Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Lifetree

Beta-reader(s): Indya

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 12 capitoli

Pubblicato: 25-04-04

Ultimo aggiornamento: 02-01-07

 

Commenti: 46 reviews

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GeneralAction

 

Riassunto: Alors, qu'est ce qu'on fait ? On nettoie.

 

Disclaimer: Les personnages sont la propriété exclusive de leurs auteurs. Merci à ma beta Indya.

 

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   Fanfiction :: En provenance de la tombe: le retour de City Hunter.

 

Capitolo 6 :: 6

Pubblicato: 22-07-04 - Ultimo aggiornamento: 22-07-04

Commenti: Tout d'abord ! Indyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! ma puce !!! J'implore ton pardon a genoux !!! J'ai essayé de t'envoyer ce chap mais le mail me revenait a chaque fois ! J'ai demandé à Cal de corriger, tu m'en veux pas (trop) j'espere ? Sinon pour les autres, oui vous ne revez pas c'est bien la suite de ma fic ! LOL Je vous ai fait attendre et je m'en excuse. Maintenant que je suis a nouveau plus ou moins inspirer je vais faire de mon mieux pour ecrire le plus vite possible avant que cette capricieuse muse ne s'envole à nouveau. Bonne lecture !

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12


 

Il était déjà très tard dans la soirée ou plutôt très tôt dans la matinée. Dans le bar « Au Lapin Bleu » les derniers patrons finissaient leurs verres tandis que les hôtesses débarrassaient les tables et apportaient leurs ‘butins’ au barman. Mort de fatigue, celui-ci rangeait lentement les plateaux et les bouteilles pour ensuite s’occuper des verres sales.  

 

Le bar était quasiment vide quand la porte s’ouvrit pour admettre un nouveau client. Ou plutôt une nouvelle cliente. D’un geste gracieux elle retira son parka et le secoua à l’entrée. Il devait pleuvoir des cordes à l’extérieur. Ses gestes et sa façon d’agir attirèrent le regard de la dernière table de patron qui se trouvait encore là. Les quatre hommes avaient détourné leurs regards en même temps vers la porte quand celle-ci s’était ouverte, et maintenant ils se regardaient à nouveaux abordant tous les quatre un petit sourire démoniaque.  

 

Entre temps la jeune femme avait rangé son parka sur son bras et entra dans le bar. Une des hôtesses vint à sa rencontre et lui demanda poliment de bien vouloir quitter les lieux étant donné que l’établissement allait fermer ses portes dans les minutes à venir.  

 

- Oh non ! Mais c’est pas vrai ! C’est injuste ! La première fois en deux semaines que j’arrive à échapper à la surveillance de Papa et Maman pour venir m’amuser et voilà que tous les bars ferment ! Mais qu’est ce que j’ai fait pour mériter ça ! C’est vraiment trop injuste !  

 

Elle s’était retournée et toujours en jurant contre l’injustice de la vie, retournait sur ses pas pour quitter le bar. Mais au moment où elle allait remettre son parka, une main se posa sur son épaule dénudée.  

 

- Allons ma jolie, tu vas pas partir comme ça ? Si tu veux t’amuser pourquoi ne restes-tu pas avec nous ?  

 

- Mais je croyais que le bar allait…  

 

- Mouahahahahaha ! Fermer ? Ce bar ? Pas tant que nous serons là ma belle ! Qu’ils essaient seulement de nous mettre à la porte ! C’est pas demain qu’on imposera sa volonté à la Bande du Scorpion Rouge ! N’est ce pas les gars !  

 

Les trois autres hommes avaient rejoint la jeune femme et l’homme qui semblait être leur chef. A la question de celui-ci ils s’écrièrent en chœur et puis lancèrent des regards très menaçants au barman et aux hôtesses. Ceux-ci étaient regroupés autour du bar et lançaient des regards apeurés en direction du groupe.  

 

- Qu’est ce que je disais ? Allez viens ma jolie ! Avec nous tu vas t’éclater et t’amuser comme tu ne l’as encore jamais fait dans ta vie ! Tu vas voir !  

 

- Super ! Vous êtes vraiment sympa vous alors ! Je ne comprends pas pourquoi ce quartier à une mauvaise réputation quand il est fréquenté par des gens aussi mignon que vous !  

 

Le chef passa son bras autour des épaules de la jeune femme et l’entraîna vers la table que lui et ses hommes avaient occupée quelques instants auparavant. Les hommes reprirent leurs places tandis que le chef s’installa de façon à pouvoir garder son bras sur les épaules de la fille.  

 

- Alors ma jolie, est-ce que tu as un nom ?  

 

- Je m’appelle Ryoko Sabaïshi et je suis en Terminale.  

 

- Ryoko ? Mais c’est un joli nom que tu as là. Il te va très bien. Un joli nom pour une jolie fille.  

 

- Merci, c’est gentil. Mais si je peux vous retourner le compliment, vous êtes très beau aussi.  

 

- Vraiment ? C’est la première fois qu’on me fait ce compliment.  

 

Le chef de la bande se retourna vers ses hommes pour voir leur réaction. Ceux-ci s’empressèrent de lui confirmer qu’il était en effet très séduisant. Satisfait et fier le chef se retourna et continua la conversation avec Ryoko, ne voyant ainsi pas les regards inquiets qu’ils s’échangèrent.  

 

Leur chef ? Beau ? Elle était aveugle cette fille ou quoi ! Le chef était chauve, pesait certainement 60 kg en trop, dépassait à peine 1.65 m et avait la figure couverte d’acné !! Jamais aucune femme n’avait trouvé leur chef à son goût, et dieu sait s’il en avait rencontré des femmes. Même les putes refusaient de passer la nuit avec lui peu importe la somme qui leur était offerte. Aucune ! Et voilà qu’une gamine de 17 ans entre dans ce bar, trouve le quartier de Shinjuku très sympa, et pense que leur chef est beau. Il ne subsistait aucun doute dans l’esprit des trois sbires que cette gamine était non seulement aveugle, inconsciente et folle à lier !  

 

Le chef avait, pendant cet instant qui s’était écoulé, fait signe à une hôtesse de venir les servir. Une des malheureuses leur apporta une bouteille de champagne qu’elle ouvrit devant eux, elle leur servit un verre chacun et ensuite s’empressa d’aller à nouveau se réfugier au bar. A la table le chef porta un toast en l’honneur de Ryoko qui l’avait trouvé séduisant. Ils trinquèrent et burent tous leur verre cul-sec. Un des sbires prit la bouteille et resservit tout le monde.  

 

Une demi-heure et deux bouteilles de champagne plus tard, Ryoko avait la bouteille en main et servait une nouvelle coupe au chef. Ses gestes témoignaient qu’elle était encore très sobre, ce qui n’était pas le cas du chef. Après le chef elle resservit les sbires avant de remplir son propre verre. Elle n’avait pas encore posé la bouteille dans son bac à glace, que les quatre hommes étaient affalés sur la table ronflant à pleine gorge. La jeune femme laissa un sourire triomphant et démoniaque  

apparaître sur son visage. Les idiots avaient été trop saouls pour remarquer les somnifères qu’elle avait glissés dans leurs verres au moment où elle servait.  

 

Toujours aussi gracieuse qu’au moment où elle était entrée, la jeune fille se leva, prit ses affaires et se dirigea vers le bar où elle s’assit sur un tabouret. Elle interpella le barman.  

 

- Excusez-moi ! Barman !  

 

Inquiet et très incertain, ce dernier se rapprocha, visiblement très mal à l’aise.  

 

- Que… que puis-je pour vous mademoiselle ?  

 

- J’ai entendu dire que votre bar était fameux pour ces cocktails, est-ce vrai ?  

 

- Oui mademoiselle, c’est vrai, mais il y a bien longtemps de celà. Aujourd’hui nous ne les faisons plus.  

 

- Oh que c’est dommage ! On m’avait tellement vanté les mérites du XYZ ! Argh, décidément c’est pas ma journée aujourd’hui ! C’est la dernière fois que je me fie à une pub laissée sur le tableau de la gare.  

 

Le barman avait jusque là fait de son mieux pour éviter le regard de cette jeune fille qu’il jugeait très dangereux pour lui et son établissement. Mais au moment où elle prononça le nom de ce cocktail il redressa sa tête et la regarda stupéfait en plein dans les yeux. Il était sans voix. Comment ? Comment cette fille pouvait-elle connaître ce cocktail ? Un cocktail unique en son genre qui ne figurait même pas sur la carte quand il préparait encore celui-ci. C’était impossible pour cette gamine de 17 ans de connaître ce cocktail. Impossible ! Et pourtant elle venait de lui donner deux des signes par lequel on pouvait autrefois faire appel à ‘lui’, enfin ‘eux’.  

 

Toujours méfiant, la curiosité remplacée par la peur, le barman dévisagea la jeune femme assise à son bar. Elle était en effet jeune, en bonne santé même si les quelques cicatrices visibles sur ses bras et ses épaules témoignaient d’accidents antérieurs. Deux signes secrets… Connaissait-elle leurs significations ? Et qui était-elle pour les connaître ? Pouvait-il lui faire confiance ? Il prit ce risque.  

 

- Une publicité sur le tableau de la gare ? C’est étrange. Comme je vous l’ai dit, je ne prépare plus de cocktail depuis presque 10 ans aussi je ne comprends pas comment un tableau pourrait faire de la publicité pour mes cocktails.  

 

- C’est étrange en effet… A moins que je ne me sois trompée ?  

 

Le cœur du barman se mit à battre plus vite. Une sueur froide fit son apparition sur son front. Il s’était trompé ! Elle ne savait pas ! Il aurait dû se taire !  

 

- Non. Non je ne me suis pas trompé, c’est sur le tableau à message de la gare. D’ailleurs je me souviens encore très bien que ce que cette pub disait : « Le XYZ ! Le cocktail qui règle vos soucis en moins de deux ! » Enfin, s’il n’existe plus…  

 

La jeune femme se leva en soupirant et prit ses affaires pour s’en aller.  

 

- C’est bien dommage que quelqu’un ne le remette pas à la mode, il y a tellement de soucis et de problèmes qu’il pourrait aider à régler. Dommage…  

 

Sur ce la fille déposa quelques billets sur le comptoir et quitta le bar sans se presser. Quand la porte se referma derrière elle, le barman et les hôtesses laissèrent échapper collectivement un soupir de soulagement. Une des hôtesses attrapa les billets et les tendit au barman. Mais au moment où les billets changèrent de mains, un morceau de papier plié s’en échappa. Curieux l’homme le prit et le lut. La stupéfaction et l’incrédulité firent immédiatement leur apparition sur son visage.  

 

« Les hommes à la table dormiront pendant les trois jours à venir. Profitez-en pour les livrer à la police. Et puisque vos cocktails ne sont plus à la mode, notez bien le numéro de portable suivant. On ne sait jamais quand il peut servir. XYZ. »  

 

Le regard du barman se dirigea vers la table où les quatre yakusa dormaient à poing fermé, pour ensuite se diriger vers la porte d’entrée. Qui était cette fille ? Et pourquoi signait-elle ce message avec… Oh mais, et si … Mais bien sûr ! Alors la rumeur … Le barman se mit à danser et tournoyer derrière son bar en chantant à tue-tête « Ils sont de retour ! Ils sont revenus ! Ils sont de retour ! Ils sont revenus ! … » Les hôtesses le regardaient faire, les yeux remplis d’incompréhension et de peur vis-à-vis de cette folie qui s’était emparée de leur employeur.  

 

 


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