Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Mercury80

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 25 capitoli

Pubblicato: 18-06-20

Ultimo aggiornamento: 26-07-20

 

Commenti: 47 reviews

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RomanceHumour

 

Riassunto: Que se passe-t-il lorsque Ryo croise à nouveau des femmes qui ont jalonné son parcours?

 

Disclaimer: Les personnages de "Toutes les femmes de ta vie " sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Toutes les femmes de ta vie

 

Capitolo 9 :: Chapitre 9

Pubblicato: 26-06-20 - Ultimo aggiornamento: 26-06-20

Commenti: Bonjour, voici la suite de l'histoire. Alors après avoir fait décoller leur relation, que va-t-il se passer? Qui va-t-il rencontrer pour le faire encore avancer? bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


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Chapitre 9  

 

Quand elle se leva le lendemain matin, Kaori se demanda à quelle sauce elle serait mangée ce jour-là. Ryo lui avait bien dit qu’il ne reviendrait plus en arrière mais il était quand même le roi du rétropédalage quand il le voulait. Qui savait ce qui se passerait maintenant qu’il avait fait un pas en avant ? Qui savait comment ça se passerait maintenant qu’il s’était certainement remis de sa frayeur ? Peut-être qu’il lui jetterait en pleine figure qu’il n’était pas lui et que tout ce qu’il avait dit, ou écrit pour le coup, ne valait rien et qu’il la détestait pour lui avoir joué ce mauvais tour et l’avoir forcé à avouer ses sentiments par le chantage… Sauf que ce n’était pas ce qu’elle avait demandé à Shôko. Elle lui avait juste demandé de le balader dix minutes pour le punir de ces quelques jours particulièrement détestables. Elle ne comprenait pas pourquoi le tour avait duré si longtemps d’ailleurs, enfin, c’était ce qu’elle préjugeait vu qu’il était rentré en milieu d’après-midi.  

 

Poussant un long soupir de frustration, se demandant quand les choses seraient enfin simples pour eux, elle se leva et fila sous la douche. Elle se délassa quelques minutes avant de sortir, s’habiller puis descendre préparer le petit-déjeuner en chantonnant, tentant d’oublier pendant quelques minutes la rencontre à venir.  

 

Ryo se réveilla en entendant Kaori sortir de sa chambre. Elle avait été très discrète comme d’habitude mais il veillait dans un but bien précis et profita de son passage sous la douche pour aller dans sa chambre fouiller ses affaires. Ayant trouvé ce qu’il cherchait, il repartit dans la sienne incognito et attendit qu’elle soit descendue pour aller à son tour se doucher. Sans faire un bruit, il descendit et s’appuya sur le chambranle de la porte, observant sa partenaire évoluer dans la pièce. Quand elle se retourna et le vit, elle s’immobilisa brusquement, cuillère en main, bouche bée.  

 

- Bonjour, partenaire., lui dit-il, un petit sourire ironique aux lèvres.  

- Bonjour, Ryo., murmura-t-elle en retour.  

 

Elle déglutit et sentit la nervosité remonter à vitesse grand V, se demandant comment agir. Devait-elle le laisser venir à elle ? Devait-elle lui sauter au cou ? Elle ne savait pas et elle ignorait également que les mêmes questions trottaient dans la tête de son partenaire. Seulement lui avait trouvé une parade.  

 

- Kaori, j’aimerais beaucoup que tu reportes cela., lui demanda-t-il, approchant d’elle et tendant la main.  

 

Par réflexe, elle ouvrit la paume tendue vers lui et sentit deux petits morceaux de métal tomber dessus. Quand elle baissa le regard pour voir de quoi il s’agissait, elle écarquilla les yeux de stupeur.  

 

- Je… Tu dois te tromper. Je ne les ai jamais mises., mentit-elle, fixant les deux pendants d’oreille qu’Eriko lui avait fait porter pour son rendez-vous avec Ryo quand il l’avait appelée Cendrillon.  

- Oh… je dois confondre avec une autre de mes conquêtes alors…, lâcha-t-il, sondant son visage.  

 

Il savait qu’elle lui mentait. Il ne comprenait pas pourquoi elle s’entêtait mais si elle voulait encore nier…  

 

- Je me souviens maintenant. J’ai croisé une fille de bonne famille. Tu sais, une de celles qui sont enfermées dans une bulle dorée, protégée du monde extérieur., lui expliqua-t-il, nonchalamment.  

- Oui, je vois., balbutia-t-elle, mal à l’aise.  

 

Elle se tourna vers la gazinière et touilla ses préparations avant de commencer à les mettre à table.  

 

- Elle avait décidé de fuguer pendant une soirée avant son départ vers les Etats-Unis pour enfin connaître la vraie vie., continua-t-il.  

- Et tu vas me dire que tu t’es trouvé par hasard dans le bar où elle buvait tranquillement un verre et que tu l’as sauvée d’un malhonnête homme qui voulait abuser d’elle., s’énerva la nettoyeuse.  

 

Elle se sentait encore vexée de tout ce qu’il avait accordé à son alter ego et qu’elle n’avait jamais eu même si c’était un peu étrange d’être jalouse de soi-même, pensa-t-elle. Miki et Umi lui avaient dit que Ryo savait que c’était elle mais pourquoi ne lui en avait-il jamais parlé alors ?  

 

- Comment tu le sais ?, lâcha-t-il, un sourcil levé.  

- Ah ah !, se mit-elle à rire, gênée.  

- Je ne sais pas… Simple supposition…, se défendit-elle nerveusement.  

 

Elle se tourna de nouveau vers la gazinière, se morigénant pour sa bourde. Ca lui apprendrait à se montrer toujours impulsive et à se laisser emporter à la moindre remarque. Elle prit une profonde inspiration et la relâcha doucement, tentant de rester le plus discrète possible.  

 

- Tu supposes bien., finit par avouer Ryo, cachant son amusement.  

- Donc, tu l’as rencontrée dans un bar et après ?, l’interrogea-t-elle, le plus naturellement possible.  

- On s’est baladés. Rien de bien particulier en fait., répondit-il.  

- Dis donc, c’est rare que tu t’intéresses à ce que j’ai fait avec mes conquêtes d’un soir… En général, tu m’assommes avant., s’étonna-t-il.  

- Je… Je m’adapte. Puisqu’on tente notre chance tous les deux, je n’ai pas de raison d’être jalouse de tes exs, non ?, mentit-elle avec aplomb.  

 

Ryo la regarda et se retint de rire. La jalousie donnait une lueur particulière à ses prunelles, une lueur qu’il aimait beaucoup d’ailleurs… même s’il ne tenterait plus de la provoquer.  

 

- Tout à fait, Sugar., répondit-il, posant un regard chaud sur elle.  

- Tu n’as même pas tenté de l’emmener au love hotel ?, s’enquit-elle, rongeant son frein.  

- Non, pourquoi faire ? C’était une jeune fille bien, elle aurait refusé., mentit-il.  

 

Il se souvenait très bien que ça avait été une étape qu’il avait proposée mais elle l’avait joliment esquivée en lui opposant qu’elle devait prendre le bateau. En fait, il ne savait même pas s’il aurait été jusqu’au bout. Il l’aurait peut-être emmenée dans la chambre mais aurait-il vraiment tenté de coucher avec elle ? Il n’en était pas si sûr. Rien que le fait d’avoir avorté leur baiser était un signe pour lui.  

 

- C’est vraiment étrange de ta part., marmonna-t-elle, le couteau avec lequel elle coupait des légumes lui échappant des mains et atterrissant juste devant le nez de Ryo qui fit un bond en arrière.  

- Wouah, fais gaffe !, cria-t-il.  

- Désolée, il m’a échappé des mains., susurra-t-elle avec un regard éloquent.  

- Donc vous vous êtes juste baladés. Pas de boîte de nuit, de love hotel, rien ? Tu l’as embrassée quand même ?, continua-t-elle.  

 

Elle ne savait pas pourquoi elle continuait ce petit jeu qui lui faisait mal. A qui en voulait-elle le plus ? A lui qui prétendait ne pas l’avoir reconnue ou à elle de ne pas être capable de lui faire face pour ne pas le gêner, le bousculer alors qu’il venait d’avancer ?  

 

Ryo observa sa partenaire. Il nota la tension dans ses épaules, la crispation de sa voix et se doutait de ce qu’elle endurait. Il ne comprenait pas son besoin de s’auto-flageller ainsi, de s’enferrer dans ce mensonge mais il savait qu’il était temps d’en finir. Ils n’étaient plus deux entités séparées. Depuis la veille, ils étaient devenus quelque chose, un couple en formation qui ne partageait pas encore grand-chose physiquement mais cela aussi allait changer.  

 

Il se leva et s’approcha d’elle, l’entourant de ses bras. Il sentit sa surprise à ce geste inédit entre eux. Pendant quelques instants, il ne prononça pas un mot, lui laissant, et à lui par la même occasion, le temps d’apprivoiser les sentiments qui naissaient à cette proximité.  

 

- Tu sais très bien que je ne l’ai pas fait., murmura-t-il à son oreille.  

- Jouons cartes sur table, Kaori. Je sais que c’était toi, je sais qu’on a pris du plaisir tous les deux pendant cette soirée. J’aurais pu aller plus loin avec elle mais je n’en avais pas envie., lui avoua-t-il.  

- Pourquoi ? Je ne suis pas assez bien pour toi ?, lui demanda-t-elle, un sanglot dans la voix.  

- Parce que ça ne changera pas. Je ne suis jamais que moi, la même qu’hier et avant-hier. Le garçon manqué, la fille sans forme, la seule femme qui ne te fait pas bander…, continua-t-elle, sentant les larmes lui monter aux yeux.  

- Elle n’était pas toi. Si je devais t’embrasser, je ne voulais pas que ce soit sous de fausses apparences. Je ne suis pas un prince charmant ni toi Cendrillon. J’ai mes mauvais côtés et tu les as acceptés. Tu es fougueuse, sauvage, impulsive et la fille que j’ai rencontrée n’était pas comme cela. Elle était vive, souriante mais lisse. Elle n’a pas partagé ma vie comme tu l’as fait., lui répondit-il.  

- Elle m’a juste montré à quel point tu avais réussi à garder l’espoir et la joie de vivre en toi, elle m’a montré une facette de toi quand je ne te brime pas et ça, je voudrais le revoir., dit-il.  

- Mais ce n’était pas la femme que je voulais embrasser.  

 

Kaori laissa sa tête partir en arrière et reposer sur l’épaule de son partenaire, méditant ses paroles. Elle se souvint aussi qu’elle avait eu des remords à ne pas lui avoir dit qui elle était quand il allait l’embrasser mais qu’elle s’était sentie piégée, qu’en même temps elle en avait vraiment eu envie et savait que, si elle se dévoilait, ça n’arriverait pas.  

 

Elle comprenait ce qu’il lui disait sur son alter ego et elle ne pouvait nier qu’elle aussi avait entrevu une facette de sa personnalité qu’elle ne lui connaissait pas. Elle connaissait le nettoyeur professionnel, le noceur, le pervers et l’homme sombre. Ce soir-là, elle avait découvert son sourire détendu, son côté serviable et charmeur sans trop en faire, l’homme qui avait dû faire tomber des femmes avant… et cet homme-là avait été avec elle pendant ces quelques heures.  

 

- Toi aussi, tu m’as montré une facette de toi que tu me cachais, n’est-ce pas ?, l’interrogea-t-elle.  

- Oui., admit-il après un moment de silence.  

- J’ai laissé l’homme que je voudrais être avec toi s’exprimer ce soir-là.  

- Ryo, je t’aime comme tu es même si j’admets que, si je peux voir un peu plus celui-là et moins celui qui ne cesse de me dénigrer, je ne m’en porterai pas plus mal., lui dit-elle, se retournant dans ses bras.  

 

Elle plongea son regard dans le sien, un léger sourire aux lèvres. Il caressa sa joue avant de passer une main dans ses cheveux et de l’attirer à lui, posant sa tête contre son épaule. Kaori ne s’était pas attendue à cela, elle pensait qu’il l’embrasserait enfin mais ça lui allait bien aussi.  

 

- Tu sais, je n’ai pas cherché à te piéger ce soir-là. Eriko m’avait proposé de sortir…, commença-t-elle.  

- Je sais. J’ai compris quand je me suis retrouvé à l’heure du rendez-vous et que tu étais là et pas elle. Je me demande ce qu’elle aurait pensé de tout cela si elle avait su qu’il ne s’était rien passé., pensa Ryo tout haut.  

 

Kaori se mit à rire en se souvenant de l’air déçu de son amie quand elle lui avait expliqué la soirée et l’absence d’évènement notable.  

 

- Elle était chafouin. Elle a eu le sentiment de s’être démenée pour rien mais, moi, j’avais juste passé une très belle soirée., murmura Kaori, taisant sa déception sur l’absence de baiser.  

- Moi aussi mais je pense qu’elle aurait pu être encore plus belle., lâcha le nettoyeur.  

- Vraiment ?, s’étonna la rouquine, relevant le visage vers lui.  

- Oui, vraiment., murmura-t-il.  

 

Il posa une main sur sa joue et la caressa doucement avant de laisser son pouce tracer le contour de ses lèvres, les yeux rivés dessus. La jeune femme sentit son cœur s’emballer, ses joues rosir et elle n’avait qu’une pensée en tête : « il va m’embrasser ».  

 

- Ferme les yeux., lui ordonna-t-il d’une voix douce, lui rappelant ce qu’il lui avait dit au même moment quand elle était Cendrillon.  

 

Elle plongea dans son regard une dernière fois avant de baisser les paupières et de se laisser guider. Elle sentit d’abord son souffle chaud sur ses lèvres puis la chaleur des siennes juste deux secondes avant de sentir la pression de sa bouche contre la sienne. C’était chaud et doux, exaltant et apaisant… Ils se séparèrent quelques instants après et s’observèrent un long moment avant de se rapprocher de nouveau, partageant un nouveau baiser un peu plus appuyé, s’initiant, se testant, se goûtant doucement.  

 

Ils s’écartèrent à nouveau et Ryo vit le regard légèrement incrédule de sa partenaire. Un léger sourire aux lèvres, il la pinça au bras.  

 

- Aïe ! Mais pourquoi ?, s’exclama-t-elle, furieuse.  

- Pour te prouver que tu ne rêves pas., lui répondit-il, s’approchant de nouveau d’elle.  

 

Kaori le laissa l’embrasser à nouveau, réalisant que, en effet, elle était bien en train de se demander si tout cela était réel ou non. Ca l’était. Ryo lui avait demandé de faire partie de sa vie personnelle et il l’embrassait. Son cœur fit un nouveau bond dans sa poitrine et une partie de ses inquiétudes du matin s’envola. L’autre partie mettrait du temps à s’évacuer mais elle se sentait déjà beaucoup mieux.  

 

Avec une légère hésitation, elle passa les bras autour de son cou et pressa un peu plus ses lèvres. Quand elle sentit sa langue tracer la ligne de ses lèvres, tout son corps frémit et elle les entrouvrit pour le laisser passer. Instinctivement, elle alla à sa rencontre et s’entendit gémir quand les deux appendices se mirent à danser ensemble, perdant progressivement la raison.  

 

Ce fut le manque d’air qui les poussa à se séparer, haletants, le cœur battant la chamade, les sens en émois. Encore un peu abrutis par les émotions, ils se blottirent l’un contre l’autre, cherchant juste l’apaisement dont ils avaient tous deux besoin pour reprendre pied avec la réalité. Cela leur prit quelques minutes et ils finirent par se lâcher et passèrent sans un mot à table, tous les deux encore un peu surpris de la force des émotions qui les avaient agités. Ils déjeunèrent en silence, osant à peine se regarder. Tous deux se disaient qu’ils étaient idiots, limite puérils, l’une par manque d’expérience, l’autre ne voulant pas calquer ses expériences précédentes sur celle-ci qui n’avait définitivement rien à voir.  

 

- Je me sens nulle., lâcha soudain Kaori.  

- Et moi donc…, soupira Ryo.  

 

Surpris tous les deux, ils se regardèrent et éclatèrent de rire.  

 

- Je pensais que ce serait plus simple mais j’ai peur de faire un faux pas., avoua-t-elle.  

- Moi, je sais ce que j’ai envie de faire mais j’ai peur de me montrer trop empressé., lui dit-il.  

 

Il la vit rougir et se doutait du cours de ses pensées. Elle allait être surprise que ça n’aille peut-être pas aussi loin… sauf si c’était ce qu’elle voulait et, pour le coup, c’était lui qui n’était pas prêt.  

 

- Et… que… que veux-tu faire ?, lui demanda-t-elle, n’osant croiser son regard alors qu’elle rougissait un peu plus.  

- T’embrasser… encore… et encore…, lui répondit-il d’une voix sensuelle.  

- Goûter encore à tes lèvres et peut-être explorer un peu ailleurs mais j’ai vraiment très très… très envie de t’embrasser encore et encore., lui avoua-t-il.  

- Oh…, lâcha-t-elle, surprise et un peu soulagée d’avoir encore un peu de temps pour le reste.  

- Tu dois aller à la gare ce matin ?, l’interrogea-t-il.  

- Je suppose que, si message il y a, il y sera encore cette après-midi., répondit-elle, s’étonnant de son laxisme et lui par la même occasion.  

- C’est une réponse qui me plaît…, murmura-t-il, se levant, les yeux rivés sur elle.  

 

Elle le regarda contourner la table en déglutissant, sentant des millions de papillons s’envoler dans son ventre.  

 

- Des courses ? Aller au Cat’s ?, demanda-t-il d’une voix rauque.  

- Non, ça peut attendre., répliqua-t-elle, acceptant la main qu’il lui tendait.  

 

Il l’attira vers lui brusquement et prit ses lèvres dans un baiser fougueux auquel elle répondit avec entrain et une légère maladresse qui le ravirent. Il explora chaque centimètre carré de ses lèvres, de sa bouche avant de se séparer et de plonger son regard enfiévré dans le sien.  

 

- On sera mieux dans le canapé., murmura-t-il.  

- Ryo, je… je ne veux pas aller plus loin que les baisers pour le moment., l’avertit-elle, craignant de le décevoir.  

- Ca tombe bien, moi non plus. On a le temps., la rassura-t-il.  

- Je veux qu’on soit bien tous les deux avant de franchir la prochaine étape., lui expliqua-t-il, voyant son regard suspicieux.  

- D’accord., acquiesça-t-elle, rassurée.  

 

Main dans la main, ils gagnèrent le salon et prirent place dans le canapé, dans les bras l’un de l’autre. Peu à peu, ils se rapprochèrent et leurs lèvres s’effleurèrent de nouveau, se touchèrent puis se dévorèrent, assouvissant enfin un désir refoulé depuis plusieurs années.  

 

Se découvrir…  

 


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