Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prosa

 

Autore: sabron

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 12 capitoli

Pubblicato: 03-01-14

Ultimo aggiornamento: 23-11-15

 

Commenti: 40 reviews

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RomanceHumour

 

Riassunto: Ryô à encore fait des siennes et Kaori veut le châtier comme il se doit, mais ce soir là les choses ne vont pas se dérouler comme Ryô l'attendait. Kaori va avoir une réaction plutôt inattendu ...

 

Disclaimer: Les personnages de "L'invitation de Kaori " sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: L'invitation de Kaori

 

Capitolo 1 :: le châtiment

Pubblicato: 03-01-14 - Ultimo aggiornamento: 03-01-14

Commenti: Kaori va punir Ryô pour son comportement

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12


 

- Tu m'énerves Arrghhhhhh hurla t-elle brandissant sa massue à travers le salon de leur appartement.  

 

Koari pourchassait Ryô depuis 5 minutes maintenant. Détruisant tout sur son passage. Elle grimpait sur tous les meubles du salon. Le canapé, la table bref sur tout ce qui la gênait afin de ne laisser aucun chance à sa proie. Ryô ne devait pas lui échapper. Toute sa frustation et sa colère s'étaient transformés en haine féroce.  

 

Lui, c'était toujours à cause de lui.  

 

- Mais Kaori calme toi ! Je t'en supplie implora Ryô effrayé tentant de se protéger tant bien que mal avec ses mains.  

 

Il esquivait avec habilité. Faisant des pirouettes improbables pour échapper à sa tortionnaire.Il se refugia derrière le canapé.  

 

- J'en ai assez ! ça suffit ! dit-elle à bout de nerfs.  

 

Elle stoppa son élan. Déposa sa massue. Et quitta la pièce les larmes aux yeux. Abandonnant subitement le combat.  

 

Recroquevillé dans un coin Ryô attendait sa punition. Ne sentant plus d'aura meurtrière et ne voyant rien venir, il resta sur ses gardes. Il n'entendait plus un bruit. Il se mit prudemment à découvert. Scrutant la pièce de fond en comble, il réalisa que Kaori n'était plus à ses trousses. Elle avait quitté le salon. Il se releva étonné.  

 

Où était-elle passé ?  

 

Il vérifia à gauche puis à droite et comprit qu'elle venait de partir. Il perçut des bruits de pas s'éloignant au loin dans le couloir. Il courut alors à sa poursuite.  

 

- Kaori ! ... l’interpellât-il  

 

Elle soupira nerveusement en entendant Ryô courir derrière elle. Elle n'avait pas marché assez vite pour le semer.  

 

Sans se retourner vers lui et alors qu'elle s'apprêtait à prendre la première marche de l'escalier elle dit d'un ton tranchant :  

 

- Je ne joue plus Ryô ! Accompagnant sa phrase d'un geste sec de la main en sa direction.  

 

et elle ajouta excédée :  

 

- A partir de maintenant, fais ce que tu veux !  

 

et elle essuya rageusement une larme qui commençait à poindre aux coins de ses yeux.  

 

- Tout ça ne me concerne plus ! dit-elle dans un souffle.  

Ryô complétement hébété ne put que constater les dégâts.  

 

Il n'avait pas rêvé. Il n'avait pas bien vu mais, il lui semblait bien que ... Est-ce qu'elle était en train de pleurer ? Elle qui était si en colère quelques instants plutôt.  

 

Il avait l'impression d'avoir raté un épisode. Et puis ce qu'il avait fait ne méritait pas une réaction si disproportionnée. Elle avait prit tout ça un peu trop à coeur selon lui. Mais de là à pleurer pour ça. A quel moment sa colère s'était transformé en peine ?  

 

Ryô courut jusqu'à elle et la tira violemment par le poignet.  

 

- Non Kaori attends ne t'en vas pas comme ça !  

 

Sentant la main de Ryô l'entraver dans sa fuite. Elle craqua et ne put se contenir et le rejeta violemment d'un revers de la main.  

 

- Qu'est-ce qui te prend ! dit-il choqué de sa réaction  

 

Ne sachant plus où elle en était, elle pressa le pas pour attraper son manteau et son sac. Et se précipita vers la porte d'entrée qu'elle claqua sans se retourner.  

 

Ryô resta pantois ne sachant pas si il devait la rattraper ou pas.  

 

"Je ne sais pas pourquoi mais j'ai un mauvais pressentiment "  

 

Il valait mieux qu'il la laisse partir pour qu'elle se calme. Et surtout il voulait éviter de se retrouver encastré dans le mur une fois de plus.  

 

Elle n'était vraiment pas d'humeur. Mais pourtant il n'avait rien fait de si inhabituelle. Du moins rien qui pouvait la bouleverser à ce point.  

 

Est-ce qu'il devait la suivre quand même ? Non, il valait mieux qu'il la laisse. Vu son niveau d'énervement ça ne changerai rien. Et de plus elle avait bien progressé elle aurait fini par se rendre compte qu'il la filait.  

 

Il décida de rester à la maison jusqu'à ce qu'elle rentre histoire d'être sûr de ne pas la manquer quand elle rentrerai.  

 

"Quel ironie ! " pensa-t-il  

 

- Je me mets à l'attendre. Comme elle le fait. N'importe quoi ! Je ferais mieux d'aller dormir un peu en l'attendant dit-il à haute voix  

 

Ryô monta dans sa chambre dépité. Il s'allongea sur son lit et s’endormit.  

 

Les heures passèrent.  

 

 

Ryô se réveilla dans son lit. Il baillât bruyamment en se grattant le ventre d'une main. Et en se levant il se dirigea directement vers la chambre de Kaori pour vérifier si elle était bien rentrée. Personne. La chambre était vide. Il descendit au salon. Personne non plus. Il constata que Kaori n'était toujours pas revenue. Il regarda l'heure affichée sur la pendule  

 

- 19h déjà ! constatât-il  

 

- Je vais l'attendre encore un peu mais ... c'est que j'ai déjà faim moi ! se plaint-il en posant sa main sur son ventre qui gargouillait.  

 

Il commença à tourner en rond nerveusement dans l'appartement.  

 

Une demi heure plus tard ne la voyant toujours pas revenir il tournait toujours comme en lion en cage dans la salon scrutant son retour par la fenêtre.  

 

- Ahh ! Elle va me rendre fou ! dit-il en portant une main à son front.  

 

- ça fait déjà plus de 2 heures qu'elle est partie. Et moi qui ai rendez vous avec la belle Miuyki dans 1 heure je vais devoir annuler pour aller la chercher si ça continue.  

 

Il attrapa le téléphone et composa frénétiquement un numéro :  

 

- Reyji c'est Ryô ! Dis moi tu as vu Kaori dans le quartier cet après midi dit-il en continuant de guetter son retour par la fenêtre par la même occasion.  

 

- Oui, Oui je l'ai vu passer 2 fois !  

 

- Ah oui ! Et elle allait bien ? dit-il intrigué  

 

- Oui oui, elle était en compagnie d'un jeune homme la première fois.  

 

- Quoi ?! Et elle semblait en danger ? dit-il paniqué  

 

- Non ! Tu penses ! Je t'aurais appelé tout de suite si ça avait été le cas ! Non, non elle riait avec lui ils semblaient se promener simplement.  

 

- Se promener ? Mais c'est qui ce type ? dit-il énervé Alors pendant que moi je m'inquiétait celle là ...  

 

- Je ne sais pas ! En tout cas il n'avait pas l'air dangereux par contre la deuxième fois que je l'ai vu c'était y a environ ... 20 minutes et je l'ai vu qui se dirigeait vers chez vous et ça n'avait pas l'air d'aller très fort ...  

 

Tuuut  

 

- Allo Ryô ? ...  

 

Tuut tuut  

 

- Ryô tu m'entends ?  

 

Ryô avait raccroché  

 

Reyji afficha un petit sourire  

 

- Pauvre Ryô ! A mon avis la petite ne va en faire qu'une seule bouchée  

et il se mit à rire de bon coeur en secouant la tête.  

 

En effet Ryo avait raccroché sans faire exprès car Kaori venait de franchir avec fracas la porte d'entrée de leur appartement.  

Elle venait de faire sursauter Ryô.  

 

Elle avait la tête baissée. Elle était légèrement décoiffée et semblait essoufflée. Elle était toute débraillée comme si elle était arrivée en courant.  

 

Son grand manteau beige était tout de travers sur elle. Comme si elle n'était pas parvenu à le mettre correctement. Son sac pendait à son bras. Sa petite jupe bordeaux courte et serrée semblait l'entraver dans ses mouvements. Ses longues jambes moulées dans de grandes bottes en cuir marron à talons étaient légèrement fléchit. Comme si elles ne parvenaient plus à supporter le poids de la belle. On aurait vraiment dit qu'elle ne parvenait pas tenir sur ses jambes. Ses pas semblaient mal assurés. Elle se tenait maladroitement à la porte d'entrée, pour ne pas tomber.  

 

Ryô eut peur et comprit immédiatement qu'il lui était arrivée quelque chose.  

 

 


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