Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Mercury80

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 25 capitoli

Pubblicato: 18-06-20

Ultimo aggiornamento: 26-07-20

 

Commenti: 47 reviews

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RomanceHumour

 

Riassunto: Que se passe-t-il lorsque Ryo croise à nouveau des femmes qui ont jalonné son parcours?

 

Disclaimer: Les personnages de "Toutes les femmes de ta vie " sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Toutes les femmes de ta vie

 

Capitolo 7 :: Chapitre 7

Pubblicato: 24-06-20 - Ultimo aggiornamento: 24-06-20

Commenti: Bonjour, voici la suite de l'histoire. Merci pour vos commentaires qui me font un plaisir fou. Je suis ravie que l'histoire vous plaise et que vous ayez envie de poursuivre l'aventure. Alors ne tardons pas. Who's next? Bonne lecture et merci pour vos reviews^^

 


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Chapitre 7  

 

- Qui est notre cliente ?, demanda Ryo, prenant place à la terrasse d’un café.  

- Elle ne m’a pas donné son prénom, juste un signe de reconnaissance : une bague à la main droite., avoua Kaori.  

- Tu plaisantes ? Je m’en vais., fit le nettoyeur en se relevant.  

- Non, attends. Je l’ai questionnée et ça a l’air sérieux. On peut attendre et voir, non ? Au pire, on aura pris un verre en terrasse par une belle journée d’été., lui proposa sa partenaire.  

 

Il rechigna mais, face au joli sourire qu’elle lui adressa, céda et se rassit.  

 

- Bonjour., entendirent-ils soudain.  

 

Ils levèrent les yeux et firent face à une jolie jeune femme d’une vingtaine d’années aux yeux noisette dont le visage leur était familier.  

 

- Regarde, mon chéri, j’ai encore ma bague de fiançailles., annonça-t-elle.  

 

Ryo se sentit déglutir et regarda Kaori qui semblait aussi surprise que lui avant de regarder la main tendue devant lui… une main droite… parée d’un coup de poing américain.  

 

- Nagisa., comprit le nettoyeur.  

- Bonjour Monsieur Saeba, Kaori. Ca me fait plaisir de vous revoir. Excusez-moi ce subterfuge mais je ne savais comment vous contacter autrement., leur expliqua-t-elle.  

- Pas de mission alors ?, demanda Kaori.  

- Non… en fait, j’aurais aimé parler à Monsieur Saeba seule à seul., lui apprit-elle avec un sourire d’excuse.  

 

La nettoyeuse jeta un rapide coup d’oeil à son partenaire, anxieuse, puis se leva et s’en alla. Juste au moment où elle passait à ses côtés, il attrapa son poignet, ce qui attira son attention, et leurs regards se connectèrent brièvement quelques instants. Lorsqu’elle esquissa un léger sourire auquel il répondit imperceptiblement, il la relâcha et elle s’éloigna.  

 

- Comment allez-vous, Monsieur Saeba ?, lui demanda la chanteuse, prenant place à ses côtés.  

- Bien et toi ?, répondit-il.  

- Très bien. Le succès est toujours au rendez-vous, je n’ai pas à me plaindre., lui apprit-elle.  

- Cela fait combien maintenant, monsieur Saeba ? Sept ans, je crois., lui fit-elle remarquer.  

- Oui, tu as bien grandi d’ailleurs. Tu es ravissante., apprécia-t-il en voyant ses formes épanouies.  

- Tu rembourres encore tes soutiens-gorges ?, la taquina-t-il.  

- Vous êtes insupportable !, gronda-t-elle.  

- Non, c’est du tout naturel.  

 

Ryo loucha sur le décolleté de la jeune femme et eut bien du mal à en décrocher le regard. Cependant, il n’avait pas spécialement envie de tâter comme il avait eu l’habitude de le faire avant.  

 

- Vous voulez toucher ?, lui proposa-t-elle, aguicheuse.  

- Non, non, ça va aller., répondit-il.  

- Pourtant, je devrais être dans la tranche d’âge qui vous intéresse maintenant. J’ai presque l’âge qu’avait ma manager quand vous lui couriez après., nota-t-elle.  

- C’est vrai., admit-il.  

- Que veux-tu, Nagisa ?, l’interrogea-t-il.  

 

La jeune femme lui décocha un sourire charmeur et croisa les jambes, découvrant ses cuisses, se penchant légèrement vers lui.  

 

- Vous. Nous étions fiancés et vous m’avez laissée à cause de mon âge. Vous m’avez cependant proposé d’attendre quelques années. Alors voilà les années ont passé et je suis là… mon chéri., s’exclama-t-elle, se collant à lui.  

 

Ryo se sentit pâlir même s’il n’en laissait rien paraître. Il se souvenait de lui avoir dit cela, incapable de soutenir les larmes de la jeune fille. Quelle idée ! Il était bien maintenant. Il se retrouvait avec une fiancée sur les bras. Il imaginait bien la tête de Kaori si elle avait été là. La réaction qu’elle avait eue à l’époque avait déjà été nucléaire.  

 

- Je supporte déjà ton faible pour les femmes ! Mais si tu te maries, qu’est-ce que je deviens !, avait-elle hurlé.  

 

Bien entendu, plutôt que de nier, il s’en était sorti par une pirouette et cela avait fini à leur habitude, dans la violence.  

 

- Alors, on se marie quand, mon chéri ?, lui susurra-t-elle à l’oreille.  

- Dis, tu es sûre que c’est raisonnable de se tenir si près l’un de l’autre ? On pourrait être vus par des paparazzis…, suggéra Ryo, mal à l’aise.  

- Vous êtes si mignon… Toujours aussi gêné quand on vous parle de sentiments ? Ce n’est pas grave, mon chéri. Notre amour a déjà été révélé autrefois. Les gens apprécieront le retour de flammes. C’est très romantique, vous savez., répondit-elle.  

- Alors mon chéri, ce mariage ? J’attends toujours ma bague pour la main gauche, d’ailleurs., lui fit-elle savoir, agitant ses doigts devant lui.  

- Ah ah la bague pour la main gauche…, fit Ryo en riant jaune.  

 

Il n’arrivait pas à croire qu’après tant d’années, elle croyait encore à sa fadaise. Il l’observa en coin et elle avait l’air très sérieuse : elle y croyait vraiment alors ? Comment allait-il se dépatouiller de cette histoire ?  

 

- C’est que… Euh… je suis fauché comme les blés. Je n’ai pas les moyens de t’offrir une nouvelle bague., s’excusa-t-il.  

- Tu vois, ma situation ne s’est pas améliorée, bien au contraire. Le travail manque… nous ne mangeons pas toujours à notre faim et je ne veux pas mettre Kaori à la porte… La pauvre, elle se retrouverait seule, sans famille, sans personne vers qui se tourner., lui expliqua-t-il, prenant un air apitoyé.  

- Pour ton bien, Nagisa… Oh c’est si difficile à dire… Oublie-moi. Trouve-toi un homme bien. Je ne te mérite pas., fit-il, prenant un air désespéré tout en la tenant pas les épaules.  

- Oh mon chéri…, se lamenta la jeune femme, cachant son visage de ses mains.  

 

Il sentit soudain ses épaules se secouer et se dit qu’il l’avait blessée mais c’était mieux ainsi. Elle ne l’intéressait plus. Il fallait qu’elle puisse poursuivre son chemin sans regrets, l’oublier pour pouvoir ouvrir son cœur à un autre.  

 

Brusquement, il entendit un éclat de rire et releva les yeux pour voir la chanteuse hilare se bidonner sur son siège.  

 

- Je vous ai eu !, lui lança-t-elle, se calmant enfin.  

 

Il la regarda incrédule et cligna des yeux. Elle lui avait joué la comédie ? Il n’arrivait pas à croire qu’il s’était laissé avoir comme un bleu. D’habitude, ce n’était pas le genre de choses qu’on arrivait à faire avec lui. Il avait certainement baissé la garde, la connaissant.  

 

- Je ne suis pas venue pour me marier avec vous mais je garderai encore cette bague de fiançailles., lui dit-elle avec un clin d’oeil en désignant le coup de poing américain.  

- A vrai dire, il ne me quitte jamais en concert. Ca m’a été utile quelques fois et ça me permet de me souvenir de vous., lui avoua-t-elle, légèrement rougissante.  

- Vous êtes le premier homme pour qui j’ai eu des sentiments. Vous aurez toujours une place spéciale dans mon cœur… et dans ma mémoire aussi mais pour d’autres raisons, monsieur le dragueur., le taquina-t-elle.  

- Heureux de savoir que tu as au moins appris quelque chose de cette expérience., fit remarquer le nettoyeur.  

- Je vais me marier dans quelques jours avec un homme sérieux et droit. Je n’ai même pas eu à sortir ma mini-jupe pour le séduire., lui dit-elle, lui rappelant cet épisode où elle avait cherché à le draguer car elle était vexée qu’il ne s’intéressa pas à elle.  

- Je suis sûr qu’aujourd’hui, je t’aurais complimentée si tu en avais mise une…, lui affirma-t-il.  

 

Elle lui lança un long regard, les yeux légèrement plissés.  

 

- Vraiment ? J’ai cru que vous n’étiez plus intéressé…, lâcha-t-elle.  

- Regarder n’est pas toucher. Ta silhouette s’est allongée et développée et est beaucoup plus harmonieuse. Tes grands pieds ne jurent plus, Berthe., la taquina-t-il.  

- Ne m’appelez pas comme cela ! C’est agaçant !, le réprimanda-t-elle.  

- Dites, Monsieur Saeba, si je n’avais eu personne, vous auriez pu être intéressé ?, lui demanda-t-elle timidement.  

 

Il l’observa un moment et lui sourit. Elle était mignonne, voire même mokkori selon ses critères mais…  

 

- Non, Nagisa. Trop de choses nous opposent., lui répondit-il, d’une voix posée.  

- Je m’en doutais… et vous avez quelqu’un dans votre vie, non ?, l’interrogea-t-elle.  

- Quoi ? Non !, protesta-t-il.  

- Pourtant avec Kaori…, laissa-t-elle échapper.  

- Quoi Kaori ?, lui demanda-t-il, surpris.  

 

La jeune femme regarda ses doigts. Visiblement, la répartie lui avait échappé et elle n’était pas à l’aise sur ce terrain.  

 

- Ben, je ne sais pas. Vous êtes encore ensemble. J’ai du mal à croire que les choses entre vous n’aient pas évolué après toutes ces années., expliqua-t-elle.  

- Avec ce garçon manqué ?, lâcha-t-il bêtement.  

 

Nagisa le regarda, les yeux pétillants, et se mit à rire.  

 

- Ca, ce n’est pas très gentil de votre part., le réprimanda-t-elle.  

- Alors dites-moi, c’est encore cette histoire de comportement puéril. Vous dites des choses désagréables à son propos pour attirer son attention ?, s’enquit-elle doucement.  

 

Il avait effectivement dit quelque chose dans le genre et, pour une fois, il avait énoncé une vérité, peut-être inconsciente à l’époque, pour biaiser une conversation gênante. Après tout, il fallait être un peu fou, un peu gamin, pour aimer se prendre des coups de massue sur la tête sans même chercher à les éviter… Il ne put s’empêcher de sourire à cette pensée et rejeta la tête en arrière.  

 

- Si je te réponds, je serais peut-être obligé de te tuer après., lui répondit-il, taquin.  

- Je prends le risque. De toute façon, sous vos airs de type blasé, je sais que vous m’aimez bien., le taquina-t-elle en retour.  

 

Il lui coula un regard bienveillant de travers car elle avait vu juste. Il avait de l’affection pour elle. Il en avait eue dès leur rencontre malgré les petites piques qu’ils s’étaient lancés.  

 

- Encore des illusions de jeune fille… mais tu as raison, mon comportement n’a pas beaucoup changé depuis., avoua-t-il.  

- A-t-il empiré ?, poussa-t-elle, curieuse.  

 

Sa seule réponse fut un petit sourire narquois.  

 

- Vous l’aimez ?, l’interrogea-t-elle.  

- Tu oublies que je suis un homme à femmes, un horrible dragueur…, éluda-t-il.  

- Un timide qui ne sait pas comment dire à celle qu’il aime ses sentiments., le contra-t-elle.  

- Je ne comprends pas, Monsieur Saeba. Je n’ai passé qu’une minute, deux tout au plus avec vous aujourd’hui et votre complicité m’a sauté aux yeux. C’est encore plus flagrant qu’il y a toutes ces années. Déjà à cette époque, vous étiez l’un avec l’autre, même dans les situations gênantes…, lui rappela-t-elle.  

- Situation gênante ?, fit Ryo, se demandant de quoi elle parlait.  

- Quand vous vous êtes brûlé le machin en voulant coucher avec une de mes groupies. Je vous ai vu vous couvrir du drap quand je suis arrivée alors que vous ne l’aviez pas fait avec elle…, lui remémora-t-elle.  

- C’est vrai. J’avais oublié…, grimaça-t-il, se souvenant de la douleur comme si c’était hier.  

 

Elle posa une main sur la sienne, compatissant encore après tout ce temps.  

 

- Je suis presque sûre que vous avez partagé beaucoup de choses ensemble depuis tout ce temps. Alors pourquoi avoir encore peur de lui dire aujourd’hui ce que vous ressentez ? Vous avez peur que ce ne soit pas réciproque ?, l’interrogea-t-elle.  

- Non. Je ne sais juste pas comment m’y prendre…, avoua-t-il.  

- Dites-lui que vous l’aimez., proposa-t-elle.  

- Déjà essayé. Les mots sont restés coincés dans ma gorge., admit-il piteusement.  

- En fait, je lui ai déjà fait un semblant de déclaration mais je n’ai pas su aller plus loin. Alors aujourd’hui, si je le refais, je n’ai pas le droit de me planter. Il faut que ça bouge derrière et je ne sais pas ce que je dois faire., ragea-t-il.  

 

Nagisa le regarda et tapota sa main.  

 

- Vous la connaissez certainement très bien depuis tout ce temps. Ecoutez juste votre cœur et vous saurez., lui conseilla-t-elle.  

- Ca peut être juste quelques mots, un bouquet de fleurs, une boîte de chocolat, un dîner en amoureux… Vous savez ce qu’elle aime. J’en suis sûre., lui assura-t-elle.  

- Nagi…, entendirent-ils derrière eux.  

 

Elle se retourna et Ryo leva les yeux pour trouver un jeune homme en jean et polo, souriant à son interlocutrice.  

 

- Takeshi, je te présente Monsieur Saeba, un vieil ami., le présenta-t-il.  

- Modère tes paroles, gamine., lâcha Ryo avec un léger sourire.  

 

Elle lui tira la langue en réponse.  

 

- Je vais vous laisser, Monsieur Saeba. Ca m’a fait plaisir de pouvoir discuter avec vous un moment. Lancez-vous quand vous aurez trouvé la solution à votre problème., lui dit-elle avant de se lever et de s’en aller, main dans la main, avec son fiancé.  

- Sale gamine… de quoi je me mêle…, grommela-t-il, n’en pensant cependant pas un mot.  

 

A son tour, il se leva et se dirigea vers le Cat’s où il retrouva, comme il l’avait pensé, Kaori discutant avec Miki. Ne dérogeant pas à la tradition, il s’éleva dans les airs, éparpillant tous ses vêtements en vol, en direction de la barmaid mais fut intercepté, une grimace cachant son sourire de satisfaction, par une massue cent tonnes qui l’envoya dans le mur.  

 

- Je ne te demande même pas si Nagisa a été traumatisée par votre rencontre., lâcha Kaori d’un ton aigre.  

 

Elle était déçue. Elle avait vraiment eu l’impression qu’un changement s’était opéré et elle venait de comprendre que ce n’était qu’un nouveau pas de danse dans la chorégraphie qu’ils menaient depuis des années. Le dernier pas les avait rapprochés et maintenant il effectuait deux sauts en arrière.  

 

- Elle est venue me demander en mariage., lui apprit-il, jaugeant sa réaction.  

- Tu as dû sauter sur l’occasion : elle était éblouissante… Tu dirais peut-être même mokkori, non ?, proposa la nettoyeuse sombrement.  

- Bah, ce n’est toujours qu’une gamine agaçante qui n’a pas sa langue dans sa poche. Bien roulée mais agaçante., répondit-il, nonchalamment.  

- Depuis quand ça t’empêche de lui sauter dessus ?, objecta-t-elle, agressive, jalouse.  

 

Ryo sourit intérieurement en notant cela, se rassurant encore sur l’attachement de sa partenaire.  

 

- Tu me connais, non ? Je ne suis pas homme à me marier alors quand elle m’a demandé la bague pour sa main gauche, j’ai filé plus vite que Flash Gordon., lui mentit-il.  

- Et puis, qui m’a gentiment fait remarquer que j’avais une obligation envers elle à l’époque ?, lui demanda-t-il, la prenant par l’épaule.  

 

Kaori se sentit rougir en se souvenant sa crise de jalousie quand elle avait appris que le plan de Ryo avait mal tourné et qu’elle avait surtout vu que Nagisa l’avait pris au sérieux, croyant vraiment à cette histoire de mariage. La gêne fut cependant occultée par la tristesse et elle se dégagea de son étreinte.  

 

- Tu n’as pas d’obligation envers moi. Je suis assez grande pour me débrouiller toute seule., admit-elle, la voix éteinte.  

- Si ça peut te soulager, tu peux t’estimer libéré de la promesse de mon frère., lui dit-elle, se retenant de fuir le café à toutes jambes.  

- Kaori…, intervint Miki, peinée de voir son amie dans cet état.  

- Impossible…, soupira Ryo.  

- J’ai fait une promesse à ton frère. Je tiens toujours mes promesses, tu le sais bien, non ? T’es scotchée avec moi jusqu’à ce qu’on arrive à te caser avec quelqu’un…, déclara-t-il.  

- Tiens, j’ai une idée. Umibozu, ça te dit d’épouser Kaori ? Moi, je prendrai soin de Miki., proposa-t-il.  

 

La sentence ne se fit pas attendre et il se retrouva écrasé sous une massue un million de tonnes avant d’entendre sa partenaire quitter le café, la tête baissée.  

 

- Idiot !, le tança Umibozu, retirant la massue.  

- T’es vraiment qu’un sale gamin ! Je ne sais pas comment elle fait pour te supporter !, rouspéta Miki, furieuse.  

- Moi non plus…, murmura-t-il.  

 

Il aurait pu juste la fermer et laisser passer la tempête qui régnait dans sa tête depuis sa conversation avec Nagisa. Il aurait pu mais les choses allaient changer et il avait soudain eu peur. C’était idiot mais c’était lui, cet éternel gamin à qui on n’avait pas appris à dire je t’aime. Il trouverait bientôt le moyen.  

 

Oser…  

 


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