miki, et grâce à son amie Eriko. Ainsi, la partenaire de City Hunter avait-elle quelques vêtements convenables dans le fond de son armoire, vêtements qui mettaient sa silhouette et ses formes généreuses en valeur tout en lui permettant de se battre ou de courir, si le besoin se présentait.  

 

Elle chercha dans son armoire de quoi se vétir. Après avoir enfilé un jean noir et un petit haut rouge qui s’accordait parfaitement avec sa beauté naturelle, elle chaussa une paire de basket et descendit préparer le petit déjeuner. Pas de réveil pour son égoïste de partenaire, elle ne voulait pas le croiser jusqu’à ce soir. Ce soir il saura enfin ce qu’elle éprouvait, même si, la jeune femme en avait une peur bleue qu’il la rejette. Au moins, se dit-t-elle, je pourrais enfin respirer plus librement.  

 

Ryô, quant à lui, avait entendu la jeune femme se lever, se doucher et il n’avait pas bougé. Dieu qu’il aimait quand son ange venait le réveiller. Bien sur, il ne pouvait s’empécher de faire l’imbécile. Il fut tirer de ses pensées par un claquement de porte qui le fit bondir de son lit. La violence du claquement de porte fit signifier au nettoyeur, l’état d’humeur de sa partenaire. Elle était partie sans venir le réveiller…  

Il fronça les sourcils, elle semblait différente depuis quelques jours : elle portait de nouveaux vêtements qui la rendait encore plus sensuelle, provoquant en lui, la jalousie lorsque d’autres hommes la dévorait des yeux. Cette pensée lui fit serrer les poings. Il descendit à la cuisine où il y trouva son petit déjeuner et un mot de Kaori, lui disant qu’elle l’attendait au cat’s dans le cas où ils auraient un client.  

Intrigué il se souvint alors qu’aujourd’hui c’était l’anniversaire de son ange. Il alla vite s’habiller après s’être empiffré. Il quitta l’appartement bien décidé à savoir ce qui arrivait à sa partenaire.  

 

Kaori qui était passée à la gare pour y consulter le tableau à messages dans l’espoir d’y voir figurer un XYZ, avait rejoint le cat’s. Toujours pas de client en vu, cette nouvelle ne fit qu’accroître son état d’humeur. Elle marcha d’un pas rapide, tout en maudissant le jour de son anniversaire et attribuant tous les qualificatifs d’oiseau à son partenaire. Les passants la regardèrent bizarrement, les yeux de la jeune femme lancèrent des éclairs, elle mit à rugir :  

 

« Quoi ?! J’ai des raisons d’être énervée, j’ai trente ans et mon crétin de partenaire ne bouge toujours pas ! Je déteste la trentaine !!! Ca fait dix ans que je l’attends et rien !!! Ca fait dix ans que je suis sa partenaire et pas un compliment !!! Je déteste les hommes !!! »  

 

Cela faisait également dix ans que son frère avait été assassiné par l’Union Toepe, dix ans qu'il lui manquait. Son regard se voila à la pensée de son frère. Une larme solitaire roula le long de sa joue, larme qu’elle effaça d’un revers de la main. Il fallait qu’elle se ressaisisse, la vie était quelque chose de précieux, surtout à force de côtoyer la mort. C’est pourquoi, la jeune femme décida de n’avoir plus aucun regret.  

 

Elle inspira profondément à l’entrée du café, poussa la porte et prit place au bar pour discuter avec son amie Miki qui l’accueillit avec le sourire en criant.  

- Joyeux anniversaire ma belle. Ce soir on fait la fête.  

La jeune femme sourit devant l’enthousiasme de son amie et l’embrassa en souriant.  

- Merci Miki, Falcon n’est pas là ?  

- Il est sortit faire des courses, dans mon état je ne peux rien porté de trop lourd.  

Miki était enceinte de 6 mois. La grossesse lui allait bien. La mercenaire respirait le bonheur, elle semblait si heureuse. Kaori prit conscience à cet instant qu’elle était envieuse du bonheur de Miki. Miki aimait Falcon et ce dernier le lui avait retourné. Il avait fini par accepter d’épouser Miki et de lui donner un enfant. Un bonheur que Ryô se refusait et dont Kaori se sentait privée. Un voile de tristesse apparut soudain dans les yeux noisettes de la moitié de CH.  

Miki la fixa un instant les yeux plisser en ce demandant ce qui arrivait à son amie mais, un missile blond passa alors la porte et se retrouva encastrer dans une massue "made in Kaori" qui sourit en disant.  

- Bonjour Mick.  

Se levant prestement, il lui baisa la main de la jeune femme, la faisant rougir, tout en lui disant :  

- Bonjour et Joyeux anniversaire ma douce Kaori. Plus les jours passent et plus tu embellis.  

- Merci Mick, tu es adorable.  

la cloche tinta à nouveau, cette fois-ci, ce fut un missile aux cheveux noir. Ce dernier se jeta sur Miki mais, il fut arrêté par Flacon de retour des courses. Ce dernier attrappa Ryô par le pied et le propulsa contre le mur en marmonnant à l’attention du pervers numéro 1 :  

- Laisse ma femme tranquille, elle a besoin de repos et non de pervers.  

Passant derrière le comptoir il marmonna en posant les courses.  

- Bonjour et bon anniversaire Kaori.  

- Merci Falcon.  

Répondit-elle surprise. Ryo, lui, ne s’adressa même pas à Kaori. Il préfèra, en effet, se jeter sur Flacon pour l’embêter :  

- Allons nounours tu deviens bien protecteur, le futur papa serait-il frustré par la nouvelle maman.  

- Tais-toi pervers, tout le monde n’est pas comme toi.  

Grogna le géant en jetant Ryo contre le mur d’où il venait tout juste de se décoller. Kaori qui s’attendait à ce que son partenaire lui souhaite lui aussi son anniversaire, encaissa difficilement l’indifférence et le silence de ce dernier. Elle se leva de son tabouret en s’adressant à l’assemblée :  

- A ce soir, Eriko m’attend pour des courses.  

Tournant les talons, elle sortit sans un regard pour son partenaire. Il le fallait car ce soir elle lui avouerait ses sentiments. Même si rien n'arrivait, la jeune femme n’avait pas le choix, elle ne pouvait plus vivre sans laisser libre cours à ses sentiments.  

Ryo écarquillait les yeux : Pas une massue ? Pas un regard ? S’éloignait-elle de lui ? Son cœur se serra à cette pensée.  

Mick qui vit le regard de son ami viré au noir, le tapota sur l’épaule en disant.  

- Tu vas finir par la perdre si tu ne réagis pas ! .  

Le regard du nettoyeur parlait pour lui. Il respirait, vivait et aimait au nom d’une seule femme : KAORI MAKIMURA. Son regard laissait à cet instant, tomber le masque : amour, peur, complicité, tendresse, désir et passion étaient les sentiments qui animaient le nettoyeur quand il pensait à elle. Et le mot peur prenait beaucoup de place, sa plus grande peur la perdre.  

Pas besoin de mots, Mick, Falcon et Miki l’ont très bien compris. Le nettoyeur se précipita vers la sortie du café. Croyant qu’il s’élançait à la poursuite de sa partenaire, Mick, Falcon et Miki tombèrent sur les fesses en le voyant aussitôt dehors, bondir sur les passantes.  

 

Durant cette journée, Kaori s’était bien amusée. Cela lui avait permis De décompresser et d’oublier sa peur intérieure, peut-être aussi, de ne plus penser à lui.  

Le soir venu, seule dans sa chambre, elle passa donc la robe rouge qu’Ericko avait créé pour elle : une robe à dos nu en velour descendant jusqu’aux cheville mais, fendu à droite jusqu’à la cuisse, avec un décolleté en V donnant ainsi un léger apperçu de la courbe de ses seins.  

Cette robe la moulait parfaitement et lui allait à merveille, le tout complété par de fines sandales de même couleur qui mettait en valeur ces chevilles, un maquillage délicat et un bandeau rouge sur les cheveux, elle prit son sac et sa veste et descendit espérant que Ryo ne tarderait pas car leurs amis les attendaient.  

 

Surprise qu’il l’attende déjà au bas de l’escalier, elle l’observa à la dérobée : il portait un costume bleu marine, chemise blanche, pas de cravate ni de nœud papillon. Voir Ryô aussi élégamment vêtu lui coupa le souffle, tant il était beau. (Comme Perce Brosnan dans James bond et oui, vous ne trouvez pas qu’il est beau)  

 

Lorsqu’il la vit, Ryo fut lui-aussi sous le choc, elle était tout simplement sublime et il se retint de justesse de le lui faire savoir en lui assénant :  

- Enfin, ce n’est pas trop tôt, on nous attend je te signale ! Même si c’est toi la reine de la fête, les femmes m’attendent, moi.  

- Si tu le dit Ryo.  

Pas une massue, rien, elle se contenta de mettre sa veste, tandis que Ryô l’aida à l’enfiler d’un geste galant. Touchée par le geste, Kaori le remercia avant qu’il ne descende prendre la mini et aller au Cat’s où tout leurs amis les attendait pour faire la fête.  

 

Kaori n’avait pas lésiné sur le champagne tout au long de la soirée pour être sûr d’avoir le courage. Ryô qui d’habitude se lâchait sur l’alcool, n’avait que consommé deux verres, trop préoccupé par l’état de sa partenaire : jamais, il ne l’avait vue boire autant ! il avait tenté de la raisonner, mais rien à faire. Lorsqu’il la vit vaciller sur ses talons, il n’était pas encore minuit, par conscience morale, il lui dit fermement : :  

- Je te ramène à la maison, tu es ivre Kaori.  

- Oui ramène moi.  

Murmura-t-elle simplement.  

 

Ils saluèrent leurs amis et s’en furent mais, aussitôt à l’appartement Kaori se tourna enfin vers lui pour lui dire.  

- Si j’ai bu autant c’est pour trouver le courage de t’annoncer quelque chose.  

Notre nettoyeur se crispa aussitôt : son esprit imagina tous les pires scénarios possibles : son ange voulait le quitter, il en était sûr!  

Il écarquilla les yeux en l’entendant parler comme si elle avait lu dans ces pensés.  

- Quoi qu’il arrive je ne te quitterais jamais. Je sais que tu ne me regarderas peut-être jamais comme une femme mais, tant pis l’aveu que je veux te faire me fera du bien à moi.  

Elle se tut un instant déglutit et releva les yeux pour le fixer droit dans les yeux.  

- Je t’aime Ryo… depuis le premier jour et je t’aimerais toujours quoi qu’il arrive, même si tu ne me regardes pas comme une femme, que je reste à jamais la sœur de ton meilleur ami, ca ne fait rien car pour moi tu seras le seul homme qui comptera dans mon cœur. J’ai trente ans et je voulais que tu saches enfin ce que je pense, nous resterons partenaires pour toujours, jamais rien de ce que tu pourras dire ou faire ne me fera te quitter, je serais toujours là.  

 

Elle déglutit en voyant une lumière s’allumer dans les yeux de Ryo qui ne disait rien trop abasourdit par son courage, alors elle recula d’un pas en disant.  

- Bien, voilà alors… bonne nuit.  

Alors qu’elle reculait, il réalisa qu’il devait dire ou faire quelque chose, l’attrapant par le bras, il la plaque contre lui et lui donna enfin ce baiser qu’il désirait depuis si longtemps, un long baiser plein d’amour et du désir contenu, qu'elle d'abord surprise, finit par lui rendre avec la même passion.  

 

Ce ne fut qu’à bout de souffle qu’ils s’écartèrent mais, Kaori garda les bras autour du cou de son partenaire sans savoir quant elle les y avait passé et, Ryo la tenant toujours par la taille lui murmura.  

- Pardon pour tout… t’avoir fait pleurer m’a fait autant mal à chaque fois… mais, je n’ai jamais aimé personne comme je t’aime et je n’aimerais jamais personne comme toi mon ange. J’aurais du te le dire plutôt mais… j’attendais peut-être ça. Si tu veux bien de moi dorénavant nous serons plus que des partenaires.  

Elle avait les larmes aux yeux, enfin Ryo était à elle, la pendule sonna minuit et elle lui murmura en rougissant.  

- Ryo… fais moi l’amour s’il te plait, ainsi je serais certaine de ne pas rêver.  

La soulevant dans ces bras il murmura.  

- Alors se sera notre rêve, Ce soir et tous les autres soirs… je ne dormirais plus nulle part qu’auprès de toi puisque c’est ce que tu veux… et ce que j'ai toujours voulu aussi.  

Elle sourit enfin heureuse alors que son partenaire l’emmenait dans sa chambre à lui où ils se déshabillèrent, il fut tendre, attentif et passionné car c’était une première pour elle. Il n’en apprécia que plus, chaque instant qu’elle lui donnait. Il fit en sorte qu’elle aussi soit comblée, après tout il voulait mériter son surnom d’étalon, bien que maintenant et pour toujours, il ne serait plus qu’à elle, son ange, sa lumière et sa vie.  

 

 


Capitolo: 1


 

 

 

 

 

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